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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:39:11Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-00720522v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-00720522v1</identifier> <datestamp>2017-12-21</datestamp> <setSpec>type:ART</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:GIP-BE</setSpec> <setSpec>collection:APHP</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Capacité de diffusion pulmonaire avant un triathlon et 24 heures après la compétition</title> <creator>Boussana, Alain</creator> <creator>Hue, Olivier</creator> <creator>Hayot, Maurice</creator> <creator>Matecki, Stefan</creator> <creator>Ramonatxo, Michèle</creator> <creator>Le Gallais, Daniel</creator> <contributor>Laboratoire de Physiologie des Interactions ; CHU Arnaud de Villeneuve</contributor> <contributor>Centre d'Optimisation de la Performance Motrice ; Université Montpellier 1 (UM1)</contributor> <contributor>Adaptations au Climat Tropical, Exercice et Santé (ACTES) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG)</contributor> <contributor>Laboratoire sport performance santé ; Faculté des Sciences du Sport</contributor> <contributor>Centre de Référence de l'Hôpital Armand Trousseau ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) - Trousseau La Roche-Guyon - CHU Trousseau [APHP]</contributor> <contributor>Université Montpellier 1 (UM1)</contributor> <contributor>CHU Montpellier ; Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier)</contributor> <contributor>Service de physiologie clinique ; Centre Hospitalier Régional Universitaire [Montpellier] (CHRU Montpellier) - Hôpital Arnaud de Villeneuve</contributor> <contributor>Interface Biopsychosociale des A.P.A. ; Université Montpellier 1 (UM1)</contributor> <description>International audience</description> <source>ISSN: 0765-1597</source> <source>Science and Sports</source> <publisher>Elsevier Masson</publisher> <identifier>hal-00720522</identifier> <identifier>https://hal.univ-antilles.fr/hal-00720522</identifier> <identifier>https://hal.univ-antilles.fr/hal-00720522/document</identifier> <identifier>https://hal.univ-antilles.fr/hal-00720522/file/Article_3_.pdf</identifier> <source>https://hal.univ-antilles.fr/hal-00720522</source> <source>Science and Sports, Elsevier Masson, 2000, 15 (5), pp.245-247</source> <language>fr</language> <subject lang=fr>capacité de diffusion pulmonaire</subject> <subject lang=fr>DLCO</subject> <subject lang=fr>spirométrie</subject> <subject lang=fr>triathlon.</subject> <subject lang=it>triathlon</subject> <subject>[SDV.OT] Life Sciences [q-bio]/Other [q-bio.OT]</subject> <type>info:eu-repo/semantics/article</type> <type>Journal articles</type> <description lang=fr>Objectifs. - Évaluer les effets du triathlon classique (1,5 km natation, 40 km cyclisme, 10 km course à pied) sur la capacité de diffusion pulmonaire (DLCO) 24 heures après la compétition. Méthodes et résultats. - Dix triathlètes masculins (21,5 ± 2,8 ans) ont effectué une spirométrie et une mesure de la capacité de diffusion pulmonaire avant la compétition (pré-T) et 24 heures après l'épreuve (post-T). Les résultats montrent une diminution significative du volume expiratoire maximal en 1 s (5,17 ± 0,4 L.s-1 contre 4,09 ± 0,6 L.s-1) et du débit expiratoire maximal 25-75 % de la capacité vitale (6,98 ± 0,2 L.s-1 contre 4,90 ± 0,2 L.s-1). En revanche, les résultats ne montrent pas de différence significative entre les DLCO pré-T et post-T (38,1 ± 3,3 mL.min-1.mmHg-1 contre 37,1 ± 3,7 mL.min-1.mmHg-1) ni les ratios DLCO/VA (5,59 ± 0,5 mL.min-1.mmHg-1.A-1 contre 5,55 ± 0,7 ml.min-1.mmHg-1.A-1). Conclusion. - La DLCO est normale chez les triathlètes 24 heures après une compétition classique. Ceci peut traduire l'absence de lésions alvéolocapillaires pendant le triathlon. La baisse de la DLCO rapportée deux heures après un exercice dans la littérature peut s'expliquer par la baisse du volume sanguin pulmonaire qui apparaît comme un phénomène transitoire. Cependant, la baisse des débits pulmonaires observée 24 heures après le triathlon suggère la persistance chez les triathlètes d'un syndrome obstructif bronchique.</description> <date>2000</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>