Festival Contes et musique dans la cité, 11ème édition. Auteur(s) : Kovalesky, Anne L'océan, Jean Rivas, Caroline Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : Les rencontres culturelles de la BU 2017-2018. Université des Antilles Description : Le festival, fidèle à ses promesses d'échange et d'ouverture sur le monde, accueille pour sa 11ème édition Anne Kovalesky, Jean l'Océan et Caroline Rivas. Originaire de la région lyonnaise, A. Kovalesky déploie volontiers son sens du récit pour raconter l'itinéraire qui l'a porté : "Dans une « vie d'avant » j'étais infirmière ; au service de la vie, au service des gens. Aujourd'hui, Conteuse, je suis toujours au service de la vie, au service des gens. Le conte est un art de la relation. J'ai autant de bonheur à raconter dans un théâtre, une bibliothèque, au pied d'un arbre, dans une classe, une église, au pied d'un lit d'hôpital... Le conte apporte un supplément d'inattendu, de curiosité. Il permet de découvrir que ce que l'on sait de source sûre est déjà dans les contes." Pour sa part, J. L'Océan, né et élevé en Martinique, fut dans une vie lointaine artisan-taxi. Les routes de l'imaginaire, déjà, puisqu'il a ainsi " recueilli dans son habitacle itinérant un océan de confidences, prêté ses oreilles aux anonymes et saisi nombre de portraits." Sur le terrain artistique, il s'est d'abord formé au théâtre, où il a notamment adapté "Chemin d'école", de Patrick Chamoiseau. Un voisinage poétique et littéraire de choix pour ce conteur qui "puise son inspiration dans le métissage des races et transmet des histoires porteuses de valeurs universelles." Enfin c'est à Caroline Rivas, artiste franco-colombienne, qui "chante, joue du piano et de l'accordéon et se promène des chansons françaises, métissées, aux reprises latinos et au répertoire musette" que reviendra d'accompagner la soirée en musique Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17202 V17202 | Partager |
Festival Contes et musique dans la cité, 9ème édition. Kont épi mizik Auteur(s) : Sneessens, Cindy Nikoto Plomack, Tony Auteurs secondaires : Odent-Allet, Patrick Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation Association Virgule Extrait de : Les rencontres culturelles de la BU 2015-2016. Université des Antilles Description : Partenaire de l'association d'éducation populaire Virgul, la BU du campus de Schoelcher a accueilli, mardi 13 octobre 2015, l'une des manifestations du festival annuel Contes et musique dans la cité. A l'affiche de cette édition, invités par la BU, Cindy Sneessens, Nikoto et Tony Polomack. Née en Belgique, C. Sneessens raconte que "c'est adolescente qu'elle a entendu ses premières histoires, dans les bars : des tranches de vie mêlées de larmes, de rires et de bière. (...) En 2001, après avoir entendu une histoire plus marquante que les autres " elle est devenue conteuse, persuadée pendant un an, d'être la seule au monde à faire ce métier". Nikoto, lui, a grandi en Martinique, à l'écoute des contines de sa grand-mère, où les « différents compères » le disputaient aux génies de toutes sortes et au surnaturel le plus ébouriffant. Tous deux accompagnés du flûtiste martiniquais Tony Polomack, il restituent un imaginaire foisonnant et débridé. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15339 V15339 | Partager |
Festival Contes et musique dans la cité, 10ème édition Auteur(s) : Steward, Appoline Chavanon, Agnès Cissoko, Ali Boulo Santo Egouy, Valer Egouy, Mickaël Auteurs secondaires : Odent-Allet, Patrick Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation Association Virgule Extrait de : Les rencontres culturelles de la BU 2016-2017. Université des Antilles Description : Pour sa 10ème édition, le festival Contes et musique dans la cité présente deux virtuoses du genre et un musicien de haute tradition à la Bibliothèque Universitaire, le mardi 11 octobre 2016. Appoline Steward, comédienne, enseignante de théâtre, "a trouvé son expression dans le conte antillais et pratique le théâtre depuis plus de vingt ans. Elle a écrit plusieurs contes qu'elle a mis en scène pour et avec des enfants, le conte antillais pour enfant étant toujours à construire", ainsi que nous la présente le site d'ETC Caraïbe. En 2011, son spectacle "Les Trois grâces", huis-clos de trois s?urs liées par un lourd secret, a reçu le 1er prix d'écriture théâtrale contemporaine de la Caraïbe - Ville de Paris. Agnès Chavanon, quant à elle, conteuse de longue main, voit son nom associé à celui de Bruno de la Salle dans le regain d'intérêt suscité par cette forme d'expression orale depuis les années 70, notamment auprès des publics scolaires et de bibliothèques. Le site de l'AMAC nous invite à mieux connaître cette artiste qui interprète "grâce au conte, les relations humaines dans toutes leurs dimensions : amour, mort, guerres, misère, joie, maladie; abandon, vieillesse, tendresse, maternité...". Le spectacle est accompagné en musique par Ali Boulo Santo Cissoko, héritier d'une grande lignée de griots mandingues joueurs de kora comme le rappelle cet article de présentation d'Africultures. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16257 V16257 | Partager |
