Les contrariétés de l'autonomie à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy ; Les contrariétés de l'autonomie à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy ; Les contrariétés de l'autonomie à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy Auteur(s) : Réno, Fred Reno, Fred Reno, Fred Reno, Fred Reno, Fred Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : "Les territoires non indépendants de la Caraïbe : une quête inaboutie de nouveaux modèles de gouvernance ?" : séminaire, le 21 février 2014. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : Fred Réno souligne l'importance de s'intéresser tant à l'idée qu'à la mise en oeuvre de l'autonomie. Cette mise en oeuvre repose sur un référentiel sans lequel il est difficile de comprendre les intérêts et stratégies en jeu. Il sera d'abord question d'autonomie comme revendication puis d'autonomie au profit de l'Etat. Fred Réno souligne l'importance de s'intéresser tant à l'idée qu'à la mise en oeuvre de l'autonomie. Cette mise en oeuvre repose sur un référentiel sans lequel il est difficile de comprendre les intérêts et stratégies en jeu. Il sera d'abord question d'autonomie comme revendication puis d'autonomie au profit de l'Etat. Fred Réno souligne l'importance de s'intéresser tant à l'idée qu'à la mise en oeuvre de l'autonomie. Cette mise en oeuvre repose sur un référentiel sans lequel il est difficile de comprendre les intérêts et stratégies en jeu. Il sera d'abord question d'autonomie comme revendication puis d'autonomie au profit de l'Etat. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V14120 V14120 V14120 V14120 V14120 V14120 | Partager |
Ouverture du colloque ; Ouverture du colloque ; Ouverture du colloque Auteur(s) : Vaugirard, Raphaël Saint-Cyr, Philippe Ranély Vergé-Dépré, Colette Gibbs, Daniel Varlet, Jean Vaugirard, Raphaël Saint-Cyr, Philippe Ranély Vergé-Dépré, Colette Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CNFG : Comité National Français de Géographie. Comission de géographie des transports Université des Antilles et de la Guyane. Faculté des lettres et sciences humaine AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CNFG : Comité National Français de Géographie. Comission de géographie des transports Extrait de : "Transports et territoires insulaires" : colloque, les 4 et 5 avril 2011. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : "Le CNFG et l'Université des Antilles et de la Guyane organisent un colloque intitulé "Transports et territoires insulaires" les 4 et 5 avril 2011 en Martinique. Ce colloque présente le rôle des transports dans les territoires insulaires en Martinique, à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy. 3 îles, 3 spécificités différentes sur le transport et la mobilité." "Le CNFG et l'Université des Antilles et de la Guyane organisent un colloque intitulé "Transports et territoires insulaires" les 4 et 5 avril 2011 en Martinique. Ce colloque présente le rôle des transports dans les territoires insulaires en Martinique, à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy. 3 îles, 3 spécificités différentes sur le transport et la mobilité." Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11017 V11017 V11017 V11017 | Partager |
Les libres de couleur à Saint-Barthélémy : 1785-1831 ; Les libres de couleur à Saint-Barthélemy Auteur(s) : Thomasson, Fredrik Thomasson Fredrik Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Fredrik Thomasson (Université d'Uppsala, Suède) ouvre une réflexion sur les Libres de couleurs à Saint-Barthélémy, de 1785-1831. La séquence historique choisie débute avec l'arrivée des Suédois en 1785 à Saint-Barthelémy (l'île venant d'être cédée par la France) et se termine par l'abolition de la classe des Libres de couleurs en 1831, abolition qui précédera l'abolition de l'esclavage dans la libre seize ans plus tard, puis la rétrocession de l'île de Saint-Barthélemy à la France en 1877. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16106 V16106 V16106 | Partager |
Barthélémy Colomb Auteur(s) : Alaux, Gustave (1887-1965) Année de publication : Extrait de : Christophe Colomb vu par un marin (Page 225) Résumé : Illustration représentant un portrait de profil de Bartolomé Colomb en armure. Frère de Christophe Colomb il est né vers 1461 à Gênes, et mort en 1514 à Saint-Domingue. Siècle(s) traité(s) : 15 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/PAP110640229i1 PAP110640229i1 | Partager |
