La graphie du créole haïtien à l'épreuve du sandhi Auteur(s) : Govain, Renauld Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Tracées de Jean Bernabé" : colloque international, du 25 au 27 octobre 2017. Université des Antilles Description : La graphie du créole haïtien (CH), promulguée le 31 janvier 1980, est d'ordre phonographique (établissant des correspondances quasi-fidèles (Vernet 1980, Dejean 1977) entre les unités phoniques et leur représentation graphique. Partant de ce principe, elle est transparente, biunivoque) et construite selon le principe de la déviance maximale. Elle provoque depuis quelques années un débat, comme aux Antilles, si l'on se réfère aux dernières publications de J. Bernabé (2013a, b ; 2017). Elle est acceptée et intériorisée mais semble problématique quant à la prise en compte des éléments hérités du français issus du phénomène de sandhi. C'est que le traitement de ces éléments convoque un niveau sophistiqué du fonctionnement de la langue qu'est la phonologie avec laquelle l'orthographe, en général, entretient d'étroits rapports. Il fait appel à des règles plus complexes que celles proposées dans la graphie officielle du CH et pour laquelle on sent maintenant la nécessité d'une réforme. Or, la graphie phonographique ne facilite guère la prise en compte des éléments résultant d'un sandhi (Burov, 2013). Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17236 V17236 | Partager |
Connaissance et valorisation de fruits tropicaux en vue de l'élaboration de produits à bénéfice santé Auteur(s) : Marcelin-François-Haugrin, Odile Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles AREBio Groupe de recherche BIOSPHERES : BIOlogie, Sciences Physiques & Humaines pour les énergies Renouvelables, l Extrait de : 1er colloque international BIOSPHERES, du 18 au 20 juin 2019. Université des Antilles Description : La biodiversité de la Martinique, bien que faisant partie des points chauds de la diversité mondiale, n'a donné lieu qu'à peu de travaux de recherche. Or, cette richesse naturelle inestimable est vectrice de retombées économiques dans les domaines de l'agro-alimentaire, de l'environnement et de la santé. Ainsi, la valorisation des agro-ressources en lien avec la recherche dans le domaine de la nutrition-santé est une priorité de la stratégie politique du développement régional, orientant en ce sens, certains programmes menés par les organismes de recherche du territoire. L'intervenante a sélectionné comme modèle le goyavier, arbre dont les bienfaits thérapeutiques traditionnels sont reconnus dans toutes ses parties constitutives (feuilles, écorce, racines, fleurs, fruits) (MARCELIN et al., 2015). Dans sa présentation, elle s'intéresse au fruit et décrit l'organisation de la filière qui, depuis près de 30 ans, fait de l'innovation l'un des axes majeurs de son développement et de sa pérennité. Aussi, sous son impulsion, des travaux de recherche fondamentale et appliquée sont réalisés sur l'agronomie, la biochimie et la transformation du fruit. Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V19073 V19073 | Partager |
Virgile composant l'Enéide, mosaïque de Sousse. Extrait de : Les Colonies françaises, petite encyclopédie coloniale (p. 373) Résumé : La mosaïque de «Virgile» a été découverte sur le site dHadrumète (lactuelle Sousse en Tunisie), une cité portuaire au sud de Carthage. Réalisée par un artiste inconnu du début du IIIème siècle, elle se trouvait dans une riche maison romaine. La mosaïque représente un homme assis, portant la toge du citoyen romain, entouré de deux muses. On a identifié cet homme à Virgile car il tient dans sa main un livre sur lequel figure le vers 8 de lEnéide : « Muse, rappelle-moi pour quelle cause, pour quelle offense à sa volonté. ». Virgile est en effet entouré de deux muses, Calliope et Melpomène, qui paraissent lui dicter son récit. Toutes les deux sont filles de Zeus et de Mnémosyne, la déesse de la mémoire, et chacune a ses propres attributs. Calliope, muse de la poésie épique, lit un manuscrit. Elle porte sans doute une couronne dor qui est lun de ses attributs tout comme le livre ouvert. Melpomène, muse de la tragédie, a un air grave. Elle porte des vêtements riches et tient un masque de tragédie. Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16023-1-0406i1 MMC16023-1-0406i1 | Partager |
Nature and Evolution of the Lithospheric Mantle beneath the Hoggar Swell (Algeria): a Record from Mantle Xenoliths Auteur(s) : KOURIM, Fatna Bodinier, Jean-Louis Alard, Olivier Bendaoud, Abderrahmane Vauchez, Alain Dautria, Jean-Marie Auteurs secondaires : Géosciences Montpellier ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Université de Montpellier (UM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Manteau et Interfaces ; Géosciences Montpellier ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Université de Montpellier (UM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Université de Montpellier (UM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Usthb, Bab-Ezzouar Éditeur(s) : HAL CCSD Oxford University Press (OUP): Policy B - Oxford Open Option A Oxford University Press (OUP) Résumé : International audience Peridotite xenoliths