![]() | L'ordonnance de police générale du gouverneur de La Guadeloupe Beckwith en 1810 Auteur(s) : Lafleur, Gérard Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Pôle Universitaire de la Guadeloupe LES AMIS DU Mémorial ACTe CAGI : Centre d'Analyse Géopolitique et Internationale CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : "Esclavage, traite et exploitation des êtres humains au regard du droit" : colloque, du 28 au 30 mai 2015. Université des Antilles et de la Guyane Description : Présentation de "L'ordonnance de police générale du gouverneur de La Guadeloupe Beckwith en 1810" par l'historien Gérard Lafleur. Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V15275 V15275 | Partager Voir aussi Esclavage Traite négrière Code noir Libre de couleur Martinique Guadeloupe Sainte-Lucie ; Télécharger ![]() |
![]() | Chapé-kouli : qui a échappé à quoi ? Auteur(s) : L'Etang, Gerry Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Tracées de Jean Bernabé" : colloque international, du 25 au 27 octobre 2017. Université des Antilles Description : La présente communication a pour origine de longues discussions entre Gerry L'Etang et Jean Bernabé. Ce dernier lui avait soumis pour avis la version d'étape d'un texte resté probablement inédit, « L'ethnonyme créole kouli, ses expansions lexicales et ses enjeux socio-symboliques ». Leurs divergences portaient sur l'interprétation du mot créole martiniquais chapé-kouli (en français créolisé : échappé-coolie ou échappé). Selon Gerry L'Etang, « par-delà la signification du terme : « métis d'Indien et de Noir », nous nous interrogions sur son étymologie, sur « qui ici a échappé à quoi ? ». Pour Bernabé, en raison même de la construction de l'expression (chapé-kouli et non kouli-chapé), c'est « le nègre (base non exprimée mais cependant présente) qui se sauve en devenant kouli ». Or les recherches que j'avais réalisées jadis sur les représentations des Indiens de Martinique, indiquaient que du point de vue de ces derniers, c'est « le kouli qui ici l'a échappé belle ». J'eus alors pour nous départager, l'idée d'une enquête dont le résultat fut inattendu. » Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V17245 V17245 | Partager |
![]() | Dieu et la race aux Etats-Unis : le pouvoir politique de l'église noire Auteur(s) : Gadet, Steve, Auteurs secondaires : Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD L'Harmattan Résumé : International audience Dès le 18e siècle, l'Église africaine-américaine a été un espace de liberté pour les Noirs aux États-Unis. Tantôt conservatrice, tantôt force de progrès social, elle a clairement participé à la construction de l'expérience africaine-américaine en influençant la région Caraïbe. Qui veut comprendre la communauté africaine-américaine doit passer par la porte de l'église. Cet ouvrage s'intéresse à la manière dont cette dynamique s'est matérialisée dès le 18e siècle jusqu'à son impact sur la personnalité de Barack Obama, le premier président africain-américain. https://hal.univ-antilles.fr/hal-01380128 ISBN : 978-2-343-06492-5 hal-01380128 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01380128 | Partager |
![]() | Le « Blues de la canne et du coton » : étude comparative des fonctions socioculturelles du gwo-ka et du blues Auteur(s) : Gadet, Steve Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’article s’intéresse à l’interculturalité entre deux phénomènes culturels que sont le Gwo-ka et le Blues issus de la diaspora africaine aux Amériques. Le Gwo-ka est une expression culturelle née en Guadeloupe, île française située dans la mer des Caraïbes. Le Blues est également une expression culturelle née dans le sud des États-Unis. À partir de l’analyse de leur « matrice » sociohistorique, il s’agira de mettre en évidence les rapprochements entre les différentes fonctions socioculturelles. Nous tenterons de comprendre si la théorie de l’Atlantique Noir de Paul Gilroy, reliant les communautés afro-diasporiques du Nouveau Monde, est valable dans le cadre de notre sujet d’étude. The article deals with the intercultural exchanges between two cultural movements rooted in the African Diasporas. In Guadeloupe, a French island in the Caribbean, Gwo-ka was born on the plantation in the 17th century. Blues appeared in the southern United-States by the end of the 19th century. In order to illustrate the similarities between these two afro-diasporic cultural phenomena, the article first examines the economic and social factors that prompted their emergence. Second, it compares their socio-cultural functions within their respective communities. Using Paul Gilroy’s theory of the Black Atlantic, the article concludes with a questioning of his thesis within the framework of the present study. Caraïbes Guadeloupe États-Unis Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.4675 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/4675 | Partager |
