Two steps back, one step forward Auteur(s) : Rosset, Peter Benjamin, Medea, 1952- International Institute for Environment and Development -- Sustainable Agriculture Programme Éditeur(s) : Sustainable Agriculture Programme, International Institute for Environment and Development Sustainable Agriculture Programme, International Institute for Environment and Development ( London UK ) Résumé : (Bibliography) Includes bibliographical references (p. 24). (Statement of Responsibility) Peter Rosset, Medea Benjamin. Cover title. Cuba Cuba Cuba Cuba Cuba Cuba 31725533 | Partager |
Tratado de geografia politica impreso por acuerdo y á beneficio de la Seccion de educacion Auteur(s) : Sagarra, Juan Bautista ( supposed author ) Éditeur(s) : Impr. de la Real Sociedad económica, á cargo de M. Martinez Impr. de la Real Sociedad económica, á cargo de M. Martinez ( Santiago de Cuba ) Résumé : "Escribió esta obra Juan B. Sagarra?"--Trelles y Govín, Carlos M., Bibliografía cubana del siglo XIX, v. 2, p. 150. Cuba Hispanic America 19170274 | Partager |
Costa y serranía: construcciones socio-culturales de territorios para el ocio en el sudeste de la provincia de Buenos (Argentina), primera mitad del siglo XX Auteur(s) : Paola Kaczan, Gisela Marina Sánchez, Lorena Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La zona del sudeste de la provincia de Buenos Aires (Argentina), se vislumbra como territorio fértil para los estudios culturales debido a su densidad histórica, social y patrimonial, en un marco de disímiles condiciones geográficas. Dos ciudades bonaerenses intermedias, Mar del Plata y Tandil, se han destacado por sus procesos de construcciones socio-culturales asociadas al ocio y al turismo. El estudio propuesto abarca la primera mitad del siglo XX para reconocer las transformaciones acontecidas en el hábitat y en el habitar, observando las prácticas sociales y las renovadas relaciones entre cuerpo y espacio que darán lugar a propuestas diferenciadas en relación con la estadía costera o serrana. Para ello se hará hincapié en la lectura de la revista ilustrada Caras y Caretas, en particular, en las imágenes de notas y avisos publicitarios. The southeast zone of the province of Buenos Aires (Argentina), it is glimpsed as fertile territory for the cultural studies due to its historical, social and heritage density, in a frame of dissimilar geographical conditions. Two intermediate cities, Mar del Plata and Tandil, have been outlined for their processes of sociocultural constructions associated with leisure and tourism. The proposed study includes the first half of the XXth century to recognize the transformations happened in the habitat and the living, observing the social practices and the renewed relations between body and space that will give place to different proposals in relation with the coastal or highland demurrage. For this, it will be emphisized in the reading of the illustrated magazine Caras y Caretas, especially, the images of notes and advertising notices. La zone du sud-est de la province du Buenos Aires (Argentine) est perçue comme un territoire fertile pour les études culturelles pour des raisons historique, sociale et patrimoniale, avec des conditions géographiques dissemblables. Deux villes intermédiaires, Mar del Plata et Tandil, se distinguent par leur processus de construction socioculturelle associée aux loisirs et au tourisme. L'étude proposée concerne la première moitié du XXe siècle. Elle s’attache à reconnaître les transformations des habitats et des modes de vie, en observant les pratiques sociales et les relations renouvelées entre le corps et l'espace en relation avec l’environnement du lieu de séjour, côtier ou montagnard. Pour cela, on mettra l'accent sur la lecture de la revue illustrée Caras y Caretas, en particulier les illustrations et les avis publicitaires. Argentine Buenos Aires Mar del Plata Tandil Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.7626 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/7626 | Partager |
Les Caraïbes centraméricaines : fragments à géométrie variable Auteur(s) : Michel, Aurélia Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : Afin de mettre en perspective les différents articles du dossier, le texte souligne les différentes étapes qui définissent la situation de la façade caraïbe à la fois au sein des Etats-nations et de la région centraméricaine. Depuis une position de marge ou d’enclave liée à la fois à la géographie et aux logiques de l’empire espagnol, cet ensemble territorial s’est construit à partir de fragments plus ou moins connectés entre eux et aux espaces régionaux maritimes (caribéen ou atlantique). Au cours de leur construction, les différents Etats-nations n’envisagent d’abord la façade caraïbe que