Éditeur(s) : HAL CCSD Sofia : Pensoft Publishers; [s.l.] : International Society of Hymenopterists.
Résumé : International audience
ISSN: 1070-9428

hal-01095458
https://hal-agroparistech.archives-ouvertes.fr/hal-01095458

Éditeur(s) : HAL CCSD Springer Verlag
Résumé : International audience
Myrmecophytes offer plant-ants a nesting place in exchange for protection from their enemies, particularly defoliators. These obligate ant-plant mutualisms are common model systems for studying factors that allow horizontally transmitted mutualisms to persist since parasites of ant-myrmecophyte mutualisms exploit the rewards provided by host plants whilst providing no protection in return. In pioneer formations in French Guiana, Azteca alfari and Azteca ovaticeps are known to be mutualists of myrmecophytic Cecropia (Cecropia ants). Here, we show that Azteca andreae, whose colonies build carton nests on myrmecophytic Cecropia, is not a parasite of Azteca-Cecropia mutualisms nor is it a temporary social parasite of A. alfari; it is, however, a temporary social parasite of A. ovaticeps. Contrarily to the two mutualistic Azteca species that are only occasional predators feeding mostly on hemipteran honeydew and food bodies provided by the host trees, A. andreae workers, which also attend hemipterans, do not exploit the food bodies. Rather, they employ an effective hunting technique where the leaf margins are fringed with ambushing workers, waiting for insects to alight. As a result, the host trees' fitness is not affected as A. andreae colonies protect their foliage better than do mutualistic Azteca species resulting in greater fruit production. Yet, contrarily to mutualistic Azteca, when host tree development does not keep pace with colony growth, A. andreae workers forage on surrounding plants; the colonies can even move to a non-Cecropia tree.
ISSN: 0028-1042

hal-00818203
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00818203
DOI : 10.1007/s00114-010-0710-y
PUBMED : 20730522

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : National audience
Une Brésilienne de 39 ans est adressée à l’hôpital de Cayenne pour des céphalées, une confusion fébrile et une altération de l’état général. Six mois plus tôt, une infection par le VIH avait été révélée (charge virale de 147 615 copies/ ml ; CD4 à 56/ mm3), au Brésil, par un tableau de tuberculose pleuro-pulmonaire non documentée. Elle suit depuis un traitement antirétroviral et une quadrithérapie antituberculeuse, sans cotrimoxazole, traitement toujours en cours à son entrée.
La Lettre de l'Infectiologue

Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess
inserm-01423104
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http://www.hal.inserm.fr/inserm-01423104/document
http://www.hal.inserm.fr/inserm-01423104/file/2015%2C%20Epelboin%20-%20M%C3%A9ningo-enc%C3%A9phalite%20%C3%A0%20histoplasma%20capsulatum.pdf

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : National audience
A l'aire des stratégies d'accès aux traitements antirétroviraux mondialisées, la question des inégalités territoriales, questionne leur mise en place. Si les PVVIH sont particulièrement fragiles face aux violences structurelles, sociales et économiques, leur prise en charge aux frontières est souvent oubliée. Ce travail entend donc mettre en exergue une analyse de l'impact des frontières sur les PVVIH en Guyane mais aussi d'interroger de nouveaux modèles de pratiques médicales d'interface. En Guyane française, les configurations territoriales génèrent une situation singulière dans la mesure où les populations gravitent/évoluent entre une instabilité géographique (barrages policiers routiers et fluviaux, nomadisme et mobilité des populations) et des logiques d'intégration. De là, apparaît, un renforcement des vulnérabilités (psychologique, socio-économique, sanitaire, spatiale, (…) etc.), notamment chez les PVVIH. Afin d'améliorer la prise en charge de ces patients un relais avancé a été mis en place au sein du centre de santé à la frontière avec le Brésil à S t Gorges de l'Oyapock. Des médiateurs communautaires en santé sont au centre du dispositif avec les soignants du dispensaire local et un système de délocalisation des examens biologiques et avis spécialisés a été réalisé. En un an la file active de PVVIH suivis a été multipliée par 4. Cette action a permis de diminuer les délais de prise en charge des patients, réduisant également le nombre de perdus de vus. Il a été rendus possible pour exemple une prise en charge « familiale » du dépistage et des traitements impossible jusqu'à alors. Sur le plan médico-social des « staffs » transfrontaliers ont réalisés améliorant la gestion des patients dans leur globalité. Cet exemple de coopération inter-culturelle renforcée avec valorisation de l'espace comme carrefour géographique de différents flux migratoires que constitue la frontière Franco-Brésilienne fait de cet espace un lieu privilégié de médiation médicale.
Congrès 2016 de la Société française de lutte contre le sida
Montpellier, France

inserm-01475951
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http://www.hal.inserm.fr/inserm-01475951/document
http://www.hal.inserm.fr/inserm-01475951/file/2016%2C%20Mosnier%20-%20Fronti%C3%A8res%20%20limites%20ou%20espaces%20innovants%20dans%20la%20lutte%20contre%20le%20VIH.pdf