Trois-Îlets, La Poterie. Hector Garcin, potier, et ses œuvres Auteur(s) : Lameynardie, Arlette Éditeur(s) : Musée départemental d'archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique 2012.0.1.251 Trois-Îlets (Les) La Poterie (Trois-Îlets) Droits : Reproduction soumise à autorisation du Musée départemental d’archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011423604740RLeA4q | Partager |
Les Trois-Îlets, la Poterie. paysage agricole ; activité de céramique : poterie rouge Auteur(s) : Lameynardie, Arlette Éditeur(s) : Musée départemental d'archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique 2012.0.1.202 Trois-Îlets (Les) La Poterie (Trois-Îlets) Droits : Reproduction soumise à autorisation du Musée départemental d’archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011423604740hPwbsE | Partager |
Le patchwork, cadastre textile des Etats-Unis : l'Amérique au fil de ses map quit Auteur(s) : Chouard, Géraldine Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CEREAP : Centre d'Etudes et de Recherches en Esthétique et Arts Plastiques Extrait de : "Cartographies et topologies identitaires" : journée d'étude, le 1er mars 2018. Université des Antilles Description : Géraldine CHOUARD, Professeure de culture américaine, nous explique dans ce morceau le lien entre le Patchwork et la Cartographie américaine. Élément majeur dans l'artisanat, le Patchwork constitue une oeuvre textile très ancrée dans la culture américaine, en ce sens qu'il traduit toutes les diversités identitaires aux Etats-Unis. Cette oeuvre d'art aussi dotée d'un mimétisme qui encadre la construction cartographique du pays Etats par Etats. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V18038 V18038 | Partager |
Fort-de-France, centre-ville. Musée départemental de l'Archéologie précolombienne et de Préhistoire et ses collections Auteur(s) : Lameynardie, Arlette Éditeur(s) : Musée départemental d'archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique 2012.0.1.200 Fort-de-France Centre ville (Fort-de-France) Rue de la Liberté (Fort-de-France) Droits : Reproduction soumise à autorisation du Musée départemental d’archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011423604740qUyJSU | Partager |
Fort-de-France, centre-ville. atelier de joaillerie et exposition de bijoux créoles Auteur(s) : Lameynardie, Arlette Éditeur(s) : Musée départemental d'archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique 2012.0.1.172 Fort-de-France Centre ville (Fort-de-France) Droits : Reproduction soumise à autorisation du Musée départemental d’archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011423604740f45wS5 | Partager |
Sainte-Marie, activité artisanale. vannerie ; Fort-de-France, Musée départemental d'Archéologie précolombienne et de la Préhistoire. collection d'objets archéologiques Auteur(s) : Lameynardie, Arlette Éditeur(s) : Musée départemental d'archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique 2012.0.1.212 Sainte-Marie Morne des Esses Fort-de-France Centre ville (Fort-de-France) Rue de la Liberté (Fort-de-France) Droits : Reproduction soumise à autorisation du Musée départemental d’archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a0114236047403xylQH | Partager |
Artisanat. Max Cilla, artisan-flutiste et fabrication de flûtes en bambou Auteur(s) : Lameynardie, Arlette Éditeur(s) : Musée départemental d'archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique 2012.0.1.191 Schoelcher Droits : Reproduction soumise à autorisation du Musée départemental d’archéologie précolombienne et de préhistoire de la Martinique http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a01142360474074boVT | Partager |
Institutionnalisation de la protection environnementale et développement de l’artisanat minier dans les espaces sensibles de Madagascar Auteur(s) : Canavésio, Rémy Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : À Madagascar, depuis quelques années, la sauvegarde de la biodiversité est devenue une priorité pour le gouvernement. Avec l’aide des partenaires étrangers, le pays étend actuellement de manière spectaculaire son réseau d’espaces protégés. Malgré l’intégration de la gouvernance participative sur le terrain, ce mouvement s’accompagne d’une très forte déstabilisation des communautés locales. Parallèlement, le pays qui affronte des crises multiples (crise économique latente et crises politiques à répétition) est le théâtre d’un formidable « boum » des activités informelles en général et de l’artisanat minier en particulier. Dans bien des cas, lorsque la gestion des milieux sensible est retirée aux communautés locales au profit d’acteurs institutionnels, on assiste au développement de ces activités destructrices. Pour lutter contre cet effet pervers de l’institutionnalisation de la protection environnementale, il devient urgent de disposer d’un plus large panel de systèmes de gouvernance. Ceux-ci doivent être conçus pour s’adapter aussi bien que possible à la multitude de contextes rencontrés, en prenant en compte l’ensemble des acteurs, qu’ils soient formels, issus de la société traditionnelle, ou informels. In Madagascar, during the last few years, conservation of biodiversity has become a major priority for the government. Indeed, with the help of the foreign countries, Madagascar is currently expanding its network of protected