Société civile et intervention sociale ; : L’accès au service de l’eau potable au Venezuela Auteur(s) : Péné-Annette, Anne Auteurs secondaires : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine- Géographie, Développement, Environnement de la Caraïbe [EA 929] (AIHP-GEODE) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : Au Venezuela, comme dans d'autres pays d'Amérique latine, « l'accès à l'eau pour tous » constitue une cause de tensions entre la société civile et les pouvoirs publics. De plus, la croissance rapide de l'urbanisation, souvent de manière désorganisée, selon des critères de planification urbaine, se caractérise par une déficience en réseaux d'adduction d'eau et (encore plus) en réseaux d'assainisse-ment. Cette situation est accentuée dans les quartiers urbains les plus défavorisés, qualifiés officiellement de « marginaux » jusqu'à la fin des années 1990. Ces territoires urbains représentent environ les deux tiers de la population urbaine du Venezuela, en sachant que ce pays, avec un taux d'urbanisation de l'ordre de 85 %, fait partie du peloton de tête des pays urbanisés de l'Amérique latine. A partir de 1999, la nouvelle Constitution intitulée « Constitution bolivarienne » met en avant la société civile de façon plus explicite. Les habitants des barrios 1 symbolisent alors, dans ce texte de référence ainsi que dans les discours du président de la République bolivarienne Hugo Frias Chavez, une société civile qui a contribué au changement de régime politique et à l'impulsion d'un programme poli-tique se qualifiant de « socialisme du XXI e siècle ». L'accès à l'eau et à l'assainissement rentre dans les priorités du programme économique et social de ce nouveau gouvernement, visant à diminuer rapidement la pauvreté et à améliorer nettement l'accès à un service urbain de qualité. Dans ce contexte, ces mesures se réalisent dans le cadre de « missions » 2 financées par l'Etat dans les domaines de la santé, de l'éducation etc. Le secteur de l'eau s'avère donc un secteur clé de l'intervention sociale, qu'elle se concrétise par la mobilisation de la société civile et/ou par l'implication des pouvoirs publics. Par « intervention sociale », nous nous intéressons au mode de participation d'acteurs de la société civile ou de représentants de collectivités locales etc. Par « mobilisation », nous considérons tout rassemblement de personnes qui se tra-duit par une mise en action commune. https://hal.univ-antilles.fr/hal-01133636 Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01133636 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01133636 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01133636/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01133636/file/A%20P%C3%A9n%C3%A9-Annette%20com_colloque%20intervention%20PRINTEMPS%20au%2024%2002%202013.pdf | Partager |
L'inventaire général du patrimoine culturel : un outil scientifique au service de l'aménagement urbain ; L'inventaire général du patrimoine culturel : un outil scientifique au service de l'aménagement urbain Auteur(s) : Kissoun, Bruno Kissoun, Bruno Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe INRAP : Institut National de Recherches Archéologiques Préventives AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe INRAP : Institut National de Recherches Archéologiques Préventives Extrait de : "La valorisation du patrimoine urbain dans les territoires antillais et guyanais" : journées d'étude, du 12 au 14 octobre 2016. Université des Antilles Description : L'inventaire général du patrimoine culturel, service de recherche et de documentation, créé en 1964 a développé une méthode scientifique nationale pour ses enquêtes et a constitué peu à peu la plus importante documentation historique, graphique et photographique sur l'ensemble du patrimoine français, architectural et mobilier. Par ses enquêtes topographiques ou thématiques, il contribue activement à l'élargissement de la notion de patrimoine. L'inventaire délivre un état des lieux, une carte d'identité du territoire qui permet de localiser, d'identifier et de qualifier l'ensemble des objets architecturaux ou mobilier qui forment le paysage urbain ou rural. L'inventaire se veut un outil de gestion territoriale en matière d'aménagement, de protection, de mise en valeur culturelle et touristique. Dans le domaine de l'aménagement urbain, les capacités d'identification et d'évaluation, l'exhaustivité des études permettent une réelle appréciation et d'évaluation du patrimoine en identifiant les vrais « points forts ». Cet exposé s'appuie sur l'inventaire du patrimoine de la ville de Pointe-à-Pitre, conduit depuis 2001. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16277 V16277 V16277 | Partager |
