Predictive models, climatic fluctuations, and settlement systems in Pre-Columbian archeology Auteur(s) : Look, Cory Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Conseil général de la Martinique Association Ouacabou AIAC : Association Internationale d'Archéologie de la Caraïbe Université des Antilles et de la Guyane. Faculté des lettres et sciences humaine Extrait de : 24e congrès international de l'Association internationale d'archéologie de la Caraïbe, du 24 au 29 juillet 2011. Université des Antilles et de la Guyane" Description : Une étude des paysages insulaires. L'interaction entre l'homme et son environnement. Comprendre les changements causés par les aléas naturels sur le mode de vie des hommes, leurs adaptations face aux dangers (cyclone, tempête, éruption volcanique). Et comprendre l'histoire des aléas climatiques au cours des siècles. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12080 V12080 | Partager Voir aussi Catastrophe naturelle Mémoire Archéologie Climat Environnement Antigua-et-Barbuda Montserrat ; Télécharger |
Les éruptions volcaniques historiques aux Petites Antilles : inventaire et spatialisation des impacts physiques et humains Auteur(s) : Lalubie, Guillaume Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : IRD : Institut de Recherche pour le Développement Université des Antilles et de la Guyane Extrait de : "Projet CARIBSAT, système caribéen d'information environnementale" : conférence, le 21 mars 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : L'intervention présente l'étendue des aléas volcaniques et l'impact des éruptions sur les sociétés caribéennes. L'auteur fait l'inventaire de l'activité volcanique historique et rappelle la gestion de crise après mai 1902. Il traite également de la spatialisation des impacts physiques et humains des éruptions historiques aux Petites Antilles, ou encore des relations entre les aléas volcaniques et les réactions humaines. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13103 V13103 | Partager |
Future eruption of Mount Pelée : risk and perception ; La futura erupción de la Montagne Pelée: riesgo y percepción ; La future éruption de la montagne Pelée: Risque et représentations Auteur(s) : D'ercole, Robert Rançon, Jean-Philippe Auteurs secondaires : Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) (BRGM) Éditeur(s) : HAL CCSD Maison de la géographie Résumé : International audience The paper points out the main divergences between the points of view of the inhabitants of Morne-Rouge (Martinique, French West Indies) and of volcanologists regarding the characteristics of a future eruption of Mount Pelée. The study is based on comparisons between the public’s perception of potentially threatened areas and scientific hazard maps. El artículo trata de evidenciar las principales discrepancias entre el punto de vista de la población del Morne-Rouge (Martinica) y el de los vulcanólogos en cuanto a las características de una erupción venidera de la montagne Pelée. El estudio se funda, en particular, en una comparación entre la cartografía de la percepción de las zonas amenazadas y la cartografía de las zonas de amenazas volcánicas realizada por los científicos. L’article met en évidence les principales divergences entre le point de vue des habitants du Morne-Rouge (Martinique) et celui des volcanologues à propos des caractéristiques d’une prochaine éruption de la montagne Pelée. Il s’appuie notamment sur une cartographie de la perception des espaces menacés, confrontée à l’évaluation scientifique des types et des zones d’aléa volcanique. ISSN: 1769-7298 Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01161639 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01161639 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01161639/document https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01161639/file/PELEE.pdf | Partager |
La población de la provincia de Pichincha frente al volcán Cotopaxi. Peligros, riesgo y vulnerabilidad ; La population de la province du Pichincha face au volcan Cotopaxi. Aléas, risque et vulnérabilité Auteur(s) : D'Ercole, Robert Auteurs secondaires : Université des Antilles et de la Guyane (UAG) IGM IPGH ORSTOM Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : International audience El objetivo de esta lámina es presentar, para las regiones próximas a Quito, documentos que integran el componente humano del riesgo ligado al volcán Cotopaxi. Tales documentos complementan el mapa de las amenazas potenciales del volcán Cotopaxi que no proporciona sino el componente físico (tipos de peligros, magnitud, extensión potencial de los productos y probabilidad de ocurrencia). Le but de cette planche est de présenter, pour les régions proches de Quito, des documents intégrant la composante humaine du risque lié au volcan Cotopaxi. Ces documents sont complémentaires de la carte des menaces potentielles du volcan Cotopaxi qui n’en fournit que la composante physique (types d’aléas, magnitude, extension potentielle des produits et probabilité d’occurrence). Atlas infographique de Quito: socio-dynamique de l'espace et politique urbaine. Atlas Infográfico de Quito : socio-dinámica del espacio y política urbana. Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess hal-01194891 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01194891 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01194891/document https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01194891/file/D%27Ercole%201992%20-%20La%20poblaci%C3%B3n%20de%20la%20provincia%20de%20Pichincha%20frente%20al%20volc%C3%A1n%20Cotopaxi..pdf | Partager |
