La dimension politique du marronnage aux Mascareignes Auteur(s) : Fuma, Sudel Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CAGI : Centre d'Analyse Géopolitique et Internationale Mémorial ACTe GREHDIOM : Groupe de Recherches en Histoire du droit et des Institutions d'Outre-Mer Extrait de : "Les résistances politiques à l'esclavage dans l'espace colonial français (1750-1850) : essai de théorisation (définitions, typologies, comparaisons)" : grand séminaire d'histoire des outre-mers, du 3 au 8 février 2014. Université des Antilles et de la Guyane Description : M. Fuma nous propose une étude sur la question du marronnage, fait de résistance politique, à La Réunion. le marronnage n'est-il pas un fait de désobéissance civile ? Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15036 | Partager |
Philanthropia et construction d'une citoyenneté esclave dans le stoïcisme antique Auteur(s) : Collin, Franck Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CAGI : Centre d'Analyse Géopolitique et Internationale CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Mémorial ACTe GREHDIOM : Groupe de Recherches en Histoire du droit et des Institutions d'Outre-Mer Extrait de : "Les résistances politiques à l'esclavage dans l'espace colonial français (1750-1850) : essai de théorisation (définitions, typologies, comparaisons)" : grand séminaire d'histoire des outre-mers, du 3 au 8 février 2014. Université des Antilles et de la Guyane Description : M. Collin nous propose une approche philosophique sur l'esclavage dans l'antiquité. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15045 | Partager |
Le concept de résistance dans l'historiographie de l'esclavage colonial français Auteur(s) : Régent, Frédéric Auteurs secondaires : Destouches, Didier Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Mémorial ACTe CAGI : Centre d'Analyse Géopolitique et Internationale Université des Antilles et de la Guyane CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe GREHDIOM : Groupe de Recherches en Histoire du droit et des Institutions d'Outre-Mer CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique Extrait de : "Les résistances politiques à l'esclavage dans l'espace colonial français (1750-1850) : essai de théorisation (définitions, typologies, comparaisons)" : grand séminaire d'histoire des outre-mers, du 3 au 8 février 2014. Université des Antilles et de la Guyane Description : Frédéric Régent nous propose une étude sur le concept de "résistance" dans l'historiographie de l'esclavage colonial français. Une analyse à partir de livres d'histoire sur la société coloniale. Plusieurs problématiques : un esclave a-t-il les moyens de voir un monde sans esclavage ? Comment utiliser le terme "résistance" et son évolution au fil des siècles ? Une étude en 3 parties : L'utilisation du concept de résistance dans les ouvrages d'histoire du 18e au 19 siècles. Le triomphe du concept de résistance dans les années 90. La critique du paradigme de résistance Siècle(s) traité(s) : 16 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15013 | Partager |
Fear or Security ? Slaveholder Proposals to Arm Black Men in Jamaïca and South Carolina during the American Revolution Auteur(s) : Rugemer, Edward Rugemer, Edward Rugemer, Edward Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ACH : Association of Caribbean Historians ACH : Association of Caribbean Historians ACH : Association of Caribbean Historians Extrait de : 46e colloque de l'Association des historiens de la Caraïbe, du 11 au 15 mai 2014. Résumé : Comment la minorité blanche des esclavagistes des grandes Antilles a-t-elle réagi à la crainte d'une attaque d'un ennemi européen de l'extérieur, combinée en même temps à la menace d'une insurrection des esclaves ? La révolution américaine a contribué à soulever cette question lors des assemblées coloniales de la Jamaïque et de la Caroline du sud, en 1778, 1779 et 1782. Les esclaves noirs des deux colonies ont profité de la crise des empires coloniaux de 1775 pour se soulever violemment contre leurs maîtres. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14290 | Partager |
Murder on the road from Trou-au-Chat : Criminal Justice between Plantation and Port in Martinique Auteur(s) : Wood, Laurie Wood, Laurie Wood, Laurie Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ACH : Association of Caribbean Historians ACH : Association of Caribbean Historians ACH : Association of Caribbean Historians Extrait de : 46e colloque de l'Association des historiens de la Caraïbe, du 11 au 15 mai 2014. Résumé : Cette communication s'appuie sur des procès-verbaux de la Martinique pour examiner les espaces coloniaux entre les sites de plantation où les maîtres détiennent l'autorité suprême et les villes portuaires où le pouvoir de l'Etat a été adapté par la voie judiciaire. Il convient de montrer que les routes coloniales étaient des espaces intermédiaires souples autour desquelles les relations et l'autorité pouvaient être négociés entre les plantations et les villes portuaires. Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14312 | Partager |
