![]() | Embarcations et engins de la pêche artisanale martiniquaise recensés en 1985 et évolution récente Auteur(s) : Guillou, A Gueredrat, J.a. Lagin, Alain-sabin Résumé : A systematic census of the fishing boats, of their motors and of the fishing gears has been conducted in Martinique in 1985, as par of a program entitleè "Antillean fisheries study" of the "Pôle de Recherche Océanologique et Halieutique Caraïbe". In addition, a comparison of our results with those of previous inquiries and scattered informations gives the opportunity for presenting the main qualitative and quantitative tendancies of the different components of the fishing fleet, of its motorization and of the fishing gears in Martinique during the last past decades. NOT CONTROLLED OCR Un recencement systématique des embarcations de pêche, de leurs moteurs et des engins de pêche a été réalisé à la M~Martinique en 1985, dans le cadre du programme d'évaluation des Pêcheries Antillaises" du Pôle de Recherche Océanologique et Halieutique Caraïbe. La confrontation des résultats de cette enquête avec ceux des enquêtes et informations éparses antérieures fournit en outre l'occasion de retracer dans ses grandes lignes l'évolution qualitative et quantitative des différentes composantes de la flottille de pêche, de sa motorisation et des engins de captures à la Martinique au cours des dernières décennies. OCR NON CONTRÔLE Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/1988/rapport-3887.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/3887/ | Partager |
![]() | Rapport sur l'exercice de la pêche dans la zone côtière de la France Auteur(s) : Bolopion, Jacques Forest, Andre Sourd, Louis-julien Bolopion, Jacques Forest, Andre Sourd, Louis-julien Résumé : The maritime fisheries and mariculture guidance law passed in 1997 specifies that with the perspective of renegotiation of the common fisheries policy in 2002, a report on the special conditions of inshore fisheries be drawn up by the Government. To do so, the Minister of Agriculture and Fisheries entrusted this task to three experts, who are the authors of this report. In accordance with their remit, the situation of fisheries in territorial waters and estuaries of metropolitan France and the four DOM overseas departments ( counties) was examined, in the framework of meetings with professional fishermen, administrations, elected officials and scientific organisations. The first part situates fishing activities in coastal areas within the overall context of French fisheries. The second part provides a detailed report for each seafront (Channel, Atlantic, Mediterranean, West Indies, French Guyana and Reunion Island) on the regulatory framework, fleets, stocks, uses of resources and vulnerable areas of interest for fisheries. The report then analyses the competition within fisheries and with other activities (recreational fishing, extraction of aggregates, tourism, etc.). After these observations, the authors make ten proposals to improve the conditions under which coastal or inshore fisheries are practiced.
La loi d'orientation sur la pêche maritime et les cultures marines votée en 1997 précise que dans la perspective de la renégociation de la politique commune des pêches en 2002, un rapport sur les conditions particulières de l'exercice de la pêche dans la bande côtière sera établi par le Gouvernement. Pour y satisfaire, le Ministre de l'Agriculture et de la Pêche en a confié l'élaboration à trois experts, les auteurs du présent rapport. Conformément à la lettre de mission, la situation de la pêche dans les eaux territoriales et estuaires du territoire métropolitain et des quatre départements d'Outre-Mer a été examinée dans le cadre de rencontres avec les professionnels, les administrations, les élus, les organismes scientifiques. Une première partie permet de situer les activités halieutiques en zone côtière dans le contexte global de la pêche française. La seconde partie est un bilan détaillé par façade (Manche, Atlantique, Méditerranée, Antilles, Guyane, Réunion) du cadre réglementaire, des flottilles, des ressources, des usages de la ressource et des zones sensibles d'intérêt halieutiques. Le rapport analyse ensuite les compétitions au sein de la pêche et avec d'autres activités (pêche récréative, extractions de granulats, tourisme,...). A l'issue de ces différents constats, les auteurs font dix propositions pour améliorer les conditions d'exercice de la pêche en zone côtière. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/2000/rapport-1200.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/1200/ | Partager Voir aussi Gestion Manche Méditerranée Gascogne DOM Conflits d'usages Pêche côtière Management Channel Mediterranean Télécharger |