How wide is the seismogenic zone of the Lesser Antilles forearc? Auteur(s) : Gutscher, Marc-andre Westbrook, Graham Marcaillou, Boris Graindorge, David Gailler, Audrey Pichot, Thibaud Maury, Rene Éditeur(s) : Soc Geol France Résumé : The Lesser Antilles subduction zone has produced no recent strong thrust earthquakes, making it difficult to quantify the seismic hazard from such events. The Lesser Antilles arc has a low subduction rate and an accretionary wedge that is very wide at its southern end. To investigate the effect of the wedge on seismogenesis, numerical models of forearc thermal structure were constructed along six transects perpendicular to the arc in order to determine the thermally predicted width of the seismogenic zone. The geometry of each section is constrained by published seismic profiles and crustal models derived from gravity and seismic data and by earthquake hypocenters at depth. A major constraint on the deep part of the model is that mantle temperature beneath the volcanic arc should achieve a temperature of 1,100 degrees C to generate partial melts. Predicted surface heat flow is compared to the available heat flow observations. Thermal modeling results indicate a systematic southward increase in the width of the seismogenic zone, more than doubling in width from north to south and corresponding to a dramatic southward increase in forearc width (distance from the arc to the deformation front of the accretionary wedge). The minimum width of the seismogenic zone (distance between the intersections of the subduction interface with the 150 degrees C and 350 degrees C isotherms) increases from about 80 km, north of 16 degrees N, to 230 km, at 13 degrees N. The maximum width (between the 100 degrees C and 450 degrees C isotherms) ranges from about 150 km in the north to up to 320 km in the south. This large variation in the width of the seismogenic zone is a consequence of the increasing width of the accretionary wedge to the south, caused by the increased thickness of sediment on the subducting plate. There is good agreement between the thermally predicted seismogenic limits and the sparse distribution of recorded thrust earthquakes, which are observed only in the northern portion of the arc. Possible scenarios for mega-thrust earthquakes are discussed. Depending on the segment length (along-strike) of the rupture plane, the occurrence of an event of magnitude 8-9 cannot be excluded. L’absence de grands séismes récents à mécanismes chevauchants dans la zone de subduction des Petites Antilles rend difficile l’évaluation de l’aléa sismique lié à de tels événements. L’arc des Petites Antilles est caractérisé par une faible vitesse de subduction et par la présence d’un prisme d’accrétion très développé à son extrémité méridionale. Afin d’évaluer les effets de la largeur de ce prisme sur la genèse des séismes, nous avons étudié six sections perpendiculaires à l’arc, du nord au sud de celui-ci, pour déterminer la largeur de la zone sismogène prédite par les modèles thermiques appliqués à chacune de ces coupes. La géométrie de ces dernières est contrainte par les profils sismiques publiés, par les modèles de structure crustale déduits des données gravitaires et sismiques, et enfin par la distribution des hypocentres des séismes. Un contrôle important permettant de tester la validité des modèles thermiques en profondeur est qu’une température minimale de 1 100oC, compatible avec la fusion partielle du manteau hydraté, doit être atteinte sous l’arc volcanique actif. Par ailleurs, le flux thermique en surface prédit par ces modèles doit être compatible avec les mesures de flux de chaleur. Les modèles thermiques retenus d’après ces critères montrent une augmentation du simple au double vers le sud de la largeur de la zone sismogène, qui correspond à un élargissement considérable de la taille du domaine avant-arc. En effet, la largeur minimale de la zone sismogène (définie comme la distance entre les intersections de l’interface des plaques avec les isothermes 150o et 350oC) augmente d’environ 80 km au nord de 16oN jusqu’à 230 km à 13oN. La largeur maximale de cette zone (définie par les intersections de l’interface avec les isothermes 100o et 450oC) augmente, quant à elle, d’environ 150 km au nord jusqu’à 320 km au sud de l’arc. Cette variation considérable est la conséquence de l’augmentation de la largeur du prisme d’accrétion, elle-même causée par l’accumulation croissante des sédiments déposés sur la plaque plongeante. Les largeurs de la zone sismogène prédites à l’aide des modèles thermiques sont en bon accord avec les rares données disponibles sur les séismes à mécanismes chevauchants dans la partie nord de l’arc. Les scénarios possibles relatifs à des méga-séismes de ce type n’excluent pas de futurs événements atteignant des magnitudes de 8 à 9. Bulletin De La Societe Geologique De France (0037-9409) (Soc Geol France), 2013 , Vol. 184 , N. 1-2 , P. 47-59 Droits : 2013 Societe Geologique de France http://archimer.ifremer.fr/doc/00140/25140/29432.pdf DOI:10.2113/gssgfbull.184.1-2.47 http://archimer.ifremer.fr/doc/00140/25140/ | Partager |