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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:20:10Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:inserm-01407222v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:inserm-01407222v1</identifier> <datestamp>2017-12-21</datestamp> <setSpec>type:ART</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:INSERM</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:SANTE_PUB_INSERM</setSpec> <setSpec>collection:RIIP</setSpec> <setSpec>collection:RIIP_GUYANE</setSpec> <setSpec>collection:GUYANE</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=en>The epidemiology of human papilloma virus in women aged 20-65 years living in remote villages in French Guiana: adapting interventions to the territory</title> <title lang=fr>Épidémiologie de l’infection à papillomavirus humains chez les femmes âgées de 20 à 65 ans résidant dans des communes isolées de Guyane française : adapter l’action au territoire</title> <creator>Dufit , Valentin</creator> <creator>Adenis, Antoine</creator> <creator>Douine, Maylis</creator> <creator>Najioullah, Fatiha</creator> <creator>Kilie, Odile</creator> <creator>Molinié, Vincent</creator> <creator>Catherine , Dominique</creator> <creator>Thomas, Nadia</creator> <creator>Deshayes, Jean-Luc</creator> <creator>Brousse, Paul</creator> <creator>Carles, Gabriel</creator> <creator>Lacoste, Vincent</creator> <creator>Césaire, Raymond</creator> <creator>Nacher, Mathieu</creator> <contributor>Centre d'Investigation Clinique Antilles-Guyane (CIC - Antilles Guyane) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - CHU de Pointe-à-Pitre - Centre Hospitalier de Cayenne Andrée Rosemon - CHU de Fort de France</contributor> <contributor>Laboratoire de Virologie-Immunologie ; Centre hospitalier universitaire de Fort-de-France</contributor> <contributor>Service d'anatomopathologie ; CHU Fort de France</contributor> <contributor>Service de gynécologie-obstétrique ; Centre Hospitalier Andrée Rosemon</contributor> <contributor>Association guyanaise de dépistage organisé des cancers (AGDOC)</contributor> <contributor>Département des Centres Délocalisés de Prévention et de Soins ; Centre Hospitalier de Cayenne Andrée Rosemon</contributor> <contributor>Service de gynécologie-obstétrique ; Centre Hospitalier de l'Ouest Guyanais</contributor> <contributor>Laboratoire des Interactions Virus-Hôtes [Cayenne, Guyane Française] ; Institut Pasteur de la Guyane - Réseau International des Instituts Pasteur (RIIP)</contributor> <contributor>Ecosystemes Amazoniens et Pathologie Tropicale (EPat) ; Institut Pasteur de la Guyane - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - Université de Guyane (UG)</contributor> <contributor>Fonds européens de développement régional (numéro présage FEDER : 30 814)</contributor> <description>National audience</description> <source>ISSN: 1953-8030</source> <source>Bulletin d'épidémiologie hebdomadaire</source> <publisher>INVS</publisher> <identifier>inserm-01407222</identifier> <identifier>http://www.hal.inserm.fr/inserm-01407222</identifier> <identifier>http://www.hal.inserm.fr/inserm-01407222/document</identifier> <identifier>http://www.hal.inserm.fr/inserm-01407222/file/2016%2C%20Dufit%20et%20al.pdf</identifier> <source>http://www.hal.inserm.fr/inserm-01407222</source> <source>Bulletin d'épidémiologie hebdomadaire, INVS, 2016, n°34</source> <language>fr</language> <subject lang=fr>HPV</subject> <subject lang=fr> Prévalence</subject> <subject lang=fr> Génotype</subject> <subject lang=fr> Guyane française</subject> <subject lang=fr> Populations isolées</subject> <subject>[SDV.SPEE] Life Sciences [q-bio]/Santé publique et épidémiologie</subject> <type>info:eu-repo/semantics/article</type> <type>Journal articles</type> <description lang=en>Context – Cervical cancer is the second most frequent cancer of women in French Guiana. Studies have shown that populations living in remote villages in the interior of the territory have early sexual relations and that multiple sexual partnerships are frequent. Hence, the main objective of the study was to determine the prevalence of Human Papilloma Virus (HPV) in these areas.Methods – This multicentric cross sectional study was conducted in women aged 20 to 65 years, living in theremote villages along the Maroni and Oyapock rivers. Women were included on a voluntary basis after beinginformed of the study team schedule through radio address and key opinion leaders.The search for HPV and cytologic examinations were performed on each sample. HPV infection was defined bythe detection of viral DNA using the Greiner Bio One® kit. Cytologic analyses were performed using the 2001Bethesda classification.Results – Overall, 643 women were included in the study. Age-standardized HPV prevalence was 35%. Theprevalence curve by age group showed a U-shaped pattern: women over 50 years had the highest risk of being infected by HPV, followed by women aged 20-29 years. In addition, 26.1% of women with a normal smear test had HPV infection. The most frequent genotypes were HPV52, HPV58, and HPV16. On interpretable smears 1.16% of women had high grade superficial intra-epithelial (HSIL) lesions.Conclusions – The standardized prevalence of HPV in French Guiana is among the highest in the world. HSILcytological lesions were nearly 4 times more frequent than in the Île-de-France region. Given the importance of the incidence of cervical cancer in French Guiana, these results suggest it may be preferable to use HPV testing than cytology. Vaccination against HPV, preferably with the new nonavalent vaccine seems an appropriate prevention measure. However, this intervention will be a challenge to implement in this region where a significant proportion of the population is not covered by health insurance.</description> <description lang=fr>Contexte – Le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer féminin le plus fréquent en Guyane française.Des études ont montré que les populations résidant dans les communes isolées de l’intérieur du départementdébutent leur vie sexuelle de façon précoce et que le multipartenariat sexuel y est fréquent. Dans ce contexte, l’objectif principal de cette étude était de déterminer la prévalence de l’infection à papillomavirus humains (HPV) dans ces zones.Méthodes – Cette étude transversale multicentrique a été conduite auprès des femmes âgées de 20 à 65 ansrésidant dans les communes isolées des fleuves Maroni et Oyapock. Les femmes étaient incluses sur la basedu volontariat après avoir été informées du passage de l’équipe de l’étude via la radio locale et par les leadersd’opinion. La recherche d’infection à HPV et les analyses cytologiques ont été réalisées sur chaque prélèvement. L’infection à HPV était définie par la détection d’ADN viral par le kit de dépistage Greiner Bio One®. Les analyses cytologiques ont été décrites selon la classification de Bethesda 2001.Résultats – Au total, 643 femmes ont été incluses. La prévalence de l’infection à HPV, standardisée sur l’âge,était de 35%. La courbe de prévalence par classe d’âge présentait une forme en U : les femmes de plus de50 ans avaient le plus haut risque d’être infectées par HPV, suivies par les femmes âgées de 20 à 29 ans.Par ailleurs, 26,1% des femmes ayant un frottis normal étaient infectées par le HPV. Les génotypes les plusfréquents étaient HPV52, HPV58 et HPV16. Sur les frottis interprétables, 1,16% des femmes avaient des lésions de haut grade (type HSIL).Conclusions – Le taux standardisé de prévalence de l’infection par le HPV en Guyane est parmi les plus élevésau monde. Les lésions cytologiques de type HSIL étaient près de 4 fois plus fréquentes qu’en Île-de-France.Étant donné l’importance de l’incidence du cancer du col de l’utérus en Guyane, ces résultats montrent qu’il est peut être préférable d’utiliser le test HPV plutôt que la cytologie. La vaccination anti-HPV, de préférence avec le nouveau vaccin nonavalent, semble être une mesure de prévention appropriée. Pour autant, cela reste un challenge de mettre en oeuvre ces interventions dans cette région où une part importante de la population n’a pas d’assurance maladie.</description> <date>2016-10-18</date> <rights>info:eu-repo/semantics/OpenAccess</rights> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>