Achieving Sustainability of Natural Resources and Obtaining Economic Goals. Tourism’s Pandora’s box Auteur(s) : Miller, Novadene Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : The tourism industry has realized that the goals to protect the environment and goals of the economy are often not compatible. Thus countries such as Jamaica whose principal economic earner is tourism are seeking methods to green their national accounts and policies. However livelihood socioeconomic systems of the local population often conflict with sustainable policies. Furthermore these livelihood systems to eke out a living are often not regulated and fall outside the formal structures of governance, and sustainable regulation systems and policies. This article examines this Pandora’s Box within the context of Jamaica, Cockpit country with a focus on water, as natural resource used by both the tourist sector and the local population. L'industrie du tourisme a réalisé que les objectifs de protection de l'environnement et les objectifs de l'économie ne sont souvent pas compatibles. Ainsi, des pays comme la Jamaïque dont le principal soutien économique est le tourisme économique sont à la recherche de méthodes écologiques de leurs comptes et les politiques nationales. Systèmes de subsistance Cependant socio-économiques de la population locale sont souvent en conflit avec les politiques de développement durable. En outre, ces systèmes de subsistance pour gagner leur vie sont souvent pas réglementés et tombent en dehors des structures formelles de gouvernance et des systèmes de régulation et des politiques durables. Cet article examine cette boîte de Pandore dans le cadre de la Jamaïque, pays de cockpit en mettant l'accent sur l'eau, ressource naturelle utilisée à la fois par le secteur du tourisme et de la population locale. Jamaïque Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5297 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5297 | Partager |
Les résidences secondaires sur la côte Pacifique Sud du Nicaragua : une stratégie de développent et ses conséquences Auteur(s) : Matteucci, Xavier Beyer, Matthias Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La prolifération récente des résidences secondaires, observée récemment sur la côte Pacifique Sud du Nicaragua, s’inscrit dans une perspective de développement ayant trait à l’hébergement touristique. Or, le caractère immobilier prédominant de ce type d’hébergement, ainsi que les modes de consommation de ces résidents temporaires nous mettent en garde quant aux risques socioéconomiques et environnementaux encourus par les communautés autochtones. Parmi ces risques, notons les problèmes découlant de l’amplitude des variations saisonnières, de privatisation et de destruction des espaces naturels, ainsi que les perspectives de pérennisation des retombées économiques à moyen et long terme. Les auteurs de cet article remettent donc en question les prouesses attribuées à ce secteur d’activité et invitent à considérer des alternatives de développement durable du tourisme plus respectueuses des territoires d’accueil. In recent years, there has been a proliferation of second home developments on attractive coastal regions of Central and South America. Based on the assumed benefits of second home tourism to regional economies, public authorities - accompanied by private investors – have capitalised on this sector as part of their tourism development strategies. This paper first examines the nature of recent second home tourism developments and then presents the socio-economic and environmental impacts of this phenomenon as experienced by local communities on the South Pacific Coast of Nicaragua. The main impacts include conflicts with local and indigenous communities over land use and ownership, seasonal and low-income employment generation, an increased burden on municipal budget to provide public infrastructure, and environmental degradation. It is argued that the second home tourism sector, strongly driven by private real estate investors, fails to generate tourism activities which are expected to sustain community development. Furthermore, this study indicates that municipalities concentrating on the second home tourism segment may deprive themselves of access to resources for more sustainable forms of tourism activities. Amérique centrale Nicaragua Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.3869 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/3869 | Partager |
Tourisme de masse et tourisme responsable en période de crise paysagère : le canal du Midi (France) Auteur(s) : Ballester, Patrice Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Depuis le xviie siècle, le canal du Midi connaît des conflits d’usage et des paysages forts différents. Actuellement, les Voies Navigables de France (VNF) comme la population locale et les touristes se confrontent à une crise paysagère et environnementale majeure. La disparition des platanes centenaires à cause du champignon et de l’épidémie du chancre coloré est inéluctable. Cette crise bouleverse les niveaux d’information et de perception d’un espace touristique de première importance pour la France avec une inscription au patrimoine mondial de l’Unesco en 1996. Les arbres sont un marqueur d’une identité paysagère et de représentations touristiques très fortes. À partir d’une recherche archivistique inédite portant sur l’évolution du paysage et de l’action des acteurs, couplée à une enquête de terrain entre 2008 et 2013 sur le comportement des touristes et des promeneurs, nos résultats montrent que l’action de protection et de conservation de ce paysage rentrent dans une alliance renouvelée entre le tourisme de masse et le tourisme responsable, ils en deviennent interdépendants. La communication et la pédagogie environnementale auprès du grand public sur le degré de nature