Limes Occidentis Quiuira et Anian. 1597. Auteur(s) : Wytfliet, Cornelius (15..-1597?) Année de publication : Éditeur(s) : Fabri, François (Douai) Extrait de : Histoire universelle des Indes orientales et occidentales, divisée en deux livres, le premier par Cornille Wytfliet, le second par Ant. M.agini et autres historiens (entre p. 114 et 115) Résumé : Côte Ouest des Etats-Unis, Canada et Alaska Siècle(s) traité(s) : 16 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/BBX17003-0178i1 BBX17003-0178i1 | Partager |
Groenlandais en mer Auteur(s) : Vernier, Charles (1813-1892) Lemaitre Année de publication : Extrait de : Patagonie, Terre-du-feu et archipel des Malouines (p.82) Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA112740121i1 FRA112740121i1 | Partager |
Manière de Voyager à travers les blocs de glace Auteur(s) : Vernier, Charles (1813-1892) Lemaitre Année de publication : Extrait de : Patagonie, Terre-du-feu et archipel des Malouines (p.78) Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA112740116i1 FRA112740116i1 | Partager |
Carte du pôle arctique Auteur(s) : Jenotte Année de publication : Extrait de : Patagonie, Terre-du-feu et archipel des Malouines (Entre p.68 et p.69) Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA112740103i1 FRA112740103i1 | Partager |
Voyage du Docteur Hayes Auteur(s) : Hayes, Isaac Israel (1832-1881) Erhard Année de publication : Éditeur(s) : Paris : Imprimerie Monrocq Extrait de : Bulletin de la Société de Géographie (Entre p.416 et p.417) Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA110780429i1 FRA110780429i1 | Partager |
Developing New Tourism routes in Coastal Areas Auteur(s) : Flognfeldt, Thor Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : For Norwegians the name of our country is based on a route - "the way to the North" - and this was not a built route but using of the coast-line itself. As long as the boats and ships were the main means of travel this coastal way - "Nor-way" - was the main communication basis for most people, and for transport of goods. But even in the interior of the country, water, namely rivers and lakes were the main structures for communication. The lakes were most efficient for transport during the cold winters, by sledges on the frozen surfaces.When new means of transport took over most of the traffic, however, sea, lakes and rivers in many ways became obstacles instead of means of communication (?). This gave the government and others new challenges. In the sailing period up to the end of the eighteen hundreds, boats and harbors were the investment focus and sailors were recruited in every community from the age of 15. This meant that in a remote area at the Arctic Circle there were plenty of people who have been sailing around most of the work and could easily be hosts of visitors.This paper is mostly focusing on "how to market and develop these beautiful coastal areas to travelers using either their own cars, bikes, boats or collective transport". What types of geographical units are suited for marketing and developing such areas and how might local producers of accommodation, food & beverages, crafts, activities and arts be included in such organizations. The main focus will be on the work of organization "Kystriksvegen Reiseliv AS" that have been working with these challenges for closed to two decades. What have their successes and obstacles been and how have they been able to operate a sustainable business on a long coastal route with many car ferries, small islands, fjords and mountains and more than twenty municipalities. Pour les Norvégiens, le nom de notre pays est basé sur un itinéraire - «le chemin vers le Nord» - et ce n'était pas une route construite, mais qui repose sur la ligne de côte elle-même. Tant que les bateaux et les navires étaient le principal moyen de déplacement de cette façon côtière – "Nor-way" - était la base principale de communication pour la plupart des gens et pour le transport de marchandises, et même à l'intérieur du pays, l'eau, à savoir les rivières et les lacs étaient les principales structures de communication. Les lacs sont les plus efficaces pour le transport