Neuilly ; Ulysse Résumé : M Afrique 61 cultivateur La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5519 | Partager Voir aussi |
Labrador ; Elie Auguste Résumé : M Guyane 4 La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5312 | Partager Voir aussi |
Valmy ; Gaspard Résumé : M Guyane 1848 La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5886 | Partager Voir aussi |
Varennes ; Pompée Résumé : M Afrique 57 cultivateur La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5884 | Partager Voir aussi |
Les Indes promises d'Edouard Glissant Auteur(s) : Prudent, L. - Félix Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ECMEA : Etudes Croisées des Mondes Européens et Américains CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : "Terres promises, représentations et imaginaires" : colloque, du 25 au 27 novembre 2015. Université des Antilles Description : Une collection éparse de longs poèmes inspirés, une dizaine de romans compliqués à souhait mais sources de reconnaissances enviées, une production théâtrale plutôt modeste, la direction d'une revue à haute prétention dans la Martinique étriquée des années 70, une thèse de philosophie soutenue en Sorbonne livrée dans une forme déconcertante (pour ne pas dire désinvolte), cinq essais poétiques de plus en plus aventureux, quelques prises de positions vigoureuses sur la situation internationale, deux ou trois libelles coécrits avec des amis disparates, une anthologie poétique de bric et de broc, l'oeuvre d'Édouard Glissant qui s'étend sur 59 ans et des milliers de pages, présente une dimension qui impressionne. Ce caractère foisonnant suggère le changement et peut-être même la métamorphose car, tout au long de sa vie, d'un genre à l'autre, l'auteur fait l'expérience de lieux et de contextes fort divers, du Lamentin à Paris, de New York à Tokyo, de Bâton Rouge à Tunis. Cette communication prend pour prétexte le premier poème d'envergure paru en 1955, Les Indes, pour arpenter le parcours ultérieur du poète penseur autour de thèmes, de concepts et de slogans, jamais définis dans les règles de l'art, toujours revisités sous différentes formes et très diversement interprétés, l'homme ne suscitant jamais le consensus. Antillanité, Relation Démesure, Chaos, Tout-monde, Créolisation ? Les toutes dernières années de sa vie le verront couronné comme l'apôtre d'une audacieuse théorie de la mondialisation et de la diversité des langues, naviguant avec ces mots comme autant de balises et d'étapes curieuses dans son voyage aux Indes promises. Sans jamais prétendre en donner une synthèse exhaustive et cohérente, le projet est ici d'esquisser un cap, une orientation dominante à partir de l'examen de la langue d'écriture et des multiples déclarations du poète à ce sujet. L'occasion rêvée pour un linguiste natif du même pays de repartir en quête des promesses tenues ou non et des découvertes réelles ou imaginaires d'un texte abondant. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16089 V16089 | Partager |
Harlem ; Antigone Résumé : F Afrique 52 cultivatrice La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5157 | Partager Voir aussi |
La reconquête de l'identité indienne en Martinique : "un exemple de patrimondialisation par la mondialisation" Auteur(s) : Voisset, Renuga devi Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Les engagés indiens sont présents depuis 150 ans en Martinique avec une occultation totale de leurs racines indiennes, qualifié par l'intervenante d'invisibilité sociologique et culturelle. Le patrimoine architectural des coulis se limite à une douzaine de temple hindou dans les plantations. Quant au patrimoine culturel longtemps renié et rejeté, il y a aujourd'hui deux processus en marche : L'un recherchant à retrouver l'Inde des ancêtres et l'autre se tournant vers l'Inde actuel comme avec la culture bollywood. Par ailleurs, en martinique, il existe actuellement une reconnaissance d'intellectuels et il est organisé des festivals et des cérémonies pour commémorer et revendiquer cette identité indienne. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12151 V12151 | Partager |
Combat pour la forêt et les droits de l'homme Auteur(s) : Daniel, Justin Price, Richard Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : Les jeudis de l'Université. Université des Antilles et de la Guyane Description : Après avoir été introduit par Justin Daniel, Richard Price présente son livre « Peuple Saramaka contre Etat du Suriname combat pour la forêt et les droits de l'homme ». Il explique que les actions et décisions politiques prises par l'Etat, pour gérer l'économie du pays se font au détriment des Saramakas. En effet, l'exploitation des ressources naturelles tend à causer peu à peu la disparition du territoire Saramaka. Richard Price présente enfin les actions de résistance menées par les Saramakas, pour une reconnaissance au niveau international qui leur permettra de mieux se défendre contre les actions de l'Etat du Suriname. Il apporte de plus amples précisions à l'auditoire au cours de la tranche de débat. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13025 V13025 | Partager Voir aussi Aménagement du territoire Cartographie Droit Identité Ecologie Economie Ressources naturelles Politique Suriname ; Télécharger |
