Education et société Auteur(s) : Meirieu, Philippe Auteurs secondaires : Picard, Jean-Pierre Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : ESPE de la Guadeloupe : Ecole Supérieure du Professorat et de l'Education Extrait de : "Rencontre avec un pédagogue : Philippe Meirieu", le 14 avril 2016. ESPE Guadeloupe Description : Philippe Meirieu (professeur émérite en sciences de l'éducation, Université Lumière-Lyon 2) présente une réflexion sur les défis de l'éducation, les processus et l'environnement éducatifs. L'idée d'une démocratisation du savoir, de l'accès au savoir est une ambition pour notre jeunesse n'est pas sans se heurter à des difficultés (décrochage, absentéisme, violence). L'éducation au sens fort ne se réduit pas à l'enseignement ; l'éducation : c'est à la fois les parents, la famille, le voisinage, la construction de l'éducation de l'enfant face à des actes de civilités basiques. Trois niveaux d'acteurs sont essentiels (avec leur spécificité) pour construire le développement et l'autonomie de l'enfant: les parents, l'école, l'environnement. Il insiste sur l'importance du rôle de l'environnement avec les médias, les « prothèses technologiques » et leur impact dans la manière de voir le monde. Il s'agit bien de dire le monde, de montrer le monde, d'expliquer le monde, d'entrer en construction constructive avec l'enfant, de l'aider à exprimer progressivement ce qui l'habite. L'éducation passe par le plaisir d'apprendre, le plaisir de comprendre : « je deviens intelligent de mon langage ». Ce processus éducatif passe par un partenariat interactif, qui ne doit pas être une simple addition d'actions, mais il s'agit d'un partenariat pour trouver la clé, d'une invention collective de la recherche du bon levier, du point d'entrée qui va permettre la construction de l'enfant, de trouver le bon équilibre. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16085 V16085 | Partager |
Le transfert de connaissances numériques pour la démocratisation du savoir chez les papy-boomers Auteur(s) : Vigouroux-Zugasti, Eloria Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : EUTIC : le réseau international et interdisciplinaire pour les Enjeux et Usages des Technologies de l'Information et de la Communication Extrait de : "Les écosystèmes numériques et la démocratisation informationnelle" : colloque, les 3 et 4 novembre 2015. Université des Antilles Description : La relation des papy-boomers avec le numérique est fortement stigmatisée. Perçus comme incompétents en la matière, ces jeunes seniors sont marginalisés, au profit de générations plus jeunes et plus « branchées ». Or, cette situation ne tient plus. Comme le montrent certaines études, l'attrait de ce public pour le numérique augmente chaque année. Si l'appétence digitale des papy-boomers s'intensifie, cela veut-il pour autant dire qu'ils deviennent experts en la matière ? Notre article se base sur les résultats d'une enquête exploratoire réalisée durant les cours d'informatique d'un centre social Girondin. Il s'agit ainsi d'identifier les solutions de médiation du savoir numérique auprès de ce public et de mettre ainsi en lumière les impacts de cette dernière sur le développement de la démocratie informationnelle liée au numérique. Le transfert de connaissances numériques pour la démocratisation du savoir chez les papy-boomers. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15437 V15437 | Partager |
Le transfert de connaissances numériques pour la démocratisation du savoir chez les papyboomers Auteur(s) : Vigouroux-Zugasti , Eloria Auteurs secondaires : Université Bordeaux Montaigne Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : International audience La relation des papy-boomers avec le numérique est fortement stigmatisée. Perçus comme incompétents en la matière, ces jeunes seniors sont marginalisés, au profit de générations plus jeunes et plus « branchées ». Or, cette situation ne tient plus. Comme le montrent certaines études , l'attrait de ce public pour le numérique augmente chaque année. Si l'appétence digitale des papy-boomers s'intensifie, cela veut-il pour autant dire qu'ils deviennent experts en la matière ?Notre article se base sur les résultats d'une enquête exploratoire réalisée durant les cours d'informatique d'un centre social Girondin. Il s'agit ainsi d'identifier les solutions de médiation du savoir numérique auprès de ce public et de mettre ainsi en lumière les impacts de cette dernière sur le développement de la démocratie informationnelle liée au numérique. Le transfert de connaissances numériques pour la démocratisation du savoirchez les papy-boomers. Les écosystèmes numériques et la démocratisation informationnelle : Intelligence collective, Développement durable, Interculturalité, Transfert de connaissances Schoelcher, France hal-01264953 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01264953 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01264953/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01264953/file/Eloria%20VIGOUROUX-ZUGASTI.pdf | Partager |
Ecosystème muséal : Une notion encore vacillante Auteur(s) : Corral Regourd, Martine Alcantara, Christophe Auteurs secondaires : IDETCOM ; Université Toulouse 1 Capitole (UT1) Université Toulouse 1 Capitole (UT1) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : International audience Cette communication se propose de tenter d’appréhender la question de savoir si la notion d’écosystème Web peut trouver une application pertinente dans le champ muséal. En recherchant s’il existe une articulation cohérente, tout à la fois diversifiée et complémentaire, des sites Web, des réseaux sociaux, des blogs au sein du système muséal. L’objectif est d’analyser si ces pratiques numériques renforcent les missions originelles des musées et en particulier celle de la démocratisation, ou si elles les remettent en cause et interrogent alors l’identité même de l’institution. Nous avons souhaité évaluer cette notion d’écosystème en nous plaçant au niveau des représentations des promoteurs de cette communication numérique. Les écosystèmes numériques et la démocratisation informationnelle : Intelligence collective, Développement durable, Interculturalité, Transfert de connaissances Schoelcher, France hal-01258172 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01258172 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01258172/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01258172/file/Corral-Regourd%20%26%20Alcantara.pdf | Partager |