de ce site rentrent aussi dans une action à son tour résiliente et de développement durable, les ambivalences des comportements des usagers dans leur vision d’un site touristique hybride s’observent. Since the seventeenth century, the canal du Midi known conflicts of use and a variety of landscapes. Currently, Waterways of France (VNF) as the local population and tourists are confronted with a major landscape and environmental crisis. The disappearance of the old plane because of the fungus and the epidemic of colored canker is inevitable. This crisis disrupts levels of information and perception of a tourist area of prime importance for France with an inscription on the World Heritage by UNESCO in 1996. Trees are a marker of landscape identity and tourist representations very strong. From unprecedented archival research on the changing landscape and action actors, coupled with fieldwork between 2008 and 2013 on the behavior of tourists and walkers, our results show that the action of protection and conservation of the landscape fit into a renewed relationship between mass tourism and alternative tourism alliance, they become interdependent. Communication and environmental education to the public on the state of nature of this site are also included in an action to turn its resilient and sustainable development, the ambivalences of user behavior in their vision of a hybrid attraction are observed. Desde el siglo XVII, el canal du Midi conocido conflictos de usar y varios paisajes. Actualmente, Vías Navegables de Francia (VNF) como la población local y los turistas se enfrentan a una crisis ambiental y paisaje. La desaparición de los plátanos por el champiñón y la epidemia del cancro colorido es inevitable. Esta crisis altera los niveles de información y la percepción de una zona turística de gran importancia para Francia con una inscripción en el Patrimonio de la Humanidad por la UNESCO en 1996. Los árboles son un marcador de la identidad del paisaje y representaciones turísticas muy fuertes. De investigación de archivo original sobre la evolución del paisaje y la acción de los actores, junto con el trabajo de campo entre 2008 y 2013 en el comportamiento de los turistas y caminantes locales, nuestros resultados muestran que la acción de protección y conservación de la forma del paisaje en una renovada relación y la alianza entre el turismo de masas y el turismo alternativo, se vuelven interdependientes. Comunicación y educación ambiental al público sobre el estado de la naturaleza de este sitio se incluyen en una acción para activar su desarrollo resiliente y sostenible, las ambivalencias de comportamiento de los usuarios en su visión de un sitio turístico híbrido se observan. France Canal du Midi Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7566 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7566 | Partager |
Du tourisme et de la pauvreté en Afrique : duel ou duo ? Auteur(s) : Hillali, Mimoun Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La notion du tourisme moteur de développement n’a pas survécu à la chute du communisme. Cette chute a rendu caduc, le rôle idéologique de ce secteur, symbole et acteur du libéralisme au temps de la guerre froide. De fait, le tourisme retrouve sa place « normale » parmi les vocations nationales des pays en développement : aide au développement et/ou lutte contre la pauvreté !Le Maroc, l’un des pionniers du libéralisme en Afrique, n’a pas échappé aux conséquences du suivisme économique propre aux pays d’Afrique, socialistes et libéraux confondus. Du tourisme moteur de développement (1964), il a récemment procédé au réajustement de sa stratégie en matière du développement touristique, en en faisant un secteur d’appoint pour l’économie nationale. « Le miracle économique du tourisme n’a donc pas eu lieu ! » (Hillali, 2007). Constat d’échec ou réajustement stratégique normal, la question est posée. À ce propos, deux initiatives méritent d’être citées :- Le tourisme représente un secteur d’activité qui procure emplois et revenus aux citadins démunis (artisanat, emplois peu qualifiés...) et aux populations rurales (gites, auberges, accompagnement...) dans le cadre de la nouvelle stratégie des Pays d’accueil touristiques (2003), du tourisme de niches et de l’aide aux jeunes entrepreneurs. - L’initiative nationale du développement humain (INDH), lancée en 2004, est censée épauler les nécessiteux dans cette politique sociale et économique de grande envergure.Or, en dépit des programmes bien planifiés, les résultats sont mitigés. Peut-être, est-il que la mise en pratique de ces nouvelles approches de développement local et ciblé (actions opérationnelles) et les méthodes d’évaluation qui en assurent le suivi (mesure des impacts) ne sont pas encore assez rôdées. The concept of tourism as a driving force for development has not survived the fall of communism. The end of the Cold War rendered the ideological role of the tourism sector, as a main tool of liberalism, obsolete. Today, the most common setting for the tourism sector is in developing countries, as a tool for development and/or poverty reduction.Morocco, one of the pioneers of liberalism in Africa, has not escaped the consequences of the economic band wagonning among African states, socialists and liberals alike. A driving force for tourism development in the last century (1964), Morocco has recently readjusted its strategy to create an extra sector to contribute to the national economy. "The economic miracle of tourism has not taken place!"(Hillali, 2007). The question is posed: What is more appropriate, identifying failures or engaging in strategic readjustment? In this regard, two initiatives are worth mentioning: - Tourism is an industry that provides jobs and income for the urban (crafts, low-skilled jobs) and rural (cottages, inns, coaching) poor as part of the new strategy of the country’s tourist reception (2003), tourism niches and helping young entrepreneurs. - The National Initiative for Human Development (NIHD), launched in 2004, aims to support those in need in major social and economic policies.However, despite well-planned programs, the results have been mixed. Perhaps it is that the implementation of these new approaches to local development and targeted (operational activities) and evaluation methods that ensure monitoring (measurement of impacts) do not overlap enough. Afrique Maroc Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6563 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6563 | Partager |
