Éditeur(s) : HAL CCSD BioMed Central
Résumé : International audience
Background: HCV treatment uptake has drastically increased in HIV-HCV coinfected patients in France since direct-acting antiviral (DAA) treatment approval, resulting in HCV cure in 63% of all HIV-HCV patients by the end of 2015. We investigated the impact of scaling-up DAA on HCV prevalence in the whole HIV population and in various risk groups over the next 10 years in France using a transmission dynamic compartmental model.Methods: The model was based on epidemiological data from the French Dat’AIDS cohort. Eight risk groups wereconsidered, including high-risk (HR) and low-risk (LR) men who have sex with men (MSM) and male/female heterosexuals,intra-venous drug users, or patients from other risk groups. The model was calibrated on prevalence and incidence dataobserved in the cohort between 2012 and 2015.Results: On January 1, 2016, 156,811 patients were registered as infected with HIV in France (24,900 undiagnosedpatients) of whom 7938 (5.1%) had detectable HCV-RNA (722 undiagnosed patients). Assuming a treatmentcoverage (TC) rate of 30%/year (i.e., the observed rate in 2015), model projections showed that HCV prevalenceamong HIV patients is expected to drop to 0.81% in 2026. Sub-analyses showed a similar decrease of HIV-HCVprevalence in most risk groups, including LR MSM. Due to higher infection and reinfection rates, predicted prevalencein HR MSM remained stable from 6.96% in 2016 to 6.34% in 2026. Increasing annual TC rate in HR MSM to 50/70%would decrease HCV prevalence in this group to 2.35/1.25% in 2026. With a 30% TC rate, undiagnosed patients wouldaccount for 34% of HCV infections in 2026.Conclusions: Our model suggests that DAA could nearly eliminate coinfection in France within 10 years for most riskgroups, including LR MSM. Elimination in HR MSM will require increased TC.
ISSN: 1741-7015

Droits : info:eu-repo/semantics/OpenAccess
inserm-01685739
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http://www.hal.inserm.fr/inserm-01685739/file/2017%2C%20Virlogeux%20-%20Modeling%20HIV-HCV%20coinfection.pdf
DOI : 10.1186/s12916-017-0979-1

Éditeur(s) : HAL CCSD Public Library of Science
Résumé : International audience
Diagnosis of toxoplasmic encephalitis (TE) in patients with AIDS is not straightforward because clinicians rely initially on an empiric diagnosis based on clinical and radiographic improvement to specific anti-Toxoplasma gondii therapy. There is therefore a need for biological tools to improve the diagnosis of TE, especially in tropical areas where this diagnosis is likely to be underestimated. The use of PCR testing in blood samples for the diagnosis of TE has been limited by its poor sensitivity in the studies conducted in Europe. In tropical South America, the results of PCR sensitivity in blood samples were controversial. Considering that T. gondii strains from tropical South America have substantial genetic and pathogenic differences with those from USA and Europe, it is therefore important to re-evaluate the performance of the PCR assay in blood samples for the diagnosis of TE in AIDS patients from this region. Our results showed that the only interest of PCR would be in the most severe forms of TE with altered consciousness because PCR is more likely to be positive. We also provided important genotyping data on T. gondii strains isolated in human cases of toxoplasmosis in the Caribbean and in South America.
ISSN: 1935-2727

hal-01503761
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DOI : 10.1371/journal.pntd.0004790