Entrepreneuriat : Quelle voie pour le développement d'Haïti? Auteur(s) : Barone Visigalli, Egle Boungou, Gaspard Ciguino, Hubermane Daniel, Marie Evadie Diallo, Oumar Duchêne, François Faouzi, Hassan Gowreesunkar, Vanessa Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : En Haïti, rien ne semble être planifié et pensé sur le long terme, raison sans doute pour laquelle l’entrepreneuriat ne joue pas un rôle prépondérant dans le développement de l’économie du pays (Financial Times, 2015). Cette vision sur le court terme qui est celle de la majorité de la population -à savoir les pauvres- n’est cependant pas une vérité absolue puisque le groupe largement minoritaire de la population, les riches ou encore l’élite économique, compte des entrepreneurs au sens des pays riches, c'est-à-dire des personnes ayant une vision de l’entreprise sur le long terme avec pour perspective la croissance de l’entreprise et l’enrichissement personnel, parfois « saupoudré » ,ici et là, d’une touche sociale par rapport à la montée en puissance du phénomène Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). Ce numéro spécial sur l’entrepreneuriat en Haïti se veut force de propositions (pratiques) pour que l’entrepreneuriat ait droit de cité comme force motrice du développement d’Haïti. Si comme le dit l’entrepreneur Jerry Tardieu : investir et s’investir en Haïti est un acte de foi, que faire pour faire pour que l’entrepreneuriat soit un moteur de développement durable en Haïti ? Telle est la question centrale de ce numéro spécial. L’entrepreneuriat en Haïti a longtemps été marqué – notamment dans la partie formelle – par la dominance du commerce opéré pour une large part par des immigrés moyen-orientaux (Syriens, Libanais, etc.) et de grandes entreprises étatiques. L’économie haïtienne a entamé depuis les trois dernières décennies un élargissement de son entrepreneuriat à travers la privatisation des monopoles d’Etat et, récemment, se précise l’engouement des jeunes pour la création d’entreprises. Si pour certains analystes comme Lundahl (2010), l’entrepreneuriat communautaire a échoué en Haïti, il n’en demeure pas moins que la micro finance a connu un développement tel, qu’elle a démocratisé l’accès au financement et permis le développement d’une multitude de micro-entreprises (Paul, Daméus & Garrabé, 2011). In Haiti, nothing seems to be planned in advance. Everything seems to happen by chance, hence the reason why entrepreneurship is a heavy weight in the GDP of the country (Financial Times, 2015). This non strategic and short term vision of entrepreneurship in Haiti is peculiar to the vast majority of the population, that is to say the poor. However, this does not happen across the board as the rich (the minority of population) also called the ‘elite’ have a perception of entrepreneurship similar to developed countries where entrepreneurship is seen as a long term strategy with so called Corporate Social Responsibilities (CSR). This special issue about Haiti is to find practical solutions to ensure that entrepreneurship can play a major role in the economic development of the country. Jerry Tardieu, a Haitian entrepreneur, claimed that investing in Haiti is a proof of faith in the country’s potential. What can be done to turn entrepreneurship into a sustainable tool for the development of Haiti? This is the central research question of this special issue. For a while, leading entrepreneurs in Haiti were from the Middle East (Syria, Liban, etc) and public companies. However, over the last three years, entrepreneurs in Haiti have come from different backgrounds. Also, more and more young people are getting into entrepreneurship and many public companies have been privatised. Despite the fact that for some analyst’s entrepreneurship in Haiti has totally failed (Lundahl, 2010), the development of micro finance over the last few years has democratized access to funding, enabling development of a multitude of micro-enterprises (Paul & Dameus Garrabé, 2011) (Paul, Daméus & Garrabé, 2011). En Haití, nada parece estar planificado y pensado en el largo plazo, probablemente es la razón por la cual la iniciativa empresarial no está jugando un papel importante en el desarrollo de la economía (Financial Times, 2015). Esta visión a corto plazo es el de la mayoría de la población. Sin embargo, no es una verdad absoluta ya que el grupo de población en gran minoría, los ricos o la élite económica, los empresarios responsables de los efectos de los países ricos es decir, las personas con una visión de negocio a largo plazo con la perspectiva del crecimiento de la empresa y de enriquecimiento personal, aunque a veces 'salpicado aquí y allá de un toque social, en comparación con el aumento del fenómeno de la Responsabilidad Social Corporativa (RSC). Este número especial sobre el emprendimiento en Haití quiere suscitar propuestas (prácticas) para que la iniciativa empresarial llega a ser citada como una fuerza impulsora en el desarrollo de Haití. Si, como lo dice el empresario Jerry Tardieu, invertirse e invertir en Haití es un acto de fe, ¿que hacer para que el espíritu empresarial sea un motor para el desarrollo sostenible en Haití? Esta es la pregunta central de este número especial. Emprendimiento en Haití durante mucho tiempo ha sido etiquetado - sobre todo en la parte formal - por el predominio del comercio operado en gran parte por inmigrantes de Oriente Medio (Siria, Líbano, etc.) y las grandes empresas estatales. La economía haitiana ha comenzado las últimas tres décadas la expansión de la iniciativa empresarial a través de su privatización de los monopolios estatales y, desde hace poco, la moda de los jóvenes emprendedores. Aunque segun algunos analistas como Lundahl (2010), el emprendimiento comunitario no sucede Haití, el hecho es que las microfinanzas ha experimentado un desarrollo tal, se ha democratizado el acceso a la financiación, como permite el desarrollo de una multitud de microempresas (Paul & Dameus Garrabé, 2011). Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.9541 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/9541 | Partager Voir aussi |