Le concept de résistance dans l'historiographie de l'esclavage colonial français Auteur(s) : Régent, Frédéric Auteurs secondaires : Destouches, Didier Édition : Mémorial ACTe ; CAGI : Centre d'Analyse Géopolitique et Internationale ; Université des Antilles et de la Guyane ; CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe ; GREHDIOM : Groupe de Recherches en Histoire du droit et des Institutions d'Outre-Mer ; CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique. Extrait de : "Grand séminaire d'histoire des Outre mers : "Résistances, rébellions, révoltes et révolutions, Océan Indien, Antilles, France (1750-1850)", les 3-8 février 2014. Université des Antilles et de la Guyane Description : Frédéric Régent nous propose une étude sur le concept de "résistance" dans l'historiographie de l'esclavage colonial français. Une analyse à partir de livres d'histoire sur la société coloniale. Plusieurs problématiques : un esclave a-t-il les moyens de voir un monde sans esclavage ? Comment utiliser le terme "résistance" et son évolution au fil des siècles ? Une étude en 3 parties : L'utilisation du concept de résistance dans les ouvrages d'histoire du 18e au 19 siècles. Le triomphe du concept de résistance dans les années 90. La critique du paradigme de résistance Siècle(s) traité(s) : 16 18 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15013 | Partager |
Pouvoir dominical et christianisation dans la société esclavagiste (Guadeloupe, Martinique, XVIIe-XIXe siècles) Auteur(s) : Oudin-Bastide, Caroline Édition : APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane ; SAAHG : Société des Amis des Archives de l'Histoire de la Guyane. Extrait de : "La Guyane au temps de l'esclavage : discours, pratiques et représentations, XVIIe - XIXe siècles" : Colloque international de Cayenne, les 16-19 novembre 2010. Université des Antilles et de la Guyane Description : Selon l'article 2 du code noir, les esclaves doivent être baptisés et instruits. La christianisation est-elle ainsi un élément structurant ou une force potentiellement déstabilisatrice du système colonial ? La position des pouvoirs publics évoluent selon les périodes. Au début, la religion justifie l'esclavage afin de sauver les âmes des déportés. Puis, elle assoie le système colonial en promettant l'espérance d'une vie meilleure dans l'au-delà afin de contenir les esclaves. Enfin, sous la monarchie de juillet, il faut moraliser les esclaves avant l'abolition. La religion est donc au service du système colonial, seulement de nombreuses ordonnances indiquent en local des résistances importantes de la part des maîtres à l'éducation religieuse des esclaves car toute instruction pourrait permettre aux esclaves de développer une conscience émancipatrice. Siècle(s) traité(s) : 17 18 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11069 | Partager |
Conférence : mise en procès du Code noir, du Code de l'indigénat Auteur(s) : Tin, Louis-Georges Le Cour Grandmaison, Olivier Édition : Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation. Extrait de : "Mémorial des Marrons de la liberté" : Conférence, le 06 juin 2015. Université de la Guyane Description : Conférence "Mise en procès du Code noir, du Code de l'indigénat" dans le cadre Mémorial des Marrons de la liberté (167e commémoration de l'abolition de l'esclavage en Guyane). Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15262 | Partager |