Longevity, an adaptation trait of creole goats to tropical climate ; Longévité, un trait d'adaptation des chèvres créoles au climat tropical ; Longevity, an adaptation trait of creole goats to tropical climate Auteur(s) : Zsuppan, Zsuzsa Zsuppan, Zsuzsa Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : INRA : Institut National de la Recherche Agronomique Université des Antilles. Service commun de la documentation INRA : Institut National de la Recherche Agronomique Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : 52e congrès annuel de la Société caribéenne des plantes alimentaires / 52nd annual meeting of the Caribbean food crops society (CFCS), du 10 au 16 juillet 2016. INRA, CFCS Description : The importance of longevity as an economically trait gives a picture of the flock efficiency and adaptation in a particular environment. A study was conducted in the experimental herd of Creole goats at INRA in Guadeloupe in order to test environmental (year and season at first kidding, age at first kidding and weight at first mating as well as genetic (index of resistance, sire) factors that affect longevity of does. Lifetime data set of 387 Creole does, reared at pasture all year long, was recorded over a period of 11 years (2001-2012). Does were bred for reproduction at 11months of age. Three mating periods were organized per year, corresponding to 3 climatic seasons, using buck effect. Data were analyzed using survival models (Survival Kit 6.1). The average age for culling was 5.03 years. The culling rate was higher for goats between 2 and 3 years (17 and 24%) and then gradually decreased. Year and season at first kidding did not have a long term influence on does? longevity; neither does age at first kidding. In contrast, weight at first mating had a significant effect and it can be recommended to farmers to mate primiparous goats heavier than 17 kg. Heritability was estimated to 0.16 allowing some genetic progress. No significant correlation was shown with the genetic breeding value of resistance to gastrointestinal parasitism. This study gave indications to breeders to improve their female flock management and increase does? longevity. L'importance de la longévité comme trait économique donne une image de l'efficacité et de l'adaptation de troupeau dans un environnement particulier. Une étude a été entreprise dans le troupeau expérimental de chèvres créoles à l'AICN en Guadeloupe afin d'examiner ambiant (l'année et la saison d'abord badiner, âge d'abord badiner et poids d'abord joindre aussi bien que (index de résistance, de père) les facteurs génétiques affectez dont la longévité fait. L'ensemble de données de vie du Créole 387 fait, élevé au pâturage tout au long de l'année, a été enregistré pendant 11 ans (2001-2012). Fait ont été multipliés pour la reproduction à 11months d'âge. Trois périodes d?accouplement ont été organisées par an, correspondant à 3 saisons climatiques, utilisant l'effet de mâle. Des données ont été analysées utilisant des modèles de survie (trousse de survie 6,1). L'âge moyen pour cueillir était de 5,03 ans. Le taux de cueillage était plus haut pour des chèvres entre 2 et 3 ans (17 et 24%) et alors graduellement diminué. L'année et la saison à premier badiner n'ont pas eu une influence à long terme sur la longévité des does ; ni l'un ni l'autre ne vieillit d'abord badiner. En revanche, le poids au premier accouplement a eu un effet significatif et il peut recommander aux agriculteurs de joindre les chèvres primipares des que 17 kilogrammes plus lourds. L'héritabilité a été estimée à 0,16 permettant du progrès génétique. Aucune corrélation significative n'a été montrée avec la valeur d'élevage génétique de la résistance au parasitisme gastro-intestinal. Cette étude a donné des indications aux éleveurs afin d'améliorer la gestion féminine de troupeau et d'augmenter la longévité de ces dernières. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16262 V16262 V16262 | Partager |
Analyse de la variabilité génétique de la résistance aux strongles gastro-intestinaux chez les chèvres créoles à des fins de sélection et de compréhension des mécanismes ; Analysis of genetic variability of resistance to gastrointestinal nematodes in creole goats for selectiob and understanding of mechanisms Auteur(s) : De la Chevrotière, Claudia Auteurs secondaires : Antilles-Guyane Mandonnet, Nathalie Résumé : Les deux principaux objectifs de ce travail sont de proposer des outils pour la selection d'animaux résistants aux strongles gastro-intestinaux, parasites du tube digestif, et de faire progresser la compréhension des mécanismes de résistance chez la chèvre créole. La variabilité génétique du caractère de résistance au parasitisme digestif a été étudiée afin de vérifier quels critères décrivant le mieux la résistance, peuvent être utilisés pour la sélection. L'ensemble des résultats obtenus suggèrent que le critère d'excrétion d'oeufs et le critère d'éosinophilie sont les plus adaptés pour un schéma de sélection puisqu'ils possèdent une héritabillté moyenne et représentent le mieux la résistance. De plus, ils ne semblent pas en opposition avec le poids, principal critère de production. Le déterminisme génétique de la résistance aux strongles gastro-intestinaux a été étudié et a permis de mettre en évidence l'existence d'un gène majeur pour la résistance chez la population de chèvre créole. De plus, la primo-détection de qtl a permis d'identifier 13 régions du génome ayant un effet sur les critères de résistance. Les mécanismes responsables de la résistance aux strongles gastro-intestinaux ont également été à l'étude. L'ensemble des résultats met en évidence le rôle des éosinophiles dans la mise en place de la résistance aux strongles gastro-intestinaux. L'activité des