exhumed by Quaternary alkaline magmatism in the Tahalgha district, southern Hoggar, represent fragments of the subcontinental lithospheric mantle beneath the boundary between the two major structural domains of the Tuareg Shield: the ‘Polycyclic Central Hoggar’ to the east and the ‘Western Hoggar’, or ‘Pharusian Belt’, to the west. Samples were collected from volcanic centres located on both sides of a major lithospheric shear zone at 4°35' separating these two domains. Although showing substantial variations in their deformation microstructures, equilibrium temperatures and modal and chemical compositions, the studied samples do not display any systematic changes of these features across the 4°35' fault. The observed variations rather record small-scale heterogeneities distributed throughout the study area and reflecting the widespread occurrence of vein conduits and metasomatized wall-rocks related to trans-lithospheric melt circulation during the Cenozoic. These features include partial annealing of pre-existing deformation microstructures, post-deformation metasomatic reactions, and trace-element enrichment, coupled with heating from 750–900°C (low-temperature lherzolites) to 900–1150°C (intermediate-T lherzolites and high-T harzburgites and wehrlites). Trace-element modelling confirms that the range of rare earth element (REE) variations observed in the Tahalgha clinopyroxenes may be accounted for by reactive porous flow involving a single stage of basaltic melt infiltration into a light REE (LREE)-depleted protolith. Whole-rock compositions record the final entrapment of disequilibrium metasomatic melts upon thermal relaxation of the veins–wall-rock system. The striking correlations between equilibrium temperatures and trace-element enrichment favor a scenario in which the high-temperature peridotites record advective heat transport along melt conduits, whereas the intermediate- and low-temperature lherzolites reflect conductive heating of the host Mechanical Boundary Layer. This indicates that the lithosphere did not reach thermal equilibrium, suggesting that the inferred heating event was transient and was rapidly erased by thermal relaxation down to the relatively low-temperature present-day geotherm. The low-T (<900°C) deformed lherzolites (porphyroclastic to equigranular) are characterized by only incipient annealing and LREE-depleted clinopyroxene compositions. They were only weakly affected by the Cenozoic events and could represent relatively well-preserved samples from rejuvenated Pan-African lithosphere. Extensive lithospheric rejuvenation occurred either regionally during the Pan-African orogeny, as a result of lithospheric delamination or thermomechanical erosion after thickening, or more locally along the meridional shear zones. The low-T Tahalgha lherzolites are comparable with lherzolites from Etang de Lherz, southern France, interpreted as lithospheric mantle rejuvenated by melt-induced refertilization during a late stage of the Variscan orogeny. ISSN: 0022-3530 hal-01107410 https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01107410 DOI : 10.1093/petrology/egu056 | Partager |
[Cr. Beaurivage et cr. Bernard-echelle 1/10000e] Année de publication : Éditeur(s) : [Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini:S.E.E.M.I] Extrait de : Année 1943 résumé des travaux effectués n°2 (Entre p.10 et p.11) Résumé : Croquis n°3 à l'encre et crayon couleur de 1943 noté au recto. Carte dépliable en 2 volets . Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf documents dont elle est issue. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130500017i1 ORK130500017i1 | Partager |
Pratiques éducatives dans un contexte multiculturel L'exemple plurilingue de la Guyane. Le primaire ; : Volume I Auteur(s) : Ailincai, Rodica Crouzier, Marie-Françoise Auteurs secondaires : Modèles, Dynamiques, Corpus (MoDyCo) ; Université Paris Nanterre (UPN) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD CRDP de Guyane : ISBN : 978-2-35793-010-0 Résumé : Cet ouvrage collectif rédigé sous la direction de Rodica AILINCAI et Marie-Françoise CROUZIER arrive à un moment important de la vie du système éducatif, en particulier dans le domaine de la formation des enseignants. Les missions dévolues aux personnels enseignants de Guyane sont, comme sur le reste du territoire national, multiples et variées mais de plus, s'inscrivent dans un contexte territorial d'une certaine complexité. Le caractère exceptionnel de ce contexte d'enseignement mérite d'être souligné. La réalité sociologique, culturelle et linguistique dans laquelle bon nombre d'enseignants de cette académie sont amenés à exercer est à la fois source de défi et facteur d'enrichissement professionnel. Il est vrai que dans un tel contexte nos enseignants rencontrent des difficultés récurrentes dans la mise en œuvre de leurs apprentissages et dès lors peuvent se sentir en situation d'échec. Il apparaît donc important qu'une aide pertinente puisse leur être apportée à travers des éléments de réponse adaptés à la situation. Ainsi un tel ouvrage est de nature à aider bon nombre d'entre eux, aussi bien ceux en formation initiale que ceux déjà en poste. Quant aux