Study of nutritional requirements and growth of penaeus merguiensis in tanks by means of purified and artificial diets Auteur(s) : Cuzon, G. Febvre, A. Melard, J. Parker, G. Fagnoni, G. Calvas, J. Griessinger, J.m. Hatt, P. Éditeur(s) : Centre Océanologique de Bretagne Résumé : One of the criteria for selecting a shrimp of commercial interest in French Polynesia is the acceptability of artificial diet; such a criterion has been used to test Penaeus merguiensis.Experiments have been carried out in Centre Océanologique du Pacifique in Tahiti island where the water temperature range is 25-29°C, salinity 35 ppt, pH. 8.2, and photoperiod constant.Juveniles used in this study are hatched in CNEXO-COP at Vairao.It has been found that a 50-55% protein content diet gives a better growth performance. A carbohydrate such as starch appears more suitable than glucose or glucose plus starch in isonitrogenous purified diets.A vitamin mix rich in vitamin C, choline and inositol provides better results and a mineral mix with 3% magnesium reaches optimum. The major nutritional results for this species are applied to formulation of artificial diets.With the best diet, growth performances are normal: from 2.8 g to 9.0 g in 90 days, with about 60% survival rate at alow density, 20 animals/m² under strict control. But at another scale, in 400 m² graw-out tanks, growth was rather low even with an excellent Japanese diet containing 60% protein.Therefore, P. merguiensis does not appear to be a good candidate species for aquafarming in French Polynesia. [NOT CONTROLLED OCR] Recueil des Travaux du Centre Océanologique de Bretagne (Centre Océanologique de Bretagne), 1979 , P. 705-714 Droits : Centre Océanologique de Bretagne http://archimer.ifremer.fr/doc/1979/publication-5272.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/5272/ | Partager |
Les apports nutritionnels des océans, à l'exclusion des vertébrés (poissons, reptiles, mammifères) Auteur(s) : Laubier, Lucien Éditeur(s) : Centre Océanologique de Bretagne Résumé : Après une période de croissance rapide depuis la seconde guerre mondiale, l'exploitation des ressources vivantes des océans est stabilisée depuis quelques années entre 60 et 65 millions de tonnes par an, pour l'ensemble des océans. Ces chiffres recouvrent l'ensemble des produits tirés de la mer, qu'il s'agisse de vertébrés ou d'invertébrés, d'animaux ou de végétaux. De même, la distinction entre produit de la pêche et produit de la culture ou de l'élevage n'est pas faite. En réalité, si les poissons représentent une partie importante de ce total, l'homme exploite également la plupart des groupes zoologiques d'invertébrés marins, quelques reptiles et les mammifères marins (cétacés et pinnipèdes), et des algues (en particulier des algues rouges et des algues brunes). Dans la plupart des cas, ces groupes sont exploités en vue de l'alimentation humaine ; il existe toutefois d'autres formes d'utilisation de certaines espèces, l'une des plus connues étant l'utilisation des algues pour la production d'alginates, de carragen et d'agar-agar. L'utilisation de certaines espèces de gastéropodes marins pour la fabrication de colorants remonte en Méditerranée a l'époque antique (la pourpre). L'utilisation de coquillages à des fins décoratives ou même en tant que monnaie d'échange a été très répandue chez les populations des îles du Pacifique ; la collection de l'amateur moderne, comportant des pièces atteignant une valeur élevée, peut être considérée comme un dérivé récent de ces usages traditionnels. Afin de ne pas alourdir l'exposé, nous limiterons volontairement cet inventaire aux algues et aux invertébrés, utilisés dans l'alimentation humaine, à l'exclusion des autres formes d'utilisation (1). [OCR NON CONTRÔLE] Recueil des travaux du Centre Océanologique de Bretagne (Centre Océanologique de Bretagne), 1971 , N. 5 , P. 527-537 Droits : Centre Océanologique de Bretagne http://archimer.ifremer.fr/doc/1971/publication-5110.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/5110/ | Partager |
L'élévage de la crevette penaeus japonicus en france. Premiers résultats et perspectives Auteur(s) : Laubier, Lucien Laubier-bonichon, Annie Éditeur(s) : Centre Océanologique de Bretagne Résumé : Over the last three decades, offshore shrimp catches have developed in a very impressive way. An important demand on the international market resulted in a slight rise in the selling prices, and lead to a rise in the exploitation of areas already exploited, as well as a search for new fishing areas. In twenty years, the world total of shrimp fisheries has more than doubled, and reached 1 024 000 tonnes in 1972 (source F.A.O., Statistiques annuelles des pêches); [...] Au cours des trois dernières décennies, les captures de crevettes pêchées en mer se sont développées de manière spectaculaire.Une forte demande sur le marché international a produit une augmentation sensible des prix de vente, et à ainsi favorisé l'accroissement de la pêche dans les zones déjà exploitées, et la recherche de nouveaux fonds de pêche.En vingt ans, le total mondial des pêches de crevettes a largement doublé, et a atteint pour 1972 le chiffre de 1 024 000 tonnes (source F.A.O., Statistiques annuelles des pêches); ce chiffre représente un peu moins de 2 % de l'ensemble des pêches mondiales en tonnage, mais plus de 8 % en valeur.Actuellement, les deux pays consommateurs principaux sont les Etats-Unis et le Japon avec une consommation de 330 000 tonnes pour les Etats-Unis et de 248 000 tonnes pour le Japon, soit plus de la moitié du total des prises mondiales.La consommation française, beaucoup plus faible est néanmoins en progression constante : pour 1975, elle représente un peu plus de 13 000 tonnes, dont la plus grande partie doit être importée. [OCR NON CONTRÔLE] Recueil des Travaux du Centre Océanologique de Bretagne (Centre Océanologique de Bretagne), 1977 , N. 7 , P. 603-613 Droits : Centre Océanologique de Bretagne http://archimer.ifremer.fr/doc/1977/publication-5208.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/5208/ | Partager |