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L’habitation Guillon : enfance et héritage de Guillaume Guillon Lethière

Aude Sildillia
25 février 2025
L’habitation Guillon est une habitation-sucrerie située à Sainte-Anne en Guadeloupe. C’est l’habitation d’origine du célèbre peintre d’histoire, Guillaume Guillon Lethière. Elle date de la seconde moitié du XVIIIe siècle et devient en 1809 la propriété de la famille Ffrench qui laisse son nom au lieu.
Carte de la Guadeloupe [par les ingénieurs géographes]
Source : Gallica.bnf.fr / BnF, [Grande carte de la Guadeloupe] / [par les ingénieurs géographes], 1763, GE SH 18 PF 155 DIV 2 P 14/1, Vue 7 (extrait). L’encadré rouge indique l’emplacement de l’habitation Guillon [1].


 

Du terrier de 1671 à l’habitation Guillon

Le site est occupé dès le début de la colonisation de la Grande-Terre comme l’atteste un recensement de 1671 appelé le terrier. A cette date, la Grande-Terre ne compte que 390 habitants (5,1 % de la population de la colonie) installés sur la côte entre Le Gosier et Saint-François. 
C’est l’habitation de Denis Bonnechère et de Jacques Cramilly qui correspond au futur emplacement de l’habitation Guillon, au quartier des citronniers. C’est une habitation-sucrerie qui mesure 100 carrés ou près de 95 ha. Denis Bonnechère y vit avec son fils et Jacques Cramilly avec son épouse Suzanne identifiée comme négresse. Ils se partagent une case en charpente, une sucrerie et un moulin à bêtes. Leur personnel se compose de cinq serviteurs blancs et de vingt esclaves. Ils sont catholiques. On voit ici l’importance de préciser la religion de ceux qui s’installent dans les colonies françaises d’Amérique. Cette préoccupation se retrouve dans l’Edit de mars 1685, appelé Code Noir qui stipule qu’il n’est toléré la pratique d’aucune religion autre que la religion catholique. 

Archives nationales d'outre-mer (France)

 

Archives nationales d'outre-mer (France)

Source : Archives nationales d’outre-mer (France), Guadeloupe : Recensement 1671-1715, FR ANOM 5 DPPC 21, vue 150 (extrait).

En 1732, la carte d’arpentage de la Grande-Terre dressée par François Marie Amaudric de Sainte Maure, un officier du régiment d’infanterie royal, montre que quasiment toute l’île de la Grande-Terre est occupée. Seules les zones de mangrove et la partie centrale correspondant aux Grands-Fonds sont inexploitées. Le territoire est découpé en parcelles numérotées et identifiées par les noms de leurs propriétaires. 

Archives nationales d'outre-mer (France)
Source : Archives nationales d’outre-mer (France), Sainte-Maure, François Marie Amaudric d’, officier du Royal-Infanterie, Plan de l’Isle Grande-Terre Guadaloupe représentant les terres telles quelles ont esté arpantées avec les noms et quantité de quarrés de cent pas de chaque particulier, 4 octobre 1732, FR ANOM 08DFC89A.

C’est la parcelle 204 qui correspond au site étudié. Le symbole pyramidal indique qu’il s’agit d’une habitation-sucrerie. Elle appartient à la famille Dubois présente en Guadeloupe depuis la fin du XVIIe siècle. Elle mesure 92 carrés et demi, soit près de 88 ha.

Grande carte de la Guadeloupe [par les ingénieurs géographes]

Extrait de la [Grande carte de la Guadeloupe] / [par les ingénieurs géographes], 1763, montrant le plan des bâtiments de l’habitation Guillon.

Trente ans plus tard, en 1763, la carte des ingénieurs géographes du roi est le premier document sur lequel figure l’habitation Guillon, à l’emplacement de l’habitation Dubois. Les cases d’esclaves sont situées à l’ouest. On distingue un groupe de 12 cases et probablement 3 autres à l’écart. Avec 2 à 3 esclaves par case en moyenne, le nombre d’esclaves est estimé à 40. Les autres bâtiments à l’est correspondent à la maison du maître, au moulin à bêtes, à la sucrerie et aux bâtiments annexes.