![]() | Évaluation des rejets sur la pêcherie de langoustine de Mer celtique Auteur(s) : Charuau, Anatole Résumé : If Sea Bass fish farming (Dicentrarchus labrax L.) is currently experiencing an increase in Southern Europe, it is vital, in order to better reflect raising structures, to control its wastes. In order to do so, quantifying this species' wastes is essential to be able to present simple excretion ratios, easily useable by the farmer. Those ratios have been based on nitrogen, phosphorus and carbon masses established on intensive farming and 4 batches belonging to his stock (averaging 24, 5 to 362, 5 g). Each batch was followed up during the course of 1 month and fish farming in its entirety for 2 months. Mass assessments for nitrogen and phosphorus were level ((intrants = extrants) but never precise, contrary to what can be found in bibliography. The main wastes defined were linked to the biomasses found as well as the food quantity fed. Sea Bass carbon excretion could not be clearly defined. According to these follow ups, phosphorus would be the element better utilized by Sea Bass considering nutritional provision. Nitrogen, phosphorus and carbon quantities rejected through farming are very high since for nitrogen and carbon, 90% of the ingestion would be rejected in the environment. INTRODUCTION : Les pêcheries de langoustine de Mer Celtique se situent essentiellement dans les subdivisions Vllg et Vllh. La réglementation communautaire sur les maillages à langoustine y a été appliquée à partir de 1978. L'emploi d'un maillage dérogataire pour la pêche de la langoustine n'est possible que si le pourcentage d'espèces protégées par une taille marchande pêchées en même temps que la langoustine est inférieur à un seuil déterminé en relation avec le maillage en vigueur. L'application de cette réglementation s'est effectuée suivant un calendrier particulier Avec un pourcentage d'espèces protégées supérieur à 60 %, la pêche est considérée comme dirigée vers le poisson et le maillage est celui de la réglementation générale, soit 80 mm. En fait, comme cela a été mentionné à maintes reprises, sous la pression de cette réglementation contraignante, les flottilles et les techniques de pêche ont évolué très rapidement si bien que le pouvoir de capture de ces navires, aussi bien sur la langoustine que sur le poisson, a considérablement augmenté. Dans la majorité des cas, la flexibilité est devenue la règle et l'adoption du maillage de 80 mm tend à se généraliser. Ces navires s'orientent toujours momentanément vers la pêche la plus rentable, la langoustine demeurant l'espèce-cible, même si elle ne constitue pas toujours pondéralement l'essentiel des captures. Un des reproches majeurs fait aux langoustiniers de Mer Celtique était la destruction possible d'immatures de poissons. Une évaluation de ces rejets a été réalisée en 1980, soit donc avec un maillage situé entre 55 et 60 mm. Pour la plupart des espèces, les rejets sont anecdotiques en raison vraisemblablement d'une distribution spatiale différente des immatures et des adultes. Dans le cas du merlan, les immatures sont concentrés dans les zones côtières en hiver et ne sont capturés que si les langoustiniers sont amenés à abandonner la zone des bancs centraux en raison, en particulier, du mauvais temps. Seuls le merlu et la cardine présentent des pourcentages de rejets très importants car ils sont inféodés aux mêmes fonds vaseux que la langoustine, et leurs migrations trophiques, s'il en existe, ont lieu dans ces aires de dépôts sédimentaires au pied des hauts fonds. Dans ces premières évaluations, le volume observé des rejets de merlu étaient pour le moins inquiétant et laissait supposer, soit qu'il existait sur le fond au moment du recrutement des quantités énormes d'immatures soit que la sélectivité du chalut était abaissée par la présence de la langoustine. Ce deuxième point a été vérifié depuis et il semble que la sélectivité du merlu avec ou sans chalut à langoustine soit strictement la même. Les rejets de langoustine n'ont pas été comptabilisés car les valeurs auraient été inexploitables en raison de la différence entre la taille marchande communautaire, soit 25 mm de longueur céphalothoracique et la taille française soit 34, 5 mm. Ils seraient respectivement de 1, 75 % en nombre dans le premier cas contre 55 % dans le deuxième. En raison des modifications importantes intervenues dans l'aménagement des pêches dans cette zone, il était indispensable de refaire une évaluation pondérale des rejets : Pour obtenir des compositions en taille des espèces ne se prêtant pas aux analyses habituelles sur les âges. Pour calculer des courbes de tri manuel sur les espèces dont il est difficile d'évaluer les rejets en routine, mais seulement dans la mesure où les rejets se superposent à la fraction commerciale de la capture. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/1985/rapport-1753.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/1753/ | Partager |