![]() | Catalogue descriptif des poissons vénéneux du banc de Saint Barthelemy (Antilles françaises) Auteur(s) : Morice, Jean Éditeur(s) : ISTPM Résumé : The Caribean Sea ichthyofauna, like that of all tropical and subtropical seas, contains venomous fishes some of which can cause certain forms of ichthyosarcotoxism.The first people to notice, at their expense, the existence of these dangerous animals in the waters of the West Indies were the conquistadores who settled in Haïti and Cuba after Christopher COLOMBUS. As these men were not well provided by fresh supplies from their far away home-as related by many chroniclers-they had to live on local food resources. Originally, terrestrial fauna, in these islands, was very lacking as far as big mammals go, and birds bigger than a pigeon were rare. As a consequence, Spanish sailors and soldiers ate mostly seafood, fish, crustaceans and molluscs that abounded in the clear waters of the Caribean shores. (The introduction of European mammals: bovines, ovines, caprines and porcines, but also poultry, only happened many years later-cattle raising only developed when the conquistadores were well settled and land had been divided-initial protid production was not sufficient to cover the Spaniards' needs.... La faune ichthyologique de la Mer des Antilles, comme celle de toutes les mers des regions tropicales et subtropicales, contient des poissons vénéneux, causes de certaines formes d'ichthyosarcotoxisme. Les premiers qui s'aperçurent, à leurs dépens, de l'existence de ces animaux dangereux dans les eaux des Indes occidentales furent les conquistadores qui s'installèrent en Haïti et à Cuba après les découvertes de Christophe COLOMB et de ses lieutenants. Ces hommes, souvent fort mal ravitaillés par leur trop lointaine métropole -tous les chroniqueurs de l'époque en font foi -furent obligés d'utiliser les ressources alimentaires locales. Comme à l'origine, la faune terrestre des îles était très pauvre en grands mammifères et que les oiseaux plus volumineux qu'un ramier étaient rares, les soldats et les marins espagnols consommèrent surtout les fruits de la mer : poissons, crustacés et mollusques qui abondaient dans les eaux claires des rivages antillais. (L'introduction des mammifères européens: bovins, ovins, caprins et porcins, comme des oiseaux de basse-cour, fut relativement tardive; l'élevage ne se développa que lorsque les conquérants de l'Eldorado furent installés et que la terre fut partagée; la production initiale de protides était très nettement insuffisante pour couvrir les besoins des Espagnols.) L'un des animaux les plus faciles à capturer était -et l'est encore -le-« burgo », Linona pica L., gros gastéropode de la famille des Trochidés qu'il suffisait de récolter à la main sur les récifs coralliens ou les rochers qui bordaient les plages; l'abondance de la distribution de ce gros bigorneau est encore telle à l'heure actuelle qu'il forme une ressource permanente appréciée; dans certaines petites îles très mal ravitaillées: Los Hermanos et La Blanquilla dans les Antilles vénézuéliennes; Saint-Barthélémy, La Désirade, dans les Antilles françaises, etc., où le « burgo » constitue une partie importante de la ration alimentaire. Il arrivait à Cuba, que sa consommation soit la cause d'accidents gastro-intestinaux et neuraux qui furent groupés par les Espagnols sous le nom de "ciguatera", le mollusque lui-même étant appelé "cigua", (II faut noter que les « burgos » récoltés sur certains îlots et récifs de la côte méridionale de Saint-Barthélemy sont la cause de troubles analogues à ceux qui furent décrits par les chroniqueurs des XVe et XVIe siècles) Le vocable s'est étendu ensuite, dans le langage populaire, aux troubles digestifs et aux troubles neuraux ressentis après l'ingestion de différentes espèces de poissons vénéneux, espèces qui se révélèrent malheureusement relativement nombreuses dans les eaux des Grandes Antilles, Le auteurs anciens, repris par COUTIÈRE dans sa thèse (1899) décrivent également des cas d'intoxications graves depuis le début de l'occupation des Petites Antilles par les Européens, intoxications attribuées pour la plupart aux barracudas, aux balistes, aux murènes, à certains clupes, aux carangues comme à un certain nombre d'espèces de « poissons rouges ». Les naturalistes modernes, d'ARCISZ (1950) à RANDALL (1958), donnent la liste scientifique des espèces incriminables dans la Mer des Antilles. Il n'existe actuellement aucun manuel en langue française permettant la détermination des poissons marins et des espèces dulçaquicoles des Petites Antilles, Le naturaliste est obligé, pour identifier les poissons, de recourir à des