Fig. 65 The Island of St. Bartholomew (from British Admiralty Chart No. 2038). Extrait de : The Lesser Antilles (p. 166) Résumé : Carte topographique de l'île de Saint Barthélémy Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130340200i1 NAN130340200i1 | Partager |
Gustavia. Saint-Barthélémy Éditeur(s) : [S.l. : s.n.] Extrait de : Annuaire de la Guadeloupe et dépendances pour l'année 1904 (entre p. 38 et p. 39) Résumé : "Chef-lieu de Saint-Barthélémy, sur la côte sud de l'île. D'abord dénommé ""Le Carénage"" par les Français lorsqu'ils achetèrent l'île à l'Ordre de Malte au 17e siècle, le bourg portuaire prit son nom actuel en 1787, en l'honneur du roi de Suède Gustave III au moment où l'île fut cédée à la Suède, en échange d'un droit d'entrepôt à Göteborg (l'île fut ensuite revendue à la France en 1878)." Siècle(s) traité(s) : 20 Permalien : http://www.manioc.org/images/LAM17006-0061i1 LAM17006-0061i1 | Partager |
Gustavia, Capitale de Saint-Barthélémy Auteur(s) : Jeunesse, Auguste (18..-18..) Année de publication : Extrait de : Nouvelle géographie de l'Ile d'Haïti contenant : Des notions historiques et topographiques sur les autres Antilles () Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/PAP110660185i1 PAP110660185i1 | Partager |
Petites Antilles. Auteur(s) : Nyon Extrait de : Manuel de la navigation dans la mer des Antilles et dans le golfe de Mexique : vues de cotes (Pl. 5) Résumé : Saint-Christophe à 12 milles. Nièves à 36 milles. Saint-Eustache dans le S.S.E. 1/2 E. à milles. Saba dans le S.S.O. à 21 milles. Vue de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin. Saint-Barthélemy. Saint-Martin dans le N. 1/4 N. E. à 9 milles. Grande-Baie (Sain Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH131460020i1 SCH131460020i1 | Partager |
The Isle of Saint-Barthelemy (the Lesser Antilles): a Luxury Tourism Destination ; L'île de Saint-Barthélemy (Petites Antilles) : une destination du tourisme de luxe Auteur(s) : Theng, Sopheap Auteurs secondaires : Biodiversité, Risques Écologiques dans les Territoires Caraïbes Insulaires (BIORECA - UMR ESPECE DEV) ; Université des Antilles (Pôle Martinique) ; Université des Antilles (UA) - Université des Antilles (UA) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience Within thirty years, the small island of Saint-Barthelemy (25 km²) is out of its secular isolation to be among major luxury tourism destinations in the world. In this study, the idea is to identify structural element and different cyclical factors that help to understand Saint-Barthelemy tourism situation. The small size of the territory itself can be seen as a fundamental handicap or, conversely, as a considerable asset. Everything depends on development project. It is necessary to know how to take advantage of specific characteristics of this type of territory. In Saint-Barthelemy case, scarcity is coveted; this coveted rarity is accessible only for rich people. The coveted rarity leads to luxury. Isolation is relative: this destination is not accessible to the jumbo jets. The airline market is controlled essentially by two small local companies and the airspace is open to charter flies and private aircrafts. Some other companies provide more or less regular flights from nearby airports of San Juan (Puerto Rico), Sint-Maarten and Guadeloupe. Luxury cannot be decreed, it is not planned. Luxury tourism is the election of a territory by elites who gather there to enjoy away from the rest of the world. En l’espace de trente ans, la petite île de Saint-Barthélemy (25 km²) est sortie de son isolement séculaire pour s’imposer parmi les grandes destinations du tourisme de luxe dans le monde. Dans le cadre de cette étude, l’idée est d’identifier les éléments structurels et les différents facteurs conjoncturels qui permettent de comprendre la situation touristique de Saint-Barthélemy. L’exiguïté du territoire en lui-même peut être perçue comme un handicap fondamental ou, inversement, comme un atout considérable. Tout dépend du projet de développement. Il faut savoir tirer profit des spécificités du territoire considéré. Dans le cas de Saint-Barthélemy, l’exiguïté