Grande carte de la Guadeloupe [par les ingénieurs géographes]

Extrait de la [Grande carte de la Guadeloupe] / [par les ingénieurs géographes], 1763, montrant le plan des bâtiments de l’habitation Guillon.

La famille de Guillaume Guillon Lethière

Arbre généalogique de la famille de Guillaume Guillon Lethière

(Source : Aude Sildillia) CC-BY-NC-ND

 

Le propriétaire de cette habitation, Pierre Guillon, est procureur du roi puis notaire royal. Il est né en 1722 à Saint-Pierre en Martinique. Ses parents s’installent en Guadeloupe à Sainte-Anne et son père qui se nomme également Pierre Guillon le père est procureur du roi en Grande-Terre. Il est originaire de Nantes et son épouse Magdelaine Commande vient d’une famille originaire d’Irlande. En 1762, Pierre Guillon épouse Marie-Victoire Dematterre qui meurt quatre ans plus tard, après avoir donné naissance à leur deuxième enfant. Leur premier enfant prénommé Pierre décède aussi quelques années après, âgé d’à peine 10 ans. 

Avant son mariage avec Marie-Victoire Dematerre, Pierre Guillon a eu une relation avec une de ses esclaves, Marie-Françoise Pépeÿe (Pépaÿe, Dupépaÿe). Ils ont eu trois enfants : Chouchout décédé enfant, Andrèze née en 1758 et Guillaume né le 10 janvier 1760 [2]. L’absence des actes de baptême des enfants dans le registre d’état civil des personnes libres signifie que Marie-Françoise était esclave au moment de leur naissance. Les enfants sont donc nés esclaves comme le prévoit l’article 13 du Code Noir qui stipule que les enfants héritent du statut de leur mère. Marie-Françoise est affranchie par Pierre Guillon à une date inconnue. Elle est qualifiée de libre en 1770 sur l’acte de naissance de sa fille Marie-Magdalène issue d’une autre union.
En 1774, après le décès de son fils légitime, Pierre Guillon part pour la France et confie la gestion de l’habitation à un tiers. Il emmène avec lui son fils Guillaume qui a alors 14 ans et il l’inscrit dans une école de dessin à Rouen. Guillaume n’a pas de patronyme et le Code Noir ne permet pas à son père de le reconnaître. Pierre Guillon lui donne le nom Le Tiers (qui deviendra Lethière) en raison de sa position de troisième dans la fratrie.

L'habitation Guilon et la période révolutionnaire

L’esclavage est aboli par le décret du 4 février 1794. Les anciens esclaves deviennent des cultivateurs et des domestiques soumis au travail forcé dans leurs habitations d’origine. Les habitants royalistes sont contraints à l’émigration pour échapper à la guillotine et leurs habitations sont séquestrées. Les recensements de l’an IV et de l’an V correspondant aux années 1796 et 1797, font apparaître en tant qu’économe de l’habitation Guillon, un libre de couleur, Emery Labranche qui n’est autre que l’époux d’Andrèze, la fille de Pierre Guillon. Andrèze a épousé en premières noces Isidore Goard, mulâtre libre, avec qui elle a eu deux enfants, Eusèbe et Eulalie. Elle devient veuve et épouse ensuite Emery Labranche, mulâtre libre. Le couple a aussi deux enfants : Solange et Emery fils.
En 1799, Pierre Guillon reconnaît Guillaume puis Andrèze. Guillaume Lethière devient Guillaume Guillon Lethière. 
La même année, Pierre Guillon rédige son testament dans lequel il lègue ses biens à Andrèze et Guillaume ainsi qu’une somme d’argent à deux jeunes femmes mulâtresses et à leur mère négresse. Ce sont probablement ses filles. Pierre Guillon décède à Paris le 21 mars 1800. Andrèze et Guillaume deviennent copropriétaires de l’habitation Guillon.
En 1802, après la victoire du général Richepance contre les officiers Louis Delgrès et Joseph Ignace, l’esclavage est rétabli. Le contrôle des esclaves est renforcé ainsi que la discrimination vis à vis des libres de couleur qui perdent leur statut de citoyen. Une terrible répression est menée contre ceux qui ont participé à la révolte. En octobre 1802, une insurrection se produit à Sainte-Anne. Jean-Pierre Bourgoin, le fondé de pouvoirs de Pierre Guillon, et son fils sont tués. Emery Labranche, l’époux d’Andrèze, dénonce des insurgés qui tentaient de le rallier à leur cause. Pour cela, il est récompensé par le général Lacrosse qui l’autorise à partager avec les Blancs le service de la garde nationale. 
La période révolutionnaire et les événements de 1802 déstabilisent l’économie de plantation. La Guadeloupe connaît une crise économique renforcée par les conflits maritimes entre la France et la Grande-Bretagne qui perturbent le transport des productions coloniales vers la métropole.

