Sortir du capitalisme : De l'Ego à l'Eco : la proposition de l'écologie profonde Auteur(s) : Elhajjouji, Mounir Auteurs secondaires : Durazo-Herrmann, Julian Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Observatoire des Amériques - UQAM Université Libanaise Extrait de : "Monde arabe et Amérique latine : confluence des dynamiques sociétales" : colloque international, les 3 et 4 mai 2018. Université des Antilles Description : Mounir ELHAJJOUJI, Professeur de Langue et Communication, parle du capitalisme comme un système économique qui pille le monde. Ce système crée un partage totalement inéquitable car un faible pourcentage de gens riches détient la moitié de ce que possèdent les gens pauvres des cinq continents. Il s'agit d'une concentration de richesse sans précédent dans toute l'histoire. Qui pis est, pour augmenter leur richesse, les capitalistes n'hésitent pas à saccager le milieu écologique et environnemental, ce qui risque d'avoir des conséquences désastreuses pour toute l'humanité. Le professeur traite de tous ces sujets dans sa communication. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V18167 V18167 | Partager |
Déshumanisation et surexploitation néocoloniales. Démounaj et Pwofitasyon dans la Guadeloupe contemporaine. Débat Auteur(s) : Verdol, Philippe Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane. Faculté de Droit et de Sciences économiques de la Guadeloupe Description : Débat entre Philippe Verdol et le public concernant son ouvrage : "Déshumanisation et surexploitation néocoloniales : démounaj et pwofitasyon dans la Guadeloupe contemporaine". Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13107 V13107 | Partager |
Economie sucrière en Guadeloupe : l'usine Zévallos, conférence Auteur(s) : Buffon, Alain Auteurs secondaires : Geoffroy, Edouard Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : SEG : Société des Économistes de la Guadeloupe Description : En 1905, 57 ans après l'abolition de l'esclavage, un syndicat d'ouvriers agricoles tente d'exploiter le centre industriel et agricole de Zévallos, au Moule. Ce fait constitue en soi un événement enfoui dans notre mémoire collective quand il n'est pas volontairement occulté. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13052 V13052 | Partager |
La Caraïbe dans l'économie mondiale de l'époque mercantile à nos jours Auteur(s) : Geoffroy, Edouard Guengant, Jean-Pierre Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : SEG : Société des Économistes de la Guadeloupe Université des Antilles et de la Guyane Description : Terrain d'expérimentation de la colonisation et de la mondialisation, la Caraïbe vit une difficile adaptation à l'essor du capitalisme mondial. Elle est ainsi à la recherche d'un nouveau rôle et d'une nouvelle place dans l'économie monde. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13115 V13115 | Partager |
Gilets jaunes : la crise française de néolibéralisme Auteur(s) : Dahomay, Jacky Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CREDDI : Centre de Recherche en Economie et en Droit sur le Développement Université des Antilles Extrait de : "Réflexions croisées sur la crise des gilets jaunes" : conférence, le 30 mars 2019. Université des Antilles Description : Selon Jacky Dahomay,Professeur agrégé de philosophie, les Gilets jaunes sont une manifestation d'une crise politique du néolibéralisme. La souveraineté des Etats est battue en brèche par des multinationales déterritorialisées. Réduits à être des auxiliaires des marchés, les États peinent à insuffler du sens aux collectivités humaines. C'est l'absence de convergence des luttes nées des contradictions du capitalisme qui a engendré le mouvement insurgeant des gilets jaunes. Face à un pouvoir technocratique, nul ne peut prédire les conditions de sortie de crise. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V19057 V19057 | Partager |
Les ressorts de l’essor de la société civile en Guadeloupe Auteur(s) : Vairac, Murielle Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Les effets de la crise du capitalisme se sont traduits en Guadeloupe en janvier 2009 par un mouvement social sans précédent, dirigé par un collectif qui a suscité l’adhésion en raison de son expression du malaise social et de la gestion des revendications adressées au gouvernement. Ce mouvement social est innovant en Guadeloupe en raison de la pluralité des acteurs et de la nature de ses revendications. C’est donc sur son sens qu’il convient de s’interroger. Une société civile s’est réveillée créant de nouveaux espaces de débat. Capitalism’s crisis effects resulted in social movement unprecedented led by a group that mobilized in the style of expressing unrest and managing demands that were sent to French government. This social movement is new in Guadeloupe because of variety actions and type of demands. It’s therefore necessary to consider its meaning: a civil society woke up creating new spaces for debate. Guadeloupe Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.4898 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/4898 | Partager |