favorise la rareté et cette rareté convoitée n’est accessible qu’aux personnes les plus argentées. La rareté convoitée conduit au luxe. L’isolement est relatif : cette destination n’est pas accessible aux avions gros porteurs, l’essentiel du marché aérien est contrôlé par deux petites compagnies locales et l’espace aérien est ouvert aux petits avions privés. Le luxe ne se décrète pas, il ne se planifie pas. Le tourisme de luxe, c’est l’élection d’un territoire par des élites qui s’y retrouvent pour jouir de leur fortune à l’écart du monde. ISSN: 1779-0980 Droits : http://creativecommons.org/licenses/by-nc/ hal-01364775 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01364775 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01364775/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01364775/file/L%27%C3%AEle%20de%20Saint-Barth%C3%A9lemy%20une%20destination%20du%20tourisme%20de%20luxe.pdf DOI : 10.4000/etudescaribeennes.6831 | Partager |
Nationality, subjecthood and citizenship at Swedish St Barthélemy Auteur(s) : Thomasson Fredrik Auteurs secondaires : Urban, Yerri Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Description : Fredrik Thomasson (professeur à l'Université d'Uppsala, Suède) propose une étude sur la situation des Gens de couleurs et des Noirs libres dans l'histoire de la Saint-Barthélemy suédoise, entre 1784 et 1878. Il présente les aspects d'une présence suédoise méconnue dans l'histoire coloniale de la Caraïbe avec l'implantation suédoise à Saint-Barthélemy et la fondation de la ville de Gustavia (en honneur du roi Gustave III très attaché à la politique d'Outre-mer de la Couronne suédoise) et de son port franc. C'est ainsi que la ville de Gustavia comptait 5492 habitants en 1812 répartis entre les esclaves (un quart environ de la population), les Blancs (un quart également) et les Libres de couleur (la moitié restante). D'où la réflexion proposée sur le traitement de la population noire, esclaves ou libres, dans le système judiciaire mise en place par la colonisation suédoise. Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16119 V16119 | Partager |
Barthélemy le portuguais Année de publication : Extrait de : Les aventuriers et les boucaniers d'Amérique (Page 91) Résumé : Portrait de Barthélémy le Portugais flibustier portugais (mort à Cuba, probablement en 1672). Il vécut sept ans à Saint-Domingue parmi les boucaniers. Selon le journal américain Le Mercure, son véritable nom était Bartolomé de La Cueva. Siècle(s) traité(s) : 17 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/PAP110470099i1 PAP110470099i1 | Partager |
Saint-Barthélémy ( Guadeloupe ) Auteur(s) : Tur, Ali (1889-1977) Année de publication : Extrait de : Les Antilles filles de France : Martinique, Guadeloupe, Haïti (Page 225) Résumé : Cliché Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/PAP110190231i1 PAP110190231i1 | Partager |
Colonies Françaises Auteur(s) : Levasseur, Victor (1800-1870) Extrait de : Frontières entre le Brésil et la Guyane française. Second mémoire présenté par les Etats-Unis du Brésil au Gouvernement de la Confédération Suisse, arbitre choisi selon les stipulations du traité conclu à Rio-de-Janeiro, le 10 avril 1897 entre le Brésil et la France. Tome VI. Atlas (N°82) Résumé : Carte représentant les colonies françaises d'Amérique Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/B_CG973FRAN_RES_00F-15010_006_0082 B_CG973FRAN_RES_00F-15010_006_0082 | Partager |
Carte de la Guadeloupe et dépendances Auteur(s) : Meyer, G. Extrait de : Le manioc : culture, rendements, manioc séché pour l'exportation, fécule, tapioca, industries diverses, distillerie, alcool de manioc, devis d'installations d'usines coloniales, commerce (p. 27) Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA123380007i1 FRA123380007i1 | Partager |
Petites Antilles. Auteur(s) : Nyon Extrait de : Manuel de la navigation dans la mer des Antilles et dans le golfe de Mexique : vues de cotes (Pl. 6) Résumé : Saint-Martin. Haute terre de l'O. da Saint-Barthélemy. Vue du Marigot prise du haut fond de la Médée (Saint-Martin). L'Anguille dans l'E.N.E. 1/2 N. à 18 milles. L'ile du Chien (l'Anguille) dans le N. N. E. à 12 milles. Sombrero dans le N.N.E. 1/2 N. à 12 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH131460022i1 SCH131460022i1 | Partager |