World Cultural Nomadictates: An Inquiry into the Trans-local Dynamics of Music Festivals in Morocco Auteur(s) : Moulay Driss, El Maarouf Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : The aim of this paper is to study Moroccan music festivals against the existing theories on globalization, while coming up with new concepts aimed at overcoming the problems often facing experts in popular culture and media studies who feel that globalization thesis lapses into fatal gestures of leveling, reductionism, and totalitarianism, especially when it tries to account for current discussions related to the circulation of artifacts and cultural texts. The general consensus has it that modern technologies have hugely altered the meaning and revolutionized the traditional functions attached to art and cultural industries. The grotesque circulation of western cultural artifacts is justifiably judged to be many times agonizing for theorists in cultural studies, linguistics and political science, etc who want to be sure that the unequal transmissions of products across the world will not harm local cultural, linguistic and economic capital of the less dominant other. Moroccan music festivals for instance are seen to be increasingly governed by a complex whirlpool of the far-too-melodramatic implications of today’s world global connections. In view of this, this paper, which borrows from data collected during between 2010 and 2011, will examine cultural industries, music festivals in general and the Essaouira festival in particular, in relation to world flows, while holding the argument that the appropriation of western artifacts locally has always been part of a not-so-novel process of mobility of what we call world cultural nomadictates (nomadic dictates). The paper gives a detailed definition of this concept and develops other new concepts (e.g. recurents, exclusives) related to the «glocal» face of culture and art in Morocco in an attempt to find an escape route outside the impasses of the globalization/cultural imperialism theses surrounding the study of cultural industries. To drive this idea home, we will open up the discussion at hand onto existing controversies around notions of place, authenticity, urbanism, tourism and consumption. L'objectif de cette recherche est d’étudier les festivals de musique marocains en portant un regard critique sur les théories existantes de la mondialisation et en proposant de nouveaux concepts afin de surmonter les problèmes auxquels les théoriciens de la culture populaire et des médias se sont souvent confrontés. Selon eux, le concept de mondialisation sombre dans le réductionnisme et le totalitarisme, surtout lorsqu’il s’agit de la circulation des objets et des textes culturels. Un consensus général semble s’être développé autour de l’idée selon laquelle les technologies modernes ont considérablement altéré et révolutionné le sens et les fonctions traditionnelles de l'art et des industries culturelles. L'insolite diffusion des objets culturels occidentaux est à juste titre source d’angoisse pour les théoriciens des études culturelles, de la linguistique, et des sciences politiques qui veulent s'assurer que la transmission inégale des produits dans le monde ne nuira pas au capital local, culturel, linguistique et économique de l'autre (le moins dominant). Les festivals de musique marocains, par exemple, sont perçus comme étant de plus en plus tributaires des vicissitudes de la mondialisation actuelle. Dans cette perspective, cette recherche, s'inspire de données recueillies au cours de deux années de travail de terrain (2010/2011), et se penche sur les flux mondiaux de produits culturels qui mettent en interface les industries culturelles, les festivals de musique en général et celui d'Essaouira en particulier. Elle maintient l'idée selon laquelle l'appropriation des objets occidentaux par les communautés locales a toujours fait partie d'un processus de mobilité, qui n'est pas si récent, de ce que nous appelons les ‘nomadictâtes’ culturels du monde (dictâtes nomades). En explicitant la définition de ce concept, cette recherche développe d'autres concepts liés à la notion de glocalité de la culture et de l'art au Maroc. Enfin, elle suggère aussi une issue à l’impasse des théories de la mondialisation traditionnelles et celle de l’impérialisme culturel en particulier dans lesquelles l’étude des industries culturelles semble s’être emprisonnée. Pour ce faire, nous exposons le débat actuel sur les controverses autour des notions de lieu, d'authenticité, d'urbanisme, de tourisme, et de consommation. Maroc Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5993 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5993 | Partager |
Festival Contes et Musique dans la cité, 14ème édition. Soirée contes Auteur(s) : Platon, Michel Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Association Martinique Images Extrait de : Les rencontres culturelles de la BU 2020-2021. Université des Antilles Description : Mardi 20 octobre 2020, la BU du campus de Schoelcher a accueilli la 14ème édition du Festival Contes et Musique dans la cité, organisé par l'Association Martinique Images. Cette vidéo représente un extrait de la manifestation et la prestation de Michel Platon, conteur de Martinique à l'honneur de cette édition, qui est aussi auteur et acteur de sketchs et pièces de théâtre. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V20139 V20139 | Partager |