![]() | Rutas Alimentarias: una estrategia de negocios inclusivos que vincula las políticas agrarias y turísticas Auteur(s) : Barrera, Ernesto Bringas Alvarado, Olivia Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Las Rutas Alimentarias son itinerarios turísticos que ofrecen servicios y productos que permiten recorrer y explorar lúdicamente la cultura y la historia de aquellos alimentos embebidos de la identidad de la región que representan; conllevan sin embargo un propósito más profundo; exponer en primer plano el significado simbólico de los alimentos y mudarlos de facilitadores de la experiencia turística a recursos culturales de carácter focal.Desde una perspectiva menor las rutas alimentarias pueden categorizarse como un producto turístico pero su mayor potencial se localiza en el ámbito de las políticas agrarias; circunstancia que suele ser dejada de lado en el diseño de las políticas regionales debido a que turismo y agro transitan por carriles separados en la rutina intelectual que predomina en ambos sectores.Consideramos a las rutas alimentarias como un instrumento, con apariencia turística, que promueve el desarrollo rural a través del posicionamiento de los alimentos con identidad territorial.En América Latina, especialmente a partir del año 2000, han comenzado a promocionarse como rutas alimentarias (ó gastronómicas) productos turísticos con pretensiones de novedosos pero que sólo cumplen un rol turístico. En Europa y especialmente en Francia, la finalidad más importante de las rutas alimentarias –aunque sin formalizar- se relaciona más con la industria de la alimentación y con el desarrollo de marcas que con el turismo. En éste artículo se realiza un análisis comparado de las diversas estrategias de desarrollo de las rutas alimentarias; tanto las seguidas en América Latina como en Europa, confrontándose también para ambas regiones la fisiología de agregación de valor a través del vínculo Turismo - Denominaciones de Origen Protegido. Les routes alimentaires sont des itinéraires touristiques qui offrent des services et produits touristiques qui permettent de découvrir de manière ludique la culture et l'histoire alimentaire des territoires en accordant une attention particulière à la signification symbolique des aliments et aux ressources culturels locales.Ces itinéraires sont le support d’une offre touristique construite autour des ressources du terroir. Bien conçus, ils peuvent participer au développement rural. Nous considérons les routes alimentaires (ou gastronomiques) comme un instrument au service du développement rural; les productions alimentaires, les ressources vernaculaires, la culturel sont au cœur du projet territorial.En Amérique latine, ces initiatives associant développement rural et tourisme, dans le cadre de routes alimentaires, se développement depuis le début des années 2000. Cet article propose une analyse comparative des diverses stratégies de développement pour les routes alimentaire, autour d’expérience sud-américaines, nord-américaines et européennes. Food Routes are routes that offer tourist services and tourist products that reveal the culture and history of food in areas with special attention to the symbolic meaning of foods and local cultural resources.These routes are the support of a tourism built around local resources. Properly designed, they can participate in rural development. We consider the road food (or gourmet) as an instrument for rural development, food production, resources vernacular culture are at the heart of the territorial project.In Latin America, these initiatives involving rural development and tourism in the context of road maintenance to development since the early 2000s. This article offers a comparative analysis of various development strategies for road food experience around South America, North American and European Argentine Mexique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.3828 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/3828 | Partager |
![]() | Du tourisme et de la pauvreté en Afrique : duel ou duo ? Auteur(s) : Hillali, Mimoun Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La notion du tourisme moteur de développement n’a pas survécu à la chute du communisme. Cette chute a rendu caduc, le rôle idéologique de ce secteur, symbole et acteur du libéralisme au temps de la guerre froide. De fait, le tourisme retrouve sa place « normale » parmi les vocations nationales des pays en développement : aide au développement et/ou lutte contre la pauvreté !Le Maroc, l’un des pionniers du libéralisme en Afrique, n’a pas échappé aux conséquences du suivisme économique propre aux pays d’Afrique, socialistes et libéraux confondus. Du tourisme moteur de développement (1964), il a récemment procédé au réajustement de sa stratégie en matière du développement touristique, en en faisant un secteur d’appoint pour l’économie nationale. « Le miracle économique du tourisme n’a donc pas eu lieu ! » (Hillali, 2007). Constat d’échec ou réajustement stratégique normal, la question est posée. À ce propos, deux initiatives méritent d’être citées :- Le tourisme représente un secteur d’activité qui procure emplois et revenus aux citadins démunis (artisanat, emplois peu qualifiés...) et aux populations rurales (gites, auberges, accompagnement...) dans le cadre de la nouvelle stratégie des Pays d’accueil touristiques (2003), du tourisme de niches et de l’aide aux jeunes entrepreneurs. - L’initiative nationale du développement humain (INDH), lancée en 