Relation du voyage du vicomte Louis de Brettes de l'île de Sainte-Lucie vers la France Éditeur(s) : Archives départementales de la Martinique 1J44/1 Sainte-Lucie Droits : Reproduction soumise à autorisation http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011410525895gg2eVu | Partager |
Copie manuscrite ancienne de deux chapitres du livre du père Labat : "Nouveau voyage aux îles de l'Amérique" Éditeur(s) : Archives départementales de la Martinique 1J268 Droits : Reproduction soumise à autorisation http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011410525895FshHeC | Partager |
Souvenirs des Antilles : voyage en 1815 et en 1816, aux États-Unis, et dans l'archipel Caraïbe ; aperçu de Philadelphie etNew-York ; description de la Trinidad, la Grenade, Saint-Vincent, Saint-Lucie, Martinique, Guadeloupe, Marie-Galante, Saint-Christophe, Sainte-Croix et Saint-Thomas Auteur(s) : Montlezun, baron de Chez Gide Fils Éditeur(s) : Bibliothèque Schoelcher 80073724 Antilles Droits : Reproduction soumise à autorisation de la Bibliothèque Schoelcher http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a0114169289168PgRzw | Partager |
Clair obscur : représentations littéraires du bal masqué aux Antilles et en Guyane. Le bal masqué, espace baroque par excellence Auteur(s) : Birman Seytor, Jacqueline Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Importance du bal masqué en Guadeloupe. Dès le 17è siècle de nombreux documents attestent de la présence du carnaval en Guadeloupe. A travers les récits des bals masqués qui se déroulent dans des salons, dans son écrit intitulé premier voyage aux Antilles 1640, le révérend père Du Tertre en fait état, tout un passage de son ouvrage décrit un bal de nègres. Le carnaval est l'heure de la dérision de l'inversion de la révolte permise. Les esclaves profitant de cette situation, ont commencés à parcourir les rues, armés de bâton et de coutelas menaçant la vie des maîtres, les charries varies furent interdits à cette époque, par le procureur général du roi le 11 janvier 1870. Le bal masqué un espace baroque, le carnaval sur toute les latitudes conjure les peurs et exalte la folie humaine, ce rite est dédié aux dieux de la vie et de la mort. Les acteurs du carnaval jouent avec la mort, risquent leur vie, le masque fantôme dont il se couvre le visage et que l'on appel "larva" qui signifie fantôme ou "masqua" vient nous rappeler que la vie est songe et mensonge. L'homme qui danse le carnaval n'est que le jouait de son illusion, tous les jours nous revêtons un costume pour nous produire sur la scène du théâtre du monde. Le bal masqué n'est donc que la pal-copie de la vie. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17166 V17166 | Partager |
Les portraits de noirs dans les collections du musée régional d'histoire et d'ethnographie de Martinique Auteur(s) : Beuze, Lyne-Rose Auteurs secondaires : Boisseron, Monique Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : DPLSH : Département Pluridisciplinaire de Lettres, Langues et Sciences humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Mémorial ACTe UMS 622 : Institut d'histoire de la Révolution française Extrait de : "Les représentations du Noir dans la littérature, l'histoire et les arts européens et américains des XVIIIe, XIXe et début du XXe siècle" : colloque pluridisciplinaire, du 27 février au 2 mars 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : La représentation du Noir dans l'art occidental fait partie des thèmes principaux de recherche au niveau des collections auxquels on associe évidemment l'esclavage et toute l'iconographie relative à l'histoire et l'ethnographie de Martinique. Actuellement, c'est par centaines que le musée compte : lithographie, eaux fortes, bois gravés, peintures... donnant à voir des noirs et dans lesquels nous avons sélectionné les plus caractéristiques, montrant comment les représentations successives du noir sous le reflet de sa situation dans le monde. Siècle(s) traité(s) : 17 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13063 V13063 | Partager Voir aussi Histoire Peinture Esclavage Art Art décoratif Récits de voyage Esclaves Traite négrière Ethnographie Femmes Martinique France ; Télécharger |
The West Indies in 1837; being the journal of a visit to Antigua, Montserrat, Dominica, St. Lucia, Barbados, and Jamaïca : undertaken for the purpose of ascertaining the actual condition of the negro population of those islands Auteur(s) : Sturge, Joseph Harvey, Thomas Éditeur(s) : Hamilton, Adams Hamilton, Adams Montserrat Antigua et Barbuda Dominique Jamaïque Sainte-Lucie Martinique Barbade 19 Droits : Domaine public patrimon:HASH0103f0f83da4829c83c1b88d | Partager |