areas. But despite the integration of participant governance on the ground, this movement contributes to the destabilization of local communities. Meanwhile, multiple crises (economic crisis, latent and recurrent political crises) take place in Madagascar. Besides, the country is the scene of a tremendous “boom” of informal activities in general, and small-scale mining in particular. In many cases, when the protection of sensitive environments is taken from local communities for the benefit of institutional actors, the development of these destructive activities in protected areas increases. To fight against this pernicious effect of the institutionalization of environmental protection, it is urgent to extend the modes of governance. These modes must be as flexible as possible, according to local contexts, and have to take into account traditional, formal or informal actors. Madagascar Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.3622 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/3622 | Partager |
Marine cage fish farming Auteur(s) : Espeut, P. Harache, Yves Lemarie, Gilles Ricard, Jean-marc Résumé : Marine capture fisheries in Jamaica is primarily artisanal in nature ansd is conducted maiinly by fishermen operating from canoes. Approximately 95% of these fishermen operate on the coastal shelf and its associated banks. The commercial species harvested comprise bottom-dwelling, coral reef species and free swimming species of finfish. Other fishery resources of commercial value include marine shrimp, conch and lobsters. Catch statistics are not available for all species, but the Department of Fisheries reports a slight decline in fishery production with production decreasing from 16 milion lbs in 1990, despite the fact that fishing efforts have doubled. Over this period the number of registered fishermen has grown from 12 000 to 16 000, al of whom are engaged in full-time fishing. There arealso part-time fishermen who are not registered. The decline in fish catch is accompanied by a decrease in fish size and quality, suggesting that the fisheries are under pressure and have already exceeded optimum production in relation to vailable resources. As a result the economic returns to fishermen are declining. There are also other problems, such as high incidence of conflicts among fishermen at sea, the high cost of purchasing boats, outboard engine fuel, and equipment, with together with the dangers involved in fishing offshore (piracy, and praedial larceny) create serious social ans economic difficulties for fishermen. Notwithstanding, there is an apparent move on the part of the fishermen to leave the industryor to seek alternative forms of employment. In fact, the Department ofFisheries reports that it is still reciving applications for new licences to operate fishing boats. This is probably due to the fact that where the basis of a community is fishing, it becomes difficult to introduce alternative forms of employment, such as cottage industries, village crafts and other trades. In 1987 the Jamaica Department of Fisheries prepared a Management plan which proposed several conservation measures to promote the efficient use of fisheries resources and to control the development of the Fishery in such a way that the country would receive highest benefits. Adequate attention was given to limitations on fishing gear, institution of closed seasons and related legislation. Strategies to diversify the marine fishing were also proposed. The 1990 five year Devlopment Plan for marine fisheries also focuses on proper resource management in order to reverse trends associated with the overexploitation of marine resources. According to the plan, emphasis will be placed on inland fisheries and mariculture in order to reduce pressure on the fisheries. Inland fisheries in the form of freshwater fish fanning has expanded significantly over the past 10 years with production increasing from less than 0,5 million lbs. in 1980 to in excess of 6.0 million lbs. in 1989. However, some freshwater fish farmers are already experiencing serious competition for water usage and, to a lesser extent for land from crop-producing farmers. The Ministry of Agriculture is of the view that marine cage culture technologically has the potential for introduction in Jamaica . This technologyhas been successfully developed in Norway and the technology is currentlty being experimentally utilized in several countries in the area. The technology, if widely utilized in Jamaica, couls significantly reduce pressure on fisheries, making fishing more cost effective and improve the economic returns to fishermen. Already there exist some technical and institutional capabilities in Jamaica to support commercial development of marine cage culture. The Department of Fisheries has highly trained personnel in aquaculture and marine fisherie, some of whom are directly responsible for the success of freshwater fish fanning. In adition, the Marine Laboratory at the Univesity of the West Indies (UWI) is caarying research on hatchery facilities for marine cage farming. The Department of Fisheries will seek the collaboration ofg the marine unit at UWI which could provide fingerlings of selected marine species for cage 1 Les pêcheries de captage marin en Jamaïque sont principalement de nature artisanale et elles