2004, est censée épauler les nécessiteux dans cette politique sociale et économique de grande envergure.Or, en dépit des programmes bien planifiés, les résultats sont mitigés. Peut-être, est-il que la mise en pratique de ces nouvelles approches de développement local et ciblé (actions opérationnelles) et les méthodes d’évaluation qui en assurent le suivi (mesure des impacts) ne sont pas encore assez rôdées. The concept of tourism as a driving force for development has not survived the fall of communism. The end of the Cold War rendered the ideological role of the tourism sector, as a main tool of liberalism, obsolete. Today, the most common setting for the tourism sector is in developing countries, as a tool for development and/or poverty reduction.Morocco, one of the pioneers of liberalism in Africa, has not escaped the consequences of the economic band wagonning among African states, socialists and liberals alike. A driving force for tourism development in the last century (1964), Morocco has recently readjusted its strategy to create an extra sector to contribute to the national economy. "The economic miracle of tourism has not taken place!"(Hillali, 2007). The question is posed: What is more appropriate, identifying failures or engaging in strategic readjustment? In this regard, two initiatives are worth mentioning: - Tourism is an industry that provides jobs and income for the urban (crafts, low-skilled jobs) and rural (cottages, inns, coaching) poor as part of the new strategy of the country’s tourist reception (2003), tourism niches and helping young entrepreneurs. - The National Initiative for Human Development (NIHD), launched in 2004, aims to support those in need in major social and economic policies.However, despite well-planned programs, the results have been mixed. Perhaps it is that the implementation of these new approaches to local development and targeted (operational activities) and evaluation methods that ensure monitoring (measurement of impacts) do not overlap enough. Afrique Maroc Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6563 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6563 | Partager |
![]() | Achieving Sustainability of Natural Resources and Obtaining Economic Goals. Tourism’s Pandora’s box Auteur(s) : Miller, Novadene Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : The tourism industry has realized that the goals to protect the environment and goals of the economy are often not compatible. Thus countries such as Jamaica whose principal economic earner is tourism are seeking methods to green their national accounts and policies. However livelihood socioeconomic systems of the local population often conflict with sustainable policies. Furthermore these livelihood systems to eke out a living are often not regulated and fall outside the formal structures of governance, and sustainable regulation systems and policies. This article examines this Pandora’s Box within the context of Jamaica, Cockpit country with a focus on water, as natural resource used by both the tourist sector and the local population. L'industrie du tourisme a réalisé que les objectifs de protection de l'environnement et les objectifs de l'économie ne sont souvent pas compatibles. Ainsi, des pays comme la Jamaïque dont le principal soutien économique est le tourisme économique sont à la recherche de méthodes écologiques de leurs comptes et les politiques nationales. Systèmes de subsistance Cependant socio-économiques de la population locale sont souvent en conflit avec les politiques de développement durable. En outre, ces systèmes de subsistance pour gagner leur vie sont souvent pas réglementés et tombent en dehors des structures formelles de gouvernance et des systèmes de régulation et des politiques durables. Cet article examine cette boîte de Pandore dans le cadre de la Jamaïque, pays de cockpit en mettant l'accent sur l'eau, ressource naturelle utilisée à la fois par le secteur du tourisme et de la population locale. Jamaïque Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5297 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5297 | Partager |
![]() | La géographie esthétique de Douglas Tompkins, une utopie éco-philanthropique en Patagonie Auteur(s) : Bourlon, Fabien Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La Patagonie a longtemps été considérée comme une Terra Australis res Nillius : les terres du sud sans maître. Depuis la Conquista espagnole cet espace a été l’objet de nombreuses utopies, collectives, celles des découvreurs, des militaires et des missionnaires, et individuelles, celles des marchands et des aventuriers et sportifs, avides de richesses et de gloires. Vers la fin des années 1980, une nouvelle idéalisation de la nature, le wilderness, fait de la Patagonie un « must » à découvrir puis à sauvegarder, face à la pression des usages industriels, agricoles, miniers, forestiers, hydroélectriques, et halieutiques. L’utopie éco-philanthropique du milliardaire étasunien Douglas Tompkins puise ses origines dans une expédition au Fitzroy en 1968, mais s’inscrit dans une tradition nord-américaine du xixe siècle. Convaincu de l’impérieuse nécessité de sauvegarder la biodiversité sud-américaine, il propose une Nouvelle Économie, basée sur les principes de la Deep Ecology. Il achète des terres pour « la valeur de la beauté et de l’harmonie » et façonne ses parcs pour « le bien de l’humanité » (Tompkins, 2012).Par une approche biogéographique, cet article montre comment un parcours