![]() | The Isle of Saint-Barthelemy (the Lesser Antilles): a Luxury Tourism Destination ; L'île de Saint-Barthélemy (Petites Antilles) : une destination du tourisme de luxe Auteur(s) : Theng, Sopheap Auteurs secondaires : Biodiversité, Risques Écologiques dans les Territoires Caraïbes Insulaires (BIORECA - UMR ESPECE DEV) ; Université des Antilles (Pôle Martinique) ; Université des Antilles (UA) - Université des Antilles (UA) Éditeur(s) : HAL CCSD Université des Antilles Résumé : International audience Within thirty years, the small island of Saint-Barthelemy (25 km²) is out of its secular isolation to be among major luxury tourism destinations in the world. In this study, the idea is to identify structural element and different cyclical factors that help to understand Saint-Barthelemy tourism situation. The small size of the territory itself can be seen as a fundamental handicap or, conversely, as a considerable asset. Everything depends on development project. It is necessary to know how to take advantage of specific characteristics of this type of territory. In Saint-Barthelemy case, scarcity is coveted; this coveted rarity is accessible only for rich people. The coveted rarity leads to luxury. Isolation is relative: this destination is not accessible to the jumbo jets. The airline market is controlled essentially by two small local companies and the airspace is open to charter flies and private aircrafts. Some other companies provide more or less regular flights from nearby airports of San Juan (Puerto Rico), Sint-Maarten and Guadeloupe. Luxury cannot be decreed, it is not planned. Luxury tourism is the election of a territory by elites who gather there to enjoy away from the rest of the world. En l’espace de trente ans, la petite île de Saint-Barthélemy (25 km²) est sortie de son isolement séculaire pour s’imposer parmi les grandes destinations du tourisme de luxe dans le monde. Dans le cadre de cette étude, l’idée est d’identifier les éléments structurels et les différents facteurs conjoncturels qui permettent de comprendre la situation touristique de Saint-Barthélemy. L’exiguïté du territoire en lui-même peut être perçue comme un handicap fondamental ou, inversement, comme un atout considérable. Tout dépend du projet de développement. Il faut savoir tirer profit des spécificités du territoire considéré. Dans le cas de Saint-Barthélemy, l’exiguïté favorise la rareté et cette rareté convoitée n’est accessible qu’aux personnes les plus argentées. La rareté convoitée conduit au luxe. L’isolement est relatif : cette destination n’est pas accessible aux avions gros porteurs, l’essentiel du marché aérien est contrôlé par deux petites compagnies locales et l’espace aérien est ouvert aux petits avions privés. Le luxe ne se décrète pas, il ne se planifie pas. Le tourisme de luxe, c’est l’élection d’un territoire par des élites qui s’y retrouvent pour jouir de leur fortune à l’écart du monde. ISSN: 1779-0980 Droits : http://creativecommons.org/licenses/by-nc/ hal-01364775 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01364775 https://hal.univ-antilles.fr/hal-01364775/document https://hal.univ-antilles.fr/hal-01364775/file/L%27%C3%AEle%20de%20Saint-Barth%C3%A9lemy%20une%20destination%20du%20tourisme%20de%20luxe.pdf DOI : 10.4000/etudescaribeennes.6831 | Partager |
![]() | Plan de la ville du Port de Paix dans l'Ile de Saint-Domingue. ![]() Éditeur(s) : Paris : éditions Duchartre et Van Buggenhoudt Extrait de : Les frères de La Coste, Flibustiers et Corsaires (p. 161) Résumé : Plan de la ville du Port de Paix dans l'Ile de Saint-Domingue. Permalien : http://www.manioc.org/images/FCL18014-0183i1 FCL18014-0183i1 | Partager |
