Maps of Guantánamo Bay Naval Base Auteur(s) : Matlock, Frances Caribbean--Cuba--Guantánamo Bay Naval Base Droits : [cc by-nc-nd] This item is licensed with the Creative Commons Attribution Non-Commercial No Derivative License. This license allows others to download this work and share them with others as long as they mention the author and link back to the author, but they can’t change them in any way or use them commercially. http://ufdc.ufl.edu/AA00030817/00001 | Partager |
Tourisme « patrimonial » et mémoire : les sites industriel et agricole de Beauport et la Grivelière (Guadeloupe) Auteur(s) : Breton, Jean-Marie Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La préservation et l’exploitation durable du patrimoine culturel, en particulier du patrimoine historique (et, accessoirement, scientifique), et sa mise en tourisme au service d’activités de loisirs et de découverte, suscitent de nouvelles formes et alimentent de nouvelles offres de tourismes, dites « alternatives », sur lesquelles elle s’appuie en retour.Le patrimoine historique de la Guadeloupe, tant agricole qu’industriel, longtemps délaissé et aujourd’hui redécouvert et remis en valeur, en constitue un exemple significatif, comme il en va dans d’autres territoires et pays de la Caraïbe. Il en illustre les potentialités tout en justifiant les attentes qui s’y attachent en matière de développement local tant touristique que plus général.La reconnaissance de la valeur patrimoniale et de l’intérêt culturel des sites concernés constitue toutefois un phénomène relativement récent, à travers leur sauvegarde et leur réhabilitation. Leur valorisation et leur ouverture au public vont de pair avec leur exploitation au profit d’un tourisme de mémoire marqué par une forte connotation pédagogique. The preservation and sustainable use of cultural heritage, especially historical (and, incidentally, scientific) heritage, and its introduction into tourism for the benefit of leisure and discovery activities, give rise to new forms and fuel new offers of tourism, called “alternatives”, on which they rely in return.The historical heritage of Guadeloupe, both agricultural and industrial, which has long been untouched and now being rediscovered and restored, is a significant example of this, as it is in other Caribbean territories and countries. It illustrates their potentialities while justifying the expectations that are attached to them in terms of local development both tourism and more general.Recognition of the heritage value and cultural interest of the sites concerned, however, is a relatively recent phenomenon, through their safeguarding and rehabilitation. Their valorisation and their opening to the public go hand in hand with their exploitation in favor of a tourism of memory marked by a strong pedagogical connotation. La conservación y el uso sostenible del patrimonio cultural, especialmente del patrimonio histórico (y, de paso, científico), y su asignacion al turismo en el servicio de la recreación y del descubrimiento, dan lugar a nuevas formas y nuevos acuerdos de suministro turismo "alternativo", en los que se basa en el rendimiento.El patrimonio histórico de Guadalupe, tanto agrícolas como industriales, y hoy a largo redescuidado y redescubierto, constituye un ejemplo significativo, como es el caso en otros territorios y países del Caribe. Esto ilustra sus potencialidades y justifica las expectativas para uno desarrollo local turistico como mas general.El reconocimiento de la valor patrimonial y de la importancia cultural de los sitios considerados, sin embargo, es un fenómeno relativamente reciente, a través de su protección y rehabilitación. Su desarrollo y su apertura al público van mano a mano con su explotación en beneficio de un turismo de memoria marcada por una fuerte connotación educativa. Guadeloupe Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11137 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11137 | Partager |
