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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:27:48Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-01190210v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-01190210v1</identifier> <datestamp>2018-01-11</datestamp> <setSpec>type:COMM</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:CNRS</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:INRA</setSpec> <setSpec>collection:AMAP</setSpec> <setSpec>collection:AGROPARISTECH</setSpec> <setSpec>collection:CIRAD</setSpec> <setSpec>collection:ECOFOG</setSpec> <setSpec>collection:AGROPOLIS</setSpec> <setSpec>collection:B3ESTE</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-MONTPELLIER</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Périodicité et variabilité dans ces processus de croissance, ramification et floraison pour 5 populations de Cecropia sciadophylla sur le plateau Guyanas et dans le bassin Amazonien.</title> <creator>ZALAMEA, Paul-Camilo</creator> <creator>Stevenson, P., Pablo</creator> <creator>Nicolini, Éric</creator> <creator>Sarmiento, Carolina</creator> <creator>Rodriguez, Manuel</creator> <creator>Heuret, Patrick</creator> <contributor>Botanique et Modélisation de l'Architecture des Plantes et des Végétations (UMR AMAP) ; Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) - Institut national de la recherche agronomique [Montpellier] (INRA Montpellier) - Université de Montpellier (UM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Institut de Recherche pour le Développement (IRD [France-Sud])</contributor> <contributor>Laboratorio de Botánica & Sistemática ; Universidad de los Andes</contributor> <contributor>Universidad de los Andes</contributor> <contributor>Ecologie des forêts de Guyane (ECOFOG) ; Centre de Coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) - Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - AgroParisTech - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)</contributor> <source>La plasticité phénotypique des arbres</source> <coverage>Montpellier, France</coverage> <identifier>hal-01190210</identifier> <identifier>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01190210</identifier> <source>https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01190210</source> <source>La plasticité phénotypique des arbres, Oct 2008, Montpellier, France. 2008</source> <identifier>PRODINRA : 182912</identifier> <language>fr</language> <subject lang=en>Cecropia sciadophylla</subject> <subject lang=en>arbre pionnier</subject> <subject lang=en>modele de Rauh</subject> <subject>[SDV] Life Sciences [q-bio]</subject> <type>info:eu-repo/semantics/conferenceObject</type> <type>Conference papers</type> <description lang=fr>Le genre Cecropia regroupe des arbres pionniers, à croissance rapide, qui colonisent les aires défrichées et les milieux ouverts à fort ensoleillement. Leur architecture est relativement simple et conforme au modèle de Rauh. Tout au long de la vie de la plante il est possible de retrouver a posteriori les cicatrices de feuille, d’inflorescences et de branches élaguées. En décrivant les axes noeuds à noeuds il est possible de construire des séquences d’événements ou l’index est le métamère et les variables associées la longueur de l’entre-noeud, la présence de fleurs, de branches, ou de leurs cicatrices. En analysant ces séquences avec des outils statistiques issus de l’analyse des séries temporelles il est possible de mettre en évidence des régularités structurelles (par ex: nombres de noeuds séparant 2 étages de branches) et de proposer une interprétation sur l’organisation dans le temps des processus de croissance, ramification et floraison qui mène à l’édification de l’architecture des représentants de cette espèces. C’est en suivant cette démarche que de récents travaux menés en Guyane française sur C. obtusa et C. sciadophylla ont démontré une forte périodicité annuelle pour les processus de croissance, de floraison et de ramification chez deux espèces. Le fait le plus remarquable est la grande régularité dans le nombre de feuilles émises chaque année avec 35 noeuds pour C. obusa et 25 noeuds pour C. sciadophylla. Cette régularité peut permettre déterminer l’âge d’un individu et de retrouver sa croissance passée. Dans ce travail nous avons voulu aborder la diversité et la plasticité de ces règles de construction en comparant des populations de C. sciadophylla ayant poussé dans des environnements variés en Guyane Française (2 populations) et en Colombie (4 populations). Les résultats montrent que le nombre de feuilles allongées chaque année est remarquablement stable pour l’ensemble des populations et est égal 25. La floraison est annuelle pour la majorité des individus mesurés mais il est cependant possible d’observer 2 floraisons par an chez certains arbres de Guyane. Les paramètres les plus variables concernent l’âge et la hauteur avant la première ramification ou la de la première floraison ainsi que les allométries entre la hauteur et le diamètre. Le lien entre cette variabilité et les conditions environnementales tel que la pluviométrie, la fertilité des sols ou la compétition seront discutés.</description> <date>2008-10-02</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>