![]() | Catalogue descriptif des poissons vénéneux du banc de Saint Barthelemy (Antilles françaises) Auteur(s) : Morice, Jean Éditeur(s) : ISTPM Résumé : The Caribean Sea ichthyofauna, like that of all tropical and subtropical seas, contains venomous fishes some of which can cause certain forms of ichthyosarcotoxism.The first people to notice, at their expense, the existence of these dangerous animals in the waters of the West Indies were the conquistadores who settled in Haïti and Cuba after Christopher COLOMBUS. As these men were not well provided by fresh supplies from their far away home-as related by many chroniclers-they had to live on local food resources. Originally, terrestrial fauna, in these islands, was very lacking as far as big mammals go, and birds bigger than a pigeon were rare. As a consequence, Spanish sailors and soldiers ate mostly seafood, fish, crustaceans and molluscs that abounded in the clear waters of the Caribean shores. (The introduction of European mammals: bovines, ovines, caprines and porcines, but also poultry, only happened many years later-cattle raising only developed when the conquistadores were well settled and land had been divided-initial protid production was not sufficient to cover the Spaniards' needs.... La faune ichthyologique de la Mer des Antilles, comme celle de toutes les mers des regions tropicales et subtropicales, contient des poissons vénéneux, causes de certaines formes d'ichthyosarcotoxisme. Les premiers qui s'aperçurent, à leurs dépens, de l'existence de ces animaux dangereux dans les eaux des Indes occidentales furent les conquistadores qui s'installèrent en Haïti et à Cuba après les découvertes de Christophe COLOMB et de ses lieutenants. Ces hommes, souvent fort mal ravitaillés par leur trop lointaine métropole -tous les chroniqueurs de l'époque en font foi -furent obligés d'utiliser les ressources alimentaires locales. Comme à l'origine, la faune terrestre des îles était très pauvre en grands mammifères et que les oiseaux plus volumineux qu'un ramier étaient rares, les soldats et les marins espagnols consommèrent surtout les fruits de la mer : poissons, crustacés et mollusques qui abondaient dans les eaux claires des rivages antillais. (L'introduction des mammifères européens: bovins, ovins, caprins et porcins, comme des oiseaux de basse-cour, fut relativement tardive; l'élevage ne se développa que lorsque les conquérants de l'Eldorado furent installés et que la terre fut partagée; la production initiale de protides était très nettement insuffisante pour couvrir les besoins des Espagnols.) L'un des animaux les plus faciles à capturer était -et l'est encore -le-« burgo », Linona pica L., gros gastéropode de la famille des Trochidés qu'il suffisait de récolter à la main sur les récifs coralliens ou les rochers qui bordaient les plages; l'abondance de la distribution de ce gros bigorneau est encore telle à l'heure actuelle qu'il forme une ressource permanente appréciée; dans certaines petites îles très mal ravitaillées: Los Hermanos et La Blanquilla dans les Antilles vénézuéliennes; Saint-Barthélémy, La Désirade, dans les Antilles françaises, etc., où le « burgo » constitue une partie importante de la ration alimentaire. Il arrivait à Cuba, que sa consommation soit la cause d'accidents gastro-intestinaux et neuraux qui furent groupés par les Espagnols sous le nom de "ciguatera", le mollusque lui-même étant appelé "cigua", (II faut noter que les « burgos » récoltés sur certains îlots et récifs de la côte méridionale de Saint-Barthélemy sont la cause de troubles analogues à ceux qui furent décrits par les chroniqueurs des XVe et XVIe siècles) Le vocable s'est étendu ensuite, dans le langage populaire, aux troubles digestifs et aux troubles neuraux ressentis après l'ingestion de différentes espèces de poissons vénéneux, espèces qui se révélèrent malheureusement relativement nombreuses dans les eaux des Grandes Antilles, Le auteurs anciens, repris par COUTIÈRE dans sa thèse (1899) décrivent également des cas d'intoxications graves depuis le début de l'occupation des Petites Antilles par les Européens, intoxications attribuées pour la plupart aux barracudas, aux balistes, aux murènes, à certains clupes, aux carangues comme à un certain nombre d'espèces de « poissons rouges ». Les naturalistes modernes, d'ARCISZ (1950) à RANDALL (1958), donnent la liste scientifique des espèces incriminables dans la Mer des Antilles. Il n'existe actuellement aucun manuel en langue française permettant la détermination des poissons marins et des espèces dulçaquicoles des Petites Antilles, Le naturaliste est obligé, pour identifier les poissons, de recourir à des ouvrages américains ou hollandais, ou encore à des monographies toutes rédigées en langue anglaise. Ces livres, à de très rares exceptions près, sont anciens et difficiles à trouver en librairie étant presque tous épuisés ou rares. La publication que nous présentons ici n'a pas la prétention de pallier l'inexistence de documents en langue française sur l'ensemble de la faune ichthyologique antillaise; elle n'a pour but que de fournir au personnel chargé du contrôle du conditionnement et des marchés, aux armateurs à la pêche désireux de se renseigner sur les possibilités locales, comme à quelques esprits curieux, une documentation suffisante et illustrée, pour permettre une identification sûre et rapide des espèces dangereuses. Cette étude est née d'un besoin précis : les pêcheurs des Antilles françaises, maintenant guidés par une assistance technique qui reprend élémentairement les bases de la profession, se sont heurtés très rapidement au fait suivant : il était nécessaire de créer un conditionnement des produits de la pêche car quelques espèces de poissons commerciaux, saines dans certaines régions, sont vénéneuses dans d'autres, géographiquement toutes voisines, et doivent être éliminées du marché. Pour cela il fallait établir avec précision quelles espèces pouvaient être dangereuses, et donner aux pêcheurs, aux marchands et au public l'image exacte des formes incriminables. Si une espèce donnée peut contenir des individus vénéneux, tous les individus de cette espèce ne sont pas dangereux et des spécimens de la même espèce incriminables en un point ne le seront pas dans d'autres lieux de pêche. POEY (1866) a écrit: « ... il n'y a pas un poisson suspect sur dix mille... » Cela est sans doute vrai si l'on envisage le stock constitué par une espèce, mais ne l'est plus si l'on considère les concentrations géographiques. A travers l'expérience que nous avons acquise à Saint-Barthélemy, nous pouvons affirmer avec certitude que les poissons vénéneux sont bien groupés en isolats cernés par des frontières géographiques précises. De plus il apparaît très nettement que les poissons âgés, donc ayant atteint un certain poids, sont seuls responsables des accidents ciguatériques les plus graves. Le fait que l'ichthyologiste cubain POEY, 1866, ait imposé l'interdiction des poissons pesant plus de trois livres dans les espèces suspectes sur le marché de La Havane est très significatif. Un fait statistique observé à Saint-Barthélemy vient corroborer les notions précédemment énoncées. Un certain nombre de canots de pêche à la ligne à main, travaillant à l'accore méridional du banc de Saint-Martin, capturait surtout des « oreilles noires » (Lufianus buccanella (c. et V.), 1828) et des « vivaneaux » (L. vivanus (c. et V.), 1828) ; le poids des poissons vidés acceptés par le service de contrôle de la coopérative des pêcheurs de Gustavia avait été fixé à 1 500 g; des poissons de poids bien supérieurs à ce plafond ayant été acceptés par le conditionnement en janvier et février 1963, toute une série d'intoxications graves de type ciguatérique se produisit à Basse-Terre et à Pointe-à-Pitre de La Guadeloupe, lieux principaux de consommation du poisson capturé sur le banc de Saint-Martin. Le poids des poissons vidés exportables ayant été ramené à 1 500 g. les intoxications cessèrent. Il reste à étudier l'étiologie de la «ciguatera », forme la plus commune d'ichthyosarcotoxisme notée aux Antilles. L'accumulation des observations et des notes prises à propos des cas observés à Saint-Barthélemy, à La Guadeloupe, comme à La Martinique (1950) ainsi que les dissections effectuées sur les poissons capturés par les pêcheurs de