Récit de voyage et tourisme de mémoire : The Island Martinique de John Wideman Auteur(s) : Duboin, Corinne Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’écrivain africain-américain John Edgar Wideman publie en 2003 un récit de voyage commandité par la National Geographic Society. L’écrivain choisit pour destination la Martinique. Etranger dans cette île de la Caraïbe francophone, mais lui-même héritier d’une Histoire coloniale transatlantique douloureuse, il retranscrit son expérience sensible d’un espace insulaire revisité, guidant ses lecteurs dans un périple touristique et scriptural qui se transforme en un questionnement sur soi et son rapport à l’Autre. Notre analyse de l’écriture viatique de Wideman vise à interroger le regard que l’auteur porte sur l’île, dans sa dimension touristique, historique et culturelle. The African American writer John Edgar Wideman published in 2003 a travel memoir commissioned by the National Geographic Society. As an heir to a painful transatlantic History of colonialism, the writer chooses Martinique as his destination. Unfamiliar with this French-speaking Caribbean Island, Wideman transcribes his intimate experience of Martinique and guides his readers through a touristic and literary journey that becomes a reflection on the self in relation to others. Our analysis of Wideman’s travel writing aims to explore the author’s perception of the island as a touristic, historical, and cultural site. Martinique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6898 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6898 | Partager |
Les expositions universelles, une utopie touristique toujours d’actualité ? Auteur(s) : Ballester, Patrice Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : À travers les expositions universelles récentes et passées et plus particulièrement les expositions de Milan 2015 et de Port-au-Prince 1949, nous rappelons que cette pratique touristique du voyage d’agrément dans une grande ville remonte au xixe siècle, elle accompagne les origines de notre tourisme moderne, tout en devenant un instrument de géopolitique et de marketing touristique de première importance pour les villes et les pays hôtes. Les expositions peuvent être considérées comme un levier urbanistique, mais aussi un moyen de faire voyager et de comprendre notre monde à travers un système de représentation des identités locales et mondiales proposant toujours une mise en valeur de la découverte scientifique et de l’expérience culturelle à travers les pavillons nationaux. Ces manifestations géantes reposent sur une mise en scène et en récit à partir d’un thème universel questionnant généralement le concept du développement durable et de l’attractivité touristique renouvelée de la destination. Notre analyse porte sur la plus récente des expositions universelles et une exposition oubliée appartenant à l’aire culturelle des caraïbes permettant de dégager trois dynamiques associant le tourisme de méga-événement et l’utopie des voyages initiatiques, à savoir : les expositions universelles se réinventent et retrouvent un certain succès de fréquentation impliquant une redéfinition des champs et des usages d’une utopie contrariée. Faire voyager est un acte à la fois scénographique et symbolique à travers le pavillon impliquant des artifices et des déclinaisons de plus en plus numériques, la quête de cette pratique durable du voyage se confronte à son héritage et à son souvenir à différentes échelles et temporalités. Through the recent and past universal exhibitions and more particularly the world’s fair of Milan 2015 and Port-au-Prince 1949, we recall that this tourist practice of the pleasure trip in a large city dates back to the xixth century, it accompanies the origins of Our modern tourism, while becoming an instrument of geopolitics and tourist marketing of prime importance to cities and host countries. Exhibitions can be seen as an urban lever, but also a way to make travel and understand our world through a system of representation of local and global identities that always emphasizes scientific discovery and cultural experience through the national pavilion. These giant events are based on a staging and narrative based on a universal theme generally questioning the concept of sustainable development and the renewed attractiveness of the destination. Our analysis focuses on the most recent of the universal exhibitions and a forgotten exhibition belonging to the cultural area of the Caribbean, which reveals three dynamics associating mega-event tourism with the utopia of initiatory journeys, namely: reinvent and regain a certain success of frequentation implying a redefinition of the fields and uses of a disrupted utopia; to make travel is an act both scenographic and symbolic through the pavilion involving artifices and more and more digital declensions, the quest for this sustainable practice of travel is confronted with its heritage and its memory at different scales and temporalities. A través de las exposiciones universales recientes y pasados y, especialmente, la Feria de Milán en 2015 y Puerto Príncipe en 1949, recordamos que esta práctica de turismo de viaje de placer a una gran ciudad se remonta al siglo xix, que acompaña a los orígenes de turismo moderno, mientras