Filtrer par
6
résultats
Rappel de recherche : Auteur : Sommier, Cyriaque (19-...)
Modifier les filtres
Exporter les résultats sélectionnés
Sélectionner tous les résultats de la page
Vidéo
-
Notice détaillée
Titre : Episode 4 : FulconisIntervenant principal : Lozère, Christelle (1980-....)Intervenant secondaire : Sommier, Cyriaque (19-...)Edition : Université des Antilles (2015-....), Institut national d'histoire de l'art (France ; 2001-....), Mémorial ACTE (Pointe-à-Pitre, Guadeloupe), Laboratoire caribéen de sciences socialesDate : 04 mars 2024Extrait de : Les Rendez-vous numériques en histoire de l’art des AntillesType : Vidéo - Reportage & émissionLangue : françaisMots-clés : Activités de la vie quotidienne - Arts - Fulconis, Victor (1851-) - Professeurs (enseignement secondaire) - Arts - 19e siècleConditions d'utilisation : Sous droits
Vidéo
-
Notice détaillée
Titre : Episode 5 : PrinssayIntervenant principal : Lozère, Christelle (1980-....)Intervenant secondaire : Sommier, Cyriaque (19-...)Edition : Université des Antilles (2015-....), Institut national d'histoire de l'art (France ; 2001-....), Mémorial ACTE (Pointe-à-Pitre, Guadeloupe), Laboratoire caribéen de sciences socialesDate : 08 avril 2024Extrait de : Les Rendez-vous numériques en histoire de l’art des AntillesType : Vidéo - Reportage & émissionRésumé : L’épisode 5 est consacré à une Vue de la Guadeloupe de Jenny Prinssay, première femme peintre native des Antilles évoluant possiblement autour du cercle du peintre guadeloupéen Guillaume Lethière qui avait un atelier féminin. Baptisée le 7 août 1771 à Goyave en Guadeloupe, l’artiste est membre de la famille Bouscaren, habitant propriétaire, depuis le XVIIIe siècle. Sous l’Empire, ses Vues de la Guadeloupe et de la Martinique, exposées au Salon de Paris, ouvrent la voie à l’école française du paysage pittoresque caribéen. Inspirés par la beauté et la grandeur des paysages tropicaux, artistes natifs et voyageurs s’adonnent, dans toute la Caraïbe, à ce petit genre qui prendra un nouvel essor au XIXe siècle. Mais la présence des esclaves en silhouette et des habitations sucrières témoigne également, après le rétablissement de l’esclavage, de la réalité quotidienne aux Antilles françaises et du maintien de la violence du système esclavagiste jusqu’en 1848. Première diffusion sur Manioc le 8 avril 2024.Langue : françaisMots-clés : Esclavage - Femmes caraïbes - Peinture antillaise - Peinture de paysage - Prinssay, Jenny (1771-....) - Arts - Antilles Françaises - 19e siècleConditions d'utilisation : Sous droits
Vidéo
-
Notice détaillée
Titre : Episode 6 : Le MasurierIntervenant principal : Lozère, Christelle (1980-....)Intervenant secondaire : Sommier, Cyriaque (19-...)Edition : Institut national d'histoire de l'art (France ; 2001-....), Laboratoire caribéen de sciences sociales, Fondation pour la mémoire de l'esclavage, de la traite et de leurs abolitions (France), Université des Antilles (2015-....), Mémorial ACTE (Pointe-à-Pitre, Guadeloupe)Date : 06 mai 2024Extrait de : Les Rendez-vous numériques en histoire de l’art des AntillesType : Vidéo - Reportage & émissionRésumé : Portrait de famille accompagné d’une nourrice tenant un enfant dans ses bras (ou Choiseul-Meuse et sa famille à la Martinique, conservé au Musée d’Aquitaine de Bordeaux, est le 6e épisode de la série des rendez-vous numériques. À la fin du XVIIIe siècle, la commande du Marquis de Choiseul au peintre Marius Pierre Le Masurier de trois portraits de groupe : celui d’une famille d’esclaves, d’une famille mulâtre [les 2 conservés au Musée du Quai Branly Jacques Chirac] et de sa propre famille témoigne de sa volonté de montrer, en 1775, une société créole martiniquaise sans tension et sous contrôle des élites blanches dominantes dans le respect de la hiérarchie des races. Le portrait intime de la famille Choiseul met en avant la réussite sociale d’une famille aristocrate dans les colonies qui vit à la parisienne. À la veille de la révolution, ces trois œuvres, aussi symboliques que politiques, tentent de créer l’illusion dans les colonies du maintien des liens familiaux intergénérationnels avec ses vertus sociales par une vision idéalisée et compartimentée de la société créole d’habitation. Première diffusion sur Manioc le 6 mai 2024.Langue : françaisMots-clés : Aristocratie - Choiseul-Meuse, Maximilien Claude Joseph de (1735-1815) - Esclavage - Le Masurier, Marius-Pierre (17..-?) - Peinture coloniale - Arts - Martinique - 18e siècleConditions d'utilisation : Sous droits
-
Notice détaillée