Étude de la complexité de la gestion des espaces publics à vocation de transport à Dakar (Sénégal) Auteur(s) : Samba Wade, Cheikh Tremblay, Rémy Mamadou Ndiaye, El Hadji Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’organisation et la gestion des espaces publics en milieu urbain sont au centre des préoccupations de la puissance publique. Cet intérêt est lié dans les pays en développement aux nombreux dysfonctionnements recensés dans la ville. Ces difficultés sont entretenues par la démographie galopante, l’urbanisation informelle et à l’accroissement des activités industrielles, commerciales entre autres. À Dakar, la question de la mobilité urbaine est exacerbée par les puissants mouvements pendulaires entre la ville centrale et la périphérie amplifiés par les stationnements anarchiques et par l’inorganisation des modes de transports urbains.Le type d’espace public choisi pour cet article est une gare routière située au cœur du Plateau de Dakar : Petersen. Elle apparaît comme l’une des plus importantes gares routières du pays, surtout en matière de fréquentation avec plus de 50 000 personnes par jour. Le mode de gestion appliqué ici est la concession, une convention par laquelle la puissance publique confie la gestion de l’équipement à la SAGES une structure privée prenant en charge les intérêts parfois très contradictoires des différents acteurs. The organization and management of public spaces in urban areas is a central concern of public authorities. This interest is linked in developing countries with numerous shortcomings identified in the city. These difficulties sustained by massive population growth, urbanization informal, and increased industrial activities, commercial and others. In Dakar, the question of urban mobility is exacerbated by the significant commuting between the city center and the periphery that are amplified by the chaotic parking lots and the disorganization of urban transport modes.The type of public space chosen for this article is a bus station in the heart of the Plateau de Dakar: Petersen. It appears as one of the largest bus stations in the country, especially in terms of attendance with over 50,000 people per day.The management method applied here is the concession, an agreement by which the public entrusts the management of equipment at the SAGES, a private organization that supports some very conflicting interests of different actors. Sénégal Dakar Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7858 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7858 | Partager |
Etude de la complexité de la gestion des espaces publics à vocation de transport à Dakar (Sénégal) Auteur(s) : Wade, Cheikh Samba Tremblay, Rémy Ndiaye, El Hadji Mamadou Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane Résumé : L’organisation et de la gestion des espaces publics en milieu urbain est au centre des préoccupations de la puissance publique. Cet intérêt est lié dans les pays en développement aux nombreux dysfonctionnements recensés dans la ville. Ces difficultés entretenues par la démographie galopante, l’urbanisation informelle et à l’accroissement des activités industrielles, commerciales entre autres. A Dakar, la question de la mobilité urbaine est exacerbée par les puissants mouvements pendulaires entre la ville centrale et la périphérie amplifiés par les stationnements anarchiques et par l’inorganisation des modes de transports urbains.Le type d’espace public choisi pour cet article est une gare routière située au cœur du Plateau de Dakar : Petersen. Elle apparaît comme l’une des plus importantes gares routières du pays, surtout en termes de fréquentation avec plus de 50 000 personnes par jour. Le mode de gestion appliqué ici est la concession, une convention par laquelle la puissance publique confie la gestion de l’équipement à la SAGES une structure privée prenant en charge les intérêts parfois très contradictoires des différents acteurs. The organization and management of public spaces in urban areas is a central concern of public authorities. This interest is linked in developing countries with numerous shortcomings identified in the city. These difficulties sustained by massive population growth, urbanization informal, and increased industrial activities, commercial and others. In Dakar, the question of urban mobility is exacerbated by the significant commuting between the city center and the periphery that are amplified by the chaotic parking lots and the disorganization of urban transport modes.The type of public space chosen for this article is a bus station in the heart of the Plateau de Dakar: Petersen. It appears as one of the largest bus stations in the country, especially in terms of attendance with over 50,000 people per day.The management method applied here is the concession, an agreement by which the public entrusts the management of equipment at the SAGES, a private organization that supports some very conflicting interests of different actors. urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.4445 http://etudescaribeennes.revues.org/4445 | Partager |