Clair obscur : représentations littéraires du bal masqué aux Antilles et en Guyane. Le bal masqué, espace baroque par excellence Auteur(s) : Birman Seytor, Jacqueline Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Importance du bal masqué en Guadeloupe. Dès le 17è siècle de nombreux documents attestent de la présence du carnaval en Guadeloupe. A travers les récits des bals masqués qui se déroulent dans des salons, dans son écrit intitulé premier voyage aux Antilles 1640, le révérend père Du Tertre en fait état, tout un passage de son ouvrage décrit un bal de nègres. Le carnaval est l'heure de la dérision de l'inversion de la révolte permise. Les esclaves profitant de cette situation, ont commencés à parcourir les rues, armés de bâton et de coutelas menaçant la vie des maîtres, les charries varies furent interdits à cette époque, par le procureur général du roi le 11 janvier 1870. Le bal masqué un espace baroque, le carnaval sur toute les latitudes conjure les peurs et exalte la folie humaine, ce rite est dédié aux dieux de la vie et de la mort. Les acteurs du carnaval jouent avec la mort, risquent leur vie, le masque fantôme dont il se couvre le visage et que l'on appel "larva" qui signifie fantôme ou "masqua" vient nous rappeler que la vie est songe et mensonge. L'homme qui danse le carnaval n'est que le jouait de son illusion, tous les jours nous revêtons un costume pour nous produire sur la scène du théâtre du monde. Le bal masqué n'est donc que la pal-copie de la vie. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17166 | Partager |
Propriétaires de couleur à la Guadeloupe Auteur(s) : Régent, Frédéric Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Dans le rôle d'imposition de 1664, « plusieurs nègres libres », à l'instar de Jean Sence, du quartier de la Rivière-à-Collas jusqu'à l'Anse à la Barque (actuelle commune de Bouillante en Guadeloupe), sont maîtres de case. Dans le dénombrement de 1671, Jean Sence (écrit aussi Sanse) possède deux esclaves. Il est donc attesté dès le XVIIe siècle que des non-Européens possèdent des esclaves ou des terres. Au début de la Révolution française, ce sont environ 5% des esclaves qui appartiennent à des libres de couleur. Cette contribution s'intéressera à la constitution de cette catégorie de propriétaires jusqu'à la première abolition de l'esclavage, à partir de l'étude des recensements, des actes notariés et des registres paroissiaux. Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16095 | Partager |
Les gens de couleur à Bourbon et à la Réunion entre la fin de l'Ancien Régime et l'Empire Auteur(s) : Eve, Prosper Eve, Prosper Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Les lois reconnaissant aux maîtres la faculté d'affranchir leurs esclaves leur procurent la possibilité de récompenser les bons services de leur main d'oeuvre forcée, d'encourager celle-ci à accomplir ses devoirs avec zèle et de nourrir en elle une certaine émulation. Jusqu'en 1723, conformément à l'édit de mars 1685 rédigé pour les colonies d'Amérique, mais appliqué aussi dans les Mascareignes faute de décision royale spécifique, le maître affranchit quand il veut, qui il veut, sans attendre une quelconque sanction administrative. Compte tenu des abus possibles engendrés par l'exercice de ce pouvoir illimité et des nuisances éventuelles causées à l'ordre public, l'autorité royale décide en 1723 d'affirmer ses souhaits en la matière. Elle ne retire pas aux maîtres la faculté de formuler la demande d'affranchissement, mais elle attribue à l'autorité administrative le droit de l'accorder ou non. Tel est l'objet des articles 9, 49 et 50 des Lettres patentes concernant les esclaves des îles de France et de Bourbon. À la toute fin de l'administration de la Compagnie des Indes, l'autorité royale fixe de nouvelles règles et bride un peu plus les maîtres, afin d'empêcher les abus de leur part. L'affranchissement doit alors être sanctionné par une permission écrite sans frais par le gouverneur général et de l'intendant des deux îles. Un mois plus tard, l'ordonnance royale du 25 septembre 1766 rappelle la nécessité de l'autorisation préalable de ces administrateurs pour que l'affranchissement soit légal. Elle consacre en outre le droit des tiers de s'opposer à l'affranchissement et même de faire trancher les litiges par les tribunaux. Cette loi vaut à Bourbon jusqu'en 1793. Compte tenu de la législation en vigueur de 1767 à 1810, notre propos vise à déterminer d'abord le poids des Libres de couleur à l'île Bourbon à la fin de l'Ancien Régime, à voir ensuite l'évolution de leur situation propre sous la Révolution et l'Empire, c'est-à-dire leurs espoirs et leurs craintes, et enfin à évoquer les stratégies mises en oeuvre pour réussir leur parcours. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16097 | Partager |
