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<OAI-PMH schemaLocation=http://www.openarchives.org/OAI/2.0/ http://www.openarchives.org/OAI/2.0/OAI-PMH.xsd> <responseDate>2018-01-15T18:25:50Z</responseDate> <request identifier=oai:HAL:hal-01244999v1 verb=GetRecord metadataPrefix=oai_dc>http://api.archives-ouvertes.fr/oai/hal/</request> <GetRecord> <record> <header> <identifier>oai:HAL:hal-01244999v1</identifier> <datestamp>2018-01-11</datestamp> <setSpec>type:ART</setSpec> <setSpec>subject:sdv</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-RENNES1</setSpec> <setSpec>collection:CNRS</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-AG</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-PARIS7</setSpec> <setSpec>collection:IRSET</setSpec> <setSpec>collection:APHP</setSpec> <setSpec>collection:HL</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-PARIS5</setSpec> <setSpec>collection:IRSET-HIAEC</setSpec> <setSpec>collection:IFR140</setSpec> <setSpec>collection:BIOSIT</setSpec> <setSpec>collection:STATS-UR1</setSpec> <setSpec>collection:INSERM</setSpec> <setSpec>collection:UR1-UFR-SVE</setSpec> <setSpec>collection:USPC</setSpec> <setSpec>collection:UR1-HAL</setSpec> <setSpec>collection:EHESP</setSpec> <setSpec>collection:UR1-SDV</setSpec> <setSpec>collection:IRSET-2</setSpec> <setSpec>collection:UNIV-ANGERS</setSpec> </header> <metadata><dc> <publisher>HAL CCSD</publisher> <title lang=fr>Suspicion de péritonite à Candida dans l’étude AMARCAND II : peut-on prédire les patients qui vont avoir une culture positive ?</title> <creator>Dupont, Hervé</creator> <creator>Montravers, Philippe</creator> <creator>Gangneux, Jean-Pierre</creator> <creator>Azoulay, Élie</creator> <creator>Constantin, Jean-Michel</creator> <creator>Lortholary, Olivier</creator> <creator>Perrigault, Pierre-François</creator> <creator>Mira, Jean-Paul</creator> <creator>Timsit, Jean-François</creator> <creator>Leroy, Olivier</creator> <contributor>CHU Amiens-Picardie</contributor> <contributor>Service d'anesthésie - réanimation chirurgicale ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) - Hôpital Bichat - Claude Bernard [Paris] - Université Paris Diderot - Paris 7 (UPD7)</contributor> <contributor>Institut de recherche, santé, environnement et travail [Rennes] (Irset) ; Université d'Angers (UA) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Université de Rennes 1 (UR1) - École des Hautes Études en Santé Publique [EHESP] (EHESP) - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - Structure Fédérative de Recherche en Biologie et Santé de Rennes ( Biosit : Biologie - Santé - Innovation Technologique )</contributor> <contributor>Service de Parasitologie-Mycologie [Rennes] ; Université de Rennes 1 (UR1) - Hôpital Pontchaillou - CHU Pontchaillou [Rennes]</contributor> <contributor>Hopital Saint Louis Paris ; CHU</contributor> <contributor>Département anesthésie et réanimation ; CHU Clermont-Ferrand - Hôpital d'Estaing</contributor> <contributor>Centre d’Infectiologie Necker Pasteur ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) - Université Paris Descartes - Paris 5 (UPD5) - CHU Necker - Enfants Malades [AP-HP]</contributor> <contributor>Imagine - Institut des maladies génétiques (IMAGINE - U1163) ; Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - Université Paris Descartes - Paris 5 (UPD5) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)</contributor> <contributor>Institut Cochin (UM3 (UMR 8104 / U1016)) ; Université Paris Descartes - Paris 5 (UPD5) - Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS)</contributor> <contributor>Service de Réanimation polyvalente ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) - CHU Cochin [AP-HP] - Université Paris Descartes - Paris 5 (UPD5)</contributor> <contributor>Unité de Soins Intensifs et de Maladies Infectieuses ; Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) - Hôpital Bichat - Claude Bernard [Paris]</contributor> <description>National audience</description> <source>ISSN: 2352-5800</source> <source>EISSN: 2352-5819</source> <source>Anesthésie & Réanimation</source> <publisher>Elsevier Masson</publisher> <identifier>hal-01244999</identifier> <identifier>https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01244999</identifier> <source>https://hal-univ-rennes1.archives-ouvertes.fr/hal-01244999</source> <source>Anesthésie & Réanimation, Elsevier Masson, 2015, 1S1 congrès SFAR 2015, 1, Supplement 1, pp.A215--A216. 〈10.1016/j.anrea.2015.07.329〉</source> <identifier>DOI : 10.1016/j.anrea.2015.07.329</identifier> <relation>info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.1016/j.anrea.2015.07.329</relation> <language>fr</language> <subject>[SDV] Life Sciences [q-bio]</subject> <type>info:eu-repo/semantics/article</type> <type>Journal articles</type> <description lang=fr>Introduction Les péritonites secondaires à levures représentent une part importante des candidoses profondes et de leur traitement. Peu d’outils sont disponibles afin de prédire au mieux les patients susceptible d’avoir une culture du liquide péritonéal positive. L’étude AMARCAND II (10/202–09/2013) a analysé les patients de réanimation recevant un traitement antifongique pour un candidose invasive prouvée ou suspectée. L’analyse des patients ayant un traitement probabiliste pour péritonite à levure suspectée est présentée ici. Patients et méthodes Cent soixante-douze patients parmi les 835 inclus ont été analysés. Les patients ayant une documentation mycologique (groupe D) ont été comparés à ceux ayant une culture à levure négative (groupe ND). La performance du Candida score [1] et du Peritonitis score [2] ont été évalués dans cette population de candidose profonde suspectée. Résultats Parmi les 172 patients, 51 ont eu une péritonite documentée à levure et 121 un culture à levure négative. Les caractéristiques des groupes sont présentées dans le Tableau 1. L’AUC du Peritonitis score était de 0,63 [0,54–0,72] contre 0,40 [0,31–0,49] pour le Candida score, p = 0,005. Pour un Peritonitis score ≥ 3, la sensibilité était de 39,2 %, la spécificité de 81,8 %, la VPP de 47,6 % et la VPN de 76,2 %. Le Candida score ne permettait pas de classer les patients atteints de péritonite à levure. Discussion Peu d’éléments permettent de différencier les patients qui vont avoir une infection documentée des autres. La localisation sus-mésocolique de l’infection et l’antibiothérapie de plus de 48 heures sont les éléments les plus fiables retrouvés. Le Peritonitis score reste intéressant dans ce contexte mais le Candida score n’a aucune utilité</description> <date>2015</date> </dc> </metadata> </record> </GetRecord> </OAI-PMH>