La vente de l'habitation Guillon

C’est dans ce contexte économique défavorable que débute en 1804 la vente de l’habitation Guillon en plusieurs parts. Les acheteurs ont des difficultés à respecter les délais de paiements et se voient appliquer des intérêts de retard. Ils transmettent leurs dettes aux acheteurs suivants et les retards de paiements s’accumulent. Des créanciers se font connaître et intentent des procès aux acheteurs. Les ayants-droits maternels de Pierre Guillon fils (1764-1774) revendiquent leurs parts dans l’habitation Guillon. En 1808, un cousin de Pierre Guillon (1722-1800), Alexandre François Delpeyrou conteste à Guillaume Lethière ses droits à percevoir l’héritage de son père, l’accusant d’être issu d’une relation adultérine. En 1810, le tribunal se prononce contre Delpeyron qui fait appel. Lethière se trouve dans l’obligation de faire établir un acte de notoriété attestant qu’à sa naissance, son père n’était pas engagé dans les liens du mariage. Plusieurs membres de la famille Dubois lui servent de témoins. Il gagne le procès contre Delpeyrou en 1819. Entretemps, en 1809, il a vendu sa part de l’habitation Guillon. Mais plus de vingt ans après la vente, il n’a toujours pas reçu la totalité des sommes qui lui sont dues. Il le mentionne en 1828 dans son testament. En 1832, lors de l’inventaire après son décès, il est encore question de sommes à récupérer.

L’habitation Guillon devient l’habitation Ffrench en 1809. Elle mesure 128 carrés, soit 121,5 ha. Elle est acquise par Pierre Paul François Ffrench et son épouse Marie-Thérèse de Vipart de Dumare. Pierre Paul François Ffrench est né en 1766 au Moule. Il est le fils de Jean Ffrench [3] né à Galway en Irlande en 1724. Il épouse Louise Thérèse de Vipart de Dumare, une créole de Guadeloupe, en 1800 à Saint-Pierre en Martinique où ils ont émigré pendant la période révolutionnaire. Mme Ffrench décède en 1813 suivie deux ans plus tard par son époux. Ils laissent quatre enfants mineurs. A la fin du XIXe siècle, l’habitation Ffrench devient la propriété de la famille Claret qui la transforme en distillerie.