Saint-Barthélemy nous permettront peut-être de conclure bientôt à ce sujet. Enfin. il faudra trouver le test biochimique simple et précis permettant de déterminer rapidement si un poisson considéré comme « redouteux» est vénéneux ou non. (Les poissons incriminables sont désignés sous le nom de poissons «redouteux» dans le patois de Saint-Barthélemy; la « ciguatera » est nommée « mal poisson ».) Les appellations vernaculaires créoles des espèces vénéneuses ont été établies à partir des notes prises depuis 1950. Cette liste est loin d'être exhaustive car il n'y a pas de domaine plus ingrat que la synonymie vernaculaire. Les appellations américaines, britanniques et hollandaises ont été prises dans les ouvrages publiés d'une part par le Fish and Wildlife Service (laboratoire de Biologie marine de Miami), et d'autre part par la Commission des Caraïbes. Kent House, à La Trinidad. 1959. relayée ensuite par le Secrétariat central de l'Organisation des Caraïbes, 1961. Hato Rey. Porto-Rico. Enfin. nous avons pu établir l'équivalence vernaculaire des noms de poissons utilisés à Saint-Barthélemy et à Saint-Martin grâce à l'aimable collaboration du Dr PETIT, chef de l'hôpital de Marigot à Saint-Martin. Les bases de la systématique que nous avons utilisées, pour replacer les espèces décrites dans un cadre cohérent. sont celles qui sont exposées par BERTIN et ARAMBOURG (1958) dans le troisième fascicule du tome treize du Traité de Zoologie publié sous la direction du Pr P. GRASSÉ: nous y avons fait de larges emprunts. (OCR non contrôlé) Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1965-03 , Vol. 29 , N. 1 , P. 1-130 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1965/publication-4004.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4004/ | Partager |
![]() | Fig. 41 The eastern end of St. Thomas and the western end of St. John (from U. S. Coast and Geodetic Survey Chart No. 905). ![]() Extrait de : The Lesser Antilles (p. 114) Résumé : Carte de la grande extrémité de Saint Thomas et l'extrême Ouest de Saint John Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130340146i1 NAN130340146i1 | Partager |
![]() | Seen from Blackbeard Castle on a hill back of the town; looking south ![]() Extrait de : The Lesser Antilles (p. 113) Résumé : Dessin de bord de mer et des montagnes Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130340145i1 NAN130340145i1 | Partager |
![]() | Fig. 27 The mud flow of southwestern St. Lucia, by which several to the main island. ![]() Extrait de : The Lesser Antilles (p. 80) Résumé : Sud Est de la côte volcanique de Sainte Lucie, avec vue sur l'île principale Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130340108i1 NAN130340108i1 | Partager |
![]() | Nationality, subjecthood and citizenship at Swedish St Barthélemy Auteur(s) : Thomasson Fredrik Auteurs secondaires : Urban, Yerri Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Description : Fredrik Thomasson (professeur à l'Université d'Uppsala, Suède) propose une étude sur la situation des Gens de couleurs et des Noirs libres dans l'histoire de la Saint-Barthélemy suédoise, entre 1784 et 1878. Il présente les aspects d'une présence suédoise méconnue dans l'histoire coloniale de la Caraïbe avec l'implantation suédoise à Saint-Barthélemy et la fondation de la ville de Gustavia (en honneur du roi Gustave III très attaché à la politique d'Outre-mer de la Couronne suédoise) et de son port franc. C'est ainsi que la ville de Gustavia comptait 5492 habitants en 1812 répartis entre les esclaves (un quart environ de la population), les Blancs (un quart également) et les Libres de couleur (la moitié restante). D'où la réflexion proposée sur le traitement de la population noire, esclaves ou libres, dans le système judiciaire mise en place par la colonisation suédoise. Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V16119 V16119 | Partager |