sont dirigées principalement par les pêcheurs qui travaillent depuis des canoës. Environ 95 % de ces pêcheurs travaillent sur la plaine côtière et ses bancs associés. Les espèces commerciales récoltées comprennent les espèces benthiques, les espèces de corail et les espèces de poisson marin de nage libre. D'autres ressources de pêcheries de valeur commerciale comprennent la crevette, la conque et le homard. Les statistiques des pêches ne sont pas disponibles pour toutes les espèces, mais le Département des Pêcheries fait état d'une légère réduction de production de pêcheries, la production se réduisant de 16 millions de livres en 1990, en dépit du fait que les efforts de la pêche ont doublé. Sur cette période le nombre de pêcheurs inscrits a augmenté de 12 000 à 16 000, dont tous sont occupés à plein temps à la pêche. Il y a aussi des pêcheurs à mi-temps qui ne sont pas inscrits. La réduction des pêches est accompagnée d'une réduction de la taille et la qualité des poissons, ce qui implique que les pêcheries sont sous pression et qu'elles ont déjà dépassé la production optimum par rapport aux ressources disponibles. En conséquence, les rendements pour les pêcheurs sont en baisse. Il y a aussi d'autres problèmes, tels qu'un taux élevé de conflits entre les pêcheurs en mer, le coût élevé pour acheter les bateaux, le combustible pour les moteurs hors-bord, et le matériel, ainsi que les dangers impliqués dans la pêche offshore (le piratage, et le vol prédial) ont créé de graves problèmes sociaux et économiques pour les pêcheurs. Néanmoins, il y a une tendance évidente chez les pêcheurs de quitter l'industrie ou de chercher du travail dans d'autres domaines. En fait, le Département des Pêcheries signale qu'il continue de recevoir des demandes de nouveaux permis pour opérer les bateaux de pêche. Ceci est probablement attribuable au fait que là où la base d'une communauté est la pêche, il est difficile d'y introduire des formes alternatives de travail, telles que l'industrie artisanale, l'artisanat de village ou d'autres métiers. Le Département des Pêcheries de la Jamaïque a préparé en 1987 un Projet de gestion qui proposait plusieurs mesures de conservation afin d'encourager l'utilisation efficace des ressources des pêcheries et de contrôler le développement de la Pêcherie de manière que le pays touche le plus de bénéfices. Une attention adéquate a été prêtée aux limitations sur les engins de la pêche, l'établissement de saisons de clôture et les législations associées. Des stratégies pour diversifier la pêche marine ont aussi été proposées. Le Plan de développement quinquennal de 1990 pour les pêcheries marines met l'accent aussi sur la gestion de ressources appropriée afin de faire reculer les tendances associées à la surexploitation des ressources marines. Selon le plan, l'accent sera mis sur les pêcheries intérieures et la mariculture afin de réduire la pression sur les pêcheries. Les pêcheries intérieures, sous la forme de l'élevage de poissons en eau douce, ont pris leur essor sur les 10 dernières années avec une production qui s'est élevée de moins de 0,5 millions de livres en 1980 pour atteindre en 1989 plus de 6.0 millions de livres. Cependant, certains pisciculteurs en eau douce expérimentent déjà une concurrence sérieuse avec les agriculteurs pour l'usage de l'eau et, dans une moindre mesure, de la terre. Le Ministère de l'Agriculture est de l'avis que l'élevage en cage marine a technologiquement le potentiel d'être introduit en Jamaïque. La technologie a été développée avec réussite en Norvège et plusieurs pays dans la région utilisent actuellement la technologie expérimentalement. La technologie, si elle était utilisée en Jamaïque, pourrait réduire de façon significative la pression sur les pêcheries, ce qui rendrait la pêche plus économique et améliorerait les rendements aux pêcheurs. Certaines capacités techniques et institutionnelles existent déjà en Jamaïque qui pourraient soutenir le développement de l'élevage en cage marine. Le Département des Pêcheries a un personnel bien formé en aquaculture et pêcherie marine, dont certains qui sont directement responsables du succès de la pisciculture en eau douce. Par ailleurs, le Laboratoire Marin à l'Université des Antilles (UWI) mène des recherches sur les installations d'écloseries pour l'élevage en cage marine. Le Département des Pêcheries demandera la collaboration de l'unité marine à l'UWI qui pourra fournir des saumoneaux d'espèces marines sélectionnées pour la cage 1. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/1993/rapport-1918.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/1918/ | Partager |
