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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:30:46Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-01010769v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-01010769v1</identifier> <datestamp>2017-12-21</datestamp> <setSpec>type:ART</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:IFR140</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-RENNES1</setSpec> <setSpec>collection:IRSET</setSpec> <setSpec>collection:IRSET-CCII</setSpec> <setSpec>collection:BIOSIT</setSpec> <setSpec>collection:UR1-UFR-SVE</setSpec> <setSpec>collection:STATS-UR1</setSpec> <setSpec>collection:HL</setSpec> <setSpec>collection:UR1-HAL</setSpec> <setSpec>collection:EHESP</setSpec> <setSpec>collection:USPC</setSpec> <setSpec>collection:UR1-SDV</setSpec> <setSpec>collection:IRSET-1</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-ANGERS</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Connaissances des médecins généralistes et des pharmaciens d'officine en matière de dopage sportif</title> <creator>Delaunay, S.</creator> <creator>Rochcongar, Pierre</creator> <creator>Bourgès, G.</creator> <creator>Vernhet, Laurent</creator> <creator>Andre, A. M.</creator> <contributor>Service de médecine du sport ; CHU Pontchaillou [Rennes]</contributor> <contributor>Contaminants Chimiques, immunité et Inflammation ; Institut de recherche, santé, environnement et travail [Rennes] (Irset) ; Université d'Angers (UA) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Université de Rennes 1 (UR1) - École des Hautes Études en Santé Publique [EHESP] (EHESP) - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - Structure Fédérative de Recherche en Biologie et Santé de Rennes ( Biosit : Biologie - Santé - Innovation Technologique ) - Université d'Angers (UA) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Université de Rennes 1 (UR1) - École des Hautes Études en Santé Publique [EHESP] (EHESP) - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - Structure Fédérative de Recherche en Biologie et Santé de Rennes ( Biosit : Biologie - Santé - Innovation Technologique )</contributor> <contributor>Antenne médicale de lutte contre le dopage ; CHU Pontchaillou [Rennes]</contributor> <description>National audience</description> <source>ISSN: 0765-1597</source> <source>Science and Sports</source> <publisher>Elsevier Masson</publisher> <identifier>hal-01010769</identifier> <identifier>https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01010769</identifier> <source>https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01010769</source> <source>Science and Sports, Elsevier Masson, 2014, 29 (1), pp.34-41. 〈10.1016/j.scispo.2013.10.004〉</source> <identifier>DOI : 10.1016/j.scispo.2013.10.004</identifier> <relation>info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.1016/j.scispo.2013.10.004</relation> <language>fr</language> <subject lang=fr>Dopage</subject> <subject lang=fr>Pharmacien</subject> <subject lang=fr>Médecin généraliste</subject> <subject lang=fr>Sport</subject> <subject>[SDV.TOX] Life Sciences [q-bio]/Toxicology</subject> <type>info:eu-repo/semantics/article</type> <type>Journal articles</type> <description lang=fr>Objectifs Évaluer les connaissances des médecins généralistes et des pharmaciens d'officine en matière de dopage sportif, Populations et méthodes Deux études descriptives transversales par questionnaire anonyme ont été menées en 2006 et 2009 respectivement chez 280 pharmaciens et 992 médecins. Résultats Ils estiment que la plupart des records sont battus grâce au dopage et que les champions y recourent. Selon eux, les sports les plus touchés sont le cyclisme, l'athlétisme, le football, l'haltérophilie et la natation. Ils méconnaissent la liste des produits interdits. Pour eux, les personnes proches des sportifs et Internet sont les principales sources d'approvisionnement en dopants. Seuls 42 % des médecins et 35 % des pharmaciens pensent informer un patient sportif sur les produits pouvant positiver un contrôle antidopage. On note que 51,5 % des médecins ne connaissent pas les autorisations d'usage à des fins thérapeutiques et 90 % ignorent l'existence des antennes médicales de prévention du dopage. Ils déclarent ne pas avoir reçu d'enseignement universitaire spécifique sur le dopage et s'estiment mal informés. Conclusion Les médecins généralistes et les pharmaciens d'officine ne semblent pas disposer de connaissances suffisantes pour assurer leurs missions et pour prendre conscience de leurs responsabilités dans la lutte antidopage.</description> <date>2014-02</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>