étudiants en formation à l'université et qui aspirent à exercer ce noble métier, ils peuvent y trouver une source de réflexion et de données pertinente. Cet ouvrage apporte des éclairages intéressants sur beaucoup de questionnements qui ont ja- lonné et jalonnent encore la vie quotidienne de notre institution. Le questionnement sur un enseignement en contexte guyanais est important et il faut prendre la précaution de pas d'aborder cette question sous la simple forme d'une cartographie socio-culturelle et linguis- tique. Il s'agit bien de s'approprier toutes les données propres à cette société guyanaise pluri- lingue et multiculturelle, validée entre autre par une démarche scientifique, afin de pouvoir les intégrer dans des démarches d'apprentissages réfléchies au centre desquelles on place l'enfant-apprenant. Les formateurs ont apporté une contribution significative à la rédaction de cet ouvrage, c'est un moment important à travers lequel ils font partager à d'autres collègues leur expérience et leur réflexion sur une démarche de formation d'enseignants en Guyane. Une pluralité d'activités est décrite avec bien souvent une approche de la pluridisciplinarité qui semble tel- lement nécessaire mais qui a si souvent du mal à se mettre concrètement en place au sein des établissements. Je les encourage à continuer ce type de productions car elles ne peuvent qu'être bénéfiques aux collègues qui sont souvent faces à leur quotidien et n'ont pas ou peu de temps pour appro- fondir la réflexion sur leur pratique. Le système éducatif en Guyane a besoin de données et d'approches complémentaires pour l'amélioration de la formation des enseignants et ceci au profit des élèves de l'académie. La rédaction de cet ouvrage me semble être par ailleurs un signe fort de la maturité acquise dans la professionnalité de l'équipe pédagogique de l'IUFM. Que tous les auteurs de cet ouvrage soient remerciés pour leurs contributions et plus particu- lièrement Rodica et Marie-Françoise pour leur implication dans la direction de ce premier ouvrage. Antoine PRIMEROSE, Directeur de l'IUFM de la Guyane Enseigner en Guyane : comment faire, quand on commence ? Et comment tirer profit de l'expérience d'un professeur des écoles à Cayenne ou à Saint-Laurent-du-Maroni si l'on tra-vaille ailleurs ? La situation guyanaise L'Académie de la Guyane présente depuis longtemps des résultats qui la placent au dernier rang, DOM compris (Durand et Guyard, 1999). Même si ceux-ci se sont nettement améliorés au cours des dernières années comme le montre l'évolution des taux de réussite aux examens, ils restent insatisfaisants. La proportion de bacheliers d'une génération selon le lieu de rési-dence, toutes séries confondues, est encore loin de la moyenne nationale. À la session 2004, elle était de 33 ,1 % (61,6 % en France métropolitaine + DOM). Conjointement, le nombre de sorties sans qualification du système scolaire s'avère préoccupant. En 2004, au niveau V , il était de 36 % (25 % en France métropolitaine + DOM) ; au niveau V bis et IV de 21 % (7% en France métropolitaine + DOM). Ces chiffres indiquent l'insuffisance de formation d'une partie de la population, à corréler avec le taux de chômage (22,7 % contre 9,6 en France mé-tropolitaine + DOM en 2005). Plus que jamais, l'urgence est de faire acquérir au minimum à chaque élève un " socle commun de connaissances et de compétences " pour que chacun puisse exercer son rôle de citoyen dans le monde du XXIe siècle et poursuivre sa formation tout au long de la vie. L'enjeu est politique, démocratique mais aussi économique : les retom-bées de l'amélioration générale des qualifications d'une population en matière de développe-ment d'un territoire ne sont plus à démontrer. Les réformes récentes du système éducatif fran-çais tracent une voie générale pour y parvenir. Cependant, les particularités locales du dépar-tement de la Guyane, qui peuvent constituer intrinsèquement des obstacles à la réussite de certains élèves , méritent d'être étudiées avec attention. Quelques aspects territoriaux sont à préciser. Le pourcentage de communes n'ayant pas d'écoles est très bas (4,5 %), comparati-vement à ce qui peut être observé ailleurs (France métropolitaine + DOM : 32,2 %). Dans un espace globalement peu peuplé (2 habitants au km2 en moyenne), les écoles sont donc disper-sées et, en raison de la difficulté fréquente des déplacements, souvent isolées les unes des au-tres . Elles ont aussi pour caractéristique de constituer des groupes scolaires plus importants en moyenne que dans d'autres départements. Selon les données ministérielles de 2004 , le pourcentage d'écoles de plus de huit classes est de 58, 4 % (13,1 % en France métropolitaine + DOM), d'écoles de 3 classes et moins : 14,4 % (44,9 % en France métropolitaine + DOM), d'écoles à classe unique : 6,4 % (13,1 % en France métropolitaine + DOM). Or, la taille d'un groupe scolaire n'est pas sans influence sur la vie qui s'y développe. Plus le nombre de clas-ses est élevé, moins la structure favorise les relations individualisées et personnalisantes. Au delà des aspects sociogéographiques, la situation plurilingue et pluriculturelle présente un caractère exceptionnel. Multiforme, elle