untitled
<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T13:24:04Z</responseDate> <request identifier=oai:revues.org:etudescaribeennes/6525 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://oai.openedition.org/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:revues.org:etudescaribeennes/6525</identifier> <datestamp>2017-01-07T17:19:11Z</datestamp> <setSpec>journals</setSpec> <setSpec>journals:etudescaribeennes</setSpec> <setSpec>openaire</setSpec> </header> <metadata> <dc schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/oai_dc/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/oai_dc.xsd> <title>Tourisme et pauvreté dans les petites îles indépendantes en développement : l’exemple de Sainte-Lucie (Petites Antilles)</title> <type>info:eu-repo/semantics/article</type> <type>article</type> <creator>Augier, Dominique</creator> <subject lang=fr>tourisme</subject> <subject lang=fr>pauvreté</subject> <subject lang=fr>petites îles indépendantes</subject> <subject lang=fr>développement durable</subject> <subject lang=en>tourism</subject> <subject lang=en>poverty</subject> <subject lang=en>small Independent Islands</subject> <subject lang=en>sustainable development</subject> <coverage>Sainte-Lucie</coverage> <identifier>urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6525</identifier> <description lang=fr>L’objectif de cette étude est d’analyser les impacts et les limites d’une expérience de lutte contre la pauvreté par le tourisme au travers d’une étude de cas dans le village d’Anse-la-Raye, à Sainte-Lucie.Depuis son indépendance en 1979, Sainte-Lucie a tenté de diversifier la structure économique héritée de son passé colonial, en développant notamment des sources alternatives de recettes. Au début, il y a eu un certain succès avec l'industrie de confection et le tourisme qui ont émergé comme des activités viables en dehors de l'agriculture d'exportation.À la fin des années 1980, le pays avait même atteint un taux de croissance qui aurait été considéré comme raisonnable. Sainte-Lucie a d’ailleurs été l’île ayant connu la plus grande croissance économique des Etats du CARICOM. L’exportation de la banane a contribué pour beaucoup à ces résultats, et les nouveaux secteurs ont permis la création d’emplois ainsi que des revenus et des recettes d'exportation supplémentaires.Mais comme tous les Petits Etats Insulaires en Développement (PEID), Sainte-Lucie est caractérisée par sa vulnérabilité économique face aux catastrophes naturelles et crises extérieures. Ainsi, deux des secteurs principaux de son économie se sont affaiblis ces dernières années (l’agriculture et l’industrie), avec pour résultat principal une aggravation de la pauvreté à Sainte-Lucie malgré les bons résultats du secteur touristique devenu le pilier principal de l’économie de l’île.Dans ce contexte de faible croissance économique, le gouvernement et les partenaires sociaux se sont rassemblés pour identifier les politiques susceptibles d’accélérer la croissance économique de Sainte-Lucie. Ainsi, trois axes principaux ont été retenus : l’augmentation de la production locale, la réduction du crime et la réduction de la pauvreté. Dans ce dernier cadre, le gouvernement a lancé plusieurs stratégies de lutte contre la pauvreté notamment l’aide au développement d’activités touristiques.L’étude s’intéresse plus particulièrement au village d’Anse-la-Raye et à une expérience de tourisme pro-pauvre qui y a été développé en 2000 : l’Anse-la-Raye Seafood Friday, une sorte de festival qui permet aux visiteurs de déguster les produits de la mer tous les vendredis. Ce festival a-t-il eu réellement des répercussions sur la population pauvre de la communauté d’Anse-la-Raye ? Est-il viable? Quel est son devenir?</description> <description lang=en>The objective of this study is to analyse the impacts and limitations of attempts to combat poverty using tourism through a case study in the village of Anse-la-Raye, in St. Lucia.Since its independence in 1979, St. Lucia has attempted to diversify the economic structure it inherited from its colonial past, in particular developing alternative sources of revenue. Initially there was some success with the clothing industry and tourism, which emerged as viable business activities outside of agricultural exports.At the end of the 1980s, the country had reached a growth which was considered reasonable. Of all the states of CARICOM, St. Lucia has moreover experienced the greatest economic growth. Banana exports have contributed significantly to these results, and new sectors have led to the creation of jobs and income to supplement export income.But like all Small Island Developing States (SIDS), St. Lucia is characterized by vulnerability to natural disasters and external economic shocks. Two major sectors of the economy have weakened in recent years (agriculture and industry), resulting in an increase in poverty in St. Lucia despite favourable outcomes in the tourism sector, which became the primary pillar of the island.In the context of low economic growth the government and social partners gathered together to identify policies and accelerate economic growth in St. Lucia. Three main themes were identified: Increasing local production; reducing crime and reducing poverty. In this context, the government launched several strategies to combat poverty including assistance for the development of tourism.The study focuses on the village of Anse-la-Raye and the experiences of pro-poor tourism that was developed in 2000: Anse-la-Raye Seafood Friday, a kind of festival that allows visitors to taste the seafood on Fridays. Has this festival really had an impact on the poor of the community of Anse-la-Raye? Is it viable? And what is its future?</description> <publisher>Université des Antilles</publisher> <publisher>Études caribéennes</publisher> <language>fr</language> <date>2014-02-27</date> <identifier>http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6525</identifier> <rights>info:eu-repo/semantics/openAccess</rights> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>