![]() | A pile of sugar cane husks on the grounds of Clarke’s Court in Woodlands Valley, Saint George, Grenada ; The Bryant Slides Collection ; The Bryant Slides Collection, Grenada Auteur(s) : Unknown ( Photographer ) Résumé : The slides were taken on collecting trips sponsored by the William L. Bryant Foundation, where books, music and art indigenous to the regions were gathered. The are organized by geographical location. Clarke’s Court, operated by Grenada Distillers Limited, is a rum distillery located in Woodlands Valley, Saint George, Grenada and has been in operation since 1937. Clarke’s Court is also the island’s largest distillery. This image shows a pile of sugar cane husks on the grounds of Clarke’s Court. One of the factory buildings with a zinc roof has steel drums inside lined against its wire fence. Slide labeled Rum Factory Grenada. Grenada -- Caribbean region -- Woodlands Valley, Saint George Droits : All rights to images are held by the respective holding institution. This image is posted publicly for non-profit educational uses, excluding printed publication. For permission to reproduce images and/or for copyright information contact Special Collections & University Archives, University of Central Florida Libraries, Orlando, FL 32816 phone (407) 823-2576, email: speccoll@mail.ucf.edu CFM1972_01a Sheet 44:7 http://ufdc.ufl.edu/AA00029625/00001 | Partager |
![]() | Clarke’s Court rum distillery in Woodlands Valley, Saint George, Grenada ; The Bryant Slides Collection ; The Bryant Slides Collection, Grenada Auteur(s) : Unknown ( Photographer ) Résumé : The slides were taken on collecting trips sponsored by the William L. Bryant Foundation, where books, music and art indigenous to the regions were gathered. The are organized by geographical location. Clarke’s Court, operated by Grenada Distillers Limited, is a rum distillery located in Woodlands Valley, Saint George, Grenada and has been in operation since 1937. Clarke’s Court is also the island’s largest distillery. In this image, a man is walking on the factory grounds, which is filled with stacks of sugar cane. A motorbike and a truck bed filled with sugar cane can also be seen. Slide labeled Rum Factory Grenada. Grenada -- Caribbean region -- Woodlands Valley, Saint George Droits : All rights to images are held by the respective holding institution. This image is posted publicly for non-profit educational uses, excluding printed publication. For permission to reproduce images and/or for copyright information contact Special Collections & University Archives, University of Central Florida Libraries, Orlando, FL 32816 phone (407) 823-2576, email: speccoll@mail.ucf.edu CFM1972_01a Sheet 44:6 http://ufdc.ufl.edu/AA00029624/00001 | Partager |
![]() | Bacardi, Palmas, Puerto Rico Auteur(s) : Kesse, Erich J., 1959- North America -- Puerto Rico -- Puerto Rico -- San Juan -- Palmas Caribbean Droits : 2007, Erich Kesse - CC: at-nc-sa (Creative Commons license requiring attribution, prohibiting commercial uses, and requiring rights-share for use of this image.) | Partager |
![]() | Savant Dominicain qui débarqua a la Martinique en 1694. 11 fut un des pionniers de la colonisation française aux Antilles, inventeur de l'appareil à distiller qui porte son nom. Le Père Labat a écrit, en un style élégant et châtié, divers ouvrages, notamment : Le Nouveau voyage aux Iles d'Amérique. Année de publication : ![]() Extrait de : Histoire de la Martinique : à l'usage des cours supérieur et complémentaire des écoles primaires (p. 47) Résumé : Savant Dominicain qui débarqua à la Martinique en 1694. Il fut un des pionniers de la colonisation française aux Antilles, inventeur de l'appareil à distiller qui porte son nom. Le Père Labat a écrit, en un style élégant et châtié, divers ouvrages, notamment : Le Nouveau voyage aux Iles d'Amérique Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130600063i1 NAN130600063i1 | Partager |