L’île de Saint-Barthélemy (Petites Antilles) : une destination du tourisme de luxe Auteur(s) : Theng, Sopheap Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : En l’espace de trente ans, la petite île de Saint-Barthélemy (25 km²) est sortie de son isolement séculaire pour s’imposer parmi les grandes destinations du tourisme de luxe dans le monde. Dans le cadre de cette étude, l’idée est d’identifier les éléments structurels et les différents facteurs conjoncturels qui permettent de comprendre la situation touristique de Saint-Barthélemy. L’exiguïté du territoire en lui-même peut être perçue comme un handicap fondamental ou, inversement, comme un atout considérable. Tout dépend du projet de développement. Il faut savoir tirer profit des spécificités du territoire considéré. Dans le cas de Saint-Barthélemy, l’exiguïté favorise la rareté et cette rareté convoitée n’est accessible qu’aux personnes les plus argentées. La rareté convoitée conduit au luxe. L’isolement est relatif : cette destination n’est pas accessible aux avions gros porteurs, l’essentiel du marché aérien est contrôlé par deux petites compagnies locales et l’espace aérien est ouvert aux petits avions privés. Le luxe ne se décrète pas, il ne se planifie pas. Le tourisme de luxe, c’est l’élection d’un territoire par des élites qui s’y retrouvent pour jouir de leur fortune à l’écart du monde. Within thirty years, the small island of Saint-Barthelemy (25 km²) is out of its secular isolation to be among major luxury tourism destinations in the world. In this study, the idea is to identify structural element and different cyclical factors that help to understand Saint-Barthelemy tourism situation. The small size of the territory itself can be seen as a fundamental handicap or, conversely, as a considerable asset. Everything depends on development project. It is necessary to know how to take advantage of specific characteristics of this type of territory. In Saint-Barthelemy case, scarcity is coveted; this coveted rarity is accessible only for rich people. The coveted rarity leads to luxury. Isolation is relative: this destination is not accessible to the jumbo jets. The airline market is controlled essentially by two small local companies and the airspace is open to charter flies and private aircrafts. Some other companies provide more or less regular flights from nearby airports of San Juan (Puerto Rico), Sint-Maarten and Guadeloupe. Luxury cannot be decreed, it is not planned. Luxury tourism is the election of a territory by elites who gather there to enjoy away from the rest of the world. Saint-Barthélemy Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6831 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6831 | Partager |
Catalogue descriptif des poissons vénéneux du banc de Saint Barthelemy (Antilles françaises) Auteur(s) : Morice, Jean Éditeur(s) : ISTPM Résumé : The Caribean Sea ichthyofauna, like that of all tropical and subtropical seas, contains venomous fishes some of which can cause certain forms of ichthyosarcotoxism.The first people to notice, at their expense, the existence of these dangerous animals in the waters of the West Indies were the conquistadores who settled in Haïti and Cuba after Christopher COLOMBUS. As these men were not well provided by fresh supplies from their far away home-as related by many chroniclers-they had to live on local food resources. Originally, terrestrial fauna, in these islands, was very lacking as far as big mammals go, and birds bigger than a pigeon were rare. As a consequence, Spanish sailors and soldiers ate mostly seafood, fish, crustaceans and molluscs that abounded in the clear waters of the Caribean shores. (The introduction of European mammals: bovines, ovines, caprines and porcines, but also poultry, only happened many years later-cattle raising only developed when the conquistadores were well settled and land had been divided-initial protid production was not sufficient to cover the Spaniards' needs.... La faune ichthyologique de la Mer des Antilles, comme celle de toutes les mers des regions tropicales et subtropicales, contient des poissons vénéneux, causes de certaines formes d'ichthyosarcotoxisme. Les premiers qui s'aperçurent, à leurs dépens, de l'existence de ces