La demande de visa pour des études en France : un parcours exigeant pour les étudiants non européens Auteur(s) : Chapron, Stéphane Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Faculté de Droit et d'Economie de la Martinique Extrait de : "Les migrations" : table ronde, le 10 mars 2020. Université des Antilles Description : L'obtention d'un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) pour venir étudier en France est soumise à plusieurs règlementations. Elle constitue un long processus comportant deux étapes successives assorties d'une part d'un volet académique et d'autre part d'un volet consulaire. Le premier volet concerne l'admission de l'étudiant dans un établissement d'enseignement supérieur. Les conditions qui encadrent cette admission concernant les étudiants non ressortissants de l'Union Européenne ou de l'Espace Economique Européen, font l'objet de divers critères. En effet, elles diffèrent selon la nationalité des candidats, leur pays de résidence et le niveau des études visées par ces derniers. Le second volet a trait au dépôt de la demande de visa après avoir été admis dans un établissement. Cette demande est dans un premier temps recevable et dans un second temps acceptée, sous réserve de fournir aux autorités consulaires plusieurs documents justificatifs. Dans cette communication, Stéphane CHAPRON, Doctorant en droit public, au regard des textes normatifs entre autres la Directive UE 2016/801 du Parlement Européen et du Conseil du 11 mai 2016, le Code de l'éducation et le Code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, applicables en la matière, explique les exigences auxquelles font face les étudiants non européens pour obtenir un visa. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V20120 V20120 | Partager |
Le programme ELAN de Campus France Auteur(s) : Darius, Urdine Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Faculté de Droit et d'Economie de la Martinique Extrait de : "Les migrations" : table ronde, le 10 mars 2020. Université des Antilles Description : Urdine Darius nous présente le projet ELAN (ECHANGES LINGUISTIQUES ET APPRENTISSAGE NOVATEUR PAR LA MOBILITÉ). OBJECTIF GLOBAL : -Conception d'une banque de stages à l'échelle régionale -Mise en place de bourses pour soutenir la mobilité (entrante et sortante) étudiante, enseignante et universitaire, ainsi que celle des stagiaires de la formation professionnelle et la programmation d'actions conjointes de promotion, afin d'accroître la visibilité de l'offre de formations supérieures aux Antilles -L'identification des formations universitaires d'excellence dans les Antilles, dans les Etats de l'OECS, sur les principaux campus de l'Université des West Indies et dans les deux universités partenaires en HAITI, -Une meilleure valorisation des programmes Européens de mobilité étudiante étendus aux pays non communautaires, -La diffusion aux populations des résultats positifs du projet par une communication active sur les opportunités de mobilité dans la Caraïbe Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V20121 V20121 | Partager |
De l’attractivité universitaire en contexte de crise : réflexions sur les mobilités des étudiants haïtiens en Afrique dans la gestion de l’après-séisme de 2010 Auteur(s) : Eyebiyi, Elieth Carrausse, Séverine Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La question de l’attractivité est souvent évoquée par plusieurs auteurs pour expliquer les mobilités étudiantes, qu’elles soient internationales ou régionales. L’attractivité du pays d’accueil ou des universités accueillantes font ainsi partie des logiques explicatives avancées. Ce papier part du contexte de crise universitaire et académique généré par le séisme de 2010 à Haïti pour réfléchir sur les fluctuations de la notion d’attractivité dans le cadre de mobilités étudiantes quasiment forcées et actées depuis des pays africains. Et ceci, en examinant des programmes de mobilité proposés par le Bénin et le Sénégal aux étudiants haïtiens au moment où la plupart des pays du Nord optaient davantage pour une délocalisation des étudiants haïtiens ou un maintien sur place. Notre propos relativise fortement le critère d’attractivité comme déterminant majeur des mobilités étudiantes en contexte de crise de l’institution universitaire. The issue of attractiveness is often mentioned by several authors to explain international or regional student’s mobilities. The attractiveness of the host country, or host universities are part of the explanatory logic’s scheme. This paper mobilizes the context of academic crisis generated by the 2010’s earthquake in Haiti to examine the meanings of the concept of attractiveness in the almost forced student mobility and originated from African countries. And this, by examining institutional and political springs of mobility programs offered by Benin and Senegal to Haitian students while most northern countries opted to relocate Haitian students or maintain them on site. Our analysis highly relativizes attractiveness as major determinant of student mobility in the context of academic crisis generated by natural disaster. Bénin Haïti Sénégal Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7578 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7578 | Partager |