Les jeunes marocains entre action politique et participation électorale Auteur(s) : Iharchane, Omar Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Observatoire des Amériques - UQAM Université Libanaise Extrait de : "Monde arabe et Amérique latine : confluence des dynamiques sociétales" : colloque international, les 3 et 4 mai 2018. Université des Antilles Description : Omar IHARCHANE, Professeur de science politique, examine l'abstention des jeunes du Maroc dans le processus électoral. Il souligne pourtant leur présence effective dans des manifestations faisant part de leurs différentes protestations à caractère socio-politique. Cependant de telles démarches ne rallient pas automatiquement les jeunes marocains à des partis politiques car ils ne s'y engagent pas. Voilà donc des paradoxes qu'il importe de comprendre grâce à cette communication. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V18169 | Partager |
Les premiers pas de la CTM : continuité et transition Auteur(s) : Daniel, Justin Auteurs secondaires : Lacom, Gérard Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CCEE : Conseil de la Culture, de l'Education et de l'Environnement Extrait de : "La collectivité territoriale de Martinique : enjeux, débats et perspectives" : séminaire, le 24 octobre 2015. Université des Antilles Description : Dans cette présentation, Justin Daniel, professeur de science politique à l'Université des Antilles, résume les principales étapes qui suivront l'élection de l'Assemblée de Martinique (AM) ainsi que les dispositifs mis en place afin d'assurer la continuité entre le moment où le département et la région cesseront d'exister et celui où la CTM prendra le relais. Ainsi, le premier vendredi suivant l'élection, seront successivement élus le bureau de l'AM et le Conseil exécutif de Martinique (CEM). Puis il sera procédé à la lecture de la charte de l'élu local en présence des conseillers à l'AM et des conseillers exécutifs. Dès lors, le président du CEM sera ordonnateur des comptes du département et de la région jusqu'au 31 décembre 2015, pourra engager, mandater, liquider des dépenses dans la limite des cinq-douzièmes des montants inscrits dans les exercices budgétaires antérieurs, et ce jusqu'au 31 mai 2016 au plus tard, date à laquelle le budget de la CTM devra être adopté. Enfin, le directeur général des services (DGS) de la région devient, pour une période qui ne peut aller au-delà du 30 juin 2016, DGS de la CTM. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15419 | Partager |
TIC et processus de démocratisation en Afrique : pour un système de gestion transparente des élections par l'expérience du "Parellel Vote Tabulation" (PVT) Auteur(s) : Kone, Tahirou Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : EUTIC : le réseau international et interdisciplinaire pour les Enjeux et Usages des Technologies de l'Information et de la Communication Extrait de : "Les écosystèmes numériques et la démocratisation informationnelle" : colloque, les 3 et 4 novembre 2015. Université des Antilles Description : De nombreux pays africains en transition démocratique connaissent de violentes crises post-électorales, qui mettent en péril la cohésion sociale et la stabilité des institutions politiques. La contestation des élections et la violence qui s'ensuit est un problème institutionnel de régulation de la concurrence politique. En conséquence, la prévention des crises électorales et le renforcement du processus de démocratisation impliquent la confiance des acteurs politiques et civils dans les résultats déclarés par les instances électorales. A ce titre, les TIC sont de plus en plus réclamées dans le processus électoral pour en garantir la transparence. Aussi, ce texte propose-t-il l'expérience élargie du « Parallel Vote Tabulation » (PVT) comme une solution palliative pour éviter la manipulation des informations et des résultats en période électorale. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15399 | Partager |
Le mode d'élection de l'Assemblée de Martinique et ses implications Auteur(s) : Daniel, Justin Auteurs secondaires : Lacom, Gérard Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CCEE : Conseil de la Culture, de l'Education et de l'Environnement Extrait de : "La collectivité territoriale de Martinique : enjeux, débats et perspectives" : séminaire, le 24 octobre 2015. Université des Antilles Description : Le mode d'élection de l'Assemblée de Martinique repose sur la combinaison de quatre séries de considérations : le principe de la parité, la volonté de dégager une majorité grâce à l'instauration d'une prime de 11 sièges attribuée à la liste gagnante (principe d'efficacité), la représentation des différents courants politiques grâce à l'introduction d'une dose de proportionnelle (principe d'équité) et la recherche d'un certain équilibre territorial se traduisant par la création de sections. Inspiré du mode d'élection des conseillers régionaux, ce mode de scrutin fait de la Martinique une circonscription unique composée de quatre sections. Un nombre déterminé de candidats est affecté à chacune des sections. Après attribution de la prime majoritaire à la liste gagnante, les sièges sont d'abord répartis à la proportionnelle entre les listes qui ont obtenu au moins 5% des suffrages exprimés ; puis ils sont répartis pour chaque liste entre les sections au prorata du nombre de voix obtenues dans la section. Le nombre de sièges revenant à une section dépend principalement de deux facteurs : le taux de participation dans la section et l'orientation du vote en son sein. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15418 | Partager |