animaux dangereux dans les eaux des Indes occidentales furent les conquistadores qui s'installèrent en Haïti et à Cuba après les découvertes de Christophe COLOMB et de ses lieutenants. Ces hommes, souvent fort mal ravitaillés par leur trop lointaine métropole -tous les chroniqueurs de l'époque en font foi -furent obligés d'utiliser les ressources alimentaires locales. Comme à l'origine, la faune terrestre des îles était très pauvre en grands mammifères et que les oiseaux plus volumineux qu'un ramier étaient rares, les soldats et les marins espagnols consommèrent surtout les fruits de la mer : poissons, crustacés et mollusques qui abondaient dans les eaux claires des rivages antillais. (L'introduction des mammifères européens: bovins, ovins, caprins et porcins, comme des oiseaux de basse-cour, fut relativement tardive; l'élevage ne se développa que lorsque les conquérants de l'Eldorado furent installés et que la terre fut partagée; la production initiale de protides était très nettement insuffisante pour couvrir les besoins des Espagnols.) L'un des animaux les plus faciles à capturer était -et l'est encore -le-« burgo », Linona pica L., gros gastéropode de la famille des Trochidés qu'il suffisait de récolter à la main sur les récifs coralliens ou les rochers qui bordaient les plages; l'abondance de la distribution de ce gros bigorneau est encore telle à l'heure actuelle qu'il forme une ressource permanente appréciée; dans certaines petites îles très mal ravitaillées: Los Hermanos et La Blanquilla dans les Antilles vénézuéliennes; Saint-Barthélémy, La Désirade, dans les Antilles françaises, etc., où le « burgo » constitue une partie importante de la ration alimentaire. Il arrivait à Cuba, que sa consommation soit la cause d'accidents gastro-intestinaux et neuraux qui furent groupés par les Espagnols sous le nom de "ciguatera", le mollusque lui-même étant appelé "cigua", (II faut noter que les « burgos » récoltés sur certains îlots et récifs de la côte méridionale de Saint-Barthélemy sont la cause de troubles analogues à ceux qui furent décrits par les chroniqueurs des XVe et XVIe siècles) Le vocable s'est étendu ensuite, dans le langage populaire, aux troubles digestifs et aux troubles neuraux ressentis après l'ingestion de différentes espèces de poissons vénéneux, espèces qui se révélèrent malheureusement relativement nombreuses dans les eaux des Grandes Antilles, Le auteurs anciens, repris par COUTIÈRE dans sa thèse (1899) décrivent également des cas d'intoxications graves depuis le début de l'occupation des Petites Antilles par les Européens, intoxications attribuées pour la plupart aux barracudas, aux balistes, aux murènes, à certains clupes, aux carangues comme à un certain nombre d'espèces de « poissons rouges ». Les naturalistes modernes, d'ARCISZ (1950) à RANDALL (1958), donnent la liste scientifique des espèces incriminables dans la Mer des Antilles. Il n'existe actuellement aucun manuel en langue française permettant la détermination des poissons marins et des espèces dulçaquicoles des Petites Antilles, Le naturaliste est obligé, pour identifier les poissons, de recourir à des ouvrages américains ou hollandais, ou encore à des monographies toutes rédigées en langue anglaise. Ces livres, à de très rares exceptions près, sont anciens et difficiles à trouver en librairie étant presque tous épuisés ou rares. La publication que nous présentons ici n'a pas la prétention de pallier l'inexistence de documents en langue française sur l'ensemble de la faune ichthyologique antillaise; elle n'a pour but que de fournir au personnel chargé du contrôle du conditionnement et des marchés, aux armateurs à la pêche désireux de se renseigner sur les possibilités locales, comme à quelques esprits curieux, une documentation suffisante et illustrée, pour permettre une identification sûre et rapide des espèces dangereuses. Cette étude est née d'un besoin précis : les pêcheurs des Antilles françaises, maintenant guidés par une assistance technique qui reprend élémentairement les bases de la profession, se sont heurtés très rapidement au fait suivant : il était nécessaire de créer un conditionnement des produits de la pêche car quelques espèces de poissons commerciaux, saines dans certaines régions, sont vénéneuses dans d'autres, géographiquement