Récit de voyage et tourisme de mémoire : The Island Martinique de John Wideman Auteur(s) : Duboin, Corinne Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’écrivain africain-américain John Edgar Wideman publie en 2003 un récit de voyage commandité par la National Geographic Society. L’écrivain choisit pour destination la Martinique. Etranger dans cette île de la Caraïbe francophone, mais lui-même héritier d’une Histoire coloniale transatlantique douloureuse, il retranscrit son expérience sensible d’un espace insulaire revisité, guidant ses lecteurs dans un périple touristique et scriptural qui se transforme en un questionnement sur soi et son rapport à l’Autre. Notre analyse de l’écriture viatique de Wideman vise à interroger le regard que l’auteur porte sur l’île, dans sa dimension touristique, historique et culturelle. The African American writer John Edgar Wideman published in 2003 a travel memoir commissioned by the National Geographic Society. As an heir to a painful transatlantic History of colonialism, the writer chooses Martinique as his destination. Unfamiliar with this French-speaking Caribbean Island, Wideman transcribes his intimate experience of Martinique and guides his readers through a touristic and literary journey that becomes a reflection on the self in relation to others. Our analysis of Wideman’s travel writing aims to explore the author’s perception of the island as a touristic, historical, and cultural site. Martinique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6898 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6898 | Partager |
« Je navigue dans deux temps » : errance spatiale et identitaire dans L’énigme du retour de Dany Laferrière Auteur(s) : Aline Helm, Yolande Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Le roman de Laferrière présente un récit qui tient plus de la mémoire, de l’imaginaire que de la « réalité » et ce, dans un « Tiers-espace », dans une situation d’« entre-pluralités ». Cette étude se fonde sur les composantes suivantes : le métissage culturel et la subjectivité, l’exil et le marronnage ainsi que le corps de la « mèr/e » comme « lieu » d’intersection des cultures. Nous aborderons aussi la question du style de l’auteur afin de démontrer la correspondance entre l’écriture et le signifié du texte-signifiant. Les représentations du départ, du retour et du détour ponctuent le récit dans une structure spatio-temporelle complexe, hybride et fluide. L’identité culturelle et métisse du narrateur projette une acceptation de l’autre dans sa différence à la fois banale et sublime. This literary analysis focuses on how the narrator of The Enigma of the Return navigates through various spaces (Canada and Haiti) and time in order to “relearn” and “relive” the memories of his childhood and the death of his father. The return and the détour function and are intertwined in a real and in a fiction world, and in the sacred present moment. The oceanic metaphors and the fragmented style also emphasize the narrator’s desire to accentuate the “contre idéologie” of writing. The narrator displays an original “cohabitation” with the notion of “exile”. The nomadism, the long return, and the many “détours” have a goal: to bring the father back to his native land through an enigmatic prose and rhythm… a long peregrination which allows peace and identity to merge: the cyclic end of the voyage is completed. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11332 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11332 | Partager |
…A la quête de soi Auteur(s) : Furt, Jean-Marie Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Sylvain Tesson a abandonné chevaux et marche à pied, renoncé à la vitesse et aux frissons du voyage pour s’enfermer pendant six mois dans une cabane du lac Baïkal. Il nous offre dans ce volume de près de 300 pages le fruit de ses réflexions. Son livre débute comme le manuel des castors juniors par la longue liste du nécessaire de survie qu’accompagne malgré tout ouvrage, force cigare et vodka qui constitueront le nécessaire viatique pour ces six mois d’hiver. Plus qu’un récit journalistique, ... Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6813 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6813 | Partager Voir aussi |
Les expositions universelles, une utopie touristique toujours d’actualité ? Auteur(s) : Ballester, Patrice Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : À travers les expositions universelles récentes et passées et plus particulièrement les expositions de Milan 2015 et de Port-au-Prince 1949, nous rappelons que cette pratique touristique du voyage d’agrément dans une grande ville remonte au xixe siècle, elle accompagne les origines de notre tourisme moderne, tout en devenant un instrument de géopolitique et de marketing touristique de première importance pour les villes et les pays hôtes. Les expositions peuvent être considérées comme un levier urbanistique, mais aussi un moyen de faire voyager et de comprendre notre monde à travers un système de représentation des identités locales et mondiales proposant toujours une mise en valeur de la découverte scientifique et de l’expérience culturelle à travers les pavillons nationaux. Ces manifestations géantes reposent sur une mise en scène et en récit à partir d’un thème universel questionnant généralement le concept du développement durable et de l’attractivité touristique renouvelée de la destination. Notre analyse porte sur la plus récente des expositions universelles et une exposition oubliée appartenant à l’aire culturelle