Martinique. Compagnie Générale Transatlantique. Au moment de s'embarquer, un groupe de jeunes recrues entendent l'allocution que leur adresse M. Le Gouverneur de la Martinique, Auteur(s) : Leboullanger Éditeur(s) : Archives départementales de la Martinique 2Fi2467 Fort-de-France Droits : Reproduction soumise à autorisation http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011414681884cqhWC7 | Partager |
Cipaye Éditeur(s) : Archives de la Martinique Résumé : D'après une aquarelle indienne du temps 15Fi44 Droits : Reproduction soumise à autorisation des Archives de la Martinique http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a0114706727384YHJcF | Partager |
Certificats militaires Éditeur(s) : Archives départementales de la Martinique 1J148 Guadeloupe Droits : Reproduction soumise à autorisation http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011410525895FljxSu | Partager |
France Militaire - Prise du Fort Fleur d'Epée à la Guadeloupe Auteur(s) : MartinetMasson Éditeur(s) : Archives de la Martinique 15Fi185 Guadeloupe Droits : Reproduction soumise à autorisation des Archives de la Martinique http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011470672738CbTrVy | Partager |
Bals parés-masqués et carnaval en Guyane. Le bal paré-masqué : une variante des bals masqués, une spécificité du carnaval Guyanais Auteur(s) : Belfort, Aline Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université de Guyane Extrait de : "Bals masqués de Guyane et d'ailleurs. Identités et imaginaires carnavalesques en question" : colloque international, les 26 et 27 janvier 2017. Université de Guyane Description : Le carnaval en Guyane est la manifestation festive la plus populaire. Il offre une lecture de la dynamique qui agit la société guyanaise, à travers ces deux fondamentaux : le carnaval diurne et le carnaval nocturne, différent mais complémentaire. Tous deux livrent un aspect festif... Carnaval nocturne réservé au bal paré-masqué, spécificité guyanaise variante des bals masqués, singularise par un rituel construit autour d'un personnage incontournable : le "touloulou". Origine et territorialisation du "touloulou" et du bal paré masqué : question récurrente est ce la Guyane, les Antilles française, anglaise ? Ayant tissé au temps de l'or des liens culturels. Étymologie du terme "touloulou", une hypothèque est posée. Expression aurait pour origine le mot "tourlourou" qui désigne populairement d'après le Littré le jeune militaire d'infanterie le soldat, ce fantassin portait un pantalon rouge... La même source précise encore que le mot "tourlourou" attribuée à des matelots à un petit crabe de terre rouge... Notons que le personnage carnavalesque comme le crabe, font tous deux références à une personne portant uniforme. L'origine du mot "touloulou" est bien lié à la Guyane et sa territorialisation date 1891. Noté que première référence écrite faite au "touloulou" date de 1891 dans le journal "La vigie" décrivant le carnaval. A cette époque, la Guyane est une société de tradition orale et l'emploi de cette expression dans le langage courant est certainement antérieur à l'écrit. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17160 V17160 | Partager |
Compagnie des troupes coloniales (5ème arrondissement du département de la Charente inférieure) : certificat de bonne conduite délivré au fusilier Jean Aublain, natif du Lamentin Éditeur(s) : Archives départementales de la Martinique 1J110 Droits : Reproduction soumise à autorisation http://www.patrimoines-martinique.org/ark:/35569/a011410525895zwt87g | Partager |
