Bals parés-masqués et carnaval en Guyane. Esclavage et liberté : bals et carnaval de Guyane du XVIIIe au XIXe siècle Auteur(s) : Lamaison, Denis Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Epoque esclavagiste de la Guyane. Les bals et carnavals sont nés dans une société esclavagiste. Société cloisonnée et hiérarchisée en 3 classes : les colons blancs, les libres de couleurs et les esclaves noirs. Le déporté Louis Ange Pitou, témoigne ainsi que dès son arrivée en Guyane en 1800, le commissaire de la république Victor Hugues se répand en bals et en repas somptueux. Au milieu du 18e siècle, les bals costumés deviennent à la mode dans les colonies française suite au succès des bals parés : bals d'étiquettes = bals conviés sur invitation), les bals masqués organisés à la cour du roi Louis XV. En Guyane la première référence à la période du carnaval date de l'expédition de Kourou en 1764. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17161 | Partager |
L'occupation du Fort Louis (Marigot, Saint-Martin) entre la fin du XXe siècle Nouveaux éléments de réflexions sur l'évolution du complexe militaire. Auteur(s) : Barthélémy-Moizan, Emmanuel Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : Journées nationales de l'archéologie 2017 : 8e édition, le 16 juin 2017. Université des Antilles Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17216 | Partager |
Rencontres, causerie, débats autour de l'ouvrage de Michelle Zancarini-Fournel, "Les luttes et les rêves, une histoire populaire de la France de 1685 à nos jours" Auteur(s) : Zancarini-Fournel, Michelle Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles. Service commun de la documentation Description : L'historienne Michelle Zancarini-Fournel, spécialiste de l'histoire sociale et cofondatrice de la revue Clio, aborde, dans son intervention, cinq siècles d'histoire ; de 1685, date de la promulgation du Code noir sur l'esclavage aux Antilles et de la révocation de l'édit de Nantes, jusqu'au seuil des années 2000. Elle explore, et fait revivre, des silhouettes oubliées, celles des petites gens qui ne sont souvent évoquées que dans les archives judiciaires ou policières. Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17212 | Partager |
Le site de la Piéta (Port-Louis) : fouille d'un quartier servile des habitations Barboteau-Rodrigue, fin XVIIIe début XIXe siècles Auteur(s) : Serrand, Nathalie Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : Journées nationales de l'archéologie 2017 : 8e édition, le 16 juin 2017. Université des Antilles Description : Cette intervention est le résultat de travaux menés en 2013, à Port-Louis sur une partie de la zone sucrière, plus particulièrement le site de la Piéta du quartier servile. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17215 | Partager |
Les événements des 20 et 21 Mars à Basse-Terre et leurs incidences Auteur(s) : Sainton, Jean-Pierre Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Médiathèque Caraïbe Conseil Départemental de la Guadeloupe Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : "Mémoires générationnelles et histoire. L'année 1967" : conférences, les 31 mars et 28 avril 2017. Laméca Description : Jean-Pierre Sainton est professeur d'histoire contemporaine à l'Université des Antilles. Agé de 12 ans en 1967, il a traversé certains des faits de la période et connu plusieurs acteurs des événements. Il est aussi le fils d'un des principaux fondateurs du GONG qui fut parmi les 18 détenus et inculpés Guadeloupéens au Procès de Paris de février 1968. Aussi, il a longtemps porté cette période, d'abord en faisant partie de la première génération de jeunes militants issus de 1967, puis passeur de mémoire, et historien. Co-rédacteur du premier ouvrage de synthèse écrit en 1985 sur Mé 67, il n'a cessé de rechercher à mieux comprendre les faits. Il propose une approche renouvelée de ces événements sur lesquels se portent aujourd'hui de nouveaux regards : celui interrogateur des nouvelles générations de Guadeloupéens, comme celui de l'extérieur. Tous interpellent et demandent à comprendre. Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17085 | Partager |
