Coqs de roche Auteur(s) : Valette, R. Levy Extrait de : Chez nos Indiens, quatre années dans la Guyane française (1887-1891) (p.359) Résumé : Gravure représentant des coqs de roche. Sur cette image ces oiseaux nichent sur la muraille de granit du Tayaouaou Siècle(s) traité(s) : 19s Droits : Domaine public Provenance : Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation Permalien : http://www.manioc.org/images/HASH0137052812670ba759f88611 HASH0137052812670ba759f88611 | Partager Documents liés :
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The humming bird, with tits neft. Auteur(s) : Johnson, J. Année de publication : Extrait de : Narrative of a five years'expedition against the revolted negroes of Surinam in Guiana, on the wild coast of South America from the year 1772 to 1777, elucidating the history of that country and describing its productions... with an account of the Indians of Guiana and negroes of Guinea... Tome 2 (p. 220) Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH132430281i1 SCH132430281i1 | Partager |
Le rôle de la faune sur la régénération forestière naturelle Auteur(s) : Charles-Dominique, Pierre Auteurs secondaires : Ecologie des forêts de Guyane (ECOFOG) ; Ecole Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts (ENGREF) - Institut National de la Recherche Agronomique (INRA) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Éditeur(s) : HAL CCSD Ecole nationale du génie rural Résumé : La zoochorie (transport des graines par les animaux) joue un rôle prépondérant dans les forêts tropicales. L'action de la faune sur la régénération forestière est analysée en fonction des co-évolutions s'étant développées entre plantes et animaux frugivores. Différentes associations entre certains types de fruits et certains groupes de mammifères ou d'oiseaux sont décrites, en insistant sur la spécificité de la dissémination qui en résulte. Celle-ci est le plus souvent hétérogène dans des sites plutôt favorables au développement des plantules. Ces diverses modalités de dissémination concourent autant à la colonisation de sites nouveaux qu'au maintien des espèces végétales dans un environnement donné. Dans le cas des plantes pionnières, la distribution est plus homogène et contribue à alimenter la banque de graines du sol. Ces graines entrent en dormance et ne germeront qu'après une ouverture de la canopée. La chasse des animaux frugivores pourrait avoir de lourdes conséquences pour certaines espèces végétales notamment. ISSN: 0035-2829 hal-01032118 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01032118 | Partager |
Catalogue descriptif des poissons vénéneux du banc de Saint Barthelemy (Antilles françaises) Auteur(s) : Morice, Jean Éditeur(s) : ISTPM Résumé : The Caribean Sea ichthyofauna, like that of all tropical and subtropical seas, contains venomous fishes some of which can cause certain forms of ichthyosarcotoxism.The first people to notice, at their expense, the existence of these dangerous animals in the waters of the West Indies were the conquistadores who settled in Haïti and Cuba after Christopher COLOMBUS. As these men were not well provided by fresh supplies from their far away home-as related by many chroniclers-they had to live on local food resources. Originally, terrestrial fauna, in these islands, was very lacking as far as big mammals go, and birds bigger than a pigeon were rare. As a consequence, Spanish sailors and soldiers ate mostly seafood, fish, crustaceans and molluscs that abounded in the clear waters of the Caribean shores. (The introduction of European mammals: bovines, ovines, caprines and porcines, but also poultry, only happened many years later-cattle raising only developed when the conquistadores were well settled and land had been divided-initial protid production was not sufficient to cover the Spaniards' needs.... La faune ichthyologique de la Mer des Antilles, comme celle de toutes les mers des regions tropicales et subtropicales, contient des poissons vénéneux, causes de certaines formes d'ichthyosarcotoxisme. Les premiers qui s'aperçurent, à leurs dépens, de l'existence de ces animaux dangereux dans les eaux des Indes occidentales furent les conquistadores qui s'installèrent en Haïti et à Cuba après les découvertes de Christophe COLOMB et de ses lieutenants. Ces hommes, souvent fort mal ravitaillés par leur trop lointaine métropole -tous les chroniqueurs de l'époque en font foi -furent obligés d'utiliser les ressources alimentaires locales. Comme à l'origine, la faune terrestre des îles était très pauvre en grands mammifères et que les oiseaux plus volumineux qu'un ramier étaient rares, les soldats et les marins espagnols consommèrent surtout les fruits de la mer : poissons, crustacés et mollusques qui abondaient dans les eaux claires des rivages antillais. (L'introduction des mammifères européens: bovins, ovins, caprins et porcins, comme des oiseaux de basse-cour, fut relativement tardive; l'élevage ne se développa que lorsque les conquérants de l'Eldorado furent installés et que la terre fut partagée; la production initiale de protides était très nettement insuffisante pour couvrir les besoins des Espagnols.) L'un des animaux les plus faciles à capturer était -et l'est encore -le-« burgo », Linona pica L., gros gastéropode de la famille des Trochidés qu'il suffisait de récolter à la main sur les récifs coralliens ou les rochers qui bordaient les plages; l'abondance de la distribution de ce gros bigorneau est encore telle à l'heure actuelle qu'il forme une ressource permanente appréciée; dans certaines petites îles très mal ravitaillées: Los Hermanos et La Blanquilla dans les Antilles vénézuéliennes; Saint-Barthélémy, La Désirade, dans les Antilles françaises, etc., où le « burgo » constitue une partie importante de la ration alimentaire. Il arrivait à Cuba, que sa consommation soit la cause d'accidents gastro-intestinaux et neuraux qui furent groupés par les Espagnols sous le nom de "ciguatera", le mollusque lui-même étant appelé "cigua", (II faut noter que les « burgos » récoltés sur certains îlots et récifs de la côte méridionale de Saint-Barthélemy sont la cause de troubles analogues à ceux qui furent décrits par les chroniqueurs des XVe et XVIe siècles) Le vocable s'est étendu ensuite, dans le langage populaire, aux troubles digestifs et aux troubles neuraux ressentis après l'ingestion de différentes espèces de poissons vénéneux, espèces qui se révélèrent malheureusement relativement nombreuses dans les eaux des Grandes Antilles, Le auteurs anciens, repris par COUTIÈRE dans sa thèse (1899) décrivent également des cas d'intoxications graves depuis le début de l'occupation des Petites Antilles par les Européens, intoxications attribuées pour la plupart aux barracudas, aux balistes, aux murènes, à certains clupes, aux carangues comme à un certain nombre d'espèces de « poissons rouges ». Les naturalistes modernes, d'ARCISZ (1950) à RANDALL (1958), donnent la liste scientifique des espèces incriminables dans la Mer des Antilles. Il n'existe actuellement aucun manuel en langue française permettant la détermination des poissons marins et des espèces dulçaquicoles des Petites Antilles, Le naturaliste est obligé, pour identifier les poissons, de recourir à des ouvrages américains ou hollandais, ou encore à des monographies toutes rédigées en langue anglaise. Ces livres, à de très rares exceptions près, sont anciens et difficiles à trouver en librairie étant presque tous épuisés ou rares. La publication que nous présentons ici n'a pas la prétention de pallier l'inexistence de documents en langue française sur l'ensemble de la faune ichthyologique antillaise; elle n'a pour but que de fournir au personnel chargé du contrôle du conditionnement et des marchés, aux armateurs à la pêche désireux de se renseigner sur les possibilités locales, comme à quelques esprits curieux, une documentation suffisante et illustrée, pour permettre une identification sûre et rapide des espèces dangereuses. Cette étude est née d'un besoin précis : les pêcheurs des Antilles françaises, maintenant