dans sa dimension de connexion transisthmique. Pourtant, on constate au vingtième siècle différents processus d’intégration territoriale qui visent à relier espace continental et façade caraïbe, processus qu’il faut associer à de nouvelles dynamiques démographiques. Les sociétés d’interface qui en résultent, voient leurs composantes « ladinas », indiennes, ou afro-descendantes se réorganiser. Enfin, ces fragments qui composent la façade prennent de nouvelles couleurs à la lumière des projections faites par d’autres acteurs (ONG) ou à d’autres échelles (région américaine). In order to put into perspective the different papers of the issue, this text highlights the successive stages by which the Caribbean coastline of Central American has been constructed, under the several States-nations and as a part of the Central American region. As a margin or enclave due to geographical characters as to the logics of Spanish Empire, these territories have been made from fragments more or less connected between them or to other regional maritime spaces (Caribbean or Atlantic). When growing, the States-nations in the region first exclusively consider their Caribbean coastline as a transisthmic connection. Yet, during the twentieth century, various process of territorial integration aim to connect continental spaces and maritime coastline, associating demographical dynamics. Societies of interface result of these process, where their ladina, indian, afro components are reorganized. Finally, theses fragments as elements of the façade take a new color in the look of new actors (NGO) or from other scales and spaces (Atlantic region, Caribbean Sea). Para poner en perspectiva los diferentes artículos del numero temático, este texto subraya las varias etapas en que definieron la situación de la costa caribeña, a la vez en cada Estado-Nacion y al nivel de la región. Con una posición de margen o enclave, que se explica tan por motivos geográficos que por las lógicas del imperio español, este conjunto territorial se ha construido a partir de fragmentos más o menos conectados entre sí e con los espacios regionales marítimos (caribeño o atlántico). Cuando se desarrollaron, los Estados-naciones consideraban las costas caribeñas solo por su potencial transístmico. Sin embargo, en el siglo veinte, llevaron a cabo varios procesos de integración territorial que les permiten vincular su espacio continental con la fachada atlántica, y eso asociándose a importantes dinámicas poblacionales. Resultan de estos procesos sociedades de interfaz, cuyos componentes ladinos, indígenas y afros se ven reorganizados. Por fin, los fragmentos que componen la costa caribeña toman otro color a la luz de proyectos llevados por actores ajenos (ONG) o desde espacios y escalas diferentes (Espacio atlántico, región americana). Amérique centrale Caraïbes Livingston Guatemala Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.6032 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/6032 | Partager |
La géographie esthétique de Douglas Tompkins, une utopie éco-philanthropique en Patagonie Auteur(s) : Bourlon, Fabien Éditeur(s) : Université des Antilles Études caribéennes Résumé : La Patagonie a longtemps été considérée comme une Terra Australis res Nillius : les terres du sud sans maître. Depuis la Conquista espagnole cet espace a été l’objet de nombreuses utopies, collectives, celles des découvreurs, des militaires et des missionnaires, et individuelles, celles des marchands et des aventuriers et sportifs, avides de richesses et de gloires. Vers la fin des années 1980, une nouvelle idéalisation de la nature, le wilderness, fait de la Patagonie un « must » à découvrir puis à sauvegarder, face à la pression des usages industriels, agricoles, miniers, forestiers, hydroélectriques, et halieutiques. L’utopie éco-philanthropique du milliardaire étasunien Douglas Tompkins puise ses origines dans une expédition au Fitzroy en 1968, mais s’inscrit dans une tradition nord-américaine du xixe siècle. Convaincu de l’impérieuse nécessité de sauvegarder la biodiversité sud-américaine, il propose une Nouvelle Économie, basée sur les principes de la Deep Ecology. Il achète des terres pour « la valeur de la beauté et de l’harmonie » et façonne ses parcs pour « le bien de l’humanité » (Tompkins, 2012).Par une approche biogéographique, cet article montre comment un parcours individuel a instauré un nouvel imaginaire, culturel et touristique. Une œuvre dessine une nouvelle géographie, esthétique, utopique et individualiste qui fait débat, au-delà des enjeux territoriaux et politiques liés à la conservation et à la création de parcs privés. Écrits, films et affiches en faveur de l’écologie et contre l’industrialisation et la technologie changent le regard