Fortune et catégorisation raciale des libres de couleur à la Martinique au XVIIIe siècle Auteur(s) : Pierre-Louis, Jessica Auteurs secondaires : Noël, Erik Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Dans la Caraïbe du XVIIIe siècle, la richesse est présentée comme un facteur d'ascension sociale et même comme un moyen de changer de catégorie sociale ou juridique pour certains Libres de couleur. À la Martinique, les actes notariés et les registres paroissiaux permettent d'accéder à cette relation entre fortune et catégorisation sociale des personnes de couleur. À ce titre, les Larcher ont édifié un des plus gros patrimoines fonciers recensés parmi les familles de couleur. Alors que Madeleine, mulâtresse affranchie, effectuait des transactions de terres pour quelques milliers de livres, ses enfants « mestifs » se sont retrouvés à la tête d'un capital de 760 000 livres. À partir de la présentation des biens possédés par cette famille et de ceux de quelques autres, nous analyserons ces liens entre catégorisation raciale et fortune à la Martinique. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16094 | Partager |
La perception des gens de couleur par les Nantais à la fin du XVIIIe siècle Auteur(s) : Michon, Bernard Michon, Bernard Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Capitale française de la traite négrière tout au long du XVIIIe siècle, le port de Nantes doit une bonne part de son développement aux échanges croissants avec les colonies de plantation. Le recours à la main d'oeuvre servile est dès lors présenté comme une impérieuse nécessité, bien mise en évidence dans le témoignage de Listré, un Nantais devenu avocat au Cap-Français, au nord de l'île de Saint-Domingue. Cétait en Afrique qu'on allait chercher les cultivateurs. On ne saurait s'en passer sans renoncer aux Colonies. La montée d'un courant de pensée hostile à l'esclavage, évidemment peu perceptible dans une place comme Nantes, ajoutée aux vives tensions traversant les sociétés coloniales et surtout à la Révolution noire de Saint-Domingue, conduisent les Nantais à justifier dans divers écrits ce système vacillant. La communication s'intéresse surtout à la manière dont ces Nantais, appartenant majoritairement au monde du négoce mais aussi à celui des navigants, présentent les Noirs et gens de couleur. Au-delà de la diversité des populations ? rois et courtiers africains, esclaves et libres de couleur ?, il s'agit de mettre en évidence la radicalisation du discours et ses causes fondamentales. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16098 | Partager |
Quel fut à la Rochelle l'impact de la Déclaration royale de 1777 sur la Police des Noirs ? Auteur(s) : Caudron, Olivier Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Menés dans le cadre de la préparation du troisième volume du Dictionnaire des gens de couleur dans la France moderne (sous la direction d'Erick Noël, éd. Droz), le recensement et l'étude de la population de couleur du port négrier de La Rochelle, en croisant divers types de sources, permettent de tenter une approche assez fine de la situation concrète des « Noirs, mulâtres et autres gens de couleur » à la veille et au début de la Révolution française. Seront notamment évoqués l'application de la Déclaration royale d'août 1777 sur la Police des Noirs, les parcours d'intégration sociale, les degrés de liberté, les pratiques matrimoniales, le niveau de métissage ou encore les liens entre les personnes de couleur. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16099 | Partager |
Couleur, principe du sol libre et citoyenneté sous la Révolution et l'Empire Auteur(s) : Urban, Yerri Urban, Yerri Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Le préjugé de couleur est définitivement aboli en 1833. En 1848, l'abolition de l'esclavage s'accompagne de l'élargissement du principe du sol libre aux colonies. Le nouvel empire colonial en train de naître sera alors un empire sans esclaves et (presque) sans préjugé de couleur, mais aussi un empire où liberté et citoyenneté ne vont pas de pair. La Révolution avait quant à elle affirmé, avec la loi des 28 septembre et 16 octobre 1791, que le principe du sol libre impliquait la citoyenneté, sans distinction de couleur : « Art. 1er : tout individu est libre sitôt qu'il est entré en France. Art. 2 : Tout homme, de quelque couleur qu'il soit, jouit en France de tous les droits du citoyen, s'il a les qualités prescrites par la Constitution pour les exercer ». C'est le destin de cette conjonction que l'on se propose d'esquisser ici, réaffirmée lors de l'abolition de 1794, aménagée en 1798, jusqu'au rétablissement de la Police des Noirs dans la foulée du rétablissement de l'esclavage en 1802. Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16102 | Partager |