individuel a instauré un nouvel imaginaire, culturel et touristique. Une œuvre dessine une nouvelle géographie, esthétique, utopique et individualiste qui fait débat, au-delà des enjeux territoriaux et politiques liés à la conservation et à la création de parcs privés. Écrits, films et affiches en faveur de l’écologie et contre l’industrialisation et la technologie changent le regard des acteurs sur ces terres de confins. Les activistes verts et acteurs écotouristiques louent son apport aux luttes socio-environnementales. Le monde rural, les entrepreneurs et les défenseurs de l’esprit des pionniers, défricheurs de terres vierges, critiquent son opposition au développement et son manque de respect pour leur mode de vie. Mais ils vendent leurs terres aux riches occidentaux et chiliens, qui veulent posséder leurs propres parcs du bout du monde et espèrent que le tourisme leur assurera leur futur. Patagonia has long been considered a Terra Australis res Nillius: the lands of the south with no master. Since the Spanish Conquista this space has been the object of many collective utopias, those of discoverers, soldiers and missionaries, and individual ones, those of merchants and adventurers and sportsmen, eager for wealth and glory. Towards the end of the 1980’s a new idealization of nature, the wilderness, changed Patagonia into a “must” to discover and then to safeguard against the pressure of industrial, agricultural, mining, forestry, hydroelectric, and fisheries exploitation. The eco-philanthropic utopia of the American millionaire Douglas Tompkins finds draws its origins from an expedition to Mount Fitzroy in 1968 but is part of a North American tradition of the nineteenth century. Convinced of the imperious need to safeguard South American biodiversity, he proposes the “Next Economy”, based on the Deep Ecology ideals. He buys land for “the value of beauty and harmony” and shapes his parks for “the good of humanity” (Tompkins, 2012).Through a biogeographic approach, this article shows how an individual project has created a new imaginary, both cultural and touristic. The work of an artist defines a new geography, aesthetic, utopian and individualistic, that questions us, beyond the territorial and political issues associated with the conservation and creation of private parks. Books, films and graphic works in favor of ecology and against industrialization and technology, change views actors have on these remote lands. Eco activists and ecotourism actors praise his contribution to tackle socio-environmental issues. The rural world, entrepreneurs and defenders of the spirit of the pioneers, clearers of virgin lands, criticize his opposition to development and lack of respect for their way of life. Nevertheless they sell their land to rich westerners and Chileans who want to posses their own private parks at world’s end while hopping that tourism will ensure their future. La Patagonia ha sido considerada por mucho tiempo como una Terra Australis res Nillius : las tierras austral de nadie. Desde la Conquista española este espacio ha sido objeto de numerosas utopías, colectivas e individuales, las de los descubridores, de los militares, misioneros, mercantes, aventureros y deportistas, en búsqueda de riquezas y glorias. Hacia el final de los años 80, una nueva idealización de la naturaleza, el wilderness, transforma la Patagonia en un lugar para conocer y preservar de las codicias industriales, agrícolas, mineras, forestales, hidroeléctricas o pesqueras. La utopía eco-filantrópica del millonario norte americano Douglas Tompkins nace en una expedición al Cerro Fitzroy en 1968, pero se enmarca en una tradición de los Estados Unidos del siglo xix. Convencido de la necesidad de salvaguardar la biodiversidad sur americana, el propone una Nueva Economia, basada en los principios de la Ecología Profunda. Compra tierras por el valor de su belleza y harmonía y planea sus parques por el bien de la humanidad.A través de una metodología llamada biogeográfica, esta comunicación muestra como un proceso personal ha instalado un nuevo imaginario cultural y turístico. Una obra moldea una nueva geografía, estética, utópica y personal, que genera debates, mas allá de los desafíos territoriales y políticos que conllevan la conservación y creación de parques privados. Escritos, películas y afiches a favor de la ecología y en contra de la industrialización y la tecnologización de la sociedad, cambian la mirada de los actores locales de estas zonas australes. Los activistas verdes y los emprendedores eco-turísticos alaban su contribución en las luchas socio-ambientales. El mundo rural, empresarios y defensores del espíritu de los colonos, critican sur oposición al desarrollo y su falta de afinidad con sus modos de vida. Pero ellos venden sus tierras a los ricos norte americanos, europeos y chilenos, deseosos de poseer sus propios parques del fin del mundo, esperando, sin embargo, que el turismo les asegure su futuro. Patagonie Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11150 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11150 | Partager |