ouvrages américains ou hollandais, ou encore à des monographies toutes rédigées en langue anglaise. Ces livres, à de très rares exceptions près, sont anciens et difficiles à trouver en librairie étant presque tous épuisés ou rares. La publication que nous présentons ici n'a pas la prétention de pallier l'inexistence de documents en langue française sur l'ensemble de la faune ichthyologique antillaise; elle n'a pour but que de fournir au personnel chargé du contrôle du conditionnement et des marchés, aux armateurs à la pêche désireux de se renseigner sur les possibilités locales, comme à quelques esprits curieux, une documentation suffisante et illustrée, pour permettre une identification sûre et rapide des espèces dangereuses. Cette étude est née d'un besoin précis : les pêcheurs des Antilles françaises, maintenant guidés par une assistance technique qui reprend élémentairement les bases de la profession, se sont heurtés très rapidement au fait suivant : il était nécessaire de créer un conditionnement des produits de la pêche car quelques espèces de poissons commerciaux, saines dans certaines régions, sont vénéneuses dans d'autres, géographiquement toutes voisines, et doivent être éliminées du marché. Pour cela il fallait établir avec précision quelles espèces pouvaient être dangereuses, et donner aux pêcheurs, aux marchands et au public l'image exacte des formes incriminables. Si une espèce donnée peut contenir des individus vénéneux, tous les individus de cette espèce ne sont pas dangereux et des spécimens de la même espèce incriminables en un point ne le seront pas dans d'autres lieux de pêche. POEY (1866) a écrit: « ... il n'y a pas un poisson suspect sur dix mille... » Cela est sans doute vrai si l'on envisage le stock constitué par une espèce, mais ne l'est plus si l'on considère les concentrations géographiques. A travers l'expérience que nous avons acquise à Saint-Barthélemy, nous pouvons affirmer avec certitude que les poissons vénéneux sont bien groupés en isolats cernés par des frontières géographiques précises. De plus il apparaît très nettement que les poissons âgés, donc ayant atteint un certain poids, sont seuls responsables des accidents ciguatériques les plus graves. Le fait que l'ichthyologiste cubain POEY, 1866, ait imposé l'interdiction des poissons pesant plus de trois livres dans les espèces suspectes sur le marché de La Havane est très significatif. Un fait statistique observé à Saint-Barthélemy vient corroborer les notions précédemment énoncées. Un certain nombre de canots de pêche à la ligne à main, travaillant à l'accore méridional du banc de Saint-Martin, capturait surtout des « oreilles noires » (Lufianus buccanella (c. et V.), 1828) et des « vivaneaux » (L. vivanus (c. et V.), 1828) ; le poids des poissons vidés acceptés par le service de contrôle de la coopérative des pêcheurs de Gustavia avait été fixé à 1 500 g; des poissons de poids bien supérieurs à ce plafond ayant été acceptés par le conditionnement en janvier et février 1963, toute une série d'intoxications graves de type ciguatérique se produisit à Basse-Terre et à Pointe-à-Pitre de La Guadeloupe, lieux principaux de consommation du poisson capturé sur le banc de Saint-Martin. Le poids des poissons vidés exportables ayant été ramené à 1 500 g. les intoxications cessèrent. Il reste à étudier l'étiologie de la «ciguatera », forme la plus commune d'ichthyosarcotoxisme notée aux Antilles. L'accumulation des observations et des notes prises à propos des cas observés à Saint-Barthélemy, à La Guadeloupe, comme à La Martinique (1950) ainsi que les dissections effectuées sur les poissons capturés par les pêcheurs de Saint-Barthélemy nous permettront peut-être de conclure bientôt à ce sujet. Enfin. il faudra trouver le test biochimique simple et précis permettant de déterminer rapidement si un poisson considéré comme « redouteux» est vénéneux ou non. (Les poissons incriminables sont désignés sous le nom de poissons «redouteux» dans le patois de Saint-Barthélemy; la « ciguatera » est nommée « mal poisson ».) Les appellations vernaculaires créoles des espèces vénéneuses ont été établies à partir des notes prises depuis 1950. Cette liste est loin d'être exhaustive car il n'y a pas de domaine plus ingrat que la synonymie vernaculaire. Les appellations américaines, britanniques et hollandaises ont été prises dans les ouvrages publiés d'une part par le Fish and Wildlife Service (laboratoire de Biologie marine de Miami), et d'autre part par la Commission des Caraïbes. Kent House, à La Trinidad. 1959. relayée ensuite par le Secrétariat central de l'Organisation des Caraïbes, 1961. Hato Rey. Porto-Rico. Enfin. nous avons pu établir l'équivalence vernaculaire des noms de poissons utilisés à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin grâce à l'aimable collaboration du Dr PETIT, chef de l'hôpital de Marigot à Saint-Martin. Les bases de la systématique que nous avons utilisées, pour replacer les espèces décrites dans un cadre cohérent. sont celles qui sont exposées par BERTIN et ARAMBOURG (1958) dans le troisième fascicule du tome treize du Traité de Zoologie publié sous la direction du Pr P. GRASSÉ: nous y avons fait de larges emprunts. (OCR non contrôlé) Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1965-03 , Vol. 29 , N. 1 , P. 1-130 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1965/publication-4004.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4004/ | Partager |