Tourisme et lutte contre la pauvreté : opportunités et défis Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Concevoir le tourisme comme un outil de lutte contre la pauvreté nécessite en premier lieu de s’entendre sur le sens du mot pauvreté et de clarifier les intentions politiques d’un tel projet. La réflexion sur la réduction de la pauvreté grâce au tourisme peut être synthétisée en trois temps : tout d’abord, les effets bénéfiques du ruissellement des revenus touristiques dans les sociétés d’accueil, ensuite les dommages collatéraux qui résultent du tourisme et, finalement, définir les conditions nécessaires pour intégrer favorablement le projet touristique dans les territoires hôtes. Au final, il apparaît indispensable de développer une politique volontariste, car le fameux ruissellement de revenus ne va pas naturellement profiter aux plus démunis. Compte tenu des impacts complexes et contradictoires du tourisme international (notamment en matière d’inflation, de fuites des revenus, de déstructuration accélérée des sociétés locales), il faut l’inscrire dans un projet d’un territorial cohérent et soutenu par les communautés locales afin de dégager de réels bénéfices. Develop tourism as a tool in the fight against poverty requires first to agree on the meaning of the word poverty and to clarify the political intentions of the project. Reflection on the reduction of poverty through the tourism can be synthesized in three steps: first, the beneficial effects of runoff from tourist revenues in host societies, then the collateral damage resulting from tourism and, finally, to define the conditions necessary to integrate positively tourism project in the host territories.In the end, it is indispensable to develop a proactive policy, because the poorest will not benefit from famous income runoff. Taking into account complex and contradictory impact of international tourism (including inflation, revenue leakage, deconstruction accelerated of local societies), it is necessary to include it in a sustained and coherent territorial project by local communities to identify real benefits. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6601 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6601 | Partager |
Lorsque le tourisme se préoccupe de la pauvreté Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Tatar, Corina Theng, Sopheap Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Les déclarations politiques et les modes d’emploi destinés à combattre la pauvreté se succèdent tandis que la pauvreté s’inscrit durablement dans notre société. Désormais, les leaders politiques et économiques du moment considèrent le tourisme comme un outil privilégié pour réduire la pauvreté. Des politiques touristiques judicieuses doivent permettre un rattrapage économique en faveur des plus pauvres.L’article insiste sur la complexité du tourisme et la nécessité de prendre en compte le projet touristique dans sa globalité. Le territoire d’accueil est le support de consommations touristiques qui nécessitent des aménagements spécifiques. Mais la répartition des revenus du tourisme, la circulation internationale et la distribution finale des bénéfices doivent être considérées à l’échelle de tous les acteurs locaux, nationaux et internationaux qui interviennent dans le champ du tourisme. Political declarations and manuals to combat poverty occur while poverty is sustainable within our society. Then, economic and political leaders consider tourism as a tool for poverty reduction. Policies that judiciously use tourism must allow a catch-up in favor of the poorest.The article emphasizes the complexity of tourism and the need to take into account the tourism project in its entirety. The host territory is the support for tourist consumption which require specific improvements. But the distribution of revenues from tourism, the international movement and the final distribution of the profits must be considered across all local, national and international actors involved in the field of tourism. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6476 | Partager |
Tourisme pro-pauvre dans les Petites Antilles : éléments de réflexion à partir de l’exemple d’île de Trinidad Auteur(s) : Augier, Dominique Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La République de Trinidad-et-Tobago, située à l’extrême sud de l’arc des Petites Antilles fait figure d’exception dans la région Caraïbe. En effet, l’économie de l’île dépend presque exclusivement du secteur industriel et gazier, alors que le tourisme et l’agriculture participent peu au produit intérieur brut du pays, au contraire des autres îles caribéennes. Profitant d’un contexte international favorable, Trinidad connaît depuis deux décennies une croissance économique continue qui lui permet d’afficher des indices sociaux élevés, mais son économie garde les caractéristiques d’un Petit État Insulaire en Développement et elle doit faire face à des problèmes persistants de chômage et de pauvreté. C’est dans ce contexte que le gouvernement a initié une politique de diversification économique identifiant plusieurs domaines d’intervention, dont le tourisme, susceptible de réduire