des caraïbes permettant de dégager trois dynamiques associant le tourisme de méga-événement et l’utopie des voyages initiatiques, à savoir : les expositions universelles se réinventent et retrouvent un certain succès de fréquentation impliquant une redéfinition des champs et des usages d’une utopie contrariée. Faire voyager est un acte à la fois scénographique et symbolique à travers le pavillon impliquant des artifices et des déclinaisons de plus en plus numériques, la quête de cette pratique durable du voyage se confronte à son héritage et à son souvenir à différentes échelles et temporalités. Through the recent and past universal exhibitions and more particularly the world’s fair of Milan 2015 and Port-au-Prince 1949, we recall that this tourist practice of the pleasure trip in a large city dates back to the xixth century, it accompanies the origins of Our modern tourism, while becoming an instrument of geopolitics and tourist marketing of prime importance to cities and host countries. Exhibitions can be seen as an urban lever, but also a way to make travel and understand our world through a system of representation of local and global identities that always emphasizes scientific discovery and cultural experience through the national pavilion. These giant events are based on a staging and narrative based on a universal theme generally questioning the concept of sustainable development and the renewed attractiveness of the destination. Our analysis focuses on the most recent of the universal exhibitions and a forgotten exhibition belonging to the cultural area of the Caribbean, which reveals three dynamics associating mega-event tourism with the utopia of initiatory journeys, namely: reinvent and regain a certain success of frequentation implying a redefinition of the fields and uses of a disrupted utopia; to make travel is an act both scenographic and symbolic through the pavilion involving artifices and more and more digital declensions, the quest for this sustainable practice of travel is confronted with its heritage and its memory at different scales and temporalities. A través de las exposiciones universales recientes y pasados y, especialmente, la Feria de Milán en 2015 y Puerto Príncipe en 1949, recordamos que esta práctica de turismo de viaje de placer a una gran ciudad se remonta al siglo xix, que acompaña a los orígenes de turismo moderno, mientras que convertirse en un instrumento geopolítico y comercialización del turismo de las principales ciudades y países anfitriones. Las exposiciones pueden considerarse una palanca urbana, sino también una manera de viajar y entender nuestro mundo a través de un sistema de representación de las identidades locales y globales que todavía ofrece el desarrollo de los descubrimientos científicos y la experiencia cultural a través pabellones nacionales. Estas manifestaciones gigantes basados en una puesta en escena y la narrativa de un tema universal en general, cuestionando el concepto de desarrollo sostenible y renovada atractivos turísticos del destino. Nuestro análisis se centra en las últimas exposiciones universales y una exposición olvidado que pertenecen a la zona cultural del Caribe para identificar tres dinámico entre el turismo mega-evento y la utopía de los viajes iniciáticos, a saber: las exposiciones universales reinventar y encontrar un cierto éxito de asistencia que implica una redefinición de campos y utiliza una utopía alterada, para viajar es un acto tanto teatral y simbólico a través del pabellón y declinaciones cada vez más digitales, las la búsqueda de este viaje práctica sostenible se enfrenta a su artificialidad y su memoria en diferentes escalas y marcos de tiempo. Europe Caraïbes Italie Haïti France Milan Port-au-Prince New York Osaka Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11239 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11239 | Partager |
Les réseaux familiaux « Hloua » de la côte béninoise dans les migrations de pêche en Afrique de l’Ouest et du Centre : entre continuité et rupture Auteur(s) : Alladatin, Judicaël Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Le débat théorique sur les migrations et la famille connait une ambivalence allant du postulat de la migration comme une logique « individualiste » et de distanciation de la famille à celui de la migration vue comme une stratégie de survie portée par le réseau familial. C’est dans le but de contribuer à ce débat que le présent texte aborde l’analyse du processus migratoire sous l’angle des stratégies déployées par les migrants « Hloua » de la côte béninoise. Quatre dimensions ont particulièrement retenu notre attention : la prise de décision, le financement et l’organisation du voyage, l'intégration dans le milieu d’accueil, et les rapports maintenus avec le milieu d'origine.L’analyse s’appuie sur les récits de migration collectés auprès de migrants de retour ou de membres de familles restés au village, ceci dans le cadre d’une enquête plus large sur la pauvreté et les stratégies de survie dans le milieu de la pêche artisanale (Avloh, Ayiguinnou et Agoué) au Bénin. Cette analyse de récit