Éditeur(s) : CAGI : Centre d'Analyse Géopolitique et Internationale CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Mémorial ACTe
Extrait de : "Les résistances politiques à l'esclavage dans l'espace colonial français (1750-1850) : essai de théorisation (définitions, typologies, comparaisons)" : grand séminaire d'histoire des outre-mers, du 3 au 8 février 2014. Université des Antilles et de la Guyane
Description : M. Bélénus nous propose une étude sur la Guadeloupe en 1802 sur le combat entre Louis Delgrès et Antoine Richepance.
Siècle(s) traité(s) : 19
Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification
Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15038
V15038

Éditeur(s) : CAGI : Centre d'Analyse Géopolitique et Internationale CNRS : Centre National de la Recherche Scientifique CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Mémorial ACTe
Extrait de : "Les résistances politiques à l'esclavage dans l'espace colonial français (1750-1850) : essai de théorisation (définitions, typologies, comparaisons)" : grand séminaire d'histoire des outre-mers, du 3 au 8 février 2014. Université des Antilles et de la Guyane
Description : M. Régent nous pose la question suivante : "La rébellion de mai 1802 peut-elle être considérée comme un acte de résistance antiesclavagiste ?". Une étude autour de plusieurs axes : L'Historiographie de la révolte de 1802, Napoléon Bonaparte : un esclavagiste pragmatique, "les instructions secrètes de Napoléon Bonaparte".
Siècle(s) traité(s) : 19
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V15039

Extrait de : Grandes figures coloniales II : Le Général Richepanse, la Guadeloupe de 1801 à 1810 (En regard de la première de couverture)
Résumé : Portrait du général français Antoine Richepanse -ou Richepance-(1770 - 1802). En 1802, sous le régime du Consulat dirigé par Napoléon Bonaparte,le général Richepanse est nommé général en chef de l'armée expéditionnaire de la Guadeloupe, où il trouve la mort la même année après avoir contracté la fièvre jaune.
Siècle(s) traité(s) : 19
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PAP111210010i1

Éditeur(s) : Guesde, L.
Extrait de : La Guadeloupe : leçons d'histoire locale (fr)
Description : Le fort-Richepance s'appelait autrefois le Fort Saint-Charles, du prénom du Gouverneur Houël qui le fit éditer. Ce fort a été pendant longtemps la résidence du chef de la colonie. Le nom du Fort Richepance que au fort Saint-Charles un arrêté consulaire du 30 mars 1802, rappelle la monstrueuse campagne dont le résultat a été le rétablissement de l'esclavage à la Guadeloupe. Dans le fort, tout à l'extrémité de l'enceinte, à l'angle de la plate forme supérieure, et en face du pont du Galion, se trouve un petit cimetière. Il y a là huit tombeaux, assez bien conservés. Parmi eux ceux des généraux Richepance, Ambert, celui de l'amiral Gourbeyre, etc...
Siècle(s) traité(s) : 18
Droits : Domaine public
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PAP111780024i1