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![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16023/-1-0411i.dir/MMC16023-1-0411i1_thumb.gif) Amphithéâtre d'El-Djem. Éditeur(s) : Phot. Garrigues, Tunis. Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 378) Résumé : Lamphithéâtre dEl Jem est un témoignage exceptionnel de larchitecture romaine, notamment celle des monuments construits à des fins de spectacle, en Afrique. Situé dans une plaine au centre de la Tunisie, cet amphithéâtre, construit entièrement en pierre de taille, nest ni creusé ni adossé à une colline. Il reprend en cela le modèle du Colisée de Rome sans toutefois être une simple copie conforme de l'édifice flavien. Ses dimensions (grand axe de 148 mètres et petit axe de 122 mètres) et sa contenance (évaluée à 35 000 spectateurs) le classent incontestablement parmi les plus grands amphithéâtres du monde. Sa façade comporte trois étages darcades de style corinthien ou composite. À lintérieur, le monument a conservé la majeure partie de linfrastructure de support des gradins. Le mur du podium, larène et les souterrains sont pratiquement intacts. Cette uvre architecturale et artistique érigée vers 238 apr. J.-C. constitue un jalon important pour la compréhension de lhistoire de lAfrique romaine. Lamphithéâtre dEl Jem témoigne également de la prospérité de la petite cité de Thysdrus (lactuelle El Jem) à lépoque de lempire romain. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0411i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16023/-1-0234i.dir/MMC16023-1-0234i1_thumb.gif) Arc de Trajan, à Timgad (Algérie). Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 200) Résumé : Haut de douze mètres, l'arc de Trajan possède trois baies : une large baie centrale, de six mètres de haut, et deux baies latérales, de trois mètres soixante-quinze de haut. Au-dessus des arcs latéraux, s'ouvrent des niches encadrées par des colonnes dégagées, corinthiennes de marbre rouge, reposant sur des consoles sculptées d'un décor végétal. Chaque partie latérale du monument est encadrée par deux colonnes corinthiennes détachées, reposant sur un piédestal et portant au sommet un entablement curviligne à tympan arqué. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0234i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16023/-1-0409i.dir/MMC16023-1-0409i1_thumb.gif) Dougga, ruines romaines. Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 376) Résumé : Avant l'annexion romaine de la Numidie, la ville de Thugga, construite sur une colline surplombant une plaine fertile, a été la capitale d'un État libyco-punique. Elle a prospéré sous la domination romaine et byzantine mais a décliné au cours de la période islamique. Les ruines visibles aujourd'hui témoignent de manière imposante des ressources d'une petite ville romaine aux frontières de l'Empire. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0409i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16023/-1-0405i.dir/MMC16023-1-0405i1_thumb.gif) Endymion et Séléné, mosaïque d'Oudna (Tunisie). Éditeur(s) : Phot. communiquée par M. Gauckler. Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 372) Résumé : La légende du berger Endymion reflète l'évolution des sujets funéraires au début du IIIe siècle ap. J.-C. Le jeune homme, plongé dans un sommeil éternel, est visité par Séléné, la déesse Lune, qui a obtenu son immortalité. Dans le monde romain, traversé par une crise spirituelle profonde, ce mythe évoque la survie de l'âme dans l'au-delà et le salut espéré par le défunt. Cette mosaïque est issue de la villa dite « des Laberii » sur le site archéologique dOudna. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0405i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16053/-0008i1.dir/MMC16053-0008i1_thumb.gif) Général Ferrand. Il mourut victime de l'ingratitude. Extrait de : Précis historique des derniers événements de la partie de l'est de Saint-Domingue depuis le 10 août 1808 jusqu'à la capitulation de Santo-Domingo, avec des notes... sur cette partie, des réflexions sur l'Amérique septentrionale et des considérations sur l'Amérique méridionale et sur la restauration de Saint-Domingue... par M. Gilbert Guillermin,... (avant p. 1) Résumé : Ferrand, Jean-Louis (1758-1808), général français de la Révolution et de l'Empire. Il fait partie de l'expédition de Saint-Domingue, chargée de rétablir l'ordre dans la colonie, dont il prend très vite le commandement. Après les premiers succès (1802), les Français sont battus par Dessalines et les Anglais (1804), et doivent trouver refuge dans la partie orientale de l'île, alors sous les ordres de la Couronne d'Espagne. Après que Napoléon est attaquée la péninsule, la bataille de Palo Hincado scelle le sort de Ferrand qui se scuicide Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16053-0008i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16033/-0475i1.dir/MMC16033-0475i1_thumb.gif) Hôtel de Ville de Fort-de-France Extrait de : Annuaire de la vie martiniquaise (entre p. 390 et p. 391) Résumé : "L'hôtel de ville est construit à partir de 1848 par un entrepreneur dénommé Krous. Il est détruit par un incendie en 1890 et un cyclone en 1891. Un nouveau bâtiment est inauguré en septembre 1901. La façade est ornée des armes de la ville et de la devise patriotique ""Semper Francia"" : la France toujours. Doté d'un campanile, le nouvel édifice est un bel exemple de construction antillaise avec une forte présence du bois et des décors de frises dentelées. A l'intérieur, au premier étage, une statue, de 1879, due à Albert Carrier-Belleuse, représente un esclave dont les fers viennent d'être brisés ; le socle porte les noms de tous les membres du gouvernement provisoire de 1848. Un théâtre à l'italienne a ensuite été construit à l'arrière. Inscription aux Monuments historiques" Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16033-0475i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16023/-1-0272i.dir/MMC16023-1-0272i1_thumb.gif) Le duc d'Aumale, colonel du 17e léger (13 septembre 1841). Auteur(s) : Raffet, Denis-Auguste-Marie (1804-1860) Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 238) Résumé : Henri dOrléans (1822-1897), prince du sang de la maison dOrléans, fils du roi Louis-Philippe Ier, est un militaire et un homme politique, qui a notamment été gouverneur général de lAlgérie et à ce titre a participé à la reddition dAbd-el-Kader en décembre 1847.Le 13 septembre 1841, le duc d'Aumale accompagné de ses frères, les ducs d'Orléans et de Nemours, fit son entrée dans Paris à la tête du 17e léger dont il était colonel. Dans le faubourg Saint-Antoine, un coup de feu fut tiré par un nommé Quenisset dit Papart, scieur de long de son état. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0272i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16037/-0262i1.dir/MMC16037-0262i1_thumb.gif) Trafalgar. Nelson wounded Auteur(s) : Drummond, Samuel (1765-1844) Année de publication : Extrait de : Naval Yarns of Sea Fights and wrecks, pirates and privateers, from 1616-1831, as told by Men of Wars'Men (entre p. 232 et p. 233) Résumé : La bataille de Trafalgar oppose le 21 octobre 1805 la flotte franco-espagnole sous les ordres du vice-amiral Villeneuve, à la flotte britannique commandée par le vice-amiral Nelson. Ce dernier y trouve la mort, mais la tactique qu'il a mis en uvre vaut aux Britanniques une victoire totale malgré leur infériorité numérique. Les deux tiers des navires franco-espagnols sont détruits, et Napoléon, faute d'une flotte suffisante, doit renoncer à tout espoir de conquête du Royaume-Uni. Cette victoire conforte également la suprématie britannique sur les mers, qui devient absolue et incontestée plus d'un siècle durant, jusqu'à la Première Guerre mondiale. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16037-0262i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16023/-1-0482i.dir/MMC16023-1-0482i1_thumb.gif) Tunis. Mosquée de Sidi Mahrez. Éditeur(s) : Phot. Albert Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 449) Résumé : Cette uvre commencée par MHammed Bey en 1692 et continuée par son frère Romdhane Bey resta inachevée. Le programme, sinspirant des mosquées mouradites antérieures prévoyait un minaret octogonal à langle nord-ouest de la cour et deux tourbet familiaux. La mort de MHammed Bey, lassassinat de Romdhane Bey et les troubles survenus sous Mourad III empêchèrent la réalisation de ce programme. La mosquée se veut une copie de la mosquée Sultan Ahmed dIstanbul, elle-même dérivée de Sainte-Sophie. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0482i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16023/-1-0406i.dir/MMC16023-1-0406i1_thumb.gif) Virgile composant l'Enéide, mosaïque de Sousse. Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 373) Résumé : La mosaïque de «Virgile» a été découverte sur le site dHadrumète (lactuelle Sousse en Tunisie), une cité portuaire au sud de Carthage. Réalisée par un artiste inconnu du début du IIIème siècle, elle se trouvait dans une riche maison romaine. La mosaïque représente un homme assis, portant la toge du citoyen romain, entouré de deux muses. On a identifié cet homme à Virgile car il tient dans sa main un livre sur lequel figure le vers 8 de lEnéide : « Muse, rappelle-moi pour quelle cause, pour quelle offense à sa volonté. ». Virgile est en effet entouré de deux muses, Calliope et Melpomène, qui paraissent lui dicter son récit. Toutes les deux sont filles de Zeus et de Mnémosyne, la déesse de la mémoire, et chacune a ses propres attributs. Calliope, muse de la poésie épique, lit un manuscrit. Elle porte sans doute une couronne dor qui est lun de ses attributs tout comme le livre ouvert. Melpomène, muse de la tragédie, a un air grave. Elle porte des vêtements riches et tient un masque de tragédie. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0406i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16053/-0034i1.dir/MMC16053-0034i1_thumb.gif) Vue des ruines du château de Christophe Colomb à Santo-Domingo Extrait de : Précis historique des derniers événements de la partie de l'est de Saint-Domingue depuis le 10 août 1808 jusqu'à la capitulation de Santo-Domingo, avec des notes... sur cette partie, des réflexions sur l'Amérique septentrionale et des considérations sur l'Amérique méridionale et sur la restauration de Saint-Domingue... par M. Gilbert Guillermin,... (entre p. 20 et p. 21) Résumé : La ville de Saint-Domingue, fondée en 1498 suite à la découverte de l'île par Christophe Colomb en 1492, est le plus vieux site de peuplement européen des Amériques habité sans discontinuité et fut le premier siège du pouvoir espagnol dans le Nouveau Monde. Ville des premières fois, Saint-Domingue a été le siège des premières institutions dans les Amériques (pouvoir ecclésiastique, judiciaire, universitaire, médical). Elle est aussi la première ville fortifiée et le premier siège du pouvoir espagnol avec l'Alcázar de Colón (ou château de Colomb). Construit sous Diego Colón, fils de Christophe Colomb et 4e gouverneur des Indes (1509-1518), il est de style architectural gothique mudéjar typique du début du XVIe siècle. Le palais est une construction impressionnante de blocs coralliens qui abritait autrefois une cinquantaine de pièces entourées de jardins et de cours. Au début de la période coloniale espagnole, c'est de là que de nombreuses expéditions de conquêtes et d'exploration ont été planifiées. En 1586, le palais a été saccagé par Sir Francis Drake et ses forces. A mesure que l'influence de Saint-Domingue diminuait, le palais tomba en ruine avant d'être, vers le milieu du XVIIIe siècle, abandonnée. Il a été sauvé et restauré de manière exhaustive entre 1955 et 1957, rempli de meubles d'époque, d'objets d'art et d'autres accessoires et abrite depuis un musée Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16053-0034i1 |
![](/gsdl/collect/images/index/assoc/MMC16023/-1-0263i.dir/MMC16023-1-0263i1_thumb.gif) Youssouf Éditeur(s) : Buste par Crauck (Versailles) Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 229) Résumé : Vantini, Joseph (1808-1866, dit Yusuf). Général de division (1856). Créateur des premiers spahis. Commandant de la division d'Alger. Capturé en 1815 entre Gênes et l'île d'Elbe par des pirates barbaresques, il est vendu au Bey de Tunis Mahmoud dont il devient un des mamelouks. Il passe au service de la France au moment de la prise d'Alger (1830). Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0263i1 |
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