la pauvreté. L’objectif de cette étude est d’analyser les impacts et les limites d’actions touristiques pro-pauvres dans un petit état insulaire au travers d’une expérience menée dans le village de Matura, au nord-est de Trinidad. The Republic of Trinidad and Tobago, located in the extreme south of the Lesser Antilles, is an exception in the Caribbean region. Indeed, unlike other Caribbean islands, the economy of Trinidad and Tobago depends almost exclusively on industrial and gas sector, while tourism and agriculture involved a small share of gross domestic product of the country.Taking advantage of a favorable international context, Trinidad known for two decades continued economic growth that allows it to display high social indices, but its economy keeps the characteristics of a Small State Islander Developing and faces problems of unemployment and poverty. It’s in this context that the government has initiated a policy of economic diversification identifying several areas of activity, including tourism, likely to reduce poverty. The objective of this study is to analyze the impacts and limitations of pro-poor tourism actions in a small island state through an experiment conducted in the village of Matura in the Northeast of Trinidad. Trinité Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6535 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6535 | Partager |
Tourisme et pauvreté dans les petites îles indépendantes en développement : l’exemple de Sainte-Lucie (Petites Antilles) Auteur(s) : Augier, Dominique Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’objectif de cette étude est d’analyser les impacts et les limites d’une expérience de lutte contre la pauvreté par le tourisme au travers d’une étude de cas dans le village d’Anse-la-Raye, à Sainte-Lucie.Depuis son indépendance en 1979, Sainte-Lucie a tenté de diversifier la structure économique héritée de son passé colonial, en développant notamment des sources alternatives de recettes. Au début, il y a eu un certain succès avec l'industrie de confection et le tourisme qui ont émergé comme des activités viables en dehors de l'agriculture d'exportation.À la fin des années 1980, le pays avait même atteint un taux de croissance qui aurait été considéré comme raisonnable. Sainte-Lucie a d’ailleurs été l’île ayant connu la plus grande croissance économique des Etats du CARICOM. L’exportation de la banane a contribué pour beaucoup à ces résultats, et les nouveaux secteurs ont permis la création d’emplois ainsi que des revenus et des recettes d'exportation supplémentaires.Mais comme tous les Petits Etats Insulaires en Développement (PEID), Sainte-Lucie est caractérisée par sa vulnérabilité économique face aux catastrophes naturelles et crises extérieures. Ainsi, deux des secteurs principaux de son économie se sont affaiblis ces dernières années (l’agriculture et l’industrie), avec pour résultat principal une aggravation de la pauvreté à Sainte-Lucie malgré les bons résultats du secteur touristique devenu le pilier principal de l’économie de l’île.Dans ce contexte de faible croissance économique, le gouvernement et les partenaires sociaux se sont rassemblés pour identifier les politiques susceptibles d’accélérer la croissance économique de Sainte-Lucie. Ainsi, trois axes principaux ont été retenus : l’augmentation de la production locale, la réduction du crime et la réduction de la pauvreté. Dans ce dernier cadre, le gouvernement a lancé plusieurs stratégies de lutte contre la pauvreté notamment l’aide au développement d’activités touristiques.L’étude s’intéresse plus particulièrement au village d’Anse-la-Raye et à une expérience de tourisme pro-pauvre qui y a été développé en 2000 : l’Anse-la-Raye Seafood Friday, une sorte de festival qui permet aux visiteurs de déguster les produits de la mer tous les vendredis. Ce festival a-t-il eu réellement des répercussions sur la population pauvre de la communauté d’Anse-la-Raye ? Est-il viable? Quel est son devenir? The objective of this study is to analyse the impacts and limitations of attempts to combat poverty using tourism through a case study in the village of Anse-la-Raye, in St. Lucia.Since its independence in 1979, St. Lucia has attempted to diversify the economic structure it inherited from its colonial past, in particular developing alternative sources of revenue. Initially there was some success with the clothing industry and tourism, which emerged as viable business activities outside of agricultural exports.At the end of the 1980s, the country had reached a growth which was considered reasonable. Of all the states of CARICOM, St. Lucia has moreover experienced the greatest economic growth. Banana exports have contributed significantly to these results, and new sectors have led to the creation of jobs and income to supplement export income.But like all Small Island Developing States (SIDS), St. Lucia is characterized by vulnerability to natural disasters and external economic shocks. Two major sectors of the economy have weakened in recent years (agriculture and industry), resulting in an increase in poverty in St. Lucia despite favourable outcomes in the tourism sector, which became the primary pillar of the island.In the context of low economic growth the government and social partners gathered together to identify policies and accelerate economic growth in St. Lucia. Three main themes were identified: Increasing local production; reducing crime and reducing poverty. In this context, the government launched several strategies to combat poverty including assistance for the development of tourism.The study focuses on the village of Anse-la-Raye and the experiences of pro-poor tourism that was developed in 2000: Anse-la-Raye Seafood Friday, a kind of festival that allows visitors to taste the seafood on Fridays. Has this festival really had an impact on the poor of the community of Anse-la-Raye? Is it viable? And what is its future? Sainte-Lucie Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6525 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6525 | Partager |
