Migration noire et nationalisme noir aux Etats-Unis co-habitation ou conflit Auteur(s) : Germain, Felix. F Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe Description : Cette présentation explore les nouvelles dimensions du nationalisme noir aux Etats-Unis. Felix F. Germain résume ainsi son propos : Ici, je me contente d'explorer la façon dont les changements démographiques au sein de la diaspora africaine aux Etats-Unis affectent le nationalisme noir contemporain. Il axe son questionnement autour du positionnement des antillais et des africains face aux Afro-Américains, l'influence de ces migrants sur le nationalisme noir et l'influence des processus de migration et d'indigénisation sur le nationalisme noir. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13033 V13033 | Partager |
La démarche qualité chez les certificateurs européens en langues étrangères. Lieu de rencontres, curricula cachées et représentations stéréotypées Auteur(s) : riba, patrick Auteurs secondaires : Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Paris : L'Harmattan Résumé : International audience Les procédures que s’imposent les membres de l’association des certificateurs européens en langue, ALTE, dans le cadre de leur démarche qualité ont mis en évidence la dichotomie de cultures évaluatives distinctes. Cet article interroge les tensions méthodologiques inscrites dans une démarche qui semble ne pas être capable aujourd’hui de conjuguer inférence de compétences actionnelles en contexte et mesure de la validité et de la fiabilité, tout en soulignant qu’aucun des organismes en présence n’ignore cependant la préoccupation des autres, rendant sans doute possible le développement de recherches communes en ce sens. ISSN: 1967-5798 Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess halshs-01395787 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01395787 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01395787/document https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01395787/file/La%20d%C3%A9marche%20qualit%C3%A9%20chez%20les%20certificateurs%20europ%C3%A9ens%20en%20langues%20lieu%20de%20rencontre.pdf | Partager |
Le stéréotypage des identités collectives minoritaires Dérives identitaires et dérapages médiatiques Auteur(s) : PULVAR, Olivier Auteurs secondaires : Groupe d'Études et de Recherches en Espace Créolophone et Francophone (GEREC-F) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) ASER/DIPRALANG, Université Paul-Valéry Henri Boyer (s/d) Éditeur(s) : HAL CCSD l'Harmattan Résumé : International audience La médiatisation du thème identitaire joue un rôle central dans la discussion sur les constructions d'un « nous » et des « eux » des sociétés contemporaines. C'est une voie privilégiée par les acteurs de la vie publique afin de débattre du sujet en dehors des cercles militants et sympathisants. Elle pourrait constituer un moment durant lequel se fait le travail sur les représentations collectives de l'identité. Le traitement médiatique de cette question n'exclut pas l'existence de représentations préalables (sociales, culturelles, professionnelles) présidant à la production d'un événement dans le discours journalistique ; il n'écarte pas l'usage de procédés techniques servant les mises en scène de l'actualité. Que l'on s'intéresse à l'affirmation identitaire nationale ou bien à la revendication identitaire minoritaire, c'est l'instrumentalisation d'une identification à un lieu, à une histoire, à un être collectif qui pose problème. Le phénomène prend la forme d'un « usage sclérosant de la mémoire », d'une « auto-image adossée à des marqueurs culturels fossilisés » et d'une « dichotomie primaire de l'espace social » (DARRE 1996 : 138). On considère ici ces éléments comme des stéréotypes puisque chacun d'eux relève à la fois, d'un processus de catégorisation et de généralisation favorisant une vision schématique et déformée de l'autre d'une part, et, d'autre part, d'un processus de rupture d'avec la sensation pure permettant la compréhension et l'action sur la vie en société (AMOSSY, HERSCHBERG PIERROT 1997) 1. Le succès des usages sociaux des stéréotypes permet-il d'avancer la nécessité pour les médias eux-mêmes d'y recourir ? Que deviennent les stéréotypes identitaires proposés par tout ou partie d'un ensemble social, dès lors qu'ils sont « travaillés » par les pratiques professionnelles des journalistes ? Comment les stéréotypes s'invitent-ils et/ou sont-ils convoqués dans l'actualité médiatique ? Stéréotypage, stéréotypes : fonctionnements ordinaires et mises en scène Montpellier, France Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01152983 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01152983 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01152983/document https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01152983/file/Stereotypage_et_identites.pdf | Partager |