guidés par une assistance technique qui reprend élémentairement les bases de la profession, se sont heurtés très rapidement au fait suivant : il était nécessaire de créer un conditionnement des produits de la pêche car quelques espèces de poissons commerciaux, saines dans certaines régions, sont vénéneuses dans d'autres, géographiquement toutes voisines, et doivent être éliminées du marché. Pour cela il fallait établir avec précision quelles espèces pouvaient être dangereuses, et donner aux pêcheurs, aux marchands et au public l'image exacte des formes incriminables. Si une espèce donnée peut contenir des individus vénéneux, tous les individus de cette espèce ne sont pas dangereux et des spécimens de la même espèce incriminables en un point ne le seront pas dans d'autres lieux de pêche. POEY (1866) a écrit: « ... il n'y a pas un poisson suspect sur dix mille... » Cela est sans doute vrai si l'on envisage le stock constitué par une espèce, mais ne l'est plus si l'on considère les concentrations géographiques. A travers l'expérience que nous avons acquise à Saint-Barthélemy, nous pouvons affirmer avec certitude que les poissons vénéneux sont bien groupés en isolats cernés par des frontières géographiques précises. De plus il apparaît très nettement que les poissons âgés, donc ayant atteint un certain poids, sont seuls responsables des accidents ciguatériques les plus graves. Le fait que l'ichthyologiste cubain POEY, 1866, ait imposé l'interdiction des poissons pesant plus de trois livres dans les espèces suspectes sur le marché de La Havane est très significatif. Un fait statistique observé à Saint-Barthélemy vient corroborer les notions précédemment énoncées. Un certain nombre de canots de pêche à la ligne à main, travaillant à l'accore méridional du banc de Saint-Martin, capturait surtout des « oreilles noires » (Lufianus buccanella (c. et V.), 1828) et des « vivaneaux » (L. vivanus (c. et V.), 1828) ; le poids des poissons vidés acceptés par le service de contrôle de la coopérative des pêcheurs de Gustavia avait été fixé à 1 500 g; des poissons de poids bien supérieurs à ce plafond ayant été acceptés par le conditionnement en janvier et février 1963, toute une série d'intoxications graves de type ciguatérique se produisit à Basse-Terre et à Pointe-à-Pitre de La Guadeloupe, lieux principaux de consommation du poisson capturé sur le banc de Saint-Martin. Le poids des poissons vidés exportables ayant été ramené à 1 500 g. les intoxications cessèrent. Il reste à étudier l'étiologie de la «ciguatera », forme la plus commune d'ichthyosarcotoxisme notée aux Antilles. L'accumulation des observations et des notes prises à propos des cas observés à Saint-Barthélemy, à La Guadeloupe, comme à La Martinique (1950) ainsi que les dissections effectuées sur les poissons capturés par les pêcheurs de Saint-Barthélemy nous permettront peut-être de conclure bientôt à ce sujet. Enfin. il faudra trouver le test biochimique simple et précis permettant de déterminer rapidement si un poisson considéré comme « redouteux» est vénéneux ou non. (Les poissons incriminables sont désignés sous le nom de poissons «redouteux» dans le patois de Saint-Barthélemy; la « ciguatera » est nommée « mal poisson ».) Les appellations vernaculaires créoles des espèces vénéneuses ont été établies à partir des notes prises depuis 1950. Cette liste est loin d'être exhaustive car il n'y a pas de domaine plus ingrat que la synonymie vernaculaire. Les appellations américaines, britanniques et hollandaises ont été prises dans les ouvrages publiés d'une part par le Fish and Wildlife Service (laboratoire de Biologie marine de Miami), et d'autre part par la Commission des Caraïbes. Kent House, à La Trinidad. 1959. relayée ensuite par le Secrétariat central de l'Organisation des Caraïbes, 1961. Hato Rey. Porto-Rico. Enfin. nous avons pu établir l'équivalence vernaculaire des noms de poissons utilisés à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin grâce à l'aimable collaboration du Dr PETIT, chef de l'hôpital de Marigot à Saint-Martin. Les bases de la systématique que nous avons utilisées, pour replacer les espèces décrites dans un cadre cohérent. sont celles qui sont exposées par BERTIN et ARAMBOURG (1958) dans le troisième fascicule du tome treize du Traité de Zoologie publié sous la direction du Pr P. GRASSÉ: nous y avons fait de larges emprunts. (OCR non contrôlé) Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1965-03 , Vol. 29 , N. 1 , P. 1-130 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1965/publication-4004.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4004/ | Partager |