s'inscrit entre deux pôles (Goury, 2002 ; Goury, Launey, Lescure et Puren, 2005) : un pôle où les élèves d'une classe partagent une même culture et langue maternelle, situation typique des sites isolés de l'intérieur du pays (Bushi-nenge et amérindiens sur les fleuves Maroni et Oyapock), et un pôle linguistiquement et cultu-rellement hétérogène, situation rencontrée plutôt sur le littoral, dans les sites urbains. De nombreuses publications portent déjà sur la situation sociolinguistique guyanaise , et un cer-tain nombre d'entre elles sur la relation que l'école entretient avec ce plurilinguisme . Elles mettent toutes en évidence la spécificité du contexte guyanais de ce point de vue : " On dénombre plus d'une trentaine de langues en Guyane. Les unes et les autres pesant un poids - numérique, économique, symbolique, etc. - plus ou moins important. Sur cette trentaine de langues, [...] une vingtaine est parlée par des groupes de locuteurs - 'natifs' ou non - représentant plus de 1 % de la population " Léglise (2007, p. 39). Ainsi, parmi les langues parlées par plus de 1 % de la population, distingue-t-on selon cet auteur : - six langues amérindiennes parlées par un peu moins de 5 % de la population ; - cinq langues créoles à base française ; le créole guyanais serait la langue première (L1) d'un tiers de la population, il est langue véhiculaire d'une partie du territoire ; le créole haïtien se-rait parlé par 10 % ou 20 % de la population , les créoles martiniquais et guadeloupéen se-raient parlés par environ 5 % de la population et le créole saint-lucien) ; - quatre créoles à base anglaise avec trois variétés de nenge(e) (aluku, ndyuka, pamaka, parlés par plus d'un tiers de la population) et le sranan tongo (utilisé essentiellement comme véhicu-laire) ; - un créole à base anglaise partiellement relexifié en portugais, le saramaka ; - cinq variétés de langues européennes : outre le français, le portugais du Brésil (5% à 10%), l'anglais du Guyana (2% environ), le néerlandais et l'espagnol ; - trois langues originaires d'Asie (le hmong et des langues de Chine du Sud, le hakka et le can-tonais). Une bonne partie de cette " non-francophonie ", parfois non scolarisée, se définit non seule-ment par son caractère étranger (28 % d'élèves sont issus de l'immigration) mais aussi large-ment par son caractère autochtone (de nombreux élèves sont nés français et alloglottes). Les caractéristiques professionnelles du personnel enseignant représentent également une donnée non négligeable à prendre en compte. Les enseignants du premier degré sont nettement plus jeunes que dans d'autres départements, et la tendance s'accentue au fil des ans. Par exemple, en 2003 les professeurs de plus de 50 ans représentaient 11,4 % de la cohorte. En 2005 ils ne sont plus que 10,6 %, alors qu'en métropole le taux est de 21,6 % du corps. Le nombre de non-titulaires, qui décroît nettement (en 2003 17,6 % ; en 2005 11,6 %) est cependant plus de quatre fois supérieur à celui de la France métropolitaine plus DOM (2,5 %). À cette inexpé-rience s'ajoute une formation institutionnelle très " nationale ", peu ou pas assez en prise avec les réalités locales. La très insuffisante préparation des professeurs, majoritairement métropo-litains, à enseigner dans un contexte marqué par une très forte proportion d'élèves alloglottes (Puren 2005, Alby et Launey, 2007) et souvent par d'importantes difficultés matérielles liées à la dispersion des écoles, pourrait être un facteur explicatif du taux d'échec scolaire en Guyane. Par conséquent, l'enseignement dans cette Académie constitue un terrain de recher-che d'une importance majeure. Nombre de recherches universitaires ont déjà été conduites. Celles concernant la réussite scolaire soulignent depuis longtemps l'importance des représen-tations que le sujet se construit autour de l'école. Ces représentations chez l'enfant "primo-arrivant" qui aborde l'apprentissage initial, viennent de la famille, mais aussi de l'école, des pairs, des médias. En référence à un modèle écologique et culturel du développement proposé par Ogbu (1981), il est possible de considérer qu'elles jouent un rôle sur la manière dont les familles et les enfants vont investir les activités scolaires. Ces conceptions préliminaires et implicites colorent aussi largement les attitudes spontanées des professionnels qui découvrent le département ou qui entrent dans le métier. Le domaine éducatif restant largement à explo-rer, de nouvelles voies ont fait l'objet de recherches fondamentales, recherches appliquées et activités pratiques ayant fait leur preuve. Notre ouvrage Enseigner en contexte guyanais ne va pas de soi. Ce sera notre première partie. Le dé-paysement, en termes géographique et culturel, peut être source d'inquiétudes ou de déstabili-sation. Être nommé dans une école des fleuves, par exemple, est une expérience qui, pour être bien vécue et pour éviter le choc de l'inconnu, nécessite informations et adaptation prospecti-ve. Que faut-il savoir et à quoi faut-il se préparer ? Rejoindre un poste caractérisé par l'enseignement bilingue français/créole peut tout autant désorienter. La connaissance des ca-ractéristiques socioculturelles et sociolinguistiques