Tourism in Trinidad and Tobago: The Evolving Attitudes and Behaviors and its Implications in an Era of HIV/AIDS Epidemic Auteur(s) : A. George, Annette Richards, Darlington Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : The Caribbean has always been viewed as a tourist attraction for pleasure seeking individuals. Over several years, there has been evolved a rather intimate and interactive relationship between visitors and their hosts. The culmination of which is the rather romantic fascination of tourists toward locals in many Caribbean destinations. This is not a new phenomenon, as this pattern is one that evolved at the advent of tourism in the region. Economic and social factors are some of the competing contributors to this phenomenon.It would appear that with the increased influx of tourists in Caribbean destinations, that an astronomical increase in the reported cases of HIV/AIDS and other sexually related transmitted diseases are also witnessed. Trinidad and Tobago (T&T) is amongst the worst exposed in the Caribbean outside of the Dominican Republic and Haiti. Latest reports by the UNAIDS indicates that the number of reported cases in T&T has reached unprecedented levels (over 20,000 in 2009) and continues to increase. This study looks critically at the extent to which tourism and other related leisure activities including carnival, and the cultural diffusion it brings may be contributing to this epidemic. It is also hoped that this study will try to articulate possible suggestions to contain what is increasingly leading to a myriad of cultural, social and economic challenges for the country. Les Caraïbes ont toujours exercé un attrait touristique sur les personnes en quête de plaisir. Depuis plusieurs années, il a été développé une relation plutôt intime et interactif entre les visiteurs et leurs hôtes dont le point culminant est la fascination plutôt romantique des touristes envers de nombreuses destinations dans les Caraïbes. Il ne s’agit pas d’un phénomène nouveau, ce phénomène repose sur des facteurs économiques et sociaux concurrents. Il convient de s’interroger sur les relations entre que l'afflux croissant de touristes dans ces destinations caribéennes et l'augmentation considérable des cas de VIH/sida et autres maladies sexuellement transmissibles. Trinité-et-Tobago (T & T) est l'une des destinations les plus exposées au sein de la Caraïbe. Les derniers rapports de l'ONUSIDA indiquent que le nombre de cas signalés de T & T a atteint des niveaux sans précédent (plus de 20.000 en 2009) et continue d'augmenter. Cette étude porte un regard critique sur les corrélations établies entre le tourisme et les autres activités de loisirs connexes, comme le carnaval, et la diffusion culturelle pourrait contribuer à cette épidémie. Cette étude vise à articuler des suggestions possibles pour répondre à la myriade de défis culturels, sociaux et économiques) à laquelle est exposé le pays. Caraïbes Trinité-et-Tobago Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5314 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5314 | Partager |
Les expositions universelles, une utopie touristique toujours d’actualité ? Auteur(s) : Ballester, Patrice Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : À travers les expositions universelles récentes et passées et plus particulièrement les expositions de Milan 2015 et de Port-au-Prince 1949, nous rappelons que cette pratique touristique du voyage d’agrément dans une grande ville remonte au xixe siècle, elle accompagne les origines de notre tourisme moderne, tout en devenant un instrument de géopolitique et de marketing touristique de première importance pour les villes et les pays hôtes. Les expositions peuvent être considérées comme un levier urbanistique, mais aussi un moyen de faire voyager et de comprendre notre monde à travers un système de représentation des identités locales et mondiales proposant toujours une mise en valeur de la découverte scientifique et de l’expérience culturelle à travers les pavillons nationaux. Ces manifestations géantes reposent sur une mise en scène et en récit à partir d’un thème universel questionnant généralement le concept du développement durable et de l’attractivité touristique renouvelée de la destination. Notre analyse porte sur la plus récente des expositions universelles et une exposition oubliée appartenant à l’aire culturelle des caraïbes permettant de dégager trois dynamiques associant le tourisme de méga-événement et l’utopie des voyages initiatiques, à savoir : les expositions universelles se réinventent et retrouvent un certain succès de fréquentation impliquant une redéfinition des champs et des usages d’une utopie contrariée. Faire voyager est un acte à la fois scénographique et symbolique à travers le pavillon impliquant des artifices et des déclinaisons de plus en plus numériques, la quête de cette pratique durable du voyage se confronte à son héritage et à son souvenir à différentes échelles et temporalités. Through the recent and past universal exhibitions and more particularly the world’s fair of Milan 2015 and Port-au-Prince 1949, we recall that this tourist practice of the pleasure trip in a large city dates back to the xixth century, it accompanies the origins of Our modern tourism, while becoming an instrument of geopolitics and tourist marketing of prime importance to cities and host countries. Exhibitions can be seen as an urban lever, but also a way to make travel and understand our world through a system of representation of local and global identities that always emphasizes scientific discovery and cultural experience through