Déshumanisation et surexploitation néocoloniales. Démounaj et Pwofitasyon dans la Guadeloupe contemporaine. Conférence Auteur(s) : Verdol, Philippe Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane. Faculté de Droit et de Sciences économiques de la Guadeloupe Description : Dans les pays capitalistes occidentaux, la recherche du profit s'organise à partir d'une exploitation de la force de travail. Lorsque, comme dans les néo-colonies de ces pays occidentaux, la recherche du profit franchit le seuil de la surexploitation de la force de travail, elle devient pwofitasyon. Elle repose de surcroît non pas sur une "simple" marchandisation de la force de travail, mais sur sa déshumanisation - son démounaj. Les concepts de démounaj et de pwofitasyon ont été forgés à partir de la culture et du vécu des Guadeloupéens. Ils sont au coeur de la problématique sociétale actuelle de la Guadeloupe. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13106 V13106 | Partager |
L’expérience esclavagiste des habitations sucrières de la Caraïbe, un modèle occulté des cités ouvrières industrielles Auteur(s) : Duchêne, François Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : En mettant côte à côte les modèles de construction des habitations sucrières caribéennes et des cités ouvrières métropolitaines, on constate de troublantes similitudes entre ces deux systèmes sociospatiaux. Chacun des modèles correspond à un stade différencié de l’expansion du capitalisme industriel : l’hypothèse défendue ici consiste à montrer que le discours hygiéniste serait venu occulter le recouvrement de ces deux modèles de logement patronaux, parce que le premier était largement entaché par la « question esclavagiste » dont l’industrialisme métropolitain, incarné dans le second, souhaitait se débarrasser. Et l’occultation de cette part d’héritage dans la mémoire du modèle des cités ouvrières pourrait s’expliquer par la cécité dont a longtemps été saisie la société française quant à son passé esclavagiste puis colonial. Ce lien entre les deux modèles sociospatiaux ne semble d’ailleurs faire l’objet d’aucune construction patrimoniale, dans le monde industrialisé comme dans la Caraïbe, alors même que chaque modèle pris isolément tendrait à se patrimonialiser. When the building models of living quarters on Caribbean sugar plantations are compared to workers’ housing estates in Metropolitan France, we find unsettling similarities between the two socio-spatial systems. The models each correspond to a different stage in the spread of industrial capitalism: the hypothesis advanced here argues that “hygienist” discourse could have worked to obscure the overlap between these two models of company-owned housing since the former was sullied by the “slavery issue” from which Metropolitan industrialism, embodied by the latter, wanted to distance itself. The omission of this aspect of its heritage from the memory of the workers’ housing estate model may be explained by French society’s long-standing refusal to acknowledge its slavery-based and then colonial past. The connection between these two socio-spatial models does not appear to be of interest in the heritage-making process in either the industrialised world or the Caribbean despite the fact that each model on its own is beginning to be recognised as part of the local heritage. Caraïbes Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.10317 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/10317 | Partager |
La culture Hip-Hop dans tous ses états Auteur(s) : Gadet, Steve, Auteurs secondaires : Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Bruno Péquignot Éditeur(s) : HAL CCSD L'Harmattan Résumé : International audience Pourquoi un autre livre sur la culture Hip-Hop ? Parce que comme toute culture, elle est dynamique et ne se laisse pas dompter. Elle possède l’essencedes cultures, elle recherche le contact avec l’autre. Même si le mouvement possède une histoire, une tradition réelle, il ne se réduit pas au rap, ni auxafricains-américains, ni aux clichés déversés par les clips vidéos. Le Hip-Hop doit son dynamisme et sa longévité à sa capacité à entrer en contact avecd’autres cultures et à se laisser infiltrer. Se faisant, il est également porteur de contradictions. Parfois victime de son propre succès, le mouvement Hip-Hop est le résultat d’échanges complexes, de conditions sociopolitiques nourries par des sentiments de désillusion et d’aliénation. De manière élémentaire, nous pouvons le qualifier de « produit de l’Amérique d’après la lutte des droits civiques ».C’est un ensemble d’expressions culturelles conçu par la jeunesse des communautés africaine-américaine, latino-américaine et caribéenne-américaineà New York et ses environs durant les années soixante-dix. Son moyen d’expression le plus populaire a été la musique rap ; néanmoins la danse, legraffiti, la mode vestimentaire, l’art audiovisuel, la criminalité, le sport et le commerce sont aussi ses « terrains de jeu » (Nelson, 1998 :8). La « générationHip-Hop » a entre 13 et 40 ans. Elle a grandi avec ces expressions Hip-Hop comme repère socioculturel, politique et idéologique. Le mouvement continued’avoir un impact considérable sur l’industrie vestimentaire, la presse écrite, l’enseignement, la télévision, le langage, la sexualité, les relations hommefemme, les politiques sociales et économiques aux États-Unis et dans le reste du monde. Parce qu’elle a capturé l’attention et l’imagination d’un grand nombre individus d’origines ethniques et sociales très diverses, elle mérite qu’on s’y intéresse avec beaucoup de sérieux. Nous chercherons à interroger cette culture fertile à la lumière de plusieurs grands thèmes, à savoir : la société étasunienne, la politique, le multiculturalisme, les substances narcotiques, l’Afrique, la mort, la "glocalisation", le capitalisme et l’interculturalité. https://hal.univ-antilles.fr/hal-01379678 ISBN : 9782296129313 hal-01379678 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01379678 | Partager |