Le minutier central des notaires parisiens, un apport pour la recherche en histoire de la Guyane coloniale d'Ancien Régime Auteur(s) : Polderman, Marie Auteurs secondaires : Groupe d'Études et de Recherches en Espace Créolophone et Francophone (GEREC-F) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Ibis Rouge éditions Résumé : Les données recueillies dans le minutier central constituent un complément non négligeable des fonds C14 et naf en ce qui concerne le personnel colonial. Sans surprise, on retrouve des noms connus de la Guyane coloniale de l'Ancien Régime : Lefèvre d'Albon, Orvilliers, Brûletout de Préfontaine, de Billy, Turgot, Courant etc. Aux écrits de la correspondance officielle répondent les actes privés enregistrés devant notaire ; il s'agit de données nouvelles, mais aussi d'un autre éclairage sur celles existantes. Si les actes concernent pour l'essentiel notables, fonctionnaires et habitants, il en est cependant quelques-uns qui témoignent de l'existence des moins nantis : soldats, engagés, artisans etc. Peu de données par contre en ce qui concerne esclaves et Amérindiens qui, s'ils constituent l'essentiel de la réalité démographique, économique et culturelle de la colonie, n'ont pas ou peu d'existence individuelle reconnue, et ne disposent donc pas d'un patrimoine. Or, l'acte notarié est par essence un acte individuel en relation avec un patrimoine, si ténu soit-il. Il s'agit d'un acte colonial par nature, acte où ceux qui ne sont pas colons n'apparaissent donc qu'indirectement : les esclaves n'existent économiquement que comme partie d'un patrimoine ; c'est à ce titre qu'ils sont mentionnés en données chiffrées, quantifiées, mais pour ainsi dire jamais en tant qu'individu nommé. Actes du colloque : Mémoire et histoire des civilisations amérindiennes à la société "domienne" : l'histoire de la Guyane en question Guyane, French Guiana halshs-00112224 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00112224 | Partager |
Catalogue descriptif des poissons vénéneux du banc de Saint Barthelemy (Antilles françaises) Auteur(s) : Morice, Jean Éditeur(s) : ISTPM Résumé : The Caribean Sea ichthyofauna, like that of all tropical and subtropical seas, contains venomous fishes some of which can cause certain forms of ichthyosarcotoxism.The first people to notice, at their expense, the existence of these dangerous animals in the waters of the West Indies were the conquistadores who settled in Haïti and Cuba after Christopher COLOMBUS. As these men were not well provided by fresh supplies from their far away home-as related by many chroniclers-they had to live on local food resources. Originally, terrestrial fauna, in these islands, was very lacking as far as big mammals go, and birds bigger than a pigeon were rare. As a consequence, Spanish sailors and soldiers ate mostly seafood, fish, crustaceans and molluscs that abounded in the clear waters of the Caribean shores. (The introduction of European mammals: bovines, ovines, caprines and porcines, but also poultry, only happened many years later-cattle raising only developed when the conquistadores were well settled and land had been divided-initial protid production was not sufficient to cover the Spaniards' needs.... La faune ichthyologique de la Mer des Antilles, comme celle de toutes les mers des regions tropicales et subtropicales, contient des poissons vénéneux, causes de certaines formes d'ichthyosarcotoxisme. Les premiers qui s'aperçurent, à leurs dépens, de l'existence de ces animaux dangereux dans les eaux des Indes occidentales furent les conquistadores qui s'installèrent en Haïti et à Cuba après les découvertes de Christophe COLOMB et de ses lieutenants. Ces hommes, souvent fort mal ravitaillés par leur trop lointaine métropole -tous les chroniqueurs de l'époque en font foi -furent obligés d'utiliser les ressources alimentaires locales. Comme à l'origine, la faune terrestre des îles était très pauvre en grands mammifères et que les oiseaux plus volumineux qu'un ramier étaient rares, les soldats et les marins espagnols consommèrent surtout les fruits de la mer : poissons, crustacés et mollusques qui abondaient dans les eaux claires des rivages antillais. (L'introduction des mammifères européens: bovins, ovins, caprins et porcins, comme des oiseaux de basse-cour, fut relativement tardive; l'élevage ne se développa que lorsque les conquérants de l'Eldorado furent installés et que la terre fut partagée; la production initiale de protides était très nettement insuffisante pour couvrir les besoins des Espagnols.) L'un des animaux les plus faciles à capturer était -et l'est encore -le-« burgo », Linona pica L., gros gastéropode de la famille des Trochidés qu'il suffisait de récolter à la main sur les récifs coralliens ou les rochers qui bordaient les plages; l'abondance de la distribution