![]() | Fig. 66 The Island of St. Martin (from British Admiralty Chart No. 2038). ![]() Extrait de : The Lesser Antilles (p. 167) Résumé : Carte topographique de l'île de Saint Martin Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130340201i1 NAN130340201i1 | Partager |
![]() | Petites Antilles. Auteur(s) : Nyon ![]() Extrait de : Manuel de la navigation dans la mer des Antilles et dans le golfe de Mexique : vues de cotes (Pl. 4) Résumé : Terres du Port de Saint-Jean (Antigoa) vues de l'ile de Sable. Port de Saint-Jean (Antigoa). Terres du Canal de Boon (Antigoa). Mont-Serrat dans le S. O. 1/4 O. à 30 milles. L'ile ronde dans le N. 1/4 N. E. à 12 milles. Mont-Serrat au N. O. 1/2 N. à 24 mi Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH131460018i1 SCH131460018i1 | Partager |
![]() | NAN130220007i1 ![]() Extrait de : La Guadeloupe et dépendances (p. 5) Résumé : Carte de la Guadeloupe et des îles des Saintes, Marie-Galante, La Désirade Siècle(s) traité(s) : 19 Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130220007i1 NAN130220007i1 | Partager |
![]() | Vue de la ville de Cayes, Isle de St Domingue Auteur(s) : Ponce, Nicolas (1746-1831) Pérignon, Nicolas (1726-1782) ![]() Éditeur(s) : Paris : éditions Duchartre et Van Buggenhoudt Extrait de : Les frères de La Coste, Flibustiers et Corsaires (p. 31) Résumé : Vue de la ville de Cayes, Isle de St Domingue. Siècle(s) traité(s) : 18 Permalien : http://www.manioc.org/images/FCL18014-0053i1 FCL18014-0053i1 | Partager |
![]() | Fig. 57 The non-cliffed north coast of St. Croix at Christiansted. ![]() Extrait de : The Lesser Antilles (p. 144) Résumé : Dessin de la côte Nord de Sainte Croix Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130340178i2 NAN130340178i2 | Partager |
![]() | Iles et iliens (îles des Antipodes, des Caraibes et Saint Pierre) Auteur(s) : Antona, Martine Résumé : Les îles et archipels français des Caraibes, de l'Océan Indien, du Pacifique et l'île de Saint Pierre et Miquelon concentrent la majorité des 1,670 millions de français habitant outre-mer. Il s'agit de terres étroites, éloignées de la métropole et distantes entre elles, éparses et souvent composées d'archipels. A l'exception de Saint Pierre et Miquelon, elles sont tropicales et soumises à des risques climatiques majeurs (cyclones). Leur superficie est réduite si on la compare à celle des territoires continentaux français d'outre-mer (Guyane et Terres Australes) mais elles sont au centre d'une surface maritime importante marquée par la pauvreté et l'inégale répartition des ressources biologiques et par la nature fragile des écosystèmes littoraux insulaires. Des parallèles entre l'isolement biologique des îles et leur peuplement ont pu amener à assimiler les îles à des "refuges" 1/ d'où une faible relation des îliens avec la mer et de rares échanges maritimes. Présenter ces îles comme un ensemble ne saurait rendre compte que leurs points communs sont autant de différences. La mer apparaît selon les îles comme un facteur d'isolement ou d'activités et de relations. La dynamique des îles renvoie donc à l'insularité perçue comme un handicap du fait de l'isolement ou un atout de position. Ces caractères peuvent être accentués selon la situation des îles (iles océaniques ou précontinentales), ou selon l'interaction entre insularité et système socio-culturel issu des relations avec la métropole. [OCR NON CONTRÔLE] Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/1992/rapport-4213.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/4213/ | Partager |
![]() | M. Mouttet, gouverneur de la Martinique ![]() Extrait de : Saint-Pierre-Martinique 1635-1902 : Annales des Antilles françaises - Journal et album de la Martinique, naissance, vie et mort de la cité créole - livre d'or de la charité (p. 241) Résumé : Louis Mouttet (Marseille, 6 octobre 1857 - Saint Pierre, 8 mai 1902) est le gouverneur de la Martinique lors de l?éruption de la Montagne Pelée. Il trouve la mort, ainsi que son épouse, lors de cette catastrophe. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Provenance : Université des Antilles et de la Guyane. Service commun de la documentation Permalien : http://www.manioc.org/images/HASH28a61766e5f0be43955590 HASH28a61766e5f0be43955590 | Partager |