Nationality, subjecthood and citizenship at Swedish St Barthélemy Auteur(s) : Thomasson Fredrik Auteurs secondaires : Urban, Yerri Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Description : Fredrik Thomasson (professeur à l'Université d'Uppsala, Suède) propose une étude sur la situation des Gens de couleurs et des Noirs libres dans l'histoire de la Saint-Barthélemy suédoise, entre 1784 et 1878. Il présente les aspects d'une présence suédoise méconnue dans l'histoire coloniale de la Caraïbe avec l'implantation suédoise à Saint-Barthélemy et la fondation de la ville de Gustavia (en honneur du roi Gustave III très attaché à la politique d'Outre-mer de la Couronne suédoise) et de son port franc. C'est ainsi que la ville de Gustavia comptait 5492 habitants en 1812 répartis entre les esclaves (un quart environ de la population), les Blancs (un quart également) et les Libres de couleur (la moitié restante). D'où la réflexion proposée sur le traitement de la population noire, esclaves ou libres, dans le système judiciaire mise en place par la colonisation suédoise. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16119 | Partager |
Construire, conserver et mettre en valeur un tissu urbain : la réglementation, une nécessité ? L'exemple de la ville de Fort-de-France Auteur(s) : Schwerer, Odile Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe INRAP : Institut National de Recherches Archéologiques Préventives Extrait de : "La valorisation du patrimoine urbain dans les territoires antillais et guyanais" : journées d'étude, du 12 au 14 octobre 2016. Université des Antilles Description : Il s'agit d'illustrer à travers l'exemple de la ville de Fort-de-France en Martinique, les différents aspects de la réglementation en matière d'urbanisme. En partant du plan d'urbanisme dessinant un tissu urbain régulier, nous évoquerons les incidences des conditions économiques, climatiques et environnementales sur la réglementation de la construction de la ville établie dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle à nos jours. Nous verrons comment les incendies, tremblements de terre et autres aléas ont conditionné l'acte de bâtir dans la ville. Quelle typologie de bâti en a découlé et surtout comment ce dernier a été réglementé pour assurer la grande pérennité aux constructions. Quelles menaces pèsent actuellement sur un centre ancien comme celui de Fort-de-France : démolitions, transformations, dénaturalisations. Quels outils réglementaires peuvent aujourd'hui être mis en place pour garantir le maintien d'un tissu urbain de cette nature, dont la valeur patrimoniale réside conjointement dans la diversité des constructions qui le composent et l'homogénéité de l'ensemble qu'il constitue. Délimiter un site patrimonial remarquable et définir des règles de gestion adaptés sont les enjeux du XXIe siècle. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16279 | Partager |
Les gens de couleur à Bourbon et à la Réunion entre la fin de l'Ancien Régime et l'Empire Auteur(s) : Eve, Prosper Eve, Prosper Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d CRESOI : Centre de Recherches sur les Sociétés de l CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Les Anneaux de la Mémoire Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Les lois reconnaissant aux maîtres la faculté d'affranchir leurs esclaves leur procurent la possibilité de récompenser les bons services de leur main d'oeuvre forcée, d'encourager celle-ci à accomplir ses devoirs avec zèle et de nourrir en elle une certaine émulation. Jusqu'en 1723, conformément à l'édit de mars 1685 rédigé pour les colonies d'Amérique, mais appliqué aussi dans les Mascareignes faute de décision