![]() | Technologie et utilisation des DCP ancres dans les eaux de la collectivite territoriale de Mayotte (archipel des Comores, canal du Mozambique, ocean Indien) Auteur(s) : Wendling, Bertrand Le Calve, S Éditeur(s) : Pêche thonière et dispositifs de concentration de poissons, Caribbean-Martinique, 15-19 Oct 1999 Résumé : The volcanic island of Mayotte (374 km super(2)) is part of the Comoros Archipelago, which is situated on the North of Mozambic's Canal (Indian Ocean). Mayotte is composed of two islands and some thirty small islands distributed in a lagoon of more than 1,000 km super(2). Being one of the French Republic's Territorial Collectivity, this island is characterized by a very fast demographic evolution (growth rate : 5.8 %), which constitutes the foundation of the development problematic. Most of local halieutic production comes from the reef (nearly 2,000 t in 1999), the technic of "palangrotte" (deep line) is still dominating. The fishing fleet is composed of monoxyl pirogues and polyester fishing boats for the 1,200 fishermen. The first FADs (Fish Aggregating Devices) were installed in 1989. Now, 5 FADs are situated in the lagoon whereas 10 others have been installed out of it. If it is very hard to evaluate economic impact of FAD in Mayotte, their success seems to be limited because of several local constraints : fear to fish out of the lagoon, little interest in tuna, lack of formation. Nevertheless, faced to the demographic evolution and the decrease of the reef ressources, a program of fishing development on FAD has been initiated in 1998, with those following themes : realization of a new prototype of FAD, experimental fishing program with vertical drift "long line", teaching programs for the local fishermen. Today, it is too early to analyze the informations already collected, but the results are very promising, and validate the technical improvement of the new prototype.Original Abstract: L'ile volcanique de Mayotte (374 km super(2)) fait partie de l'archipel des Comores situe au Nord du canal du Mozambique (ocean Indien). Mayotte comprend deux iles et une trentaine d'ilots repartis dans un lagon de plus de 1 000 km super(2). Collectivite territoriale de la Republique francaise, l'ile se caracterise par une evolution demographique tres rapide (taux de croissance: 5,8 %), qui constitue le socle de toutes les problematiques de developpement. L'essentiel de la production halieutique provient du milieu recifal (environ 2 000 t en 1999), la peche a la ligne de fond reste la technique dominante. La flottille de peche est constituee de pirogues monoxyles et de barques polyester pour une population de 1 200 pecheurs. Les premiers DCP mahorais furent installes en 1989. A ce jour, on denombre cinq DCP dans le lagon et dix hors lagon. Il semble que leur succes soit reste limite en raison de plusieurs contraintes locales : peur de la peche hors lagon, peu d'interet pour les poissons pelagiques, manque de formation. Neanmoins, face a l'explosion demographique et a l'appauvrissement des ressources lagonaires, un nouveau programme de developpement de la peche sur DCP a ete initie en 1998. Ce programme comporte trois axes : realisation d'un nouveau prototype de DCP, lancement d'un programme de peches experimentales a la palangre verticale derivante et formation des pecheurs. A ce jour, les informations obtenues sont trop parcellaires pour etre analysees mais les donnees et observations realisees sur les nouveaux dispositifs permettent de valider leur conception technique. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/00042/15290/12647.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00042/15290/ | Partager |
![]() | La pêcherie de crevettes pénéidés du plateau guyano-brésilien Auteur(s) : Venaille, Laurent Éditeur(s) : ISTPM Résumé : La pêcherie de crevettes pénéidés du plateau des Guyanes et du nord-est brésilien est, sur le plan mondial, l'une des plus importantes (entre 15 000 et 20 000 t de crevettes entières ces dernières années). Les flottilles de crevettiers sont nombreuses et de nationalités diverses, mais ne comptent toutefois aucun armement français, les quelques tentatives faites jusqu'ici par des navires métropolitains n'ayant pas abouti à des résultats concrets. Une première analyse de la pêche sur le plateau de la Guyane française a été faite par l'équipe du laboratoire de Cayenne depuis 1974(1), mais compte tenu de l'évolution rapide de l'exploitation depuis la mise en application de la loi portant création d'une zone économique des 200 milles, ces données ont dû être reprises sous un angle différent. Science et Pêche (0036-8350) (ISTPM), 1979-12 , Vol. 297 , P. 1-18 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1979/publication-7165.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/7165/ | Partager |
![]() | Evaluation du volume et cartographie des captures accessoires de la pêcherie de crevettes Pénéïdes en Guyane française Auteur(s) : Moguedet, Philippe Nerini, David Gueguen, F. Résumé : Depuis l'extension de la Zone Economique Exclusive française à 200 milles au large des côtes de la Guyane française (Amérique du sud), une flottille d'environ soixante dix chalutiers industriels battant pavillon français, exploite le stock de crevettes pénéïdes (Penaeus subtilis) présent dans ces eaux. Cette pêcherie est gérée par un système de T.A. C. 's fixé annuellement par la Communauté Européenne.
Comme dans de nombreuses autres pêcheries de ce type en eaux sub-tropicales ou équatoriales le taux des prises accessoires est élevé. L'objectif de cette étude a été d'évaluer et de cartographier le volume de ces captures accessoires. Cette analyse devait également permettre de caractériser le peuplement de l'écosystème du plateau guyanais, étude de la biodiversité et des associations, et d'estimer la variabilité de la répartition spatio-temporelle des principales espèces capturées en prises accessoires.