Teneur en mercure dans quelques poissons de consommation courante Auteur(s) : Thibaud, Yves Éditeur(s) : ISTPM Résumé : Récemment la presse a largement fait écho à des empoisonnements dus au mercure. Les premiers cas sont apparus au Japon, à Minamata en 1953. D'autres suivirent à Niigata en 1965. Les malades, appartenant le plus souvent à des familles de pêcheurs, étaient atteints d'importants troubles nerveux allant parfois jusqu'à la mort (1). Des cas semblables ont été signalés chez des fermiers en Irak en 1960, au Pakistan et au Guatémala en 1966, puis au Nouveau Mexique en 1969, Parallèlement des mortalités d'animaux notamment de chats et d'oiseaux ont pu être attribuées à une absorption anormale de composés mercuriels. Le mercure connu depuis la plus haute antiquité, utilisé en thérapeutique et parfois sous la forme de chlorure mercurique comme moyen de suicide était en fait très peu employé jusqu'à une époque récente. L'extension de son emploi, d'abord dans l'industrie électrique puis dans l'industrie chimique, en ont fait de nos jours un polluant usuel des eaux dans les pays à niveau de vie élevé, son taux atteignant parfois, comme nous venons de l'indiquer, un niveau inquiétant. C'est ce qui nous a incité à entreprendre des dosages systématiques de mercure dans les poissons pêchés par les pêcheurs français ou importés en vue de la mise en conserve. Après avoir rappelé l'importance relative du mercure dans le monde nous donnons ici nos principaux résultats actuels. Science et Pêche (0036-8350) (ISTPM), 1971-12 , Vol. 209 , P. 1-10 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1971/publication-7014.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/7014/ | Partager |
La conchyliculture francaise. 2eme partie. Biologie de l'huitre et de la moule Auteur(s) : Marteil, Louis Éditeur(s) : ISTPM Résumé : This paper is a part of a study concerned with shellfish culture in France. Before presenting improvements in technique, the author gives fundamentals of the biology of oyster and mussels taxonomy and anatomy, respiration, feeding, reproduction, growth, predators and diseases. SOMMAIRE ------------------ L'HUITRE ------------------ INTRODUCTION CHAPITRE I. TAXONOIVIIE ET ANATOMIE DES HUITRES 1. Taxonomie des huîtres vivant dans ie monde Introduction et rappel historique Les genres (Pycnodonta, Crassostrea, Ostrea) Les principales espèces et leur répartition dans le monde 2. Anatomie de l'huître La coquille Le corps BIBLIOGRAPHIE CHAPITRE II - LE TRANSPORT DE L'EAU ET LA RESPIRATION 1. Le transport de l'eau . Mécanisme Méthodes de mesure du courant de transnort Quantités d'eau transportées 2. La respiration 3. L'anaérobiose . BIBLIOGRAPHIE CHAPITRE III. ALIMENTATION ET VERDISSEMENT DES COQUILLAGES 1. Alimentation des coquillages Anatomic des « coquillages » et leur alimentation 1. La collecte des particules alimentaires 2. L'appareil digestif: et la digestion Besoins alimentaires 1. Besoins quantitatifs 2. Nature des aliments. Besoins qualitatifs Conclusion générale 2. Le verdissement Le verdissement. Biologie de Navicula ostrearia La navicule des huîtres, agent du verdissement Le verdissement dans les claires L'écologie des claires en rapport avec la définition du verdissement Données récentes sur la genèse du verdisîsement La navicule bleue de l'huître : ultrastructure du frustule, cytologie, développement . . Derniers résultats sur les conditions d'apparition et de