royale spécifique, le maître affranchit quand il veut, qui il veut, sans attendre une quelconque sanction administrative. Compte tenu des abus possibles engendrés par l'exercice de ce pouvoir illimité et des nuisances éventuelles causées à l'ordre public, l'autorité royale décide en 1723 d'affirmer ses souhaits en la matière. Elle ne retire pas aux maîtres la faculté de formuler la demande d'affranchissement, mais elle attribue à l'autorité administrative le droit de l'accorder ou non. Tel est l'objet des articles 9, 49 et 50 des Lettres patentes concernant les esclaves des îles de France et de Bourbon. À la toute fin de l'administration de la Compagnie des Indes, l'autorité royale fixe de nouvelles règles et bride un peu plus les maîtres, afin d'empêcher les abus de leur part. L'affranchissement doit alors être sanctionné par une permission écrite sans frais par le gouverneur général et de l'intendant des deux îles. Un mois plus tard, l'ordonnance royale du 25 septembre 1766 rappelle la nécessité de l'autorisation préalable de ces administrateurs pour que l'affranchissement soit légal. Elle consacre en outre le droit des tiers de s'opposer à l'affranchissement et même de faire trancher les litiges par les tribunaux. Cette loi vaut à Bourbon jusqu'en 1793. Compte tenu de la législation en vigueur de 1767 à 1810, notre propos vise à déterminer d'abord le poids des Libres de couleur à l'île Bourbon à la fin de l'Ancien Régime, à voir ensuite l'évolution de leur situation propre sous la Révolution et l'Empire, c'est-à-dire leurs espoirs et leurs craintes, et enfin à évoquer les stratégies mises en oeuvre pour réussir leur parcours. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16097 | Partager |
Amérindiens et Marrons. Portraits de résistants : débat avec le public Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Hôtel de la CTG Université de Guyane Extrait de : "Mémoire marronage et abolitions" : journées, du 3 au 10 juin 2016. Université de Guyane Siècle(s) traité(s) : 16 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16206 | Partager |
Session 1 : itinéraires et récits, littérature et histoire. Saxons in the Amazon ? The protestant missions in Brazil and the Guiana Shield (1850-1900) Auteur(s) : Marques Birro, Renan Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Circulation des individus, des savoirs et des pratiques culturelles dans le plateau des Guyanes" : journée d'étude, le 16 juin 2016. Université de Guyane Description : Renan Marques Birro expose l'histoire de la pénétration du protestantisme anglo-américain dans l'espace amazonien et ses prolongements culturels et sociaux. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16155 | Partager |
Evaluation of banana and plantain (Musa spp.) accessions tolerant to black sigatoka disease in Dominica, Guyana, St-Lucia and St-Vincent and the Grenadines Auteur(s) : Linton, Gregory Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CARDI : Caribbean Agricultural Rechearch and Development Institute Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : 52e congrès annuel de la Société caribéenne des plantes alimentaires / 52nd annual meeting of the Caribbean food crops society (CFCS), du 10 au 16 juillet 2016. INRA, CFCS Description : Banana and plantain (Musa spp) are important foreign exchange earners in Guyana and the Windward Islands of the Caribbean. Black Sigatoka Disease (BSD) also referred to as black leaf streak disease is one of the most destructive diseases of banana and plantain and is present within the region. In Guyana within two years following its introduction in 2008, the industry was totally decimated, recording a 100% decline, turning the country to a net banana importer. Also, from 2009 ? 