des acteurs sur ces terres de confins. Les activistes verts et acteurs écotouristiques louent son apport aux luttes socio-environnementales. Le monde rural, les entrepreneurs et les défenseurs de l’esprit des pionniers, défricheurs de terres vierges, critiquent son opposition au développement et son manque de respect pour leur mode de vie. Mais ils vendent leurs terres aux riches occidentaux et chiliens, qui veulent posséder leurs propres parcs du bout du monde et espèrent que le tourisme leur assurera leur futur. Patagonia has long been considered a Terra Australis res Nillius: the lands of the south with no master. Since the Spanish Conquista this space has been the object of many collective utopias, those of discoverers, soldiers and missionaries, and individual ones, those of merchants and adventurers and sportsmen, eager for wealth and glory. Towards the end of the 1980’s a new idealization of nature, the wilderness, changed Patagonia into a “must” to discover and then to safeguard against the pressure of industrial, agricultural, mining, forestry, hydroelectric, and fisheries exploitation. The eco-philanthropic utopia of the American millionaire Douglas Tompkins finds draws its origins from an expedition to Mount Fitzroy in 1968 but is part of a North American tradition of the nineteenth century. Convinced of the imperious need to safeguard South American biodiversity, he proposes the “Next Economy”, based on the Deep Ecology ideals. He buys land for “the value of beauty and harmony” and shapes his parks for “the good of humanity” (Tompkins, 2012).Through a biogeographic approach, this article shows how an individual project has created a new imaginary, both cultural and touristic. The work of an artist defines a new geography, aesthetic, utopian and individualistic, that questions us, beyond the territorial and political issues associated with the conservation and creation of private parks. Books, films and graphic works in favor of ecology and against industrialization and technology, change views actors have on these remote lands. Eco activists and ecotourism actors praise his contribution to tackle socio-environmental issues. The rural world, entrepreneurs and defenders of the spirit of the pioneers, clearers of virgin lands, criticize his opposition to development and lack of respect for their way of life. Nevertheless they sell their land to rich westerners and Chileans who want to posses their own private parks at world’s end while hopping that tourism will ensure their future. La Patagonia ha sido considerada por mucho tiempo como una Terra Australis res Nillius : las tierras austral de nadie. Desde la Conquista española este espacio ha sido objeto de numerosas utopías, colectivas e individuales, las de los descubridores, de los militares, misioneros, mercantes, aventureros y deportistas, en búsqueda de riquezas y glorias. Hacia el final de los años 80, una nueva idealización de la naturaleza, el wilderness, transforma la Patagonia en un lugar para conocer y preservar de las codicias industriales, agrícolas, mineras, forestales, hidroeléctricas o pesqueras. La utopía eco-filantrópica del millonario norte americano Douglas Tompkins nace en una expedición al Cerro Fitzroy en 1968, pero se enmarca en una tradición de los Estados Unidos del siglo xix. Convencido de la necesidad de salvaguardar la biodiversidad sur americana, el propone una Nueva Economia, basada en los principios de la Ecología Profunda. Compra tierras por el valor de su belleza y harmonía y planea sus parques por el bien de la humanidad.A través de una metodología llamada biogeográfica, esta comunicación muestra como un proceso personal ha instalado un nuevo imaginario cultural y turístico. Una obra moldea una nueva geografía, estética, utópica y personal, que genera debates, mas allá de los desafíos territoriales y políticos que conllevan la conservación y creación de parques privados. Escritos, películas y afiches a favor de la ecología y en contra de la industrialización y la tecnologización de la sociedad, cambian la mirada de los actores locales de estas zonas australes. Los activistas verdes y los emprendedores eco-turísticos alaban su contribución en las luchas socio-ambientales. El mundo rural, empresarios y defensores del espíritu de los colonos, critican sur oposición al desarrollo y su falta de afinidad con sus modos de vida. Pero ellos venden sus tierras a los ricos norte americanos, europeos y chilenos, deseosos de poseer sus propios parques del fin del mundo, esperando, sin embargo, que el turismo les asegure su futuro. Patagonie Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess urn:doi:10.4000/etudescaribeennes.11150 http://journals.openedition.org/etudescaribeennes/11150 | Partager |