pendant les hivers froids, par traîneaux sur les surfaces gelées.Avec l’arrivée des nouveaux moyens de transport, la mer, les lacs et les rivières à bien des égards, sont devenus obstacles (?). Cela a donné de nouveaux défis au gouvernement. A l’époque de la voile jusqu'à la fin des dix-huit centaines, des bateaux et des ports ont été l'objet d'investissements et les marins ont été recrutés dans toutes les collectivités dès l’âge de 15 ans. Cela signifie que dans une région éloignée dans le cercle arctique, il y avait beaucoup de gens qui étaient navigateurs et pouvaient facilement être les hôtes de visiteurs.Ce document est principalement axé sur «la façon de commercialiser et de développer ces belles régions côtières de voyageurs qui utilisent soit leurs propres voitures, motos, bateaux ou de transports collectifs». Quels types d'unités géographiques sont adaptés pour la commercialisation et le développement de ces régions ? Comment les producteurs locaux d'hébergement, de nourriture et de boissons, d’artisanat, les activités et les arts sont inclus dans ces organisations ? L'accent principal sera mis sur le travail de l’organisation "Reiseliv AS Kystriksvegen" qui a travaillé sur ces défis de fermeture depuis deux décennies. Quelles ont été leurs réussites et obstacles, et comment ont-ils pu exploiter une entreprise durable sur une longue route côtière avec des car-ferries, de nombreuses petites îles, des fjords et des montagnes et plus d’une vingtaine de municipalités. Norvège Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.5286 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/5286 | Partager |
La situation de la pêche sur les bancs occidentaux du Groënland en été 1970 (Campagne de la "Thalassa" en juillet-août) Auteur(s) : Allain, Charles Lamolet, J Leroy, C L''Herrou, R Minet, Jean-pierre Le Men, R Tailliez, J Barbaroux, Olivier Éditeur(s) : ISTPM Résumé : Cette première campagne de la "Thalassa" sur les bancs occidentaux du Groënland pendant le mois de juillet et la première quinzaine d'août 1970 nous a permis de tirer d'intéressantes conclusions sur l'état actuel du stock de morue, la biologie des différentes espèces rencontrées et les conditions de milieu marin. Elle représente en outre une fructueuse expérience en ce qui concerne la technique de chalutage sur ces fonds particulièrement tourmentés, dans des conditions de navigation souvent difficiles. L'extension de la banquise issue de la région orientale du Groënland ne nous a pas permis d'étudier les bancs du premier tiers sud et nos travaux n'ont pu commencer qu'à hauteur du banc Dana. Les observations hydrologiques montrent que pendant l'été 1970 les eaux arctiques de la couche supérieure sont demeurées très froides et que le réchauffement superficiel était à peine marqué à partir du banc Fyllas pour atteindre un maximum de 4°20 sur le banc Disko. Quant à la formation sousjacente, originaire de la Mer d'Irminger, sa température maximale, de 5°, était proche de celle de la moyenne des années précédentes. Ce refroidissement de la couche supérieure, que l'on constatait déjà en 1966 et qui semble avoir atteint son degré le plus bas en 1968 et 1969, n'est pas sans avoir une incidence sur la répartition de la morue - notamment au moment de la ponte - et sur l'appauvrissement du stock. C'est sur le banc Dana seulement que les captures de morue ont atteint un aspect commercial par le bon rendement obtenu et aussi par un fort pourcentage de poissons de taille moyenne. Plus au N, sur le banc Fiskenaes, le rendement a fortement diminué pour devenir très faible sur le banc Fyllas et presque nul sur les bancs Lille et Store Hellefiske. Dans le secteur le plus septentrional, quelques individus seulement ont été pêchés au S du banc Disko. A partir de ce secteur, la prospection a d'ailleurs montré que la détection était nulle et, comme la plupart des fonds étaient impraticables, les chalutages ont été très réduits en nombre et en durée. Science et Pêche (0036-8350) (ISTPM), 1970-12 , Vol. 198 , P. 1-26 Droits : Ifremer http://archimer.ifremer.fr/doc/1970/publication-7004.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/7004/ | Partager |