the national pavilion. These giant events are based on a staging and narrative based on a universal theme generally questioning the concept of sustainable development and the renewed attractiveness of the destination. Our analysis focuses on the most recent of the universal exhibitions and a forgotten exhibition belonging to the cultural area of the Caribbean, which reveals three dynamics associating mega-event tourism with the utopia of initiatory journeys, namely: reinvent and regain a certain success of frequentation implying a redefinition of the fields and uses of a disrupted utopia; to make travel is an act both scenographic and symbolic through the pavilion involving artifices and more and more digital declensions, the quest for this sustainable practice of travel is confronted with its heritage and its memory at different scales and temporalities. A través de las exposiciones universales recientes y pasados y, especialmente, la Feria de Milán en 2015 y Puerto Príncipe en 1949, recordamos que esta práctica de turismo de viaje de placer a una gran ciudad se remonta al siglo xix, que acompaña a los orígenes de turismo moderno, mientras que convertirse en un instrumento geopolítico y comercialización del turismo de las principales ciudades y países anfitriones. Las exposiciones pueden considerarse una palanca urbana, sino también una manera de viajar y entender nuestro mundo a través de un sistema de representación de las identidades locales y globales que todavía ofrece el desarrollo de los descubrimientos científicos y la experiencia cultural a través pabellones nacionales. Estas manifestaciones gigantes basados en una puesta en escena y la narrativa de un tema universal en general, cuestionando el concepto de desarrollo sostenible y renovada atractivos turísticos del destino. Nuestro análisis se centra en las últimas exposiciones universales y una exposición olvidado que pertenecen a la zona cultural del Caribe para identificar tres dinámico entre el turismo mega-evento y la utopía de los viajes iniciáticos, a saber: las exposiciones universales reinventar y encontrar un cierto éxito de asistencia que implica una redefinición de campos y utiliza una utopía alterada, para viajar es un acto tanto teatral y simbólico a través del pabellón y declinaciones cada vez más digitales, las la búsqueda de este viaje práctica sostenible se enfrenta a su artificialidad y su memoria en diferentes escalas y marcos de tiempo. Europe Caraïbes Italie Haïti France Milan Port-au-Prince New York Osaka Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11239 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11239 | Partager |
Tourisme et lutte contre la pauvreté : les premiers enseignements de l’expérience de l’île de la Dominique (Petites Antilles) Auteur(s) : Murat, Christelle Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’île caribéenne de la Dominique est une destination touristique émergente. Ce petit Etat, indépendant depuis 1978, situé entre les territoires français de la Guadeloupe et de la Martinique, entend développer un positionnement touristique original pour percer sur un marché régional prospère mais extrêmement concurrentiel.Le pays, relativement isolé, compte parmi les plus pauvres de la région et n’a pas suscité l’intérêt des investisseurs internationaux et sa charge de population est restée relativement stable depuis son indépendance (de l’ordre de 80 000 habitants en 2005 pour une superficie de 750 km²) en raison d’une émigration constante. C’est dans ce contexte que l’Etat dominiquais a construit sa stratégie touristique qui se fonde sur la mise en valeur de la singularité de ses ressources naturelles et humaines dans le cadre d’une planification territoriale qui vise à lutter contre la pauvreté. The Caribbean island of Dominica is an emerging tourist destination. This small state, independent since 1978, located between the French territories of Guadeloupe and Martinique, intends to develop an original tourist strategy to break into a prosperous but highly competitive regional market.The country is relatively isolated and is among the poorest in the region. Dominica has not succeeded in attracting international investment, and its population has remained relatively stable since independence (about 80 000 people residing in an area of 750 km ² as of 2005) as a result of constant migration. It is in this context that the state of Dominica has constructed a tourism strategy based on the unique value of its natural and human resources in the context of spatial planning, which aims to fight against poverty. Dominique Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6530 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6530 | Partager |
La relation entre tourisme, croissance et développement inclusifs dans les petites destinations insulaires de luxe : l’exemple d’Anguilla dans la Caraïbe Auteur(s) : Dupont, Louis Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : L’image idyllique du tourisme de luxe dans certains territoires de la Caraïbe, de l’océan Indien et du Pacifique fait souvent rêver et attire depuis longtemps une clientèle fortunée. Pour autant, les dépenses effectuées sur place par cette clientèle induisent-elles véritablement des retombées positives sur la croissance et le développement économique de ces territoires, sur le niveau de vie de la population, contribue-t-il à combattre le chômage et à réduire la pauvreté ? Quels en sont les impacts au plan environnemental et humain ? En deux mots, les principes du développement durable trouvent-ils sur place un terrain d’application favorable et conforme à ce concept ? Pour y répondre, Anguilla, petite destination touristique de luxe de la Caraïbe, fréquentée majoritairement par une clientèle de séjour en provenance des États-Unis est utilisée comme étude de cas. Aussi, cette étude a pour