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Rappel de recherche : Sujet : Tomate
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Titre : Biodésinfection des sols maraîchers avec Allium spp application à la gestion du flétrissement bactérien de la tomateIntervenant principal : Debert, PeninnaEdition : Groupe français des pesticidesLieu : Burg de Case NavireDate : 28 mai 2014Extrait de : « Protection des cultures et santé environnementale : héritages et conceptions nouvelles » : congrès, le 26 mai 2014Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Le flétrissement bactérien (Ralstonia solanacearum) est une maladie dévastatrice des cultures maraîchères qui sévit principalement en zone tropicale. En Martinique, le flétrissement bactérien affecte les solanacées (tomate) et les cucurbitacées. La situation phytosanitaire est aggravée par la dissémination de l'écotype émergent de R. solanacearum (Phyl IIB/seq4NPB) qui contourne les principales sources de résistance des solanacées. Les stratégies de lutte contre cette maladie doivent être envisagées en combinant différentes méthodes (prophylactiques et culturales). Cette étude révèle que la biodésinfection des sols maraîchers avec l'oignon-pays est une méthode de biocontrôle efficace pour la gestion du flétrissement bactérien de la tomate à la Martinique.Langue : FrançaisMots-clés : Biologie - Environnement - Maladies bactériennes - Pesticides - Sols - Tomate - Écologie - Agronomie, agriculture - Sciences de la vie et de la terre - France - Martinique - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : Les nouvelles variétés de tomate sont-elles tolérantes au flétrissement bactérien ?Intervenant principal : Debert, PeninnaEdition : Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (France)Lieu : MartiniqueDate : 05 décembre 2013Extrait de : « Projet DEVAG » : conférence, le 5 décembre 2013Type : Vidéo - Colloque & conférenceDescription : "En Martinique, le flétrissement bactérien est présent sur toutes les zones maraîchères. C'est le premier facteur limitant la culture de la tomate en Martinique. Le flétrissement des solanacées est irréversible et entraîne la mort des plantes. Le sol est une source de propagation de la maladie. La résistance variétale représente une stratégie de choix en matière de lutte contre le flétrissement bactérien."Langue : FrançaisMots-clés : Agronomie, agriculture - Bactérie - Environnement (Ecosystèmes et biodiversité), santé - Sol - Solanacées - Tomate - Sciences de la vie et de la terre - Antilles Françaises - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : Quelles plantes assainissantes pour réduire l'impact du flétrissement bactérien sur tomate en Martinique ?Intervenant principal : Debert, PeninnaEdition : Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (France)Lieu : MartiniqueDate : 05 décembre 2013Extrait de : « Projet DEVAG » : conférence, le 5 décembre 2013Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Peninna Debert explique d'abord l'origine du flétrissement bactérien sur tomate en Martinique et souligne le fait que les stratégies de lutte via la résistance variétale sont peu efficaces. L'hypothèse de recherche autour de laquelle s'articule la communication est que l'introduction de plantes de service permet de réduire le potentiel infectieux du sol, tout en préservant l'activité microbienne des sols par divers processus. Il s'agit notamment de la rupture du cycle infectieux, la libération dans le sol de molécules glucides et la stimulation des communautés microbiennes du sol.Langue : FrançaisMots-clés : Agriculture tropicale - Agronomie, agriculture - Bactérie - Environnement (Ecosystèmes et biodiversité), santé - Microbe - Plante de service - Sol - Tomate - Écologie agricole - Innovation, technologies, industries - Martinique - West Indies - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : Quelles plantes de services pour réduire l'impact de la mouche blanche sur tomate à Cuba ?Intervenant principal : Fernandez Delgado, Jany (19..-....)Edition : Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (France)Lieu : MartiniqueDate : 05 décembre 2013Extrait de : « Projet DEVAG » : conférence, le 5 décembre 2013Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Jany Fernadez présente la mouche blanche comme un des principaux obstacles à la production de tomates dans le monde. Elle énumère les variétés de mouche et les biotypes présents à Cuba. Il existe environs six virus transmis par la mouche blanche à Cuba. Le plus connu est celui du flétrissement de la feuille jaune de la feuille de tomate. Afin de réduire l'impact des virus, trois espèces de plantes aromatiques ont été utilisées : le basilic, l'orican français et le thym.Langue : Espagnol, castillanMots-clés : Agronomie, agriculture - Ennemis des cultures - Environnement (Ecosystèmes et biodiversité), santé - Mouche blanche - Plante de service - Tomate - Virus - Écologie agricole - Innovation, technologies, industries - Cuba - West Indies - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : Quelles plantes de services pour réduire l'impact de la noctuelle ou de la mouche blanche sur tomate en Martinique ?Intervenant principal : Rhino, BéatriceEdition : Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (France)Lieu : MartiniqueDate : 05 décembre 2013Extrait de : « Projet DEVAG » : conférence, le 5 décembre 2013Type : Vidéo - Colloque & conférenceRésumé : Après avoir énuméré l'identité des ravageurs de la tomate, transmetteurs de virus, Béatrice Rhino présente des résultats d'essais menés sur le maïs. Il s'agit d'essais effectués dans le but de réduire l'impact de la noctuelle ou de la mouche blanche sur la tomate.Langue : FrançaisMots-clés : Agriculture tropicale - Agronomie, agriculture - Ecologie - Ennemis des cultures - Environnement (Ecosystèmes et biodiversité), santé - Mouche blanche - Plante de service - Tomate - Écologie agricole - Innovation, technologies, industries - Martinique - West Indies - 21e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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