Developing New Tourism routes in Coastal Areas Auteur(s) : Flognfeldt, Thor Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : For Norwegians the name of our country is based on a route - "the way to the North" - and this was not a built route but using of the coast-line itself. As long as the boats and ships were the main means of travel this coastal way - "Nor-way" - was the main communication basis for most people, and for transport of goods. But even in the interior of the country, water, namely rivers and lakes were the main structures for communication. The lakes were most efficient for transport during the cold winters, by sledges on the frozen surfaces.When new means of transport took over most of the traffic, however, sea, lakes and rivers in many ways became obstacles instead of means of communication (?). This gave the government and others new challenges. In the sailing period up to the end of the eighteen hundreds, boats and harbors were the investment focus and sailors were recruited in every community from the age of 15. This meant that in a remote area at the Arctic Circle there were plenty of people who have been sailing around most of the work and could easily be hosts of visitors.This paper is mostly focusing on "how to market and develop these beautiful coastal areas to travelers using either their own cars, bikes, boats or collective transport". What types of geographical units are suited for marketing and developing such areas and how might local producers of accommodation, food & beverages, crafts, activities and arts be included in such organizations. The main focus will be on the work of organization "Kystriksvegen Reiseliv AS" that have been working with these challenges for closed to two decades. What have their successes and obstacles been and how have they been able to operate a sustainable business on a long coastal route with many car ferries, small islands, fjords and mountains and more than twenty municipalities. Pour les Norvégiens, le nom de notre pays est basé sur un itinéraire - «le chemin vers le Nord» - et ce n'était pas une route construite, mais qui repose sur la ligne de côte elle-même. Tant que les bateaux et les navires étaient le principal moyen de déplacement de cette façon côtière – "Nor-way" - était la base principale de communication pour la plupart des gens et pour le transport de marchandises, et même à l'intérieur du pays, l'eau, à savoir les rivières et les lacs étaient les principales structures de communication. Les lacs sont les plus efficaces pour le transport pendant les hivers froids, par traîneaux sur les surfaces gelées.Avec l’arrivée des nouveaux moyens de transport, la mer, les lacs et les rivières à bien des égards, sont devenus obstacles (?). Cela a donné de nouveaux défis au gouvernement. A l’époque de la voile jusqu'à la fin des dix-huit centaines, des bateaux et des ports ont été l'objet d'investissements et les marins ont été recrutés dans toutes les collectivités dès l’âge de 15 ans. Cela signifie que dans une région éloignée dans le cercle arctique, il y avait beaucoup de gens qui étaient navigateurs et pouvaient facilement être les hôtes de visiteurs.Ce document est principalement axé sur «la façon de commercialiser et de développer ces belles régions côtières de voyageurs qui utilisent soit leurs propres voitures, motos, bateaux ou de transports collectifs». Quels types d'unités géographiques sont adaptés pour la commercialisation et le développement de ces régions ? Comment les producteurs locaux d'hébergement, de nourriture et de boissons, d’artisanat, les activités et les arts sont inclus dans ces organisations ? L'accent principal sera mis sur le travail de l’organisation "Reiseliv AS Kystriksvegen" qui a travaillé sur ces défis de fermeture depuis deux décennies. Quelles ont été leurs réussites et obstacles, et comment ont-ils pu exploiter une entreprise durable sur une longue route côtière avec des car-ferries, de nombreuses petites îles, des fjords et des montagnes et plus d’une vingtaine de municipalités. Norvège Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5286 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5286 | Partager |
The Emergence of Social Entrepreneurship in Haiti Auteur(s) : Diallo, Oumar Daniel, Marie Evadie Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : The term social entrepreneurship is not new but during the past decade its interests have increased rapidly around the world while its field is still young and fragmented (Gawell, 2013). We believe that in one way or the other, the main objective of social entrepreneurship is to solve social, economic and environmental problems for sustainable development goals. One of the development challenges is the fact that Haiti has 0.47 as Human Development Index (HDI) figuring 168th among 187 countries with 58.6 % of the population living under the poverty line and 24.6% under the extreme poverty line with less than 1$UD per day (PNUD & MCI, 2014). Despite the fact that Haiti has a unique know-how that is passed down for generations in the area of craft, small industry and in the processing of products, social entrepreneurship has not taken its roots as it should have. Importantly, to get where they are today, it is undeniable that developed nations leaned the strengths of their development on human capital to produce physical/material capital. Most often, the human capital is utilized to produce strong public policies which enable the economic growth. The value of using human capital as a pillar for economic growth proved itself for Asian nations with an annual economic growth of 6.9% between 1980 and 1990 against 1.5% for Latin America (Gener, 2005). Thus, in this paper, we looked at the Emergence of Social Entrepreneurship for economic growth in Haiti. L'entrepreneuriat social n'est pas nouveau, mais au cours de la dernière décennie, l’intérêt pour ce terme a rapidement augmenté dans le monde alors que son champ est encore jeune et fragmenté (Gawell, 2013). Nous pensons que d'une manière ou d'une autre, l'objectif principal de l'entrepreneuriat social est de résoudre les problèmes sociaux, économiques et environnementaux en vue d'atteindre les objectifs de développement durable. La mission ou les activités d'une organisation sont soit entièrement philanthropiques soit uniquement commerciales. L'un des défis du développement est le fait que l’indice de développement humain (IDH) d’Haïti est de 0,47, le pays figure au 168e (parmi 187 pays). 