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : International audience
Résumé :Introduction : Les départements Français d’Amérique sont à la fois parmi les territoiresfrançais les plus affectés par le VIH et parmi les territoires français les plus impactés par laconsommation de crack. L’épidémie de VIH en Guyane est une épidémie concentrée quitouche plus spécifiquement certains groupes vulnérables. Parmi ces groupes, les usagers decrack sont particulièrement touchés.Matériel et Méthodes : Une étude a été réalisée simultanément dans les trois départements en2012 dans le but de décrire les connaissances, les attitudes et les pratiques vis-à-vis du VIH etdes IST chez les usagers de crack. Au total 640 personnes ont été interrogées. La méthoded’échantillonnage utilisée était non probabiliste et combinait un échantillonnage deconvenance dans les associations recevant ce public (75% de l’échantillon), et unéchantillonnage en boule de neige en dehors afin d’atteindre les personnes ne fréquentant pasles structures (25% de l’échantillon).Résultats : Un tiers des personnes n’utilisait pas systématiquement le préservatif avec lespartenaires occasionnels (36,2%) ou avec les partenaires commerciaux (32,3%), et 64%n’utilisaient pas le préservatif à chaque fois avec les partenaires réguliers. Différents facteursprédictifs de la non utilisation du préservatif ont été identifiés selon le type de partenaire àl’aide d’un modèle log-binomial. Parmi les différents facteurs repérés, deux étaient communsà chaque type de partenaire : la perception élevée de son risque face au VIH et le fait de nepas se sentir à l’aise pour persuader un partenaire à utiliser le préservatif.Discussion : Dans un contexte de multipartenariat, de violences sexuelles fréquentes et dedépistage insuffisant du VIH, la non utilisation systématique du préservatif peut avoir unimpact non négligeable dans la diffusion de l’épidémie. Bien que la non utilisation dupréservatif soit sensiblement inférieure à ce que l’on retrouve dans la littérature, cesproportions traduisent un réel problème.La capacité à persuader un partenaire sexuel à utiliser un préservatif était négativementcorrélée avec la non utilisation du préservatif quel que soit le type de partenaire. Ainsi, ilsemble que lorsque les personnes se sentaient capables de négocier l'utilisation du préservatif,elles l’utilisaient de manière plus systématique. La capacité personnelle perçue est souventconsidérée comme un levier important pour adapter les comportements de santé. Or, elle peutêtre affectée dans des situations de stigmatisation, d’addiction ou de relation violente. Cesrésultats soulignent l’importance d’interventions spécifiques de prévention parmi les usagersde crack et notamment des interventions visant à améliorer le sentiment d’efficacitépersonnelle (perceived self-efficacy) et d’estime de soi.
Colloque ATHS Biarritz
Biarritz, France

inserm-01621896
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Éditeur(s) : HAL CCSD SAGE Publications
Résumé : International audience
The French overseas territories in the Americas are the French territories most affected by HIV. Crack cocaine users are particularly impacted. The objective of this study was to describe sexual risk behaviors and inconsistent condom use among crack cocaine users. A total of 640 crack cocaine users were interviewed. The sampling method was non-probabilistic. An anonymous standardized questionnaire of 110 questions was used. Over a third of persons did not use condoms systematically with casual sex partners (36.2%) or commercial sex partners (32.3%), and 64% did not use condoms systematically with regular sex partners. In a context of multiple sexual partnerships, frequent forced sex, and insufficient HIV testing, the lack of systematic condom use may favor the spread of HIV. Different predictive factors of inconsistent condom use were identified, depending on the type of partner, with a log binomial regression. However, among the predictor variables identified, two predictive factors frequently occur among the different type of sex partners: high perceived risk of HIV and self-perceived capacity to persuade a sex partner to use condom. These results pointed towards interventions improving access to rights and raising perceived self-efficacy.
ISSN: 0956-4624

inserm-01566193
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DOI : 10.1097/COH.0b013e3283536ab2

Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : National audience
Introduction Le chikungunya (CHIKV) est un alphavirus ré-émergent depuis 10 ans responsable de nombreuses épidémies. Chez certains patients, il est à l'origine de troubles musculo-squelettiques et de polyarthropathies inva-lidants et persistants plus de 3 mois, définissant la forme chronique du chikun-gunya (CHIKC). Afin de déterminer la prévalence du CHIKC, nous avons mené une cohorte prospective de patients ambulatoires lors de la dernière épi-démie en outre-mer. Secondairement, nous avons recherché les facteurs de risques associés.
Médecine et maladies infectieuses 46 (2016) 15-16
Lille, France

inserm-01413489
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Éditeur(s) : HAL CCSD
Résumé : National audience
Introduction Depuis le début de l’ère des traitements antirétroviraux hautement actifs, les patients vivant avec le VIH (PVVIH) vieillissent. Les comorbidités liées à l’âge (CLA) deviennent des causes grandissantes de mortalité dans cette population.L’objectif de cette étude était d’évaluer leur impact sur la surmortalité liée au VIH sur 5 ans chez les PVVIH âgés de 60 ans ou plus suivis dans le cadre d’une large cohorte prospective multicentrique française (Dat’AIDS) à l’ère tardive des antirétroviraux hautement actifs (du 01/01/2008 au 31/12/2012).
Médecine et maladies infectieuses 46 (2016) 5-7
Lille, France

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PUBMED : 27495402