2012 the disease spread in the Windward Islands causing as much as 100% decrease in the export of banana. The disease is caused by the ascomycete fungus, Mycosphaerella fijiensis (anamorph Pseudocercospora fijiensis) and is aggressive, challenging to control and results in enormous crop damage if left uncontrolled. In an effort to develop an integrated management approach to the disease the Caribbean Agricultural Research and Development Institute (CARDI) with financial assistance from the Caribbean Development Bank (CDB) is evaluating five FHIA banana and plantain accessions and eight IITA plantain accessions for tolerance to BSD. The evaluation is presently conducted in four Caribbean countries, Dominica, Guyana, St Lucia and St Vincent and the Grenadines. In each country, four distinct agro- ecological zones were selected for the trial evaluation blocks and using a randomized block design, four blocks were established in each country. Five FHIA accessions: FHIA-01, FHIA-03, FHIA-18, FHIA-21 and FHIA-23 are being evaluated in Dominica, St Lucia and St Vincent and the Grenadines whereas, plantain accessions: PITA-17, PITA-21, PITA-22, PITA-23, PITA-24 and PITA-26 are to be evaluated in Guyana for tolerance to the disease. Cavendish are used as regional controls and as borders rows to increase disease pressure. The disease parameters evaluated are youngest leaf spotted (YLS), disease development time (DDT), leaf emission rate (LER), disease severity at 6 months, bunch emergence and harvest, and index of standing leaves. Agronomic data; days from planting to flowering, bunch weight, number of hands in bunch, average weight of hands and average number of fingers per hand and bunch, as well as organoleptic characteristics of both cooked and ripe fruits are also evaluated. The early data collection, of the FHIA only accessions, show trends in the disease tolerance and agronomic performance as well as their adaptability in the different agro-ecological zone. The trends indicate better disease tolerance of FHIA varieties with higher leaf counts before, at bunching and at harvest. The organoleptic test shows a preference to FHIA 03 and FHIA 21. La banane et le plantain (espèces de Musa) sont les acquéreurs de devises étrangères importants en Guyane et en Îles du Vent des Caraïbe. La maladie noire de Sigatoka (schéma) également désignée sous le nom de la maladie noire de filet de feuille est l'une des maladies les plus destructives de la banane et du plantain et est présente dans la région. En Guyane dans un délai de deux ans après son introduction en 2008, l'industrie a été totalement décimée, enregistrant une baisse de 100%, tournant le pays à un importateur net de banane. En outre, à partir de 2009-2012 la propagation de maladie en Îles du Vent causant pas moins de la diminution de 100% de l'exportation de la banane. La maladie est provoquée par le champignon d'ascomycète, fijiensis de Mycosphaerella (fijiensis anamorph de Pseudocercospora) et est agressive, contestant pour commander et les résultats dans l'énorme culture endommagent si laissé incontrôlé. Dans un effort de développer une approche intégrée de gestion à la maladie l'institut agricole des Caraïbes de recherche et développement (CARDI) avec l'aide financière de la banque de développement des Caraïbes (BDC) évalue des adhésions de banane et de plantain de cinq FHIA et huit adhésions de plantain d'IITA pour la tolérance au schéma. L'évaluation est actuellement effectuée quatre pays des Caraïbes, Dominique, Guyane, St Lucia et Saint-Vincent-et-les Grenadines. Dans chaque pays, quatre agro zones écologiques distinctes ont été sélectionnées pour les blocs d'essai d'évaluation et employant une conception de bloc randomisé, quatre blocs ont été établis dans chaque pays. Cinq adhésions de FHIA : FHIA-01, FHIA-03, FHIA-18, FHIA-21 et FHIA-23 sont évalués en Dominique, au St Lucia et au Saint-Vincent-et-les Grenadines tandis que, des adhésions de plantain : PITA-17, PITA-21, PITA-22, PITA-23, PITA-24 et PITA-26 doivent être évalués en Guyane pour la tolérance à la maladie. Cavendish sont employés en tant que contrôles régionaux et comme rangées de frontières pour augmenter la pression de la maladie. Les paramètres de la maladie évalués sont la plus jeune feuille repérée (YLS), le temps d'élaboration de la maladie (DDT), le taux d'émission de feuille (LER), la sévérité de la maladie à 6 mois, émergences et récoltes de groupe, et index des feuilles debout. Données agronomiques ; des jours de la plantation à la floraison, du poids de groupe, nombre de mains dans le poids de groupe et moyen des mains et du nombre moyen de doigts par main et groupe, aussi bien que les caractéristiques organoleptiques des fruits cuits et mûrs sont également évalués. La collecte de données tôt, des adhésions de FHIA seulement, exposition tend dans la tolérance de maladie et la représentation agronomique aussi bien que leur adaptabilité dans la zone agro-écologique différente. Les tendances indiquent qu'une meilleure tolérance de maladie des variétés de FHIA avec une plus haute feuille compte avant, à se rassembler et à la récolte. L'essai organoleptique montre une préférence à FHIA 03 et à FHIA 21. Siècle(s) traité(s) : 21 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16266 | Partager |
