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  • Notice détaillée
    Titre : Cité Le Raizet, Les Abymes, 2012.
    Lieu de la prise de vue : Les Abymes
    Date : 2012
    Extrait de : Cham, la mémoire vivante
    Type : Photographie - Couleur
    Description : Enrick features a “Mas-a-fwet”, “Mas Ka Klé” group In the context of the “Mas”, the only one missing is the white colonizer, who still appears through strong symbolic objects, like the whip, and through the figure – after all omnipresent – of the white oppressor one wants to fight and in opposition of whom one is defined. For instance, the use of whips reminds of the violence of the enslavement practiced during slavery. The masks then re-appropriate the main instrument of the slavery oppression, the symbol of a traumatic submission, in a mechanism of strategic reversal. Yet, the whip is never used to physically injure. The physical violence of the whip at the hands of the master becomes here a symbolic and moral violence in the hands of the Masks, which aims to shake the memories like an electroshock.
    Mots-clés : Les Abymes - 21e siècle
    Conditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification
  • Notice détaillée
    Titre : Classe en visite à la citadelle Laferrière, Ville de Milot, 2012.
    Lieu de la prise de vue : Milot
    Date : 2012
    Extrait de : Cham, la mémoire vivante
    Type : Photographie - Couleur
    Description : En Haïti, la mémoire de l’esclavage ne coïncide pas vraiment avec la période coloniale mais plutôt avec la période des luttes de résistance, avec la Révolution et l’Indépendance. Ainsi, la plupart du patrimoine date de cette période. La forteresse Laferrière est construite après l’indépendance en 1804 par Henri Christophe, pour défendre la partie nord de l’île d’Haïti contre un éventuel retour des Français. C’est la plus grande forteresse des Caraïbes : à 900 mètres d’altitude, elle se trouve à 15 km au sud de Cap Haïtien. La citadelle possède un parc d’artillerie de plus de cent soixante canons qui n’ont été jamais déplacés. Ces pièces de bronze viennent de France, de Grande-Bretagne, d’Italie et d’Espagne et sont de véritables chefs-d’oeuvre de l’art militaire et de la technologie du XVIIIe siècle. Nombreuses sont les visites au complexe de la part de classes scolaires haïtiennes. À l’inverse, le tourisme international demeure presque inexistant, à exception des certains passagers de la compagnie de croisière Royal Caribbeen. Depuis le mois de mai 2012, des petits groupes des passagers ont commencé à visiter la citadelle Henri, en sortant pour la première fois de l’aire clôturée, qui leur est normalement réservée, pendant leur séjour en Haïti.
    Mots-clés : Milot - 21e siècle
    Conditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification
  • Notice détaillée
    Titre : Combats de coqs, une coqueleuse soutient son coq pendant un combat, à Saint Pierre, au Pitt Malgré Tout, en Martinique, 2014.
    Lieu de la prise de vue : Saint-Pierre
    Date : 2014
    Extrait de : Combats de coqs
    Type : Photographie - Couleur
    Description : Les mises vont de 300 à 6000 euros sur un combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
    Conditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification
  • Notice détaillée
    Titre : Constitution des listes des poids des coqs au Pitt Pont Vert du Lamentin, 2012.
    Lieu de la prise de vue : Le Lamentin
    Date : 2012
    Extrait de : Combats de coqs
    Type : Photographie - Couleur
    Description : Les mises vont de 300 à 6000 euros sur un combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
    Conditions d'utilisation : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification

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