que convertirse en un instrumento geopolítico y comercialización del turismo de las principales ciudades y países anfitriones. Las exposiciones pueden considerarse una palanca urbana, sino también una manera de viajar y entender nuestro mundo a través de un sistema de representación de las identidades locales y globales que todavía ofrece el desarrollo de los descubrimientos científicos y la experiencia cultural a través pabellones nacionales. Estas manifestaciones gigantes basados en una puesta en escena y la narrativa de un tema universal en general, cuestionando el concepto de desarrollo sostenible y renovada atractivos turísticos del destino. Nuestro análisis se centra en las últimas exposiciones universales y una exposición olvidado que pertenecen a la zona cultural del Caribe para identificar tres dinámico entre el turismo mega-evento y la utopía de los viajes iniciáticos, a saber: las exposiciones universales reinventar y encontrar un cierto éxito de asistencia que implica una redefinición de campos y utiliza una utopía alterada, para viajar es un acto tanto teatral y simbólico a través del pabellón y declinaciones cada vez más digitales, las la búsqueda de este viaje práctica sostenible se enfrenta a su artificialidad y su memoria en diferentes escalas y marcos de tiempo. Europe Caraïbes Italie Haïti France Milan Port-au-Prince New York Osaka Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11239 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11239 | Partager |
Postcolonial heritage in the Caribbean ; Patrimoine postcolonial dans la Caraïbe Auteur(s) : Pajard, Anne Auteurs secondaires : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraibe (CRPLC) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Éditeur(s) : HAL CCSD Résumé : International audience Until the end of the 20th century, heritage was mainly defined in the Caribbean, as in the entire world, by an european conception (linked with the formation of national identities), founded on the value of tangible heritage (rare, ancient objects, monuments and materials) as an historic proof of the value of cultures and peoples. Poets in the Caribbean hardly criticize this evidence that contributed to inferiorized people. Memory and imagination played a central role in the building of a Caribbean cultural identity. Poets tried to show how the common could rise from different patterns, diversity instead of unity, creation instead of fixity. Nevertheless, In the 21st century, frameworks are not available to deal with Caribbean heritage in its diversity (monuments, material, natural and intangible...) and complexity whereas it constitute a challenge for a sustainable society and can play a fundamental role in education as in tourism. Jusqu'à la fin du XXe siècle, le patrimoine dans la Caraïbe comme ailleurs dans le monde, répondait principalement à une conception européenne (liée à la formation des identités nationales) fondée sur la valeur positive du patrimoine matériel comme preuve historique de la valeur des cultures et des peuples. Les poètes caribéens ont déconstruit ce cadre, instrument de l'infériorisation des individus. La mémoire et l'imagination ont joué un rôle central dans la construction d'une identité culturelle caribéenne. Ils ont tenté de montrer que le commun pouvait émerger de modèles différents, opposant à l'unique, le divers et à la fixité, la création. Cependant, au XXIe siècle, la Caraïbe ne dispose pas d'un cadre pour traiter son patrimoine dans sa diversité (patrimoine matériel, immatériel, naturel) et sa complexité alors que le patrimoine constitue un défi pour le développement durable des sociétés et peut jouer un rôle fondamental dans l'éducation et le tourisme. Caribbean Studies Association annual conference Port-au-Prince, Haiti hal-01612909 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01612909 | Partager |
Le tourisme : un luxe réinventé ? Auteur(s) : Onghena, Yolanda Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : « Là, tout n’est qu’ordre et beauté,Luxe, calme et volupté. »C. Baudelaire Introduction Le tourisme, comme objet d’étude pluridisciplinaire, a besoin de la vision d’économistes, d’urbanistes, de géographes, d’archéologues, de sociologues d’anthropologues, d’historiens, etc. Tous peuvent apporter des données pour l’analyse des causes et des effets multiples de cette activité. Par contre, dans la réalité, les discours sur le tourisme se font trop souvent à partir de l’« offre touristique » et s... Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7475 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7475 | Partager |