d'un lieu, la familiarisation avec des pro-jets et organisations spécifiques qui en découlent font partie de l'équipement professionnel des impétrants. Mais la centration sur une commune, une école ou une classe ne suffit pas. Le contexte culturel au sens large, riche et parfois très éloigné des références européennes, gagne à être appréhendé par différentes entrées. L'étude de l'" oraliture " et son utilisation réflé-chie en classe, souvent considérées comme une approche incontournable, méritent d'être questionnées. Quels en sont les bénéfices pour les élèves ? Faut-il privilégier l'utilisation du conte en dehors des constructions pédagogiques traditionnelles ou au contraire la rattacher aux pratiques d'écriture ? À quelles conditions la mise en valeur du patrimoine local, oral, peut-elle jeter des passerelles entres les modes de pensées des cultures d'origine et ceux de la culture scolaire en langue française ? Une voie d'exploitation de la culture environnante peut aussi passer par les visites de musées ou par diverses expositions. L'enjeu est de faire de l'élève un visiteur acteur, de le mettre en situation d'apprentissage hors de l'enceinte de la classe et de modifier la place de l'adulte, enseignant ou accompagnateur, à ses côtés. N'est-ce pas là actualiser une démarche préconisée depuis longtemps par de célèbres pédagogues tel Comenius ? Une autre exploration du contexte peut se centrer sur les espaces d'apprentissage informels, c'est-à-dire non encadrés par l'école. Les jeux en cour de récréation, la musique et la danse en pratiques locales sont autant d'objets et d'expériences métissées qui permettent de plonger dans la tradition orale et d'appréhender des modalités de transmissions déroutantes. Quelle est la place de l'individu face au groupe et vice-versa ? Quelles leçons en tirer pour le positionnement du maître et de l'élève, pour les nécessaires consensus à accepter en vue d'une plus grande efficacité de notre système éducatif ? Si les pratiques d'enseignement peuvent être améliorées par l'observation du contexte, l'introduction de supports particuliers - qui constitue notre deuxième partie - peut également favoriser la cohérence des pratiques éducatives tout en ouvrant à des valeurs universelles. Il s'agit de diversifier les activités d'apprentissage qui ont pour objectif le développement de compétences stratégiques susceptibles de neutraliser rapidement les lacunes engendrées par la spirale de l'échec. Plusieurs exemples nous en montrent le chemin. Les situations d'apprentissage collaboratif soutenu par ordinateur, et notamment les activités de débat argu-menté, sont-elles susceptibles de favoriser les interactions langagières entre élèves primo-arrivants ? Le scrabble, au-delà de la maîtrise du calcul mental et du vocabulaire en langue française, permet de conjuguer coopération et compétition. Peut-il devenir un outil privilégié de construction de la citoyenneté ? L'interrogation vaut aussi pour le jeu d'échecs. Celui-ci, plus complexe, s'il facilite la compréhension de base de concepts mathématiques et le raison-nement lors de situations problèmes, entraîne aussi l'acquisition de bien d'autres compétences transversales... L'apprentissage de la numération dès l'école maternelle, à partir de collec-tions de comptines numériques et d'activités de dénombrement, montre que la manipulation, la mise en action à la fois individuelle et négociée en groupe sont partie prenante de la cons-truction d'une identité singulière et multiple. Face à des élèves parfois difficiles ou apparemment différents, il convient de parfaire sa pra-tique enseignante. Ce point formera la troisième partie de notre ouvrage. L'indiscipline constitue la première hantise des débutants. Par delà les techniques voire les ficelles toujours très appréciées par leur pouvoir de réassurance, la question est de trouver les moyens d'installer profondément chez les élèves les valeurs de respect et de dignité humaine. Le pluri-linguisme n'est pas sans effrayer non plus. Or la langue inconnue de l'autre, loin d'être un obstacle, est un atout pour celui qui la maîtrise. Comment prendre en compte la compétence plurilingue existante ? Comment la développer chez les élèves ? Ce parti pris modifie le rap-port de l'enseignant à l'élève et au savoir, et vivifie par conséquent le désir d'apprendre et l'engagement dans les apprentissages. Le handicap et la méconnaissance dont il s'accompagne parfois suscite également des mouvements de recul. Quels en sont les méca-nismes ? Est-il possible d'accompagner efficacement les élèves handicapés ? Avec qui et de quelle façon ? Autant d'interrogations qui trouvent des réponses à travers les dispositifs exis-tants et le témoignage d'une expérience particulière. Favoriser l'interculturel, - dernière partie de notre ouvrage - met en lumière le principe vital à développer à brève échéance. Paradoxalement, dans de nombreuses enquêtes de terrain, la Guyane est présentée comme une société multiculturelle harmonieuse tout en étant composée de groupes socioculturels repliés sur eux-mêmes. Qu'en est-il réellement dans les écoles ? Quelle place les enseignants accordent-ils aux cultures et langues maternelles au sein de la