Titre : Épisode 1 : Portrait de Maïotte AlmabyIntervenant principal : Lozère, Christelle (1980-....)Intervenant secondaire : Sommier, Cyriaque (19-...)Edition : Institut national d'histoire de l'art (France ; 2001-....), Laboratoire caribéen de sciences sociales, Fondation pour la mémoire de l'esclavage, de la traite et de leurs abolitions (France), Université des Antilles (2015-....), Mémorial ACTE (Pointe-à-Pitre, Guadeloupe)Date : décembre 2022Extrait de : Les Rendez-vous numériques en histoire de l’art des AntillesType : Vidéo - Reportage & émissionRésumé : Pour ce premier épisode, le rendez-vous met en lumière le tableau de Jacques Weismann, portraitiste des stars, intitulé Martiniquaise ou Portrait de Maïotte Almaby, compositeur de musique. La scène se passe au Casino de Paris, mythique salle de spectacle où se produit l’artiste en mars 1935, année de la célébration des fêtes du Tricentenaire du rattachement des Antilles françaises à la France. Talentueuse chanteuse, musicienne et compositrice de biguine, Maïotte Didier épouse Almaby, est représentée au sommet de sa carrière artistique. Formée au Conservatoire de Paris, puis professeur de musique au Pensionnat colonial de Fort-de-France, elle triomphe dans le Paris noir des Années folles, auteure de la chanson Madiana écrite pour Joséphine Baker. L’épisode nous plonge dans l’entre-deux-guerres où se construit à travers les arts et le folklore antillais un imaginaire assimilationniste républicain et où une élite politique, intellectuelle et artistique noire et métisse issue des « vieilles colonies » tente de s’affirmer dans un contexte impérial de fortes discriminations raciales. - Première diffusion sur Manioc le 4 décembre 2023.Langue : françaisMots-clés : Artistes noirs - Femmes - Portraits (peinture) - Weismann, Jacques (1878-1962) - Arts - Histoire - Martinique - 20e siècleConditions d'utilisation : Sous droitsProvenance : Université des Antilles
-
Notice détaillée
Titre : Épisode 2 : Hyppolite HartmannIntervenant principal : Lozère, Christelle (1980-....)Intervenant secondaire : Sommier, Cyriaque (19-...)Edition : Institut national d'histoire de l'art (France ; 2001-....), Laboratoire caribéen de sciences sociales, Université des Antilles (2015-....), Fondation pour la mémoire de l'esclavage, de la traite et de leurs abolitions (France), Mémorial ACTE (Pointe-à-Pitre, Guadeloupe)Date : décembre 2022Extrait de : Les Rendez-vous numériques en histoire de l’art des AntillesType : Vidéo - Reportage & émissionRésumé : Le second épisode se passe dans la ville de Saint-Pierre à la Martinique entre 1860 et 1880 dans le studio d’un des premiers photographes et peintres Hyppolite Hartmann, né dans le quartier du Mouillage en 1818. La carte photo représente un élégant Jeune homme antillais et métissé vu de trois quarts. Comme dans les meilleurs studios parisiens, Hartmann répond, à travers la réalisation de ces petites cartes de visite, à la mode au XIXe siècle dans les Antilles françaises du portrait bourgeois dans lequel le photographe cherche, à travers des accessoires et des poses choisis, à donner « grand air » à son modèle, à traduire au-delà de sa ressemblance physique, sa représentation morale et sa fonction sociale. En parallèle, une photographie ethnographique, envoyée par lot pour les expositions universelles, se développe dans les studios de Basse-Terre, Pointe-à-Pitre, Fort-de-France ou encore de Saint-Pierre, mettant en scène le petit peuple et notamment les femmes martiniquaises et guadeloupéennes : la marchande, la mulâtre, la négresse, l’Indienne deviennent des sujets très populaires. Ces photographies sont aujourd’hui de précieux témoignages de la société antillaise post-esclavagiste. Première diffusion sur Manioc le 8 janvier 2024.Langue : françaisMots-clés : Bourgeoisie - Hartmann, Hyppolite (1818-19XX) - Photographie coloniale - Portraits (photographie) - Arts - Histoire - Antilles - 19e siècleConditions d'utilisation : Sous droitsProvenance : Université des Antilles
-
Notice détaillée
Titre : Épisode 3 : "La Guadeloupe illustrée" Femme indienneIntervenant principal : Carien, Minakshî (1987-....) , Lozère, Christelle (1980-....) , Sainton, Jean-PierreIntervenant secondaire : Sommier, Cyriaque (19-...)Edition : Institut national d'histoire de l'art (France ; 2001-....), Laboratoire caribéen de sciences sociales, Fondation pour la mémoire de l'esclavage, de la traite et de leurs abolitions (France), Université des Antilles (2015-....), Mémorial ACTE (Pointe-à-Pitre, Guadeloupe)Date : décembre 2022Extrait de : Les Rendez-vous numériques en histoire de l’art des AntillesType : Vidéo - Reportage & émissionRésumé : Le troisième épisode porte sur l’essor aux Antilles de la carte postale dite « pittoresque ». La Guadeloupe illustrée, 89. Femme (Type n° 4) – Indienne a été commercialisée à Pointe-à-Pitre par Albert Caillé, l’un des premiers éditeurs en Guadeloupe de carte postale dans le premier quart du XXe siècle. Elle représente le portrait en noir et blanc d’une marchande indienne, d’origine dravidienne, portant sur sa tête un panier. Cette photographie rend compte de l’engagisme indien qui s’est développé en Guadeloupe entre 1850 et 1880 pour apporter une main-d’œuvre supplémentaire contrainte en mesure de suppléer les travailleurs libres qui voulaient se libérer des stigmates de l’esclavage. Popularisées par les expositions universelles et coloniales, les cartes postales ethnographiques ont nourri les imaginaires européens donnant naissance à une construction eurocentrée d’une supposée typologie des races. Aujourd’hui, un travail de mémoire se fait par les artistes et les universitaires qui déconstruisent les stéréotypes coloniaux en recherchant les identités et les trajectoires de ses femmes anonymes. Première diffusion sur Manioc le 5 février 2024.Langue : françaisMots-clés : Antillais d'origine indienne (de l'Inde) - Carte postale - Engagisme - Portraits (photographie) - Arts - Histoire - Guadeloupe - 20e siècleConditions d'utilisation : Sous droits
Save search
Recherche
25366 documents en libre accès