Valorisation des produits de la mer en Guyane - Etude technique Auteur(s) : Knockaert, Camille Résumé : Les espèces locales sont abondantes en quantité et en variétés. Jusqu'à présent la pêche est essentiellement orientée sur la crevette. Cependant dans un contexte de difficultés (ressource + cours à la baisse pour schématiser) ce secteur cherche à diversifier son activité et s'intéresse à la valorisation de son potentiel de pêche qui était jusque là négligé. La seule activité de transformation est l'oeuvre de quelques congélateurs se bornant à reconditionner les produits : ensachages en filets, Dames ou entiers (faible valeur ajoutée).
Ce rapport a pour objet de définir les possibilités de valorisation de la filière des produits de la mer en Guyane, que ce soit par l'amélioration des structures existantes ou la création de nouvelles activités.
Dans une première partie, nous nous efforcerons de "cerner" la ressource et la filière actuelle de transformation avec des propositions pour améliorer cette dernière. Dans une deuxième partie, nous donnerons les grandes lignes d'idées de valorisation et les recommandations pour le démarrage de projets. Droits : 1991 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00134/24510/22536.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00134/24510/ | Partager |
Etude de la filière " pêche et aquaculture " et perspectives de développement de l'Ombrine. Rapport de mission à La Réunion, Septembre 2005 Auteur(s) : Knockaert, Camille Résumé : Ce rapport a pour objectifs d'apporter un éclairage sur la filière produits de la mer à la Réunion, de contribuer à en évaluer les perspectives d'évolution, d'estimer quelle sera la place future de l'aquaculture marine et d'offrir quelques pistes de réflexions.
Il est réalisé à la demande du chef de projet IFREMER « Maîtrise de la Production et de la Valorisation de l'Ombrine ». Cependant, réalisé sur la base de rencontres avec les principaux acteurs de la filière, mais après seulement 3 jours de séjour sur place, ce rapport ne saurait être exhaustif. (voir annexe 1). Joint à ce rapport, une notice technique des différentes solutions de valorisation évoquées permettra de mieux évaluer la problématique.
Enfin je tiens à remercier les différentes personnes rencontrées et qui m'ont pelmis de dresser ce bilan. Droits : 2005 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00136/24742/22805.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00136/24742/ | Partager |
Essais préliminaires de salage / séchage par déshydratation imprégnation immersion - Application à des espèces tropicales Auteur(s) : Knockaert, Camille Knockaert, Frantz Résumé : La valorisation des produits de la mer dans les Départements et Territoires d'Outre-mer doit faire appel à des technologies simples compte tenu de l'éloignement de la Métropole rendant difficile la maintenance du matériel élaboré. D'autre part, ces régions sont traditionnellement consommatrices de produits complètement stabilisés par la méthode de transformation, ne nécessitant pas ainsi d'emballage de protection participant à la conservation (cas de conserves ou semi-conserves) : le salage suivi d'uni séchage est un procédé qui dans certaines conditions peut permettre de conserver à température ambiante les produits de la mer. Droits : 1993 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00134/24519/22548.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00134/24519/ | Partager |
Rapport de mission à la Réunion. Projets « Qualitropic » Auteur(s) : Knockaert, Camille Résumé : Pratiquement inexistante il y a 20 ans, la pêche est devenue un secteur économique porteur d'emplois et créateur de valeur ajoutée, et constitue un enjeu de développement local non négligeable. Les activités de pêche se situent sur les localités suivantes : La Possession, Le Port, St Paul, St Gilles, Etang-Salé, St Leu, St Pierre, Terre-Sainte, Langevin, St Philippe, Ste Rose, St Benoît, Ste Marie, St Denis.
La consommation :
18000 tonnes de produits de la mer consommées par an, représentant plus de 80 millions d' en valeur, soit une moyenne de 4.40 / kg par produit, ce qui correspond à une entrée de gamme de congelés en Grandes et moyennes surfaces (GMS), 90% de la population réunionnaise consommatrice de poissons à hauteur de 19 kg/hab./an contre 25 Kg/hab./an en Métropole et 48 aux Antilles Françaises.
Sur les 19 kg/hab./an de poissons consommés, seuls 750 grammes sont issus de la production de la pêche réunionnaise.
[Extraits] Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/2006/rapport-6491.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/6491/ | Partager |
Mission de soutien à la filière " pêche et aquaculture " en Polynésie française. Rapport et Document annexe Auteur(s) : Knockaert, Camille Résumé : Cette mission du 8 juin au 15 juin avait pour objectif principal de sensibiliser les différents acteurs impliqués dans le développement du Platax d'aquaculture, à la démarche qualité depuis l'oeuf à l'assiette. Cette partie de la mission a été réalisée à travers deux présentations sur le thème, l'une au service de la pêche (SPE) et l'autre à Vairao au centre du Pacifique à l'intention de l'ensemble du personnel.