58,6% de la population vit sous le seuil de pauvreté et 24,6% sous le seuil de pauvreté extrême avec moins de 1 USD par jour (PNUD et MCI, 2014). Malgré le fait qu’Haïti possède un savoir-faire unique transmis depuis des générations dans le domaine de l'artisanat, de la petite industrie et de la transformation des produits, l'entrepreneuriat social n'a pas pris ses racines comme il se doit. Il est important de noter que pour arriver là où ils sont aujourd'hui, il est indéniable que les pays développés ont soutenu le développement du capital humain pour produire du capital physique / matériel. Le plus souvent, le capital humain est utilisé pour produire des politiques publiques solides qui permettent la croissance économique. La valeur de l'utilisation du capital humain comme pilier de la croissance économique a été prouvée pour les pays asiatiques avec une croissance économique annuelle de 6,9% entre 1980 et 1990 contre 1,5% pour l'Amérique latine (Gener, 2005). Ainsi, dans cet article, nous examinons l'émergence de l'entrepreneuriat social pour la croissance économique en Haïti. Haïti Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.10406 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/10406 | Partager |
Du tourisme et de la pauvreté en Afrique : duel ou duo ? Auteur(s) : Hillali, Mimoun Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La notion du tourisme moteur de développement n’a pas survécu à la chute du communisme. Cette chute a rendu caduc, le rôle idéologique de ce secteur, symbole et acteur du libéralisme au temps de la guerre froide. De fait, le tourisme retrouve sa place « normale » parmi les vocations nationales des pays en développement : aide au développement et/ou lutte contre la pauvreté !Le Maroc, l’un des pionniers du libéralisme en Afrique, n’a pas échappé aux conséquences du suivisme économique propre aux pays d’Afrique, socialistes et libéraux confondus. Du tourisme moteur de développement (1964), il a récemment procédé au réajustement de sa stratégie en matière du développement touristique, en en faisant un secteur d’appoint pour l’économie nationale. « Le miracle économique du tourisme n’a donc pas eu lieu ! » (Hillali, 2007). Constat d’échec ou réajustement stratégique normal, la question est posée. À ce propos, deux initiatives méritent d’être citées :- Le tourisme représente un secteur d’activité qui procure emplois et revenus aux citadins démunis (artisanat, emplois peu qualifiés...) et aux populations rurales (gites, auberges, accompagnement...) dans le cadre de la nouvelle stratégie des Pays d’accueil touristiques (2003), du tourisme de niches et de l’aide aux jeunes entrepreneurs. - L’initiative nationale du développement humain (INDH), lancée en 2004, est censée épauler les nécessiteux dans cette politique sociale et économique de grande envergure.Or, en dépit des programmes bien planifiés, les résultats sont mitigés. Peut-être, est-il que la mise en pratique de ces nouvelles approches de développement local et ciblé (actions opérationnelles) et les méthodes d’évaluation qui en assurent le suivi (mesure des impacts) ne sont pas encore assez rôdées. The concept of tourism as a driving force for development has not survived the fall of communism. The end of the Cold War rendered the ideological role of the tourism sector, as a main tool of liberalism, obsolete. Today, the most common setting for the tourism sector is in developing countries, as a tool for development and/or poverty reduction.Morocco, one of the pioneers of liberalism in Africa, has not escaped the consequences of the economic band wagonning among African states, socialists and liberals alike. A driving force for tourism development in the last century (1964), Morocco has recently readjusted its strategy to create an extra sector to contribute to the national economy. "The economic miracle of tourism has not taken place!"(Hillali, 2007). The question is posed: What is more appropriate, identifying failures or engaging in strategic readjustment? In this regard, two initiatives are worth mentioning: - Tourism is an industry that provides jobs and income for the urban (crafts, low-skilled jobs) and rural (cottages, inns, coaching) poor as part of the new strategy of the country’s tourist reception (2003), tourism niches and helping young entrepreneurs. - The National Initiative for Human Development (NIHD), launched in 2004, aims to support those in need in major social and economic policies.However, despite well-planned programs, the results have been mixed. Perhaps it is that the implementation of these new approaches to local development and targeted (operational activities) and evaluation methods that ensure monitoring (measurement of impacts) do not overlap enough. Afrique Maroc Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6563 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6563 | Partager |