Éditeur(s) : CEREAP : Centre d'Etudes et de Recherches en Esthétique et Arts Plastiques IUFM : Institut Universitaire de Formation des Maîtres de Martinique Université des Antilles et de la Guyane CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines
Extrait de : "Regards croisés sur : Le détournement dans l'Art" : Conférence du CEREAP, le 13 mars 2012. Institut Universitaire de Formation des Maîtres de Martinique
Résumé : La 6ème conférence du CEREAP s’organise autour de la thématique du détournement en Art.
La 6ème conférence du CEREAP s’organise autour de la thématique du détournement en Art.
Siècle(s) traité(s) : 19
Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification
Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12159
V12159
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V12159

Éditeur(s) : Université des Antilles et de la Guyane CEREAP : Centre d'Etudes et de Recherches en Esthétique et Arts Plastiques IUFM : Institut Universitaire de Formation des Maîtres de Martinique CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines
Extrait de : "Regards croisés sur : L'hybridation dans l'Art" : Conférence du CEREAP, le 18 octobre 2011. Institut Universitaire de Formation des Maîtres de Martinique
Résumé : Pour illustrer une nouvelle série sur l'Art et la Culture, le CEREAP propose le thème suivant : « Regards croisés sur l'hybridation dans l'Art ». Qu'est-ce que l'hybridation en Art plastique ? Quelle démarche artistique se cache derrière ce nouveau langage ? Comment l'hybridation s'intègre-t-elle dans la peinture et la photographie ? Et qui sont les artistes qui adoptent ce nouveau modèle d'expression (Jane Alexander, Sigmar Polke, Orlan etc). Cette conférence est suivie par un débat avec les intervenants.
Pour illustrer une nouvelle série sur l'Art et la Culture, le CEREAP propose le thème suivant : « Regards croisés sur l'hybridation dans l'Art ». Qu'est-ce que l'hybridation en Art plastique ? Quelle démarche artistique se cache derrière ce nouveau langage ? Comment l'hybridation s'intègre-t-elle dans la peinture et la photographie ? Et qui sont les artistes qui adoptent ce nouveau modèle d'expression (Jane Alexander, Sigmar Polke, Orlan etc). Cette conférence est suivie par un débat avec les intervenants.
Siècle(s) traité(s) : 20
Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification
Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12118
V12118
V12118
V12118

Éditeur(s) : HAL CCSD Société géologique de France
Résumé : Rock foundations of the Kephren and Kheops pyramids are examined in comparison with other Fourth Dynasty monuments: the Sphinx, Queen Kentkawes' monument and the Abu Rawash monument. This study is based on geological and topographical observations, photomontages and field measurements. The results, which are correlated with those of former studies, demonstrate the existence of natural hills used as substrata in the construction of the two great pyramids. The minimum volume of these hills can be estimated at 12% and 23% respectively of the volumes of the Kephren and Kheops pyramids. The use of worked rock hills appears to be a construction method under the Fourth Dynasty.
EISSN: 1777-5817

hal-00512644
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00512644

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : 22 pages; 20 figures
Rock foundations of the Kephren and Kheops pyramids are examined in comparison with other Fourth Dynasty monuments: the Sphinx, Queen Kentkawes' mastaba and the Abu Rawash pyramid. This study is based on geological and geomorphological observations, visual observation, and photomontages. Results, correlated with those of former studies, demonstrate the existence of natural hills used as substrata in the construction of the two great pyramids. The minimum volume of these hills can be estimated at 12% and 23% respectively of the volumes of the Kephren and Kheops pyramids. The use of worked rock hills appears to be a characteristic of the construction methods under the Fourth Dynasty.
Le substratum rocheux des pyramides de Kheops et Khephren est étudié en comparaison avec celui d'autres monuments de la quatrième dynastie de l'ancienne Egypte : le Sphinx, le mastaba de la reine Kentkawes et la pyramide d'Abu Rawash. Cette étude est basée sur des observations géologiques et géomorphologiques, l'observation visuelle et des photomontages, ainsi que des mesures réalisées sur le terrain. Les résultats, corrélés avec ceux d'études antérieures, démontrent l'existence de collines naturelles utilisées comme assises pour la construction des deux grandes pyramides. Le volume minimum de ces collines peut être estimé par rapport au volume total à 12% pour Khephren et 23% pour Kheops. L'utilisation de collines rocheuses pour asseoir la construction d'un monument apparaît être caractéristique des méthodes de construction utilisées sous la quatrième dynastie.
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00319586

hal-00319586
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00319586
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00319586/document
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00319586/file/PyramidsSR.pdf