but d’analyser les relations complexes entre le tourisme et la problématique du développement local dans ce microterritoire, en se fixant deux objectifs : en premier lieu, voir si l’hypothèse de la croissance tirée par le tourisme est une option concevable dans cette petite destination touristique. En second lieu, vérifier si l’activité touristique exerce un impact positif sur le développement économique inclusif d’Anguilla, par sa capacité ou non à stimuler les autres secteurs d’activité. À cet effet, deux modèles de régression employés dans un cadre de cointégration sont utilisés successivement. D’une part, les résultats montrent qu’un accroissement de 1 % de la recette touristique à Anguilla se traduit à long terme par une augmentation de 0,6 % de son PIB, confirmant ainsi l’hypothèse de la croissance tirée par le tourisme. De plus, les tests de causalité de Granger révèlent l’existence d’une causalité bidirectionnelle entre activité touristique et croissance économique. D’autre part, ces résultats montrent que la croissance du secteur touristique s’accompagne par une contraction de l’activité agricole à Anguilla, engendrant de ce fait une perte de ressources pour le pays, ainsi qu’un accroissement de « fuites » liées aux importations dérivées. En conséquence, le potentiel du tourisme en tant que facteur de développement inclusif devient une hypothèse irrecevable dans ce petit territoire, et ce, en raison des effets multiplicateurs et de liaison limités sur les producteurs locaux. The romantic image of luxury tourism in Caribbean, Indian Ocean, and pacific islands make you often dream and attracts for many years a high profile customer. Would the expenses incurred by the visitors lead to a positive impacts on economic growth? What are the impacts on environment and human aspects? Briefly, does the principles of sustainable and inclusive development a concept applicable in these islands? Anguilla, a small luxury island in the Caribbean area is used as case study. The purpose of this study is to determine the role of tourism in the economy of Anguilla. More specifically, this investigation attempts to verify the presence of the tourism-led growth hypothesis (TLGH) in the case of Anguilla, also to explore the nature of the linkage between the tourism sector and the agriculture, manufacturing and other service industries in the long-run and the short-run. In so doing, two regression models are used in a cointegration framework. The long-run relation indicates that a 1% change in tourism revenues in Anguilla would lead to a 0.6% increase in real GDP in the long-run, ceteris paribus. Our findings have also empirically verified the presence of the tourism-led growth hypothesis. However, the application of the error-correction methodology, produced results which suggested that the agriculture sector has contracted as the tourism sector expanded. In conclusion, the economic growth in Anguilla is positively affected by growth in the tourism sector as the latter sector loses resources to the expanding sector. Anguilla Caraïbes Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7409 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7409 | Partager |
La valorisation touristique du patrimoine rural : une opportunité de développement pour l’agriculture de Balagne en Corse ? Auteur(s) : Tafani, Caroline Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La Balagne est un territoire rural touristique dont les restes du riche passé agropastoral sont réappropriés et réhabilités comme support de développement local. Les exploitants agricoles, en tant qu’artisans du terroir, sont au cœur de ce processus de patrimonialisation et peuvent espérer tirer profit de sa revalorisation culturelle et économique : alors qu’ils subissent la pression foncière, la demande touristique de terroir apparait comme étant une opportunité de maintien pour l’agriculture de Balagne. Or, l’enquête de terrain réalisée montre qu’elle s’avère être en réalité un puissant facteur de différenciation des exploitants entre eux et de creusement des inégalités socio-économiques. Et paradoxalement l’offre de produits du terroir et services agritouristiques n’est pas forcément accompagnée de la mise en œuvre de bonnes pratiques agricoles. Ces conclusions interrogent finalement la durabilité agricole, et plus largement celle du territoire. Balagne is a rural touristic territory. It remains of the glorious agrarian past are restored as a resource for local development. Farmers, as artisans of the country, are at the core of this process of re-appropriation and can be pay back for this cultural and economic revalorization: whereas they are suffering the land pressure, this issue can be a way of remaining their activity. But, it is proved that it is a major factor of the farming systems differentiation. Thus, it grows bigger the socio-economic inequalities. And as a paradox, the supply of local products and/or agritourism services do not systematically implies the implementation of eco-friendly practices. Finally, the touristic valorization of the rural heritage calls into question the rural system sustainability. Balagne Corse Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5407 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5407 | Partager |