a été complétée par des analyses de type quantitatif sur la fréquence des recours pour l’organisation et la prise de décision, la fréquence de recours pour l’insertion résidentielle et professionnelle, et le montant des envois de fonds. Les résultats montrent la place centrale du réseau familial le long du processus migratoire depuis la prise de décision, l’organisation du voyage, le « confiage » de la femme et des enfants du migrant, à l’établissement résidentiel et l’insertion professionnelle dans le milieu d’accueil. Ce réseau organise et structure efficacement le phénomène migratoire en intervenant lors des étapes décisives. Cependant, une fois insérés, les rapports maintenus avec le réseau familial se limitent pour la plupart à une solidarité affective, caractérisée par des contacts téléphoniques ou transferts de message et quelques envois de fonds largement en deçà des attentes. Ce qui fait dire de plus en plus que le migrant diminue le capital social de la famille sans pour autant y contribuer de façon substantielle sur le plan financier : Un paradoxe qui pourrait bien trouver son explication dans les recherches futures sous une perspective dynamique des migrations. The theoretical debate on migration and family is ambivalent. Migration can be seen from an “individualist’’ and distant logic of the family or, on the other hand, migration can be viewed as a strategy of survival for the family network. It is in the objective of contributing to this debate, the present article will analyze the migration process from a migrant strategy perspective, more specifically from the perspective of the “Hloua” migrants off the Benin coast. Four dimensions are of particular interest: the decision making process, the cost and organization of the trip, integration in the host community and the maintenance of relations with the host community. Within a large scale research on poverty and the strategies of survival of artisan fishing (Avloh, Ayiguinnou et Agoué) in Bénin, the present analysis is based on migration stories collected from returning migrants or from family members still living in the village. This story analysis has been completed with quantitative analyses on the frequency of the use of organization and decision making, the frequency of the use of residential and professional insertion, and the amount of remittances. The results show the central place of family ties during the migratory process from the start of the decision making process, the travel planning, the entrusting of the women and children of the migrant, to the residential establishment and the professional insertion in the host society. This network organizes and structures efficiently the migratory phenomenon by intervening during the decisive steps. However, once inserted, the connections maintained with the family network are limited for the majority to an affective solidarity characterized by telephone contacts or message transfers, and sometimes remittances sent back largely lower to the family’s expectations. This results more and more in the migrant diminishing the social capital of the family without always contributing in some substantially way on the financial side. A paradox which could find its explanation in future researches under a perspective of migrations’ dynamics. Bénin Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5785 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5785 | Partager |
L’expérience professionnelle à l’étranger : expérience de travail et voyage initiatique Auteur(s) : Mathé, Thierry Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’expérience professionnelle à l’étranger peut constituer l’occasion d’une véritable immersion dans le pays et dans la vie quotidienne de ses voisins, collègues, parfois amis, en échappant à la situation « hors-sol » du touriste.Elle semble permettre à l’individu d’occuper une place singulière en n’étant ni étranger ni autochtone, lui donnant accès à des rapports plus égalitaires que le touriste (au moins en impression) avec la population locale ; à la participation à la vie locale ; à une utilité intégrée. Elle offre ainsi la possibilité de réduire la distance avec « l’autre en tant qu’autre », non seulement par le temps passé sur place, mais encore par une plus grande horizontalité avec les habitants.Nous proposons ici d’envisager cette expérience dans sa dimension initiatique, en particulier chez les jeunes pour lesquels c’est une occasion de partir en dehors du cadre touristique, qui peut faire office d’entrée dans l’âge adulte, de plonger dans un univers d’autonomie et d’incertitude. Celui qui part doit affronter un certain nombre d’épreuves, dont il sortira changé.Partant des analyses de J. Campbell sur les trois temps de l’initiation (avant - pendant — après), l’interprétation réclame l’étape du retour en même temps que le retour sur l’expérience. Il s’agit d’une recherche en cours reposant sur une collecte d’entretiens. Professional experience abroad can be an occasion for being truly immersed in the country, in the life of one’s colleague, sometimes friends, in avoiding the traditional tourist