de ce gros bigorneau est encore telle à l'heure actuelle qu'il forme une ressource permanente appréciée; dans certaines petites îles très mal ravitaillées: Los Hermanos et La Blanquilla dans les Antilles vénézuéliennes; Saint-Barthélémy, La Désirade, dans les Antilles françaises, etc., où le « burgo » constitue une partie importante de la ration alimentaire. Il arrivait à Cuba, que sa consommation soit la cause d'accidents gastro-intestinaux et neuraux qui furent groupés par les Espagnols sous le nom de "ciguatera", le mollusque lui-même étant appelé "cigua", (II faut noter que les « burgos » récoltés sur certains îlots et récifs de la côte méridionale de Saint-Barthélemy sont la cause de troubles analogues à ceux qui furent décrits par les chroniqueurs des XVe et XVIe siècles) Le vocable s'est étendu ensuite, dans le langage populaire, aux troubles digestifs et aux troubles neuraux ressentis après l'ingestion de différentes espèces de poissons vénéneux, espèces qui se révélèrent malheureusement relativement nombreuses dans les eaux des Grandes Antilles, Le auteurs anciens, repris par COUTIÈRE dans sa thèse (1899) décrivent également des cas d'intoxications graves depuis le début de l'occupation des Petites Antilles par les Européens, intoxications attribuées pour la plupart aux barracudas, aux balistes, aux murènes, à certains clupes, aux carangues comme à un certain nombre d'espèces de « poissons rouges ». Les naturalistes modernes, d'ARCISZ (1950) à RANDALL (1958), donnent la liste scientifique des espèces incriminables dans la Mer des Antilles. Il n'existe actuellement aucun manuel en langue française permettant la détermination des poissons marins et des espèces dulçaquicoles des Petites Antilles, Le naturaliste est obligé, pour identifier les poissons, de recourir à des ouvrages américains ou hollandais, ou encore à des monographies toutes rédigées en langue anglaise. Ces livres, à de très rares exceptions près, sont anciens et difficiles à trouver en librairie étant presque tous épuisés ou rares. La publication que nous présentons ici n'a pas la prétention de pallier l'inexistence de documents en langue française sur l'ensemble de la faune ichthyologique antillaise; elle n'a pour but que de fournir au personnel chargé du contrôle du conditionnement et des marchés, aux armateurs à la pêche désireux de se renseigner sur les possibilités locales, comme à quelques esprits curieux, une documentation suffisante et illustrée, pour permettre une identification sûre et rapide des espèces dangereuses. Cette étude est née d'un besoin précis : les pêcheurs des Antilles françaises, maintenant guidés par une assistance technique qui reprend élémentairement les bases de la profession, se sont heurtés très rapidement au fait suivant : il était nécessaire de créer un conditionnement des produits de la pêche car quelques espèces de poissons commerciaux, saines dans certaines régions, sont vénéneuses dans d'autres, géographiquement toutes voisines, et doivent être éliminées du marché. Pour cela il fallait établir avec précision quelles espèces pouvaient être dangereuses, et donner aux pêcheurs, aux marchands et au public l'image exacte des formes incriminables. Si une espèce donnée peut contenir des individus vénéneux, tous les individus de cette espèce ne sont pas dangereux et des spécimens de la même espèce incriminables en un point ne le seront pas dans d'autres lieux de pêche. POEY (1866) a écrit: « ... il n'y a pas un poisson suspect sur dix mille... » Cela est sans doute vrai si l'on envisage le stock constitué par une espèce, mais ne l'est plus si l'on considère les concentrations géographiques. A travers l'expérience que nous avons acquise à Saint-Barthélemy, nous pouvons affirmer avec certitude que les poissons vénéneux sont bien groupés en isolats cernés par des frontières géographiques précises. De plus il apparaît très nettement que les poissons âgés, donc ayant atteint un certain poids, sont seuls responsables des accidents ciguatériques les plus graves. Le fait que l'ichthyologiste cubain POEY, 1866, ait imposé l'interdiction des poissons pesant plus de trois livres dans les espèces suspectes sur le marché de La Havane est très