Tourisme et pauvreté : le champ des possibles Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Tatar, Corine Theng, Sopheap Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La pauvreté est une préoccupation à l’échelle mondiale et le tourisme international est envisagé comme un outil de lutte contre la pauvreté. Telle est la problématique abordée dans cette réflexion : qu’est-ce que la pauvreté ? Envisager le tourisme comme un remède nécessite d’abord de s’interroger sur la nature du mal. Il convient donc d’analyser dans un premier temps, la pauvreté sans la réduire à sa seule approche économique. La pauvreté est un concept multidimensionnel qui doit être étudié dans une démarche systémique.Le tourisme séduit les instances internationales et nombre de responsables politiques (aux échelles locale et nationale) par ses opportunités de développement. Le tourisme se distingue par sa capacité d’adaptation et de transformation des environnements d’accueil. Ce sont les consommateurs qui se déplacent chez les producteurs (les territoires d’accueil). Cette activité apporte donc des revenus directs pour les sociétés d’accueil. D’où la création d’emplois spécifiques et la stimulation des investissements. Cependant, si les potentialités économiques sont indéniables, il faut placer cette activité dans un véritable projet de développement pour qu’elle bénéficie aux territoires les plus pauvres. Poverty is a global concern and international tourism is seen as a tool to fight against poverty. This is the issue addressed in this reflection: What is poverty? Consider tourism as a remedy requires first to question the nature of evil. It is therefore necessary to analyze at first, poverty without reducing to its economic approach. Poverty is a multidimensional concept, which should be studied in a systematic approach. Tourism attracted international institutions and many politicians (at local and national levels) by its development opportunities. Tourism is distinguished by its adaptability and its ability to transform host environments. These are consumers who move from producers (home territories). This activity therefore provides direct revenue for the host societies. Hence the tourism capabilities to create specific jobs and stimulate investment. However, if the economic potential is undeniable, this activity should be placed in a real development project that benefits the poorest territories. Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6578 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6578 | Partager |
El impulso del turismo alternativo en Uruguay: la experiencia del proyecto Uruguay Alternativo Auteur(s) : Andrés Pardo, Juan Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : El “sol y playa” ha sido durante décadas el producto principal del turismo en Uruguay. No obstante, dicho país posee ciertas características que lo hacen proclive para el desarrollo del turismo alternativo, modalidad al momento desconocida y que no ha captado interés estatal. El presente artículo plantea un acercamiento a la realidad de este turismo en Uruguay, basándose en la experiencia del proyecto Uruguay Alternativo surgido en 2012. The “sun and beach” has been during decades the main product of uruguayan tourism. Nervertheless, the above mentioned country possesses certain characteristics that make it inclined for the development of alternative tourism, which is unknown today and which has not attracted State's interest so far.This present article raises an approximation to the reality of this tourism in Uruguay, Uruguay Alternativo" based on the experience arisen on 2012. « Le soleil et la plage » ont été pendant des décénnies le produit principal du tourisme en Uruguay. Néanmoins, le pays mentionné possède certaines caractéristiques propices au développement d’un tourisme alternatif, modalité pour l’heure méconnue et qui n’a pas suscité l’intérêt national. L’article présente un état des lieux de cette réalité dans le tourisme uruguayen en se basant sur le projet “Alternative Uruguay” lancé en 2012. Uruguay Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7564 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7564 | Partager |
International tourism in the Caribbean Area: Current Status Auteur(s) : Dehoorne, Olivier Murat, Christelle Petit-Charles, Nathalie Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : In the past the Caribbean was restricted to offering elitist tourist activities, but over the last three decades it has to a large extent opened its doors to international tourism. The advent of mass tourism has been accompanied by a redistribution of the tourism functions and flows within the region. The significant growth in tourism, although essential to the economies of the Caribbean islands, has given rise to a number of issues, the first being the necessity to examine the multiplier effect from tourism revenue within these externally-dependent economies. Next there is both the question of access to resources and the closing of tourist sites in a context where local communities are focusing on coastlines to develop their own numerous tourism and recreational activities. These developments will inevitably require us to consider environmental issues and the sustainability of today’s predominant tourism activities. Longtemps limité à des pratiques touristiques élitistes, l’espace caribéen s’est largement ouvert au tourisme international au cours des trois dernières décennies. L’avènement du tourisme de masse s’est accompagné d’une redistribution des flux et de fonctions touristiques dans cette région. Les enjeux, qui accompagnent l’importance croissante du fait touristique, essentiel pour les économies des îles caribéennes, sont de plusieurs ordres : tout d’abord, il convient de s’interroger sur les effets d’entraînement des revenus du tourisme dans le cadre de ces économies extraverties. Se pose également la question de l’accès aux ressources et de la fermeture des lieux touristiques, dans un contexte où les sociétés locales développent aussi leurs propres pratiques touristiques et récréatives ; autant d’usages qui se polarisent sur des ressources littorales et doivent nous interpeller sur les enjeux environnementaux et la durabilité des pratiques touristiques qui prévalent aujourd’hui Caraïbes Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.4713 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/4713 | Partager |