![]() | Les littératures hispanophones caribéennes vues par une anglo-caribéenne : débat Auteur(s) : Roberts, Nicole Bertin-Elisabeth, Cécile Auteurs secondaires : Ureña Rib, Pedro Charaudeau, Patrick Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines CRILLASH : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines Résumé : La création de nations dans le bassin caribéen a été un processus complexe. En effet, pour les premiers états indépendants, la nationalité n’était pas rattachée à des revendications noires comme pour les états créés à la suite de la décolonisation. Il y a eu par ailleurs, de nombreuses discussions quant à l’apport de l’africanité dans l’identité nationale. Mais aussi une construction identitaire s’opposant à la montée en puissance des Etats-Unis… Cuba Haïti République dominicaine Martinique 19 Caraïbe Droits : Document protégé par le droit d'auteur fichiers:HASH0173554107c6d06b16c88fbd | Partager |
![]() | Les demandes de dispenses relatives au mariage présentées au conseil privé de la Martinique, première moitié du XIX siècle Auteur(s) : Benavides, Christine Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : "Représentations, pratiques, déconstruction du genre dans les sociétés caribéennes" : journée d'étude, le 14 novembre 2016. Université des Antilles Description : Le contexte de cette recherche se situe autour d'une enquête réalisée sur la délinquance et intitulée « Histoire sociale de la délinquance dans les établissements pénitentiaires en Martinique du XIXe au XXI siècle ». L'enquête de Christine Benavides sur les demandes de dispenses relatives au mariage a été conduite à partir des archives du Conseil privé de la Martinique. Ces demandes portent soit sur l'âge des impétrants, soit sur leurs liens de parenté. Dans un premier temps la chercheuse développe son propos sur les différentes périodes, en prenant en compte les différents textes législatifs : le Code civil, le Code de la Martinique et les Codes noirs. Enfin dans un deuxième temps, elle procède à l'analyse qualitative des demandes de dispenses présentées au conseil privé et des arguments apportés. Siècle(s) traité(s) : 21 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16336 V16336 | Partager |
![]() | Récit de voyage et tourisme de mémoire : The Island Martinique de John Wideman Auteur(s) : Duboin, Corinne Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’écrivain africain-américain John Edgar Wideman publie en 2003 un récit de voyage commandité par la National Geographic Society. L’écrivain choisit pour destination la Martinique. Etranger dans cette île de la Caraïbe francophone, mais lui-même héritier d’une Histoire coloniale transatlantique douloureuse, il retranscrit son expérience sensible d’un espace insulaire revisité, guidant ses lecteurs dans un périple touristique et scriptural qui se transforme en un questionnement sur soi et son rapport à l’Autre. Notre analyse de l’écriture viatique de Wideman vise à interroger le regard que l’auteur porte sur l’île, dans sa dimension touristique, historique et culturelle. The African American writer John Edgar Wideman published in 2003 a travel memoir commissioned by the National Geographic Society. As an heir to a painful transatlantic History of colonialism, the writer chooses Martinique as his destination. Unfamiliar with this French-speaking Caribbean Island, Wideman transcribes his intimate experience of Martinique and guides his readers through a touristic and literary journey that becomes a reflection on the self in relation to others. Our analysis of Wideman’s travel writing aims to explore the author’s perception of the island as a touristic, historical, and cultural site. Martinique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6898 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6898 | Partager |