![]() | La sécurité, un enjeu de développement des croisières (1975 – 2010) ? Auteur(s) : Lescure, Jean-Claude Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Sur la terre ferme, la sécurité est devenue un thème récurrent de la vie politique, des imaginaires voire de la réalité. Dans le monde de la croisière au contraire, la communication vend un univers idyllique. Or la réalité de la vie à bord du navire n’est pas faite que de bonheur, et les armateurs, les voyagistes, les équipages et les autorités administratives anticipent des situations qui mettent en péril les passagers. La gestion des épidémies ne se limite pas à la grippe H1N1, moment exceptionnel qui cache la réalité fréquente des épidémies de gastro-entérite. Le quotidien sécuritaire est aussi constitué par les risques plus traditionnels : le feu et le naufrage. La croisière également s’accompagne de viols et violences sur des croisiéristes, voire de disparitions de passagers. Ces trois dangers de la croisière font l’objet de mesures de santé publique, de définition de normes de sécurité internationales depuis 1914, et de mesures législatives récentes, puisque le dernier texte a été promulgué par le président Obama en juillet 2010. L’Europe montre un retard important dans l’organisation de cette politique, gage de développement de l’industrie de la croisière. On land, security has become a recurring theme in the political life of the imagination or reality. In the world of cruising the contrary, communication sells idyllic world. The reality of life on the ship is not made that happiness, and shipowners, operators, crews and administrative authorities anticipate situations that endanger passengers. Outbreak management is not limited to the H1N1 exceptional moment that hides the reality of frequent outbreaks of gastroenteritis. The daily safe is also constituted by the more traditional risks: fire and sinking. The cruise also accompanied by rape and violence on cruise or disappearances of passengers. These three dangers of the cruise are the subject of public health measures, definition of international safety standards since 1914, and recent legislation, since the final text was issued by President Obama in July 2010. Europe shows a significant delay in the organization of the political guarantee for the development of the cruise industry. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5220 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5220 | Partager |
![]() | La manufacture de soie et ses tentatives d’implantation dans le domaine colonial des Antilles françaises. L’exemple de la Martinique de la fin de la compagnie des Indes occidentales à l’orée du Auteur(s) : Marie-Luce, Manuel Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La manufacture de la soie est une industrie qui fut présente en France, mais aussi dans les colonies durant la moitié du xviie siècle. Elle représentait le luxe dans le secteur textile. Pourtant, il n’y a pas d’études sur la question. Elle est oubliée au profit de la culture du sucre, davantage étudiée. Cet article permet de comprendre les efforts faits afin de l’implanter dans les Antilles. La Métropole voulait développer une alternative au sucre, tandis que les colons voulaient rester dans l’économie servile et rentable avec le système des habitations et des raffineries. La question de la dépendance est présente avec des opinions très différentes. The manufacture of silk, is an industry that was present in France and also in the colonies during the mid-seventeenth century. It was the luxury in the textile sector. However, there are no studies on the issue. It’s forgotten in favor of the cultivation of sugar, which is present in the studies. This article provides an understanding of the efforts to promote the Caribbean. France wanted to develop an alternative to sugar, while the settlers wanted to stay in the profitable slave economy with system habitations and refineries. The dependence is present with very different opinions. Martinique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7487 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7487 | Partager |
![]() | Natural Hazard Mitigation Strategies in the Continental Caribbean: The Case of Belize Auteur(s) : Usher, Kareem M. Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : The small nation of Belize is nestled on the Central American Continent bounded on its north by Mexico, the west and south by Guatemala and the Caribbean Sea on its eastern border. Located in the path of Atlantic Tropical Cyclones, the country is susceptible to atmospheric disasters. Most notably are the Hurricane of 1931 and Hurricane Hattie which claimed 275 lives and caused damages in excess of US$1 Billion. Consequently, Belize has implemented several responsible and original mitigation policies to safeguard its population and protect the bourgeoning tourism industry. In spite of those efforts, most of its coastal populations remain vulnerable to hurricanes and floods. La petite nation de Belize est nichée au cœur de l’Amérique Centrale, bordée au nord par le Mexique, à l'ouest et au sud par le Guatemala ; la mer Caraïbe constituant sa frontière orientale. Situé sur la trajectoire des cyclones tropicaux atlantiques, le pays est exposé aux catastrophes atmosphériques. Parmi les plus notables dans l’histoire de Bélize : l'ouragan de 1931 et l'ouragan Hattie qui ont fait 275 victimes et causé des dommages évalués à plus de 1 milliard de dollars. En réponse, le pays a mis en place diverses politiques responsables et inédites visant la réduction des risques afin de sauvegarder sa population et de protéger l’essor du tourisme. Malgré ces efforts, la majorité des populations côtières demeure vulnérable aux ouragans et aux inondations Belize Amérique centrale Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.324 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/324 | Partager |