Les eaux chaudes de la Guyane sont fréquentées par cinq espèces de tortues marines, les tortues luth Dermochelys coriacea, olivâtre Lepidochelys olivacea, verte Chelonia mydas, imbriquée Eretmochelys imbricata, et caouanne Caretta caretta. En raison de la menace d'embargo américain sur les produits crevettiers guyanais, liée au fait que selon eux, aucune mesure de protection n'est appliquée pour limiter les prises accidentelles de ces tortues, une étude particulière visant à estimer le taux réel de leurs captures a également été menée.
Les captures accessoires de la pêcherie de crevettes pénéïdes du plateau continental de la Guyane française, ont représenté environ 99% des prises totales des crevettiers. Ces prises accessoires sont principalement constituées de poissons (96% des captures), et secondairement de quelques espèces de crustacés, de crevettes autres que Penaeus subtilis et de céphalopodes. Sur les 120 espèces de poissons inventoriées dans les captures, seule une dizaine d'entre elles contribue à près de 80% du total de la biomasse apparente estimée. Les autres sont apparues de manière épisodique avec des rendements faibles (inférieurs à 1 kg!30min). La majorité de ces espèces présente des tailles réduites. La variabilité spatiotemporelle de ces captures accessoires est peu marquée.
L'analyse des prises accessoires de tortues montre quant à elle, que seule une espèce, la tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea), apparaît vulnérable aux chaluts des crevettiers. Les informations recueillies, que ce soit lors des campagnes scientifiques ou lors des enquêtes auprès des professionnels, sont trop succinctes pour être utilisées dans tout calcul d'inférence. La conclusion de cette étude est que les chalutiers industriels guyanais capturent des tortues en prises accessoires, mais que leur nombre total annuel, ainsi que leur variabilité dans le temps et l'espace sont pour l'instant impossible à déterminer.
Les résultats de l'étude d'impact des T.E.D. (ou Turtle Excluder Deviee) menée en bassin d'essais ont montré que ces engins n'ont pas d'impact sur le comportement général du chalut. La seule conséquence de leur utilisation réside dans leur risque de colmatage, et donc dans la baisse des rendements de crevettes, estimés à environ 10 %. Droits : 1994 Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/00073/18454/15992.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00073/18454/ | Partager |
![]() | Conséquence de la création de la zone économique exclusive sur les résultats d'exploitation et le recrutement de la pêcherie crevettière de la Guyane Française Auteur(s) : Dintheer, Christian Résumé : Au large de la Guyane française, l'exploitation des crevettes, des vivaneaux et des requins a vu se développer trois pêcheries dont la gestion et la régulation sont du ressort de la CEE. L'analyse de leur situation respective en 1985 concerne l'activité des flottilles et les résultats d'exploitation, la composition et la valorisation des captures. Elle fait apparaître que 1985 a été une année de mutations pour les pêches guyanaises, avec d'une part un secteur crevettier toujours en crise mais qui a cherché à diversifier ses spéculations et à mieux valoriser ses produits, et d'autre part un essor spectaculaire de la pêche au vivaneau qui répond à un marché antillais très demandeur. Elle montre enfin l'absolue nécessité d'assurer pour l'ensemble de ces pêcheries un suivi statistique de qualité. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/00106/21688/19267.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00106/21688/ | Partager |
![]() | Evolution de l'activite-des flottilles françaises en Mer d'Irlande et en Mer Celtique Auteur(s) : Charuau, Anatole Morizur, Yvon Rivoalen, Jean-jacques Éditeur(s) : CM. 1982/K : 8 Résumé : Since 1978, the habits of the french fishermen working with bottom trawl in the Irish Sea and in the Celtic Sea were altered (CHARUAU et M0RIZUR, 198l) under the pressure of the new mesh regulation. Two facts are pointed out: - the shifting, stabilized during 1980 and 198l, of a part of the effort of the vessels fishing for gadoids, from the area VIIa to the areaVIIf - a tendancy inside the area VIIg of a part of the effort of the Nephrops trawlers to be transferred on benthic fishes when the yield of Nephrops is low. Cette communication décrit l'évolution des habitudes des pêcheurs français travaillant au chalut de fond en Mer d'Irlande (division CIEM VIIfa) et sur le Plateau Celtique (divisions CIEM VIIf et g) sous la pression des nouvelles réglementations de irai liage. Elle fait suite à la communication de CHARUAU et M0RIZUR(198l) sur le même sujet. Deux phénomènes simultanés se sont produits depuis 1978 : - un repli qui semble s'être stabilisé entre 1980 et 198l, d'une partie de la flottille des bateaux spécialisés dans la pêche du poisson, de la division VIIa vers la division VIIf, - un report, à l'intérieur de la division VIIg, d'une partie de l'effort des langoustiniers vers le poisson. Ce changement qui s'explique surtout par des raisons socio-économiques n'est pas analysé. Seules les tendances par rapport a 1980 sont constatées. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/1982/acte-2342.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/2342/ | Partager |