El lujo como construcción ontológica ambivalente Auteur(s) : Martín Hurtado Galves, José Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Se analiza críticamente al lujo como «concepto» para comprenderlo dentro de la ontologización del sujeto que lo consume y lo ostenta en la actualidad. Estas dos categorías (consumo y ostentación) permiten distinguir al sujeto en dos sentidos: primero, como alguien que busca satisfacer necesidades creadas a partir de relacionar el consumo con la estetización tanto del sujeto como del mundo que lo rodea (el objeto desde un sentido estetizante); segundo, como alguien para quien el lujo es motivo justificante de relación y de des-relación con los otros. Esto a partir de analizar su forma de «hablar» ambivalente (bidireccional): el lujo dice, pero también calla; sugiere, pero no deja de imponer; abre y cierra constantemente; limita y extiende a la vez; en fin, su manera bivalente de comprender la realidad hace que sea más que una simple forma de estar en el mundo. Lo anterior nos permite explicar el por qué de la dicotomía del lujo: para algunos resulta innecesario o superfluo; para otros, en cambio, el lujo es una forma constante de afirmarse como constructo imaginario. De esto se desprende un análisis del lujo como «objeto» y como «idea de objeto»; viendo, así, la forma en que se vuelve base movible de una estetización de comportamientos ambivalentes. En otras palabras, se trata de mirar al lujo pero sin dejar de mirar al sujeto que vive «en» y «desde el lujo». Analysed critically to the luxury as a “concept” to understand it within the ontologising of the subject that consume it and currently holds it. These two categories (consumption and ostentation) distinguish the subject in two ways: first, as someone who seeks to meet needs created from relate consumption to the aestheticisation of both the subject and the world that surrounds it (the object from a sense aestheticizing); second, as someone for whom luxury is supporting reason of relationship and des-relacion with each other. This starting to analyze his form of “speak” ambivalent (bi-directional): luxury says, but also silent; it suggests, but it doesn't impose; opens and closes constantly; limits and extends at a time; in the end, his bivalent way of understanding reality makes it more than a simple way of being in the world. This allows us to explain the reason for the dichotomy of luxury: for some it is unnecessary or superfluous; for others, on the other hand, the luxury is a constant form of asserting itself as imaginary construct. That is clear from an analysis of the luxury as «object» and «idea of object»; watching, well, how that becomes an aestheticisation of ambivalent behaviour movable base. In other words, it is the luxury look but stop looking at the subject who lives «in» and «luxury». L’analyse critique du luxe comme « concept » pour comprendre le luxe dans l'ontologisation du sujet qui le consomme et l’occupe actuellement. Les deux catégories (consommation et ostentation) distinguent le rapport à l'objet de deux façons : tout d'abord, comme quelqu'un qui cherche à répondre aux besoins créés dans une relation de consommation et d’esthétisation à la fois du sujet en lui-même et du sujet dans son rapport au monde (l'objet d'une esthétisation de sens) ; deuxièmement, comme quelqu'un pour qui le luxe soutient la construction des relations et non-relations avec les autres. Cela commence dans l’analyser sa forme de « parle » ambivalent (bidirectionnel) : ce que le luxe dit mais aussi les silencieux ; il suggère, mais il n'impose pas ; ouvertures et fermetures ; limites et extensions ; et finalement, son mode bivalent de compréhension de la réalité qui est plus qu'une simple manière d'être au monde. Ceci nous permet d'expliquer les raisons de la dichotomie de luxe : pour certains c'est inutile ou superflu ; pour d'autres, le luxe est une forme constante d'affirmation de soi-même comme construction imaginaire. Il ressort de cette analyse le luxe en tant "objet" et "idée de l'objet"; observant l'observation comment il devient une esthétisation d’un comportement ambivalent évolutif. Autrement dit, il s’agit d’étudier le luxe, mais sans négliger le sujet qui vit dans et à travers le luxe. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7315 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7315 | Partager |