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Rappel de recherche : Auteur : Noiriel, Gérard (1950-....)
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Titre : La relégation des récidivistes en Guyane française : les relégués au bagne colonial de Saint-Jean-du-Maroni (1887-1953)Auteur : Sanchez, Jean-Lucien (1975-....)Directeur : Noiriel, Gérard (1950-....)Lieu : Ecoe des hautes études en sciences socialesDate : 03 décembre 2009Nombre de pages : 920 p.Type : Mémoire et thèse - Thèse de doctoratRésumé : La loi sur relégation des récidivistes, promulguée le 27 mai 1885, a entraîné l'internement en Guyane Française de près de 17 893 individus. Ce dispositif répressif vise à débarrasser la France métropolitaine d'une partie de sa délinquance en l'exilant sur le territoire d'une de ses colonies. Cette loi s'étend essentiellement à des délinquants coupables de vol simple et de vagabondage commis en récidive. Elle s'attaque à des délinquants envisagés comme des incorrigibles, c'est-à-dire comme des délinquants que la pénalité classique (l'emprisonnement) ne parvient plus à corriger. Pour ce faire, cette loi aménage un quantum censé déterminer une présomption irréfragable d'incorrigibilité qui souligne par là leur dangerosité et la nécessité de les exiler hors du corps social. Mais nuisibles sur le sol de la métropole, la loi prévoit dans un second temps de leur permettre de s'intégrer au sein du tissus économique et social de la colonie et aménage différents dispositifs destinés à favoriser leur implantation durable. De 1887 à 1953, les relégués vont néanmoins être internés au sein d'im bagne colonial et être employés aux besoins de son entretien sous la contrainte de travaux forcés. Le projet d'en faire des colons reste un vœu pieux et se heurte à de nombreuses contraintes structurelles et conjoncturelles. Signalés comme des incorrigibles sur le sol de la métropole, ce stigmate les poursuit sur le sol de la colonie où il est partagé par les agents de l'administration pénitentiaire, de l'administration coloniale et par la population: locale, c'est-à-dire par tous les agents normalement en charge de faciliter et de permettre leur installation sur place.Langue : FrançaisConditions d'utilisation : Sous droitsNotice du document original : Également disponible sur theses.fr, http://www.theses.fr/2009EHES0129Provenance : Université des Antilles et de la Guyane
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Titre : Regards sur l'histoire. Rencontre-débat avec l'historien Gérard NoirielIntervenant secondaire : Gradel, Alice (1978-....)Edition : Université des Antilles (2015-....)Lieu : SchœlcherDate : 02 mai 2012Extrait de : Les rencontres culturelles de la BU 2011-2012Type : Vidéo - Entretien & présentation d'ouvrageRésumé : L'historien Gérard Noiriel nous présente l'histoire peu connue du clown Chocolat, alias Rafael, jeune esclave cubain vendu à un marchand portugais. Valet de ferme, groom puis mineur à Bilbao, le jeune Rafael arrive à Paris en 1886 et devient un artiste de cirque. Au côté de Foottit, le clown blanc, il sera l'un des personnages populaires de la scène parisienne pendant 20 ans. Quelles sont les causes de son succès ? Et les raisons de son oubli ? Retrouvez l'histoire de Rafael dans l'ouvrage de Gérard Noiriel intitulé : "Chocolat clown nègre : l'histoire oubliée du premier artiste noir de la scène française", aux éditions Bayard.Langue : FrançaisMots-clés : Chocolat (1868-1917) - Colonialisme - Couleur de peau - Danse - Discrimination - Emigration - Esclavage - Immigration - Mémoire - Presse - Racisme - Représentations et identités - Science politique - Caraïbe - Cuba - Europe - France - 19e siècleConditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modificationProvenance : Université des Antilles et de la Guyane
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