Le programme «Platax» a fait l'objet d'une présentation par le SPE à travers une présentation de Moana et le dépouillement d'une enquête de «positionnement» de l'espèce réalisée par une stagiaire en mastère, Valérie Vauquin.
Une journée a été consacrée à l'observation des opérations «péri abattage» et au filetage du poisson.
L'autre volet de la mission a été consacré à la filière «pêche et transformation» à travers la visite du port de pêche de Papeete et des locaux de mareyage, puis d'un atelier de transformation (steaks congelés), ainsi que d'un atelier de fumage.
Une présentation au SPE a également été consacrée aux poissons lagonaires et aux trocas bénitiers. Droits : 2008 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00136/24743/22806.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00136/24743/ | Partager |
Valorisation de l'ombrine dans le contexte de la filière " pêche aquaculture " en Martinique. Rapport de mission du 20 au 26 mai 2005 Auteur(s) : Knockaert, Camille Résumé : Objectifs de la mission : Pistes de valorisation de l’ombrine dans le contexte du marché local Martiniquais. Droits : 2005 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00137/24794/22870.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00137/24794/ | Partager |
Qualité et valorisation de l'ombrine ocellée : l'exemple de la filière pisciculture marine martiniquaise Auteur(s) : Leon, Xavier Knockaert, Camille Regina, Françoise Résumé : The development of marine fish culture in Martinique, Guadeloupe, Reunion and Mayotte islands is relatively new and relies on the culture of the Red Drum (official name since 2007; scientific name: Sciaenops ocellatus). The current production is of about 70 tonnes per year in Reunion (only one company), 200 tonnes in Mayotte (a cooperative deriving from an entrepreneur's cooperative and an industrial company: Mayotte Aquaculture) and 100 tonnes in Martinique (around twelve artisanal companies). A company has also been running in Guadeloupe since 2004. Reunion's production is sold on the local market. In Mayotte, the entire Red Drum production of Mayotte-Aquaculture is exported to Europe. In the French Caribbean, the production is currently sold locally, with a strong development potential, the fish importations being larger than the fishing production (more than 60 % of the sea products sold locally is imported). Sea food consumption in the Caribbean is traditionally very large. The local market in Martinique is thought to be of about 18,000 tonnes, which corresponds to an average consumption of 48 kg/year per inhabitant (average consumption in France: 35 kg/inhab/year)... Le développement de la filière pisciculture marine à la Martinique, la Guadeloupe, La Réunion et Mayotte est relativement récent et repose sur l'élevage de l'Ombrine ocellée (appellation officielle depuis 2007 ; nom scientifique : Sciaenops ocellatus). La production actuelle avoisine les 70 tonnes par an à la Réunion (une seule entreprise), 200 tonnes à Mayotte (un regroupement issue d'une pépinière d'entreprises et une entreprise à caractère industriel : Mayotte Aquaculture) et 100 tonnes à la Martinique (une douzaine d'entreprises à caractère artisanal). Une entreprise produit également à la Guadeloupe depuis 2004. La production de la Réunion est écoulée sur le marché local. A Mayotte, la production d'Ombrine de Mayotte-Aquaculture est entièrement exportée vers l'Europe. Aux Antilles, la production est pour l'instant distribuée localement, avec un fort potentiel de développement, les importations de poissons étant supérieures à la production de pêche (plus de 60% de la consommation locale de produits de la mer est issue de l'importation). La consommation des produits de la mer aux Antilles est traditionnellementélevée. On estime le marché en Martinique à 18 000 tonnes, ce qui aboutit à une consommation par habitant de 48 kg/an (consommation moyenne en France : 35 kg/hab/an). La concurrence des produits importés est forte et les produits de la mer locaux sont très peu compétitifs dans l'état actuel d'absence quasi-totale de structure de conditionnement, transformation et distribution. L'atout qu'ils présentent est, à ce jour, essentiellement traditionnel (fraîcheur, vente directe, relation avec le pêcheur) et c'est sur ce créneau que la pisciculture marine martiniquaise, et en particulier l'Ombrine, devrait éviter de rester cantonnée. La réduction des prix et la transformation du poisson doivent en faire un produit fortement adaptable à différents modes de distribution, et notamment à une distribution moderne (grande distribution, collectivités). Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/2008/rapport-6592.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/6592/ | Partager |