framework.It seems to allow having a peculiar place without the feeling of being a total foreigner neither a local. Allowing a closer relationship with the locals (at least giving that impression). Taking part in the daily life and feeling deeply useful. It offers the possibility to reduce the distance with the “other” as “another” thanks to the time spent on site but also with an improved relationship with the inhabitants.We suggest exploring this experience in its learning aspect, specifically amongst young people. It is an occasion to get out of the usual tourist framework and get fully immersed in autonomy and uncertainty. Upon leaving and trying out this experience one will face challenges which will change him or her forever.Taking the three different analysis from J. Campbell on the three initiating steps (before, during and after the stay) the interpretation requires the return stage as well as the feedback on the experience, providing a collection of interviews. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11347 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11347 | Partager |
Les croisières académiques mènent-elles à de l’interculturel ? Le cas du Scholar Ship (2007-2008) Auteur(s) : Dervin, Fred Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : En 2007, environ 200 étudiants de 35 pays différents ont pris place à bord du MV Oceanic II dans le cadre du programme universitaire The Scholar Ship. Fondé conjointement par la compagnie Royal Caribbean Cruises Ltd. (RCC) et un consortium de 10 universités internationales, ce « Semester at Sea » proposait aux étudiants de faire le tour du monde sur ce bateau de croisière durant 16 semaines, d’y suivre une variété de cours et de « faire du terrain » touristique et académique à chaque escale. L’objectif central de cette croisière (renouvelée en 2008 puis abandonnée par manque de fonds) était d’amener les étudiants à développer leur compétence interculturelle. Je propose d’examiner la vision de l’ « interculturel » résultant de cette expérience à travers divers documents (récits, blogs, documents officiels, etc.). Ce type de croisière académique mène-t-elle vraiment à des rencontres interculturelles – terme que nous questionnerons ? About 200 students from 35 different countries stepped onboard MV Oceanic II as part of The Scholar Ship voyage in 2007. Organised by Royal Caribbean Cruises Ltd. (RCC) and a consortium of 10 international universities, this « Semester at Sea » offered students the possibility of touring around the world during 16 weeks, and to follow an array of courses, and to do “academic field work”. The central aim of the cruise (which took place also in 2008 but was discontinued afterwards because of a lack of funding), was to help the students to develop their intercultural competence. In this paper I examine the vision of the “intercultural” resulting from this experience using different documents (narratives, blogs, official documents, etc.). Can this type of cruise lead to intercultural encounters? Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5221 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5221 | Partager |
L'Amérique angloise, ou Description des isles et terres du roi d'Angleterre, dans l'Amérique. Avec de nouvelles cartes de chaque isle & terres Auteur(s) : Blome, Richard (16..-1705) Année de publication : Éditeur(s) : Amsterdam : A. Wolfgang Siècle(s) traité(s) : 17 Droits : Domaine public Provenance : Collectivité territoriale de Martinique. Bibliothèque Schoelcher Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/SCH13204 SCH13204 | Partager |
Aux Antilles Auteur(s) : Meignan, Victor (1846-?) Auteurs secondaires : Breton, Louis (18..-18..? ; illustrateur) Année de publication : Éditeur(s) : Paris : E. Plon Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Provenance : Collectivité territoriale de Martinique. Bibliothèque Schoelcher Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/SCH13262 SCH13262 | Partager |
La France équinoxiale. [Tome second], Voyage à travers les Guyanes et l'Amazonie Auteur(s) : Coudreau, Henri Anatole (1859-1899) Année de publication : Éditeur(s) : Paris : Challamel Ainé Droits : Domaine public Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/MMC16022 MMC16022 | Partager |
Voyage aux îles de Ténériffe, la Trinité, Saint-Thomas, Sainte-Croix et Porto Ricco : exécuté par ordre du gouvernement français, depuis le 30 septembre 1796 jusqu'au 7 juin 1798, sous la direction du capitaine Baudin, pour faire des recherches et des collections relatives à l'histoire naturelle : contenant des observations sur le climat, le sol, la population, l'agriculture, les productions de ces îles, le caractère, les moeurs et le commerce de leurs habitants. Tome 2 Auteur(s) : Ledru, André-Pierre (1761-1825) Auteurs secondaires : Sonnini de Manoncourt, Charles-Nicolas-Sigisbert (1751-1812) Année de publication : Éditeur(s) : Paris : A. Bertrand Droits : Domaine public Provenance : Collectivité territoriale de Martinique. Bibliothèque Schoelcher Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/SCH13216 SCH13216 | Partager |