La question du conflit dans la Caraïbe "Critical Perspectives on Conflict in Caribbean Societies of the Late 20th and Early 21st Centuries" Auteur(s) : Donatien-Yssa, Patricia Solbiac, Rodolphe Jno-Baptiste, Bruce Auteurs secondaires : Odent-Allet, Patrick Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : Les rencontres culturelles de la BU 2015-2016. Université des Antilles Description : Patricia Donatien et Rodolphe Solbiac, Maîtres de Conférences au département d'Anglais de l'Université des Antilles, nous présentent leur ouvrage "Critical Perspectives on Conflict in Caribbean Societites of the Late 20th and Early 21st Centuries" publié en 2015. Ils livrent une approche éminemment multiple de la notion de conflit : "Le conflit est une forme naturelle de relation entre les êtres, l'essence du progrès qui constitue, d'une génération à l'autre, l'avancée des sociétés. Au sein des familles, des groupes, des communautés et à l'intérieur de sociétés, le conflit jette les individus les uns contre les autres mais engendre également des espaces où chacun peut affirmer ses convictions, élaborer sa personnalité, réinventer le monde, définir et édifier ses approches et ses visions de l'avenir. La construction des sociétés coloniales caribéennes constitue un processus qui recouvre diverses dimensions du conflit". Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16024 | Partager |
Représentations sociolinguistiques et enseignement du français en Guadeloupe et en Martinique Auteur(s) : Bellonie, Jean-David Jeannot-Fourcaud, Béatrice Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ESPE de Martinique : Ecoles Supérieures du Professorat et de l CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRREF : Centre de Recherche et de Ressources en Education et Formation Extrait de : "Socio-didactique et didactique du français en Martinique et en Guadeloupe" : journée d'étude, le 2 juin 2018. Université des Antilles Description : L'objectif de cette communication s'inscrit dans la recherche de dispositifs favorisant la prise en compte de la réalité langagière des élèves dans le cadre de la formation des maîtres en Martinique et en Guadeloupe. La confrontation de deux contextes sociolinguistiquement proches, et néanmoins différents en termes de politiques linguistiques locales, mais également du point de vue de la construction des normes idéologiques socialement partagées, devrait permettre d'envisager un certain nombre de pistes de remédiation. Les intervenants s'intéresseront à la question des obstacles rencontrés dans l'enseignement du français. Pour ce faire, ils ont récolté les représentations que les futurs professeurs des écoles en formation à l'ESPE des académies de Martinique et de Guadeloupe ont, non seulement sur les langues (français et créole plus particulièrement), mais également sur les phénomènes de contact français-créole. Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V18189 | Partager |
Pouvoir dominical et christianisation dans la société esclavagiste (Guadeloupe, Martinique, XVIIe-XIXe siècles) Auteur(s) : Oudin-Bastide, Caroline Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane SAAHG : Société des Amis des Archives de l'Histoire de la Guyane Extrait de : "La Guyane au temps de l'esclavage : discours, pratiques et représentations, XVIIe-XIXe siècle" : colloque international, du 16 au 19 novembre 2010. Université des Antilles et de la Guyane Description : Selon l'article 2 du code noir, les esclaves doivent être baptisés et instruits. La christianisation est-elle ainsi un élément structurant ou une force potentiellement déstabilisatrice du système colonial ? La position des pouvoirs publics évoluent selon les périodes. Au début, la religion justifie l'esclavage afin de sauver les âmes des déportés. Puis, elle assoie le système colonial en promettant l'espérance d'une vie meilleure dans l'au-delà afin de contenir les esclaves. Enfin, sous la monarchie de juillet, il faut moraliser les esclaves avant l'abolition. La religion est donc au service du système colonial, seulement de nombreuses ordonnances indiquent en local des résistances importantes de la part des maîtres à l'éducation religieuse des esclaves car toute instruction pourrait permettre aux esclaves de développer une conscience émancipatrice. Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11069 | Partager |
Dénommer pour dominer, dominer en dénommant. Peut-on "dé-passer" la blessure d'un nom-macule "en-registré" ? Auteur(s) : Chanson, Philippe Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Ecrire la domination" : journée d'étude, le 14 mai 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : Les faits sont têtus : aux lendemains de l'Abolition, une distribution de noms d'état civil affligeants a piégé de façon pérenne nombre de nouveaux libres. Ce délit signait non seulement à sa manière la contestation des maîtres à l'émancipation des esclaves, mais une bonne fois encore cette manie coloniale de dénommer pour dominer ou de dominer en dénommant. Débordant ici notre ouvrage sur "La blessure du nom" (Academia, 2008), cette contribution reprend les questions liées de fait aux blessures traumatiques qu'a représenté, pour de nombreux antillais-es, cette attribution de patronymes stigmatisants imposés, cherchant à décrypter en quoi ces procédés ont été pervers et pourquoi finalement de tels micro-textes littéralement « en-registrés » peuvent véhiculer une « douleur linguistique » et morale profonde. Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13192 | Partager |