classe ? Quelle pédagogie peut-on proposer pour lutter contre le racisme insidieux qui s'installe dans les classes ? La description des structures spécifiques pour élèves non franco-phones, CLIN et CRI, et l'analyse de la politique éducative contextualisée qui en découle il-lustrent autrement la nécessité d'une pédagogie spécifique. Enseigner dans un contexte pluri-culturel ne s'improvise pas. L'objectif n'est pas d'éradiquer préjugés et stéréotypes mais de construire une démarche permettant de prévenir les conflits. L'observation des interactions en situation d'hétérogénéité culturelle peut-elle mettre au jour des invariants ? Elle questionne l'éducation interculturelle qui, pour certains, semble être une perspective positive, voire la réponse à privilégier. https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00640248 halshs-00640248 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00640248 | Partager |
Liaisons sulfureuses ? Problématiques et perspectives de l'évaluation par le jeu à l'ère du numérique ; Liaisons sulfureuses ? Problématiques et perspectives de l'évaluation par le jeu à l'ère du numérique Auteur(s) : Silva Ochoa, Haydée Silva Ochoa, Haydée Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "L'évaluation en langues étrangères à l'école et/ou à l'université. Pour une démarche qualité : entre tensions, ruptures et continuités" : journée d'étude, le 27 mai 2015. Université des Antilles et de la Guyane Description : Traditionnellement, évaluation et jeu renvoient à deux paradigmes bien distincts voire incompatibles : la première est fermement ancrée dans le sérieux, tandis que le second est souvent associé au futile. Évaluation et jeu partagent néanmoins certains traits qui ont parfois contribué à leur rapprochement : structure donnée par les règles, objectif ou but à atteindre, possibilité d'attribuer un score ? Or, grâce au numérique, l'introduction d'éléments couramment associés au jeu dans des domaines qui jusque-là en semblaient exclus a pris un nouvel essor sous le nom de gamification. Cette pratique, très répandue dans de nombreux domaines de formation, reste encore relativement marginale en didactique des langues et des cultures. Dans le cadre de cette communication, nous aimerions commencer par interroger l'articulation entre évaluation et jeu, afin de mettre en lumière les problématiques qu'elle soulève d'une manière générale, pour nous pencher ensuite sur les perspectives qu'elle permet d'entrevoir dans le domaine de l'enseignement/apprentissage des langues. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15195 V15195 V15195 | Partager Voir aussi Evaluation Numérique Langue Gamification Evaluation et jeu Evaluation Numérique Langue Gamification Evaluation et jeu Télécharger |
[Flat topaze] Année de publication : Éditeur(s) : [Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini (S.E.E.M.I)] Extrait de : Année 1942 - Résumé des travaux effectués (p.21) Résumé : Croquis n°7. Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf document dont elle est issue. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130020027i1 ORK130020027i1 | Partager |
[Veine principale et petite veine] Année de publication : Éditeur(s) : [Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini:S.E.E.M.I] Extrait de : Compte-rendu des travaux d'exploitation & divers (Entre p.[21 et p.[22]) Résumé : Photographie en noir et blanc d'une tranchée avec veines. Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf documents dont elle est issue Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130550014i1 ORK130550014i1 | Partager |
[Reconnaissances au départ de P.I.] Année de publication : Éditeur(s) : [Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini (S.E.E.M.I)] Extrait de : Année 1942 - Résumé des travaux effectués (p.25) Résumé : Croquis n°8. Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf document dont elle est issue. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130020032i1 ORK130020032i1 | Partager |
La Ville de Concepcion De La Vega Auteur(s) : Jeunesse, Auguste (18..-18..) Année de publication : Extrait de : Nouvelle géographie de l'Ile d'Haïti contenant : Des notions historiques et topographiques sur les autres Antilles () Description : En 1564, cette ville fut ruinée par un terrible tremblement de terre. Elle redevint ensuite florissante et connue pour ces mines d'or, ses élevages et son industrialisation dans la filière bois. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/PAP110660525i1 PAP110660525i1 | Partager |