Guillaume Lethière et la Guadeloupe

A Paris, Guillaume Lethière côtoie des originaires des Antilles parmi lesquels certains de ses élèves, comme le peintre guadeloupéen Jean-Baptiste Gibert. Il est très proche du général Dumas et de son fils Alexandre Dumas dit « Alexandre Dumas père ». En 1822, il peint le tableau Le serment des ancêtres qu’il offre à la république d’Haïti. On y voit deux personnages représentant le général mulâtre Alexandre Pétion et le général noir Jean-Jacques Dessalines avec à leurs pieds, une chaîne d’esclave brisée. Guillaume Lethière apporte son soutien à la cause abolitionniste tout en percevant jusqu’à la fin de sa vie des revenus issus du travail des esclaves de l’habitation Guillon. La vente de l’habitation constitue une source de revenus importante pour lui car il soutient financièrement sa famille et ses proches. Au moment où il vend sa part de l’habitation en 1809, il se trouve en Italie où il est depuis deux ans directeur de l'Académie de France à Rome. C’est son fondé de pouvoir, Philibert Reizet, qui le représente en Guadeloupe. 
Il n’a pas revu la Guadeloupe depuis son départ à l’âge de 14 ans mais il a gardé en mémoire ses paysages qu’on retrouve dans certains de ses tableaux. Il représente aussi les volcans qu’il explore durant son séjour en Italie. Ils lui rappellent certainement la Soufrière de Guadeloupe qu’il pouvait voir depuis le littoral de l’habitation Guillon, depuis le bourg de Sainte-Anne et le long du trajet vers la ville de Basse-Terre où il a pris le bateau pour la France. C’est probablement la dernière vue qu’il a eue de la Guadeloupe alors que le bateau s’en éloignait. 
Lethière a clairement revendiqué son origine guadeloupéenne par sa signature du tableau Le serment des ancêtres en y ajoutant la mention « né à la Guadeloupe, an 1760 ». Parmi les inscriptions portées sur la stèle de ce tableau, on peut lire « L’union fait la force » qui est la devise de la république d’Haïti devenue indépendante en 1804, ainsi que « Vivre libre ou mourir », devise révolutionnaire reprise en 1802 en Guadeloupe par Louis Delgrès et ses compagnons de combat. Le lien est fait entre les deux luttes pour la liberté en Guadeloupe et en Haïti. 
Les fils du peintre ont eux aussi un destin en lien étroit avec les Antilles. Alexandre son fils aîné, engagé dans la Marine, combat les Anglais en Martinique en 1807. En 1822, il se rend en Guadeloupe pour s’occuper des affaires liées à la vente de l’habitation de son père. Auguste, son deuxième fils, se rend en Haïti en 1822 avec le tableau Le serment des ancêtres qu’il est chargé de remettre au président haïtien Jean-Pierre Boyer. Le troisième fils Lucien se marie en 1823 à Port-au-Prince avec une proche parente du président haïtien. Lucien décède en Haïti et y est enterré. Il y laisse sa veuve et une fille. 
Guillaume Guillon Lethière décède à Paris le 21 avril 1832 et c’est Alexandre Dumas « père » qui prononce l’un des deux éloges funèbres.

L’héritage de l’habitation Guillon

Le moulin de l’ancienne habitation Ffrench

L’habitation Guillon n’a laissé aucune trace de ses bâtiments et de ses équipements. Il ne reste sur le site que la tour du moulin à vent construit par la famille Ffrench en 1826. Ce moulin occupe le centre d’une résidence privée et fermée.

Le moulin de l’ancienne habitation Ffrench

(Source : Aude Sildillia) CC-BY-NC-ND

Le moulin de l’ancienne habitation Ffrench

 (Source : Aude Sildillia) CC-BY-NC-ND

 

Vestiges des machines à vapeur

D’autres vestiges sont recouverts par la végétation. Ce sont des machines à vapeur datant de la fin du XIXe siècle et qui appartenaient à la distillerie Claret qui a succédé à l’habitation Ffrench.

Vestiges des machines à vapeur

(Source : Aude Sildillia) CC-BY-NC-ND

Vestiges des machines à vapeur

(Source : Aude Sildillia) CC-BY-NC-ND

Le nom Guillon a disparu de la carte de la Guadeloupe mais il est devenu célèbre grâce au parcours exceptionnel de Guillaume Guillon Lethière. Plus connu sous le nom de Lethière, il est honoré en Guadeloupe par trois rues à son nom, à Pointe-à-Pitre, à Basse-Terre et à Sainte-Anne. En 2009, une œuvre monumentale réalisée par l’artiste Richard-Viktor Sainsily-Cayol est installée au centre du rond-point de la section Ffrench. 
 

Hommage à Guillaume Guillon Lethière

Source : Aude Sildillia, Richard-Viktor Sainsily-Cayol, Hommage à Guillaume Guillon Lethière, 2008. Acier (450 × 300 cm). Sainte-Anne, Conseil régional de la Guadeloupe, CC-BY-NC-ND.

Une salle lui est dédiée au musée des beaux-arts de Saint-François. Sa biographie est présentée dans plusieurs ouvrages sur les personnages célèbres de la Guadeloupe et il a fait l’objet de la thèse de doctorat de Geneviève Capy.
Guillaume Guillon Lethière et ses œuvres représentent un précieux héritage que l’habitation Guillon laisse à la Guadeloupe et au monde. 
 