Hambourg ; Hermance Résumé : F Afrique 43 cultivatrice La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5156 | Partager Voir aussi |
Lausane ; Frédéric Résumé : M Afrique 32 cultivateur La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5309 | Partager Voir aussi |
Granville ; Egiste Résumé : M Afrique 45 cultivateur La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5112 | Partager Voir aussi |
Vincennes ; Hélène Résumé : F Afrique 42 cultivatrice La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5882 | Partager Voir aussi |
Verrières ; Mussius Résumé : M Afrique 51 cultivateur La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5876 | Partager Voir aussi |
Les gens de couleur à Bourbon et à la Réunion entre la fin de l'Ancien Régime et l'Empire ; Les gens de couleur à Bourbon et à la Réunion entre la fin de l'Ancien Régime et l'Empire Auteur(s) : Eve, Prosper Eve, Prosper Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Université de Paris I Panthéon-Sorbonne IHRF-IHMC : Institut d Extrait de : "La révolution française et les colonies. Couleur de peau dans l'espace colonial français (1777-1815)" : grand séminaire, les 17 et 18 mai 2016. Université des Antilles Description : Les lois reconnaissant aux maîtres la faculté d'affranchir leurs esclaves leur procurent la possibilité de récompenser les bons services de leur main d'oeuvre forcée, d'encourager celle-ci à accomplir ses devoirs avec zèle et de nourrir en elle une certaine émulation. Jusqu'en 1723, conformément à l'édit de mars 1685 rédigé pour les colonies d'Amérique, mais appliqué aussi dans les Mascareignes faute de décision royale spécifique, le maître affranchit quand il veut, qui il veut, sans attendre une quelconque sanction administrative. Compte tenu des abus possibles engendrés par l'exercice de ce pouvoir illimité et des nuisances éventuelles causées à l'ordre public, l'autorité royale décide en 1723 d'affirmer ses souhaits en la matière. Elle ne retire pas aux maîtres la faculté de formuler la demande d'affranchissement, mais elle attribue à l'autorité administrative le droit de l'accorder ou non. Tel est l'objet des articles 9, 49 et 50 des Lettres patentes concernant les esclaves des îles de France et de Bourbon. À la toute fin de l'administration de la Compagnie des Indes, l'autorité royale fixe de nouvelles règles et bride un peu plus les maîtres, afin d'empêcher les abus de leur part. L'affranchissement doit alors être sanctionné par une permission écrite sans frais par le gouverneur général et de l'intendant des deux îles. Un mois plus tard, l'ordonnance royale du 25 septembre 1766 rappelle la nécessité de l'autorisation préalable de ces administrateurs pour que l'affranchissement soit légal. Elle consacre en outre le droit des tiers de s'opposer à l'affranchissement et même de faire trancher les litiges par les tribunaux. Cette loi vaut à Bourbon jusqu'en 1793. Compte tenu de la législation en vigueur de 1767 à 1810, notre propos vise à déterminer d'abord le poids des Libres de couleur à l'île Bourbon à la fin de l'Ancien Régime, à voir ensuite l'évolution de leur situation propre sous la Révolution et l'Empire, c'est-à-dire leurs espoirs et leurs craintes, et enfin à évoquer les stratégies mises en oeuvre pour réussir leur parcours. Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16097 V16097 V16097 | Partager |
Montauban ; Amédée Résumé : M Afrique 28 cultivateur La Reconnaissance (César Martin) Roura http://www.manioc.org/esclaves/individu5458 | Partager Voir aussi |
La présence hollandaise en Guyane Française entre 1598-1677 Auteur(s) : Van den Bel, Martijn Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : APHGG : Association des Professeurs d'Histoire-Géographie de Guyane SAAHG : Société des Amis des Archives de l'Histoire de la Guyane Extrait de : "La Guyane au temps de l'esclavage : discours, pratiques et représentations, XVIIe-XIXe siècle" : colloque international, du 16 au 19 novembre 2010. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'expansion coloniale néerlandaise fait suite à la recherche de ressources indisponibles ou rares comme le sucre, le sel, le tabac... Au début, c'est plutôt une période de reconnaissance avec des échanges commerciaux entre des navires hollandais et les indiens des plateaux de Guyane. Peu à peu, ces contacts fréquents créent des comptoirs commerciaux permanents exportant de nombreuses ressources du Nouveau Monde. Puis ces comptoirs deviennent des villages fortifiés qui commencent une économie de plantation. Inévitablement, ces tentatives d'implantation attire la convoitises des autres puissances coloniales qui se vouent alors une véritable lutte d'influence territoriale. Siècle(s) traité(s) : 17 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V11046 V11046 | Partager |