immunogobulines e semblent dirigés vers les larves l3 d'haemonchus contortus et suggère la mise en place d'une réaction protectrice. Chez la chèvre créole. Ces deux mécanismes semblent donc jouer un rôle important dans la mise en place de la résistance aux strongles gastro-intestinaux The two main objectives of this work are to propose tools for the selection of resistant animals to gastrointestinal nematodes and advance knowledge on mechanisms of resistance of creole goats. this work has analysed the genetic variability of resistance to digestive parasitism in order to determine which criteria best describes the resistance and can be use for selection. the overall results suggest that the egg excretion and the eosinophilia are the criteria most suitable for a breeding scheme because they have moderate heritability estimates and best represent the resistance. moreover, they do not seem in conflict with the weight, the main criterion of production. the genetic determinism of resistance to gastrointestinal parasites has been studied and has highlighted the existence of a major gene for resistance in creole goats. in addition, the primodetection of qtl identified 13 genomic regions that affect the resistance. the mechanisms behind the resistance to gastrointestinal parasites were also studied and first hypothesis regarding the involvment of the immune response in resistance have been made in goats. the overall results highlighted the role of eosinophils in the development of resistance to gastrointestinal nematodes. the activity of immunoglobulin e seems directed toward l3 larvae of haemonchus contortus and may be imply in the establishment of a protective response agasint nematode parasites. in creole goats, these two mechanisms seem to play an important role in the development of resistance to gastrointestinal nematode infections http://www.theses.fr/2011AGUY0407/document | Partager |
Stratégies innovantes de gestion du pâturage pour améliorer l'alimentation et lutter contre le parasitisme gastro-intestinal : pâturage mixte caprins/bovins et addition de vermicompost ; Innovative strategies for grazing management to improve nutrition and fight against gastrointestinal parasitism : pâturage mixed goats / cattle and addition of vermicompost Auteur(s) : D'Alexis, Séverine Auteurs secondaires : Antilles-Guyane Boval, Maryline Résumé : Les systèmes d'élevage des petits ruminants au pâturage sont les plus répandus en zone tropicale humide mais l'exposition aux strongles gastro-intestinaux entraîne des pertes importantes de production. L'objectif de ce travail est d'évaluer un système de gestion mixte du pâturage associant diverses espèces animales permettant à priori d'accroître les performances via la réduction du parasitisme et!ou une meilleure alimentation. L'étude de la littérature a conduit à une méta-analyse confirmant de meilleures performances individuelles ou à l'hectare pour les ovins en mixte. Préalablement un dispositif visant à vérifier la non-transmission des larves d'Haemonchus contortus des caprinsaux génisses Créoles a été validé. Un second dispositif avec des chevrettes conduites en mixte, infestées ou pas par Haemonchus comortus (Ml et MnI) ont été comparées à des chevrettes contrôles infestées ou non (CI et CnI). Ce dispositif a été conduit pendant 2 ans avec des mesures du couvert pâturé, des mesures individuelles des quantités ingérées, de la digestibilité, du parasitisme et de la croissance. De plus fortes croissances ont étéobservées en pâturage mixte que les chevrettes soient infestées ou pas (43.25 et 31.68 glj pour MDI et MI vs. 32.44 et 17.91 glj) avec une moindre biomasse. Les mesures d'ingestion et d'ingéré digéré ont été corrélées aux croissances des chevrettes contrairement aux variables parasitaires et met en évidence le rôle de l'alimentation et de la résilience dans le bénéfice du pâturage mixte. Une autre gestion intégrée du pâturage a été étudiée basée sur l'utilisation du vermicompost et s' ant sur les mêmes leviers d'action: l'alimentation et le itisme Systems of small ruminant grazing are most prevalent in the humid tropics but this environment exposes animals to gastro-intestinal with production losses. The objective ofthis thesis is to evaluate a system ofmixed management ofthe pasture combining various animal species, which allows a priori to increase animal performance by reducing the parasitism and/or better nutrition. The study of literature bas led to a meta-analysis confirming the better individual performances or calculated per ha for sheep reared mixed. The first experiment validated the non-transmission of Iarvae ofHaemonchus contortus from goats to heifers. In a second experiment, goats mixed with heifers, infested or not with Haemonchus contortus (Ml vs MnI) were compared with controls goats, reared alone, infested or not (CI and CNI). This deviee with a continuous driving was studied for two years with measurements on the sward, individual measures of intake, digestibility, parasitism and growth ofthe goats. The highest growth rates were measured with the mixed pasture as goats are infested or not (43.25 and 31.68 g / d for MN! and MI vs. 32.44 and 17,91 g / d) with lower biomass. The herbage intake and the digested herbage intake were well correlated to the growth rate, unIike parasitic variables, and highlight the role of diet in the benefit of mixed driving for goats. Therefore, the infested goats with Haemonchus, expressed greater resilience with improved growth performance compared with controls. Parallel to the study ofmixed pasture, another integrated management of grazing was studied, based on the use of vermicompost and relying on the same levers. namelv throuzh feedinz and parasitism http://www.theses.fr/2012AGUY0537/document | Partager |