la Terre promise dans l'Histoire générale des voyages de l'abbé Prévost : le cas des Antilles Auteur(s) : Albertan-Coppola, Sylvianne Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ECMEA : Etudes Croisées des Mondes Européens et Américains CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Terres promises, représentations et imaginaires" : colloque, du 25 au 27 novembre 2015. Université des Antilles Description : L'Histoire générale des Voyages, éditée en quinze volumes entre 1745 et 1759, se veut "la collection de toutes les relations de voyages par terre et par mer qui ont été publiées jusqu'à présent dans les différentes langues de toutes les nations connues». C'est à partir du tome XII que Prévost aborde les «voyages, découvertes et établissements des Européens en Amérique» et très précisément au livre VII du tome XV qu'il donne les «Voyages et établissements aux Antilles». Dans le cadre du Colloque des Antilles sur la terre promise, nous proposons de nous pencher sur ce genre du déjà vu que sont les relations de voyages et sur le traitement qu'en fait Prévost pour les faire entrer dans son projet d'Histoire générale des Voyages, en tant que traducteur, correcteur et réducteur des textes viatiques. Croisant nos compétences d'historienne des religions et de spécialiste de la littérature de voyage, nous nous interrogerons sur l'image que les voyageurs européens en Amérique et particulièrement aux Antilles ont pu se faire des terres découvertes et sur le lien que leur perception entretient avec la représentation biblique de la terre promise. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16215 | Partager |
Les souvenirs de la terre promise dans quelques utopies agricoles du XVIIIe siècle Auteur(s) : Lefay, Sophie Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ECMEA : Etudes Croisées des Mondes Européens et Américains CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : "Terres promises, représentations et imaginaires" : colloque, du 25 au 27 novembre 2015. Université des Antilles Description : L'agriculture fait l'objet d'une promotion sans précédent en France au XVIIIe siècle. Le plus souvent, cette valorisation passe par des renvois précis au monde antique, grec ou romain, et plus particulièrement aux Géorgiques de Virgile, constamment citées. Pourtant, plus ponctuellement, il est parfois fait référence à la terre de Chanaan, à la Palestine, la terre que les juifs finissent par rejoindre sous la conduite de Moïse mais celle aussi où, bien plus tôt, vivaient les patriarches et que Dieu avait promis de leur donner. Dans la perspective des utopies agricoles que développent trois auteurs diversement connus (Rétif de la Bretonne, Claude-Adrien de Lezay-Marnésia, Victor Hupay de Fuveau) exactement contemporains mais aux profils sociaux et littéraires variés, la Terre Promise n?est pas entendue selon des interprétations spirituelles ; elle donne lieu à des évocations concrètes, à l'occasion desquelles la formule « Terre Promise » va même, on le verra, recevoir parfois un sens parfaitement littéral. Quel intérêt spécifique présente pour ces auteurs la Terre Promise ? Quelles sont vraisemblablement leurs sources ? En quoi ce modèle peut-il leur sembler plus pertinent ou plus riche que celui des Géorgiques par exemple ? On verra que si la référence à la Terre Promise permet d'imaginer une agriculture particulièrement efficace, elle sert aussi une visée sociale, qui trouvera son expression la plus aboutie dans un certain nombre des projets américains. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16079 | Partager |