Art et Artisanat : authenticité, propriété intellectuelle (Partie 2) Auteur(s) : Lacaisse, Patrick Doorson, Ken Ateni, Joseph Miranda, Andelie Othily, Arthur Abonnenc, Mathieu Jungurman, Remy Kapiten Ngwete, Abelli Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Museu Paraense Emilio Goeldi (Belém) Stichting Surinaams Museum (Paramaribo) Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Extrait de : Journées du patrimoine. "Patrimoines partagés : rencontres transfrontalières", le 17 septembre 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le thème de cet atelier trouve son origine dans les propos de Magda Adjasie : dans son atelier de Paramaribo, cette styliste saamaka crée depuis une quinzaine d'années des pangi dont elle retrouve de (mauvaises) copies sur les marchés du Guyana et de Sainte-Lucie. De son côté, le Musée des cultures guyanaises souhaiterait nouer des relations avec des artistes et artisans vivant en Guyane, auxquels il serait régulièrement passé commande de pièces « originales » proposées à la vente dans sa boutique du 54 rue Madame Payé, à Cayenne. Mais que recouvrent ces notions d'originalité et d'authenticité, souvent rattachées à la « tradition », concept complexe et ambigu qui renvoie trop vite à des expressions immuables, répétitives ? Quelles sont les conséquences du passage d'un art « pour soi » à un art destiné à la vente, à un marché débordant les frontières de son groupe culturel ? Le processus de reconnaissance de l'art tembe en Guyane pourra nous aider à mieux comprendre les enjeux, les écueils, et à tenter de formuler des réponses adaptées au contexte local, débordant le cadre strict de la législation (OMPI). Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12022 V12022 | Partager |
Le développement environnemental, une valorisation du patrimoine pour nos enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants Auteur(s) : Maneschy, Cristina Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Intervention portant sur l'étude de l'émergence de nouveaux territoires au Brésil appelées "réserves de conservation" ou "unités de conservation". Elles sont étroitement liées aux populations qui exploitent les ressources naturelles en commun sur ces territoires. Les réserves associent ainsi la conservation de l'environnement et les droits des populations traditionnelles. Elles sont le résultat d'importants mouvements sociaux des populations en réaction à l'industrie du bois et à l'agriculture intensive. Ces espaces reconnaissent par ailleurs la rationalité de ces populations par rapport à l'environnement et assure la sécurité de la terre, l'accès à l'eau et le respect des coutumes traditionnelles. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12045 V12045 | Partager |
Art et Artisanat : authenticité, propriété intellectuelle (Partie 1) Auteur(s) : Tiouka, Alexis Soly, Elsol Jungurman, Remy Abonnenc, Mathieu Othily, Arthur Ateni, Joseph Miranda, Andelie Ruben Van der Bock, Steven Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Museu Paraense Emilio Goeldi (Belém) Musée des Cultures Guyanaises (Cayenne) Stichting Surinaams Museum (Paramaribo) Extrait de : Journées du patrimoine. "Patrimoines partagés : rencontres transfrontalières", le 17 septembre 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Le thème de cet atelier trouve son origine dans les propos de Magda Adjasie : dans son atelier de Paramaribo, cette styliste saramaka crée depuis une quinzaine d'années des pangi dont elle retrouve de (mauvaises) copies sur les marchés du Guyana et de Sainte-Lucie. De son côté, le Musée des cultures guyanaises souhaiterait nouer des relations avec des artistes et artisans vivant en Guyane, auxquels il serait régulièrement passé commande de pièces « originales » proposées à la vente dans sa boutique du 54 rue Madame Payé, à Cayenne. Mais que recouvrent ces notions d'originalité et d'authenticité, souvent rattachées à la « tradition », concept complexe et ambigu qui renvoie trop vite à des expressions immuables, répétitives ? Quelles sont les conséquences du passage d'un art « pour soi » à un art destiné à la vente, à un marché débordant les frontières de son groupe culturel ? Le processus de reconnaissance de l'art tembe en Guyane pourra nous aider à mieux comprendre les enjeux, les écueils, et à tenter de formuler des réponses adaptées au contexte local, débordant le cadre strict de la législation (OMPI). Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12021 V12021 | Partager |
"Pratiques artistiques contemporaines en Martinique" de Dominique Berthet Auteur(s) : Toumson, Yolande-Salomé L'Etang, Gerry Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Présentation des publications du CRILLASH" : conférence, le 13 décembre 2012. Université des Antilles et de la Guyane Description : Gerry L'Etang présente d'abord Dominique Berthet à travers son parcours professionnel, puis souligne sa sympathie pour l'art en Martinique. Il présente l'ouvrage "Pratiques artistiques contemporaines en Martinique", comme prenant en compte toute la mesure du foisonnement, du dynamisme artistique de la Martinique. Pour Yolande-Salomé Toumson, le titre de l'ouvrage souligne la reconnaissance des pratiques artistiques martiniquaises. A ses yeux, Dominique Berthet propose à travers son ouvrage, "une esthétique de la rencontre". Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13021 V13021 | Partager |