Le mouvement rastafari : dans les palaces de Babylone ? Auteur(s) : Gadet, Steve, Auteurs secondaires : Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Université des Antilles Gilbert Elbaz Éditeur(s) : HAL CCSD Publibook Résumé : International audience The article explores the influence of capitalism on the ideology and the cultural aspects of the Rastafarian movement in the Caribbean and in North America. Record labels have had a strong influence on the spreading of Rastafarian faith and on the music that rose from the movement. In Jamaica, Rastafarianism is a powerful touristic magnet. Tourist coming to Jamaica and hoping to discover its roots are bringing tangible resources to the economy of the island. I'm looking into the impact of these economic forces on the movement in Jamaica. Finally, I focus on the evolution of the most significant aspect of the movement since it became international during the seventies. L'essai examine l'impact de la logique capitaliste sur le mouvement rastafari. Nous considérons particulièrement l'influence des maisons de disque sur l'idéologie et la musique des artistes rasta. Le mouvement rastafari et le reggae exercent un attrait touristique for en faveur de la Jamaïque. Nous analysons les conséquences de ce phénomène sur la dynamique du rastafarisme sur l'île. Lire, traduire, écrire la culture. A la croisée des Cultural Studies et des Postcolonial Studies ISBN : 9782342042153 hal-01380193 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01380193 | Partager |
La culture : force racialisée, commémorative et reconstructice dans les sillons de l'ouragan Katrina ; Culture : a racialized, three-dimentional driving force in the aftermath of hurricane Katrina Auteur(s) : Marcin, Freddy Auteurs secondaires : Antilles-Guyane École doctorale pluridisciplinaire (Pointe-à-Pitre) Elbaz, Gilbert Résumé : En Août 2005, l'ouragan Katrina s'est abattu sur la ville de la Nouvelle-Orléans, en Louisiane causant mort, désespoir, angoisse mais aussi destruction massive. Katrina a forcé une partie de la population affectée à déménager, et à chercher refuge dans les états voisins. Face aux premières images de l'une des pires catastrophes des Etats-Unis, la prépondérance des AfricainsAméricains parmi les victimes a été choquante. Katrina a révélé au monde entier et a mis sous les projecteurs la persistance de l'esclavage, du racisme et des inégalités raciales. Les AfricainsAméricains ont dû s'organiser seuls au Superdome et au Convention Center pour sur/vivre. Ce travail de recherche analyse le lien étroit qui existe entre les notions de «race» de classe et la géographie. Nous examinerons les concepts hautement controversés de « refugiés » et de « pilleurs» dans le contexte américain. Nous chercherons à comprendre comment l'histoire et le racisme peuvent influencer les comportements et les décisions politiques. Etait-ce une catastrophe naturelle, un désastre créé par l'humain ou une crise héritée de legs culturels? La culture et la race ont été les facteurs principaux de cette tragédie. Nous traiterons de cette catastrophe non pas comme un simple phénomène cyclonique mais comme un évènement culturel. La culture a successivement condamné et sauvé les Africains-Américains en 2005. Le jazz, le blues et le hip-hop ont été de véritables atouts suite à Katrina. Les Africains-Américains ont utilisé ces genres musicaux afin d'exprimer leur chagrin et colère. L'écriture est devenue une véritable thérapie assimilée à une catharsis. Grâce à cela, ils ont pu dire non à une annihilation programmée In August 2005, hurricane Katrina made landfall on the city of New-Orleans, Louisiana causing not only death, despair, anguish but also massive destruction and subsequent relocation. As the catastrophe made headlines worldwide, people were shocked by the overwhelming preponderance of the African American poor among those stranded within the city. Many explained the disproportion as a result of continual neglect. The devastation left by Katrina brought to light the enduring legacy of slavery, racism and racial inequality. African Americans were left alone to fend for themselves at the Superdome and at the Convention Center. This doctoral research provides an insight into the correlation between race, class and geography. We will explore the highly controversial concepts of "the refuge(s)" and "looters" in the US context. We will try to figure out how history and cultural racism influence behaviors and political decisions. Was Katrina a natural catastrophe, a man-made disaster or a cultural crisis? Besides race, culture seems to be a major component in this tragedy. We delve into this analysis from the framework of cultural studies. On the one hand, culture condemned African-Americans in 2005, but on the other hand, it put them out of harm's way. Jazz, blues and hip-hop became serious assets in the aftermath of hurricane Katrina. African-Americans used these musical genres to express grief and anger. They used writing as a powerful tool to recover from Katrina. Jazz, blues and hip-hop proved to be synonymous with catharsis http://www.theses.fr/2013AGUY0667 | Partager |