Wich animals do farmers need for tropical mixed systems in the Caribbean ? ; Quels animaux les agriculteurs ont-ils besoin de systèmes mixtes tropicaux dans les Caraïbes ? Auteur(s) : Mandonnet, Nathalie Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : INRA : Institut National de la Recherche Agronomique Université des Antilles. Service commun de la documentation Extrait de : 52e congrès annuel de la Société caribéenne des plantes alimentaires / 52nd annual meeting of the Caribbean food crops society (CFCS), du 10 au 16 juillet 2016. INRA, CFCS Description : In the Global South, improvement of agricultural outputs is eagerly awaited. While by 2050, its population will double areas devoted to agriculture will decrease exacerbating undernutrition of the poor. Unfortunately, the demand for fresh locally-produced meat products is not satisfied yet in the tropics. So, efficiency in animal productions is essential to allow coverage of protein nutritional needs of people, both in quality and quantity. In the Caribbean territories mixed farming systems are the most common farming systems (about 80%) and can constitute a solution to reach food sovereignty in such limited and isolated spaces. Lessons to be learned from these systems involve improving animal performance while respecting the natural balance with environment and maintaining the multi-functionality of plants and animals. Firstly, the natural (or selected) comfort zone of animal and plants must fit with the farm conditions, insuring thereby animal survival and welfare. Enhancement of adaptation to stresses (biotic, abiotic and socio- economic) in species or animal genotypes is a key element implying their equilibrium with the farm environment. This approach underpins for the farmer an integrated management of animal health, nutrition, genetics, reproduction, in close relationship with other compartments of the farming system. Secondly, animal adaptation may be completed by resilience ability within systems. Animals have to produce although facing stresses. Finally, the animal must be efficient that is to say must reconcile physiological functions of production, reproduction with adaptation functions. This optimization leads to decreased inputs and to overall efficiency of mixed farming systems at the end. The aim of the breeder is to choose the animal producing the best balance between output-reproduction-adaptation, at the individual or the flock scale combining genetic and physiological diversity. The underlying idea is to give to humans and animals their right place in the food chain taking into account the farmers? skills and wills. This idea is included in the agroecological approach and may give guidelines for food sovereignty worldwide. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16318 V16318 | Partager |
Lippia graveolens ; =Lippia berlandieri ; orégano ; redbush lippia ; wild marjoram ; wild marjoran Résumé : Arbusto delgado de hasta 2 m de altura, aromático, ramas corto-pilosas. Hojas oblongas a elípticas, u ovadas a ovado-oblongas de 2-4 cm de largo, generalmente obtusas o redondeadas en el ápice, redondeadas o subcordadas en la base; densamente pilosas en el haz, densamente tomentosas y glandulares en el envés; márgenes finamente crenados. Flores en espigas subglobosas a oblongas de 4-12 mm de largo; corola blanca. Arbuste mince pouvant atteindre 2 m de haut, aromatique, branches courtes et pileuses. Feuilles oblongues à elliptiques, ou ovées à ovées-oblongues de 2-4 cm de long, généralement obtuses ou arrondies à la pointe, arrondies ou subcordées à la base; très pileuses sur le dessus, très tomenteuses et glandulaires sur le dessous; bords finement crénés. Fleurs en épis subarrondies à oblongues de 4-12 mm de long; corolle blanche. Slender shrub, up to 2 m in height, aromatic, branches short-pilose. Leaves oblong to elliptic, or ovate to ovate-oblong, 2-4 cm in length, generally obtuse or round at the tip, round or subcordate at the base, densely pilose at the sheaf, densely tomentose and glandular on the underside; margins finely crenate. Flowers in subglobose to oblong spikes, 4-12 mm in length; corolla white. Sur de Texas a Nicaragua. Du Sud du Texas jusqu;au Nicaragua. Southern Texas to Nicaragua. http://www.tramil.net/fototeca/plant213 | Partager Voir aussi |
Viewpoints on the Issues of Tourism in Latin America ; Puntos de vista sobre las cuestiones del turismo en América Latina ; Regards croisés sur les enjeux du tourisme en Amérique latine Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Murat, christelle Auteurs secondaires : Lieux, Identités, eSpaces, Activités (LISA) ; Université Pascal Paoli (UPP) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Centre de Recherche en Economie, Gestion, Modélisation et Informatique Appliquée (CEREGMIA) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience This article introduces the theme issue devoted to tourism in Latin America and the authors explain the approach of the international and interdisciplinary research. Interest in tourism is twofold: 1/ tourism allows the study of specific places, types of development and consumption, 2/ analysis of the tourism phenomenon helps to understand the world, highlighting the socio -Latin American economic. The phenomenon of tourism must be understood in all its complexity and must introduce the political dimension. The Tourism Studies on Latin America cannot ignore the political strategies associated with the dominant economic model or the restructuring of power relations behind it. Tourism development is not apolitical. The development of tourism is not apolitical. En este artículo se presenta el número temático dedicado al turismo en América Latina y los autores explican el enfoque de la investigación internacional e interdisciplinaria. El interés por el turismo es doble: 1 / es el estudio