maintien du verdissement en cultures in vitro et en claires Conclusion BIBLIOGRAPHIE CHAPITRE IV. - LA REPRODUCTION Généralités Anatomie des organes de reproduction La sexualité des huîtres La ponte Incubation et émission des larves Fécondité Rythmes sexuels, influence du milieu Les rythmes Périodicité et durée des émissions de gamètes Influence du milieu OEufs et larves Influence de l'environnement sur la vie larvaire Métamorphose et fixation BIBLIOGRAPHIE CHAPITRE V. LES ENNEMIS DE L'HUITRE ET DE L'OSTREICULTURE Les prédateurs Le ver plat, Stylochus sp Les bigorneaux perceurs Autres gastéropodes prédateurs Les pieuvres Les crustacés Les échinodevmes Les poissons Les oiseaux Les compétiteurs Animaux Végétaux Le chambrage BIBLIOGRAPHIE CHAPITRE VI. - MALADIES ET MORTALITES 1. Maladies parasitaires Parasites divers Grégarines Trématodes Cestodes Copépodes Maladies à caractère endémique ou épidémique Les viroses Les champignons La maladie des branchies Les flagellés ; Hexamita sp Les haplosporidies La maladie de la glande digestive de l'huître plate et son agent, Marteilia refringens La maladie de Malpèque 2. Mortalités d'origines diverses Variations excessives de la température Variations excessives de la salinité Eutrophisation Mortalités du Belon Mortalité massive de la baie de Matsushima BIBLIOGRAPHIE ------------------ LA MOULE ------------------ TaxonoiTiie La coquille Le corps Alimentation. Croissance. Engraissement La filtration Mécanisme . . . . Action de la température, de la salinité et de l'oxygène dissous Durée journalière Vitesse de filtration Les éléments nutritifs La digestion La croissance L'engraissement La reproduction Glande génitale et sexe Evolution de la gonade Description des phénomènes Facteurs influençant l'évolution de la gonade Emission des produits génitaux Description du phénomène Facteurs influençant l'émission des produits génitaux Vie larvaire Développement de la larve, sa métamorphose Taille des larves Comportement des larves Action de différents facteurs sur la vie des larves Fixation Résumé Les ennemis Prédateurs Compétiteurs Parasites Causes diverses de mortalité BIBLIOGRAPHIE Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1976-06 , Vol. 40 , N. 2 , P. 149-346 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1976/publication-1796.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/1796/ | Partager |
Histoire naturelle des oiseaux-mouches : ouvrage orné de planches dessinées et gravées par les meilleurs artistes. [2, Planches] Auteur(s) : Lesson, René-Primevère (1794-1849) Année de publication : Éditeur(s) : Paris : Arthus Bertrand Résumé : Ouvrage, sans page de titre et sans texte, orné uniquement de planches sur les oiseaux-mouches Siècle(s) traité(s) : 16 Droits : Domaine public Provenance : Collectivité territoriale de Martinique. Bibliothèque Schoelcher Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/SCH13168 SCH13168 | Partager |
Histoire naturelle de la Hollande équinoxiale ou description des animaux, plantes, fruits et autres curiosités naturelles, qui se trouvent dans la colonie de Surinam, avec leurs noms différents, tant françois, que latins, hollandois, indiens et nègre-anglois Auteur(s) : Fermin, Philippe (1720-1790) Année de publication : Description : Philippe Fermin avait pour but de rassembler dans un même ouvrage tout les animaux et les plantes présents sur le sol Surinamais afin que des amateurs ou des passionnés de la nature puisse identifier aisément les curiosités naturelles américaines. Dans la première partie il présente les quadrupèdes et mammifères ; dans la deuxième, les oiseaux et poissons ; dans la troisième les insectes, vers et papillons ; enfin dans la quatrième partie, les plantes, fruits et autres curiosités naturelles. Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : Domaine public Provenance : Collectivité territoriale de Guyane. Bibliothèque Alexandre-Franconie Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/HASH924cecb66bfa21fd5d97b3 HASH924cecb66bfa21fd5d97b3 | Partager |