Le colonel Flatters (1832-1881). Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 493) Résumé : Haut gradé et explorateur français , il part à la tête d'une mission qui porte son nom dans la perspective d'étudier la possibilité de créer une nouvelle route commerciale avec l'établissement d'une ligne de chemin de fer transsaharien entre l'Algérie et le Niger et qui finira décimée par les Touaregs Hoggar et Ajjers. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0526i1 MMC16023-1-0526i1 | Partager |
Rio de Janeiro - Accension du Corcovado. Le pont du sylvestre et le Chapeo do Sol Année de publication : Extrait de : Aperçu général : Rio-de -Janeiro - Finaces - Industries - chemins de fer - Marine Marchande - (p.27) Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA112890051i1 FRA112890051i1 | Partager |
Chemin de fer du Parana Année de publication : Extrait de : Etats de Parana et de Santa-Catharine (p.12) Résumé : Viaduc Carvalho et Tunnel du Pico do Diablo Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA112810034i1 FRA112810034i1 | Partager |
Le chemin de fer du madeira au Mamoré Année de publication : Extrait de : Etat d'Amazonas et territoire fédéral de l'Acre (p.47) Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA112830053i1 FRA112830053i1 | Partager |
Chemin de fer Sao Paulo Railway, Grotta Funda, entre Santos et Sao Paulo Année de publication : Extrait de : Etat de Sao Paulo (p.42) Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA112820064i1 FRA112820064i1 | Partager |
Pont du Paraiso - Chemin de fer Don Pedro II Année de publication : Extrait de : Voyage au Brésil (p.37) Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA112030003i1 FRA112030003i1 | Partager |
Developing New Tourism routes in Coastal Areas Auteur(s) : Flognfeldt, Thor Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : For Norwegians the name of our country is based on a route - "the way to the North" - and this was not a built route but using of the coast-line itself. As long as the boats and ships were the main means of travel this coastal way - "Nor-way" - was the main communication basis for most people, and for transport of goods. But even in the interior of the country, water, namely rivers and lakes were the main structures for communication. The lakes were most efficient for transport during the cold winters, by sledges on the frozen surfaces.When new means of transport took over most of the traffic, however, sea, lakes and rivers in many ways became obstacles instead of means of communication (?). This gave the government and others new challenges. In the sailing period up to the end of the eighteen hundreds, boats and harbors were the investment focus and sailors were recruited in every community from the age of 15. This meant that in a remote area at the Arctic Circle there were plenty of people who have been sailing around most of the work and could easily be hosts of visitors.This paper is mostly focusing on "how to market and develop these beautiful coastal areas to travelers using either their own cars, bikes, boats or collective transport". What types of geographical units are suited for marketing and developing such areas and how might local producers of accommodation, food & beverages, crafts, activities and arts be included in such organizations. The main focus will be on the work of organization "Kystriksvegen Reiseliv AS" that have been working with these challenges for closed to two decades. What have their successes and obstacles been and how have they been able to operate a sustainable business on a long coastal route with many car ferries, small islands, fjords and mountains and more than twenty municipalities. Pour les Norvégiens, le nom de notre pays est basé sur un itinéraire - «le chemin vers le Nord» - et ce n'était pas une route construite, mais qui repose sur la ligne de côte elle-même. Tant que les bateaux et les navires étaient le principal moyen de déplacement de cette façon côtière – "Nor-way" - était la base principale de communication pour la plupart des gens et pour le transport de marchandises, et même à l'intérieur du pays, l'eau, à savoir les rivières et les lacs étaient les principales structures de communication. Les lacs sont les plus efficaces pour le transport pendant les hivers froids, par traîneaux sur les surfaces gelées.Avec l’arrivée des nouveaux moyens de transport, la mer, les lacs et les rivières à bien des égards, sont devenus obstacles (?). Cela a donné de nouveaux défis au gouvernement. A l’époque de la voile jusqu'à la fin des dix-huit centaines, des bateaux et des ports ont été l'objet d'investissements et les marins ont été recrutés dans toutes les collectivités dès l’âge de 15 ans. Cela signifie que dans une région éloignée dans le cercle arctique, il y avait beaucoup de gens qui étaient navigateurs et pouvaient facilement être les hôtes de visiteurs.Ce document est principalement axé sur «la façon de commercialiser et de développer ces belles régions côtières de voyageurs qui utilisent soit leurs propres voitures, motos, bateaux ou de transports collectifs». Quels types d'unités géographiques sont adaptés pour la commercialisation et le développement de ces régions ? Comment les producteurs locaux d'hébergement, de nourriture et de boissons, d’artisanat, les activités et les arts sont inclus dans ces organisations ? L'accent principal sera mis sur le travail de l’organisation "Reiseliv AS Kystriksvegen" qui a travaillé sur ces défis de fermeture depuis deux décennies. Quelles ont été leurs réussites et obstacles, et comment ont-ils pu exploiter une entreprise durable sur une longue route côtière avec des car-ferries, de nombreuses petites îles, des fjords et des montagnes et plus d’une vingtaine de municipalités. Norvège Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5286 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5286 | Partager |