de sitios específicos, tipos de planificación y el consumo; 2 /el fenómeno del turismo también se explica el mundo y se puede destacar la realidad socioeconómica de América Latina. Debe estudiar el fenómeno turístico en toda su complejidad e introducir la dimensión política. Los estudios de Turismo en América Latina no pueden ignorar las estrategias políticas asociadas con el modelo económico dominante o la reestructuración de las relaciones de poder detrás de él. El desarrollo del turismo no es apolítico. Dans le cadre de cet article qui introduit le dossier thématique consacré au tourisme en Amérique latine, les auteurs expliquent la démarche de cette recherche transdisciplinaire et internationale. L’intérêt pour le tourisme est double : 1/ il permet d’étudier des lieux, des types d’aménagements et de consommations ; 2/ il permet de lire le monde, de mettre en évidence les réalités socio-économiques de l’Amérique latine. Il faut étudier le phénomène touristique dans toute sa complexité et introduire la dimension politique. Les études touristiques sur l’Amérique latine ne peuvent pas ignorer les stratégies politiques associées au modèle économique dominant ni la recomposition des relations de pouvoir qu’il sous-tend. Le développement du tourisme n’est pas apolitique. ISSN: 1779-0980 Droits : http://creativecommons.org/licenses/by-nc/ hal-01368541 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01368541 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01368541/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01368541/file/regards-croises-sur-les-enjeux-du-tourisme-en-amerique-latine.pdf | Partager |
["Esquisse provisoire de la région crique ""Beiman"" au sud de P.I."] Année de publication : Éditeur(s) : Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini (S.E.E.M.I) Extrait de : Année 1942 - Résumé des travaux effectués (p.18) Résumé : Croquis n°5. Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf document dont elle est issue. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130020022i1 ORK130020022i1 | Partager |
[Permis général n°1 zone moyen Mana] Année de publication : Éditeur(s) : [Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini (S.E.E.M.I)] Extrait de : Année 1942 - Résumé des travaux effectués (p.2) Résumé : Croquis n°1 noté au dos. Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf document dont elle est issue. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130020004i1 ORK130020004i1 | Partager |
[Schéma général des reconnaissances effectuées en 1942] Année de publication : Éditeur(s) : [Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini (S.E.E.M.I)] Extrait de : Année 1942 - Résumé des travaux effectués (p.31) Résumé : Croquis n°9. Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf document dont elle est issue. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130020039i1 ORK130020039i1 | Partager |
[Elysée-reconnaissances d'Itinéraires] Année de publication : Éditeur(s) : [Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini (S.E.E.M.I)] Extrait de : Année 1942 - Résumé des travaux effectués (p.20) Résumé : Croquis n°6. Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf document dont elle est issue. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130020025i1 ORK130020025i1 | Partager |
["Esquisse provisoire région ""Tablon"" au Sud Est de Buf Mort"] Année de publication : Éditeur(s) : Société d'études et d'exploitations minières de l'Inini (S.E.E.M.I) Extrait de : Année 1942 - Résumé des travaux effectués (p.15) Résumé : Croquis n°4. Aucune référence à l'or sur l'illustration extraite mais cf document dont elle est issue. Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/ORK130020018i1 ORK130020018i1 | Partager |
Jatropha curcas ; Barbados nut ; medsiyen ; médsynié bayè ; médsynié blan ; physic nut ; piñón, piñón botija Résumé : Arbusto o arbolito de hasta 5 m, con látex amarillo lechoso o rojizo. Hojas redondeado-aovadas, 3-5 lobadas, cordadas en la base, agudas o acuminadas en el ápice. Cimas pequeñas, densas, largo-pedunculadas; pétalos blanquecinos oblongo-ovados, densamente pilosos. Cápsula elipsoide, de 2.5 a 4 cm; semillas de 2 cm, negruzcas. Arbuste ou petit arbre pouvant atteindre 5 m, avec un latex jaune laiteux ou rougeâtre. Feuilles arrondies-ovées, à 3-5 lobes, cordées à la base, à l’extrémité aiguë ou acuminée. Cymes petites, denses, à longs pédoncules; pétales blanchâtres oblong-ovés, à pilosité dense. Capsule ellipsoïdale, de 2,5 à 4 cm. Graines de 2 cm, noirâtres. Shrub or small tree, up to 5 m high, with sticky, milky or reddish latex. Leaves broadly ovate, margins entire or shallowly 3-5-lobed, cordate at base, acute or acuminate at apex, 15cm x 13cm; cymes with or without peduncles; flowers unisexual, born at different times on the same inflorescence, petals green 6-7 mm long; capsule ellipsoid, 2.5-4 cm long; seeds blackish ca.2 cm long. Originaria de América tropical, se ha naturalizado en otras regiones tropicales. Originaire d;Amérique tropicale, naturalisée dans d;autres régions tropicales. Native to tropical America. Naturalized in other tropical regions. http://www.tramil.net/fototeca/plant200 | Partager Voir aussi |