![]() | Général Ferrand. Il mourut victime de l'ingratitude. ![]() Extrait de : Précis historique des derniers événements de la partie de l'est de Saint-Domingue depuis le 10 août 1808 jusqu'à la capitulation de Santo-Domingo, avec des notes... sur cette partie, des réflexions sur l'Amérique septentrionale et des considérations sur l'Amérique méridionale et sur la restauration de Saint-Domingue... par M. Gilbert Guillermin,... (avant p. 1) Résumé : Ferrand, Jean-Louis (1758-1808), général français de la Révolution et de l'Empire. Il fait partie de l'expédition de Saint-Domingue, chargée de rétablir l'ordre dans la colonie, dont il prend très vite le commandement. Après les premiers succès (1802), les Français sont battus par Dessalines et les Anglais (1804), et doivent trouver refuge dans la partie orientale de l'île, alors sous les ordres de la Couronne d'Espagne. Après que Napoléon est attaquée la péninsule, la bataille de Palo Hincado scelle le sort de Ferrand qui se scuicide Siècle(s) traité(s) : 19 Provenance : Communauté d'agglomération de La Rochelle. Médiathèque Michel-Crépeau Permalien : http://www.manioc.org/images/MMC16053-0008i1 MMC16053-0008i1 | Partager |
![]() | PLANCHE II. Iles de Saint-Domingue et de Porto-Rico. Description de l'Univers , 1683. ![]() Extrait de : Voyages aux Isles de l'Amérique (Antilles) : 1693-1705 . Tome 2 () Résumé : Carte des île de Saint Domingue et Porto Rico Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN13037-20017i1 NAN13037-20017i1 | Partager |
![]() | Fig. 52 Diamond Island, a cliffed stack in the southern Grenadines. ![]() Extrait de : The Lesser Antilles (p. 131) Résumé : Dessin de l'île du Diamant au Sud des Grenadines Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/NAN130340163i1 NAN130340163i1 | Partager |
![]() | Essai sur l'Histoire naturelle de l'isle de Saint-Domingue, avec des figures en taille-douce Auteur(s) : Nicolson Éditeur(s) : Gobreau, libraire Gobreau, libraire Résumé : Description, par un religieux Dominicain, de Saint-Domingue au XVIIIème siècle. Nicolson (nom de l'auteur dont le prénom est inconnu) aborde l'histoire et décrit l'administration, l'activité industrielle de la colonie. Il consacre une grande partie de son ouvrage à la description de la nature. République Dominicaine Haïti 18 Hipaniola Droits : Domaine public patrimon:HASH011018184feb42c708996ebb | Partager |
![]() | La légende noire guyanaise : l'histoire comme enjeux de mémoire Auteur(s) : Coquet, Martine Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines Extrait de : "Patrimonialisation et développement dans la Caraïbe et les Amériques" : colloque international, du 2 au 4 mars 2011. Université des Antilles et de la Guyane Description : Rapide contextualisation de la Guyane au début fantasmatique (eldorado), puis avec l'arrivée du bagne, ce territoire devient alors une terre de mort. Outre une répercussion sur la vie sociale des individus peuplant la Guyane, la colonisation pénale a amplement participé au phénomène de stratification sociale à Saint Laurent du Maroni. Le bagne est actuellement un enjeu de mémoire, des lieux sans motif de fierté qui sont tout de même valorisés par les institutions et associations. Il y a une volonté de dépasser les conflits en parlant de ce qu'est la Guyane et non de qu'elle a fait. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12105 V12105 | Partager |
![]() | """Combat des Cinq Combles"" à Saint-Christophe entre les Anglais et les Français, 1666." Année de publication : ![]() Éditeur(s) : Paris : éditions Duchartre et Van Buggenhoudt Extrait de : Les frères de La Coste, Flibustiers et Corsaires (p. 168) Résumé : Une armée d'hommes au combat sur une vallée de Saint-Christophe. Des anglais contre des Français. Siècle(s) traité(s) : 17 Permalien : http://www.manioc.org/images/FCL18014-0190i1 FCL18014-0190i1 | Partager |