Notes

[1]   Il y a une erreur sur le patronyme, la carte indique M. Guillou au lieu de M. Guillon. 
[2] Ibid.
[3] En Guadeloupe, le nom apparaît avec un seul F (acte de mariage de Jean French à Sainte-Anne en 1763, ANOM base IREL) pour ensuite se fixer avec Ff dans le courant du XIXe siècle. 
Le doublement du f est l’écriture ancienne du F majuscule, voir le site archive.org : https://archive.org/details/keytofamilydeedc00cope/page/136/mode/2upttps://archive.org/details/keytofamilydeedc00cope/page/136/mode/2up 
 

Bibliographie

  • Adélaïde-Merlande, Jacques, Histoire des communes Antilles-Guyane, vol. 5, Italie, Pressplay, 1986, 352 p.
  • Foucart, Bruno, Capy, Geneviève, Laballe, Gérard-Florent, Guillaume Guillon Lethière, peintre d’histoire, 1760 – 1832, L’association des amis de Guillaume Guillon Lethière, Paris, 1991.
  • Lacour, Auguste, Histoire de la Guadeloupe, tome 2, 1789-1798, Basse-Terre 1837-1858, 501 p. et tome 3, 1798-1803, Basse-Terre 1837-1858, 476 p.
  • Lafleur, Gérard, « La Guadeloupe de 1803 à 1816 : de l’Empire à la Restauration », Société d’Histoire de la Guadeloupe n°172, 2015, 116 pages, [en ligne], mis en ligne le 26 février 2016, https://id.erudit.org/iderudit/1035305ar , consulté le 5 juin 2024.        
  • Lasserre, Guy, La Guadeloupe - tome 1- La nature et les hommes, Paris, E. Kolodziej – E.D.C.A., 1978, 447 p.
  • Lozère, Christelle, « Lethière and the community of caribbean artists in Paris », Guillaume Lethière catalogue (Olivier Meslay, Esther Belle, dir.), Clark Art Institute, Yale University Press, New Haven, Connecticut, 2024, pp. 109-115.
  • Madec-Capy, Geneviève, Guillaume Guillon Lethière, peintre d’histoire (1760 – 1832), thèse de doctorat sous la direction de Bruno Foucart, université Paris IV, 1998.
    Niort, Jean-François, Le Code Noir, idées reçues sur un texte symbolique, 2ème édition, Paris, Le Cavalier Bleu, 2023, 121 p.
  • Noël, Erick, Dictionnaire des gens de couleur dans la France moderne, Genève, Droz, 2011, 586 p.
  • Oriol, Timmy, « Lethière », Les hommes célèbres de la Guadeloupe, Basse-Terre, Imprimerie catholique, 1935, 352 p., [en ligne], https://issuu.com/scduag/docs/adg17099?utm_medium=referral&utm_source=www.manioc.org
  • Régent, Frédéric, « Les propriétaires d’esclaves de la Guadeloupe et la guerre pendant la période révolutionnaire, enjeux politiques, économiques et sociaux », La mer, la guerre et les affaires, Rennes 2018, pp. 255-269, [en ligne], https://books.openedition.org/pur/173682?lang=fr
  • Régent, Frédéric, Émigration et gestion des plantations pendant la liberté générale en Guadeloupe (1794-1802), La Révolution française, 15 | 2018 [en ligne], mis en ligne le 13 décembre 2018, http://journals.openedition.org/lrf/2187 , consulté le 5 juin 2024.
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  • Sildillia, Aude, L’habitation Guillon, Sainte-Anne Guadeloupe, XVIIIe - XIXe siècles, à l’origine de Guillaume Guillon Lethière (1760-1832), peintre d’histoire, Mémoire de master 2 sous la co-direction de Christelle Lozère et Erick Noël, université des Antilles, 2024.
  • Vauchelet, Louis Emile, « Lethière », La Guadeloupe et ses enfants célèbres, Paris, 1894, 130 p., [en ligne], https://issuu.com/scduag/docs/fcl15008utm_medium=referral&utm_source=www.manioc.org 

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