untitled
<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-17T12:03:48Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:inserm-01621896v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:inserm-01621896v1</identifier> <datestamp>2017-12-21</datestamp> <setSpec>type:POSTER</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:INSERM</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:SANTE_PUB_INSERM</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Comportements sexuels à risque et facteurs prédictifs de non utilisation du préservatif parmi les usagers de crack dans les Départements Français d'Amérique</title> <creator>Parriault, Marie-Claire</creator> <creator>Van-Melle, Astrid</creator> <creator>Basurko, Célia</creator> <creator>Valmy, Larissa</creator> <creator>Hoen, Bruno</creator> <creator>Cabié, André</creator> <creator>Goerger-Sow, Marie-Thérèse</creator> <creator>Nacher, Mathieu</creator> <contributor>Centre d'Investigation Clinique Antilles-Guyane (CIC - Antilles Guyane) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - CHU de Pointe-à-Pitre - Centre Hospitalier de Cayenne Andrée Rosemon - CHU de Fort de France</contributor> <contributor>Service des Maladies Infectieuses et Tropicales [Point-à-Pitre, Guadeloupe] ; CHU Pointe à Pitre</contributor> <contributor>Service de Maladies Infectieuses et Tropicales [Fort-de-France, Martinique] ; CHU de la Martinique - Hôpital Pierre Zobda-Quitman [CHU de la Martinique] ; CHU de la Martinique - Centre Hospitalier Universitaire de Fort de France</contributor> <contributor>Coordination Régionale de la lutte contre le Virus de L'Immunodéficience Humaine [Guadeloupe] (COREVIH) ; CHU Pointe-à-Pitre/Abymes</contributor> <contributor>Coordination Régionale de la lutte contre le Virus de L'Immunodéficience Humaine [Cayenne, Guyane] (COREVIH) ; Centre Hospitalier de Cayenne Andrée Rosemon</contributor> <description>International audience</description> <source>Colloque ATHS Biarritz</source> <coverage>Biarritz, France</coverage> <identifier>inserm-01621896</identifier> <identifier>http://www.hal.inserm.fr/inserm-01621896</identifier> <identifier>http://www.hal.inserm.fr/inserm-01621896/document</identifier> <identifier>http://www.hal.inserm.fr/inserm-01621896/file/2017%2C%20Parriault%20-%20Comportements%20sexuels%20%C3%A0%20risque%20%26%20crack.pdf</identifier> <source>http://www.hal.inserm.fr/inserm-01621896</source> <source>Colloque ATHS Biarritz, Oct 2017, Biarritz, France. 2017</source> <language>fr</language> <subject>[SDV.SPEE] Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie</subject> <type>info:eu-repo/semantics/conferenceObject</type> <type>Poster communications</type> <description lang=en>Résumé :Introduction : Les départements Français d’Amérique sont à la fois parmi les territoiresfrançais les plus affectés par le VIH et parmi les territoires français les plus impactés par laconsommation de crack. L’épidémie de VIH en Guyane est une épidémie concentrée quitouche plus spécifiquement certains groupes vulnérables. Parmi ces groupes, les usagers decrack sont particulièrement touchés.Matériel et Méthodes : Une étude a été réalisée simultanément dans les trois départements en2012 dans le but de décrire les connaissances, les attitudes et les pratiques vis-à-vis du VIH etdes IST chez les usagers de crack. Au total 640 personnes ont été interrogées. La méthoded’échantillonnage utilisée était non probabiliste et combinait un échantillonnage deconvenance dans les associations recevant ce public (75% de l’échantillon), et unéchantillonnage en boule de neige en dehors afin d’atteindre les personnes ne fréquentant pasles structures (25% de l’échantillon).Résultats : Un tiers des personnes n’utilisait pas systématiquement le préservatif avec lespartenaires occasionnels (36,2%) ou avec les partenaires commerciaux (32,3%), et 64%n’utilisaient pas le préservatif à chaque fois avec les partenaires réguliers. Différents facteursprédictifs de la non utilisation du préservatif ont été identifiés selon le type de partenaire àl’aide d’un modèle log-binomial. Parmi les différents facteurs repérés, deux étaient communsà chaque type de partenaire : la perception élevée de son risque face au VIH et le fait de nepas se sentir à l’aise pour persuader un partenaire à utiliser le préservatif.Discussion : Dans un contexte de multipartenariat, de violences sexuelles fréquentes et dedépistage insuffisant du VIH, la non utilisation systématique du préservatif peut avoir unimpact non négligeable dans la diffusion de l’épidémie. Bien que la non utilisation dupréservatif soit sensiblement inférieure à ce que l’on retrouve dans la littérature, cesproportions traduisent un réel problème.La capacité à persuader un partenaire sexuel à utiliser un préservatif était négativementcorrélée avec la non utilisation du préservatif quel que soit le type de partenaire. Ainsi, ilsemble que lorsque les personnes se sentaient capables de négocier l'utilisation du préservatif,elles l’utilisaient de manière plus systématique. La capacité personnelle perçue est souventconsidérée comme un levier important pour adapter les comportements de santé. Or, elle peutêtre affectée dans des situations de stigmatisation, d’addiction ou de relation violente. Cesrésultats soulignent l’importance d’interventions spécifiques de prévention parmi les usagersde crack et notamment des interventions visant à améliorer le sentiment d’efficacitépersonnelle (perceived self-efficacy) et d’estime de soi.</description> <date>2017-10-17</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>