![]() | Aux origines du mouvement syndical guadeloupéen (1889-1912) Auteur(s) : Sainton, Jean-Pierre Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : Nous publions ici le texte d'une communication faite par Jean-Pierre Sainton, historien, le 16 janvier 1993, dans le cadre d'un séminaire organisé par l'UGTG (Union Générale des Travailleurs de la Guadeloupe) sur le thème « Histoire du mouvement ouvrier et du syndicalisme en Guadeloupe ». Le mouvement syndical en Guadeloupe n'apparaît qu'à la fin du 19ème siècle dans le cadre d'une société libérée des rapports sociaux esclavagistes qui avaient caractérisé la formation sociale guadeloupéenne deux siècles durant. Pourtant ce mouvement syndical va très rapidement, en l'espace d'une dizaine d'années, couvrir le pays noir, ouvrier et prolétarien, (pour reprendre l'expression de Légitimus) d'organisations collectives du monde du travail, un développement somme toute en phase avec le mouvement mondial de structuration d'organisations ouvrières, qui en Europe, en Amérique et dans le reste du monde verront l'éclosion du syndicalisme ouvrier. De ce point de vue le mouvement syndical de Guadeloupe était loin d'être en retard. Il sera même pour une colonie essentiellement agricole, particulièrement précoce et dynamique si l'on le compare à nombre de pays apparemment plus évolués, où les rapports capitalistes et les luttes ouvrières s'inscrivaient depuis un certain temps déjà dans la réalité sociale. Là, n'est pas le seul caractère original du mouvement syndical de la Guadeloupe. Cette précocité et ce dynamisme s'expliquent pour une grande part par la forte volonté associative des descendants d'esclaves, à une génération près, qui dans le cadre de la société post-esclavagiste chercheront et trouveront des formes spécifiques d'organisation pour, à la fois, mieux résister à la misère et par-achever le mouvement d'émancipation entamé en 1848 par l'abolition de l'esclavage. 141 Aux sources du mouvement syndical Trois facteurs nous semblent conditionner et expliquer [apparition et les caractères propres du mouvement syndical en Guadeloupe ; C ' est d ' une part l'impératif besoin d ' organisation de la niasse (les travailleurs, plus exactement des « petits » dans le cadre d'une société achevant sa mutation économique et sociale. C'est aussi la vivacité et la persistance des traditions des confréries nègres, héritées de la période esclavagiste comme source d'inspiration culturelle et seule expérience concrète de formes tolérées de regroupement collectif. C'est enfin, de façon plus précise, la loi de 1884 rendant possible et légale l'apparition des syndicats et l'influence concomitante du mouvement associatif venu d'Europe. Considérons de façon plus détaillée, ces trois facteurs. Les années 1860 vont marquer le tournant technologique de l'économie sucrière ; l'échec des tentatives de modernisation de l'habitation-sucrerie a favorisé l'accélération du mouvement de centralisation de la production sucrière et la constitution d'usines centrales. Ce mouvement de concentration est favorisé par la baisse des prix du sucre à partir de 1873, conséquence de la surproduction sur le marché en Europe et sur le marché français. Malgré l'ouverture du marché américain aux sucres bruts guadeloupéens qui prolonge de quelques années la survie du système de l'habitation, ce système traditionnel asphyxié financièrement, incapable de se moderniser et d'être concurrentiel en maintenant ses cadres traditionnels, ne survit pas à la grande crise sucrière de surproduction qui commence en 1884. Dès 1895, on note que le sucre brut d'habitation n'est plus côté sur la place de Pointe à Pitre. Le sucre brut d'habitation traditionnelle ne sera plus guère produit qu'à Marie-Galante. En Guadeloupe et en Grande-Terre, les dernières habitations-sucreries qui avaient résisté au premier mouvement de concentration foncière de la période post-esclavagiste finissent par être absorbées à leur tour ou se transforment en distilleries. La mort de l'habitation-sucrerie, coeur, symbole et raison d'être du système signifiait par là-même, dès cette époque, la mort du système colonial d'exploitation tel qu'il avait fonctionné deux siècles durant. Dès cette époque également, on peut noter que le colonialisme français, occupé à la conquête coloniale et à la mise en valeur de vastes espaces qu'il s'octroie en Afrique en Asie, ne semble plus être en mesure de proposer une politique coloniale de substitution suivie et cohérente pour une colonie par ailleurs largement intégrée à son propre système politique. Le nouveau paysage économique de la fin du 19"' e siècle se st r ucture donc en quatre espaces différenciés ; 142 L Etudes guadeloupéennes Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01613970 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01613970 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01613970/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01613970/file/Aux%20origines%20du%20mouvement%20syndical%20guadeloup%C3%A9en%20%281889-1912%29.pdf | Partager |