significatif. Un fait statistique observé à Saint-Barthélemy vient corroborer les notions précédemment énoncées. Un certain nombre de canots de pêche à la ligne à main, travaillant à l'accore méridional du banc de Saint-Martin, capturait surtout des « oreilles noires » (Lufianus buccanella (c. et V.), 1828) et des « vivaneaux » (L. vivanus (c. et V.), 1828) ; le poids des poissons vidés acceptés par le service de contrôle de la coopérative des pêcheurs de Gustavia avait été fixé à 1 500 g; des poissons de poids bien supérieurs à ce plafond ayant été acceptés par le conditionnement en janvier et février 1963, toute une série d'intoxications graves de type ciguatérique se produisit à Basse-Terre et à Pointe-à-Pitre de La Guadeloupe, lieux principaux de consommation du poisson capturé sur le banc de Saint-Martin. Le poids des poissons vidés exportables ayant été ramené à 1 500 g. les intoxications cessèrent. Il reste à étudier l'étiologie de la «ciguatera », forme la plus commune d'ichthyosarcotoxisme notée aux Antilles. L'accumulation des observations et des notes prises à propos des cas observés à Saint-Barthélemy, à La Guadeloupe, comme à La Martinique (1950) ainsi que les dissections effectuées sur les poissons capturés par les pêcheurs de Saint-Barthélemy nous permettront peut-être de conclure bientôt à ce sujet. Enfin. il faudra trouver le test biochimique simple et précis permettant de déterminer rapidement si un poisson considéré comme « redouteux» est vénéneux ou non. (Les poissons incriminables sont désignés sous le nom de poissons «redouteux» dans le patois de Saint-Barthélemy; la « ciguatera » est nommée « mal poisson ».) Les appellations vernaculaires créoles des espèces vénéneuses ont été établies à partir des notes prises depuis 1950. Cette liste est loin d'être exhaustive car il n'y a pas de domaine plus ingrat que la synonymie vernaculaire. Les appellations américaines, britanniques et hollandaises ont été prises dans les ouvrages publiés d'une part par le Fish and Wildlife Service (laboratoire de Biologie marine de Miami), et d'autre part par la Commission des Caraïbes. Kent House, à La Trinidad. 1959. relayée ensuite par le Secrétariat central de l'Organisation des Caraïbes, 1961. Hato Rey. Porto-Rico. Enfin. nous avons pu établir l'équivalence vernaculaire des noms de poissons utilisés à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin grâce à l'aimable collaboration du Dr PETIT, chef de l'hôpital de Marigot à Saint-Martin. Les bases de la systématique que nous avons utilisées, pour replacer les espèces décrites dans un cadre cohérent. sont celles qui sont exposées par BERTIN et ARAMBOURG (1958) dans le troisième fascicule du tome treize du Traité de Zoologie publié sous la direction du Pr P. GRASSÉ: nous y avons fait de larges emprunts. (OCR non contrôlé) Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1965-03 , Vol. 29 , N. 1 , P. 1-130 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1965/publication-4004.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4004/ | Partager |
Comité d'aide et d'assistance coloniale : exercice 1915-1916 Année de publication : Résumé : Dispositif d'aides aux soldats créoles appelés sous les drapeaux Siècle(s) traité(s) : 20 Provenance : Archives départementales de Guadeloupe Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/ADG18201 ADG18201 | Partager |
Un maître d'armes sous la Restauration Auteur(s) : Vigeant, Arsène (1844-1916) Année de publication : Éditeur(s) : Paris : Motteroz Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Archives départementales de Guadeloupe Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/ADG18261 ADG18261 | Partager |
Bemerkungen über die Krankheiten der Truppen in Jamaika, und die besten Mittel, die Gesundheit der Europäer in dem dasigen Klima zu erhalten : aus dem Englischen übersetzt Auteur(s) : Hunter, John (1728-1793) Année de publication : Éditeur(s) : Leipzig : in der Weidmannschen Buchhandlung Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : Domaine public Provenance : Université Toulouse III - Paul Sabatier. Service Commun de la Documentation Permalien : http://www.manioc.org/patrimon/TLS17115 TLS17115 | Partager |