toutes voisines, et doivent être éliminées du marché. Pour cela il fallait établir avec précision quelles espèces pouvaient être dangereuses, et donner aux pêcheurs, aux marchands et au public l'image exacte des formes incriminables. Si une espèce donnée peut contenir des individus vénéneux, tous les individus de cette espèce ne sont pas dangereux et des spécimens de la même espèce incriminables en un point ne le seront pas dans d'autres lieux de pêche. POEY (1866) a écrit: « ... il n'y a pas un poisson suspect sur dix mille... » Cela est sans doute vrai si l'on envisage le stock constitué par une espèce, mais ne l'est plus si l'on considère les concentrations géographiques. A travers l'expérience que nous avons acquise à Saint-Barthélemy, nous pouvons affirmer avec certitude que les poissons vénéneux sont bien groupés en isolats cernés par des frontières géographiques précises. De plus il apparaît très nettement que les poissons âgés, donc ayant atteint un certain poids, sont seuls responsables des accidents ciguatériques les plus graves. Le fait que l'ichthyologiste cubain POEY, 1866, ait imposé l'interdiction des poissons pesant plus de trois livres dans les espèces suspectes sur le marché de La Havane est très significatif. Un fait statistique observé à Saint-Barthélemy vient corroborer les notions précédemment énoncées. Un certain nombre de canots de pêche à la ligne à main, travaillant à l'accore méridional du banc de Saint-Martin, capturait surtout des « oreilles noires » (Lufianus buccanella (c. et V.), 1828) et des « vivaneaux » (L. vivanus (c. et V.), 1828) ; le poids des poissons vidés acceptés par le service de contrôle de la coopérative des pêcheurs de Gustavia avait été fixé à 1 500 g; des poissons de poids bien supérieurs à ce plafond ayant été acceptés par le conditionnement en janvier et février 1963, toute une série d'intoxications graves de type ciguatérique se produisit à Basse-Terre et à Pointe-à-Pitre de La Guadeloupe, lieux principaux de consommation du poisson capturé sur le banc de Saint-Martin. Le poids des poissons vidés exportables ayant été ramené à 1 500 g. les intoxications cessèrent. Il reste à étudier l'étiologie de la «ciguatera », forme la plus commune d'ichthyosarcotoxisme notée aux Antilles. L'accumulation des observations et des notes prises à propos des cas observés à Saint-Barthélemy, à La Guadeloupe, comme à La Martinique (1950) ainsi que les dissections effectuées sur les poissons capturés par les pêcheurs de Saint-Barthélemy nous permettront peut-être de conclure bientôt à ce sujet. Enfin. il faudra trouver le test biochimique simple et précis permettant de déterminer rapidement si un poisson considéré comme « redouteux» est vénéneux ou non. (Les poissons incriminables sont désignés sous le nom de poissons «redouteux» dans le patois de Saint-Barthélemy; la « ciguatera » est nommée « mal poisson ».) Les appellations vernaculaires créoles des espèces vénéneuses ont été établies à partir des notes prises depuis 1950. Cette liste est loin d'être exhaustive car il n'y a pas de domaine plus ingrat que la synonymie vernaculaire. Les appellations américaines, britanniques et hollandaises ont été prises dans les ouvrages publiés d'une part par le Fish and Wildlife Service (laboratoire de Biologie marine de Miami), et d'autre part par la Commission des Caraïbes. Kent House, à La Trinidad. 1959. relayée ensuite par le Secrétariat central de l'Organisation des Caraïbes, 1961. Hato Rey. Porto-Rico. Enfin. nous avons pu établir l'équivalence vernaculaire des noms de poissons utilisés à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin grâce à l'aimable collaboration du Dr PETIT, chef de l'hôpital de Marigot à Saint-Martin. Les bases de la systématique que nous avons utilisées, pour replacer les espèces décrites dans un cadre cohérent. sont celles qui sont exposées par BERTIN et ARAMBOURG (1958) dans le troisième fascicule du tome treize du Traité de Zoologie publié sous la direction du Pr P. GRASSÉ: nous y avons fait de larges emprunts. (OCR non contrôlé) Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1965-03 , Vol. 29 , N. 1 , P. 1-130 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1965/publication-4004.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4004/ | Partager |