![]() | The “Blues of the Cane and Cotton”: a Comparative Study of Social and CulturalFunctions of The Gwo-Ka and The Blues ; Diasporas protéiformes Le « Blues de la canne et du coton » : étude comparative des fonctions socioculturelles du gwo-ka et du blues Auteur(s) : Gadet, Steve, Auteurs secondaires : Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience The article deals with the intercultural exchanges between two cultural movements rooted in the African Diasporas. In Guadeloupe, a French island in the Caribbean, Gwo-ka was born on the plantation in the 17th century. Blues appeared in the southern United-States by the end of the 19th century. In order to illustrate the similarities between these two afro-diasporic cultural phenomena, the article first examines the economic and social factors that prompted their emergence. Second, it compares their socio-cultural functions within their respective communities. Using Paul Gilroy’s theory of the Black Atlantic, the article concludes with a questioning of his thesis within the framework of the present study. L’article s’intéresse à l’interculturalité entre deux phénomènes culturels que sont le Gwo-ka et le Blues issus de la diaspora africaine aux Amériques. Le Gwo-ka est une expression culturelle née en Guadeloupe, île française située dans la mer des Caraïbes. Le Blues est également une expression culturelle née dans le Sud des États-Unis. À partir de l’analyse de leur « matrice » sociohistorique, il s’agira de mettre en évidence les rapprochements entre les différentes fonctions socioculturelles. Nous tenterons de comprendre si la théorie de l’Atlantique Noir de Paul Gilroy, reliant les communautés afro-diasporiques du Nouveau Monde, est valable dans le cadre de notre sujet d’étude. ISSN: 1779-0980 Droits : http://creativecommons.org/licenses/by-nc/ hal-01379568 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01379568 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01379568/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01379568/file/etudescaribeennes-4675.pdf DOI : 10.4000/etudescaribeennes.4675 | Partager |
![]() | Commerce néerlandais aux Antilles françaises lors de la création de la Compagnie des Indes Occidentales?: 1664 - 1665 années charnières pour le commerce néerlandais dans les Antilles Auteur(s) : Van Den Bel, Martijn Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : Université des Antilles AIHP-GEODE : Archéologie Industrielle, Histoire, Patrimoine/Géographie- Développement Environnement de la Caraïbe HARCMAR : Histoire et Archéologie Maritimes des Petites Antilles Extrait de : "Entre exclusif et contrebande, le commerce colonial aux Antilles XVIIe-début XIXe siècle" : journées d'étude, du 24 au 26 octobre 2019. Université des Antilles Description : « Tempora mutantur et Nos mutamur in illis », (Les temps changent et nous changeons avec eux). Cette citation tirée d'une lettre écrite en 1664 par Adam Erckelens, chirurgien du Sieur Nicolaas Claesz, planteur à Capesterre de Guadeloupe, résume bien l'attitude et la force des Hollandais de cette époque. Elle illustre également la situation incertaine dans laquelle ils se trouvaient à la fin de l'année 1664. En effet, 1664 - 1665, fut une période délicate pour le commerce néerlandais dans les Antilles. A partir de lettres de marchands, planteurs et commissionnaires hollandais saisies par les navires anglais, se dessinent les relations commerciales exclusives légales ou illégales des différents ports de Pays-Bas avec la zone caraïbe et notamment les Antilles françaises ; type de marchandises échangées, traite des Noirs, méthodes commerciales. Ces lettres mettent en lumière les protagonistes aussi bien en Europe que sur place. Tout ceci dans une situation politique en évolution par la volonté des autorités françaises et notamment de Colbert désireux d'éliminer les Hollandais du commerce antillais par le biais de la création de la Compagnie des Indes Occidentales. L'incertitude sur l'avenir est également due à la tension entre Pays-Bas et l'Angleterre qui aboutira à la Seconde guerre anglo-hollandaise (1665 - 1667). Siècle(s) traité(s) : 17 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V19115 V19115 | Partager |
![]() | Britain’s Black Debt : Reparations for Caribbean Slavery and Native Genocide d’Hilary Beckles, une réécriture de l’Histoire pour une transformation sociale réparatrice Auteur(s) : Solbiac, Rodolphe Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Britain’s Black Debt : Reparations for Caribbean Slavery and Native Genocide, (La dette noire de la Grande-Bretagne, des réparations pour l’esclavage dans la Caraïbe et le génocide des peuples autochtones) publié en 2013 par le Professeur Hilary Beckles aux presses de l’Université des West Indies présente une approche de l’histoire du colonialisme anglais, de la traite et de l’esclavagisation de l’Africain du point de vue des dommages qu’ils ont causés aux peuples africains et autochtones car... Afrique Caraïbes Royaume-Uni Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7637 | Partager Voir aussi |