Donner à voir les apparences : s'habiller et se parer en Afrique Noire au siècle des Lumières Auteur(s) : Graille, Patrick Auteurs secondaires : Gallouët, Catherine Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines DPLSH : Département Pluridisciplinaire de Lettres, Langues et Sciences humaines G.R.R.E.A. 17/18 : Groupe de Recherches sur les Représentations Européennes de l'Afrique aux XVIIe et XVIIIe siècles UMS 622 : Institut d'histoire de la Révolution française Extrait de : "Les représentations du Noir dans la littérature, l'histoire et les arts européens et américains des XVIIIe, XIXe et début du XXe siècle" : colloque pluridisciplinaire, du 27 février au 2 mars 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : Lorsqu'au XVIe siècle les premiers explorateurs occidentaux abordent les côtes de l'Afrique subsaharienne, les habitants qu'ils découvrent ,'évoluent pas nus, comme les Brésiliens dépeints par les contemporains de Jean de Léry. Selon les textes européens des siècles suivants, leurs vêtements et parures apparaissent comme soignés et révélateurs d'une série de codes sociaux et anthropologiques scrupuleusement organisés et gradués de la noblesse au peuple. Mais comment les illustrateurs de ces récits de voyages et des livres de costumes leur faisant écho représentent-ils ces vêtements et parures ? Ne délivrent-ils que des visons simplistes et idéalisées, conformes aux fantasmes des acteurs et lecteurs de l'époque ? Alors que les modes et règles vestimentaires européennes pénètrent progressivement en Afrique Noire, le XVIIIe siècle en tient-il ou non compte dans les catégories sociales, sexuelles ou régionales qu'il donne à voir ? Siècle(s) traité(s) : 16 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13058 V13058 | Partager |
Le travail sans l'esclavage ? Sublimation du corps noir dans les arts décoratifs de 1800 Auteur(s) : Laffont, Anne Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de Recherches Interdisciplinaires en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines DPLSH : Département Pluridisciplinaire de Lettres, Langues et Sciences humaines G.R.R.E.A. 17/18 : Groupe de Recherches sur les Représentations Européennes de l'Afrique aux XVIIe et XVIIIe siècles Mémorial ACTe Extrait de : "Les représentations du Noir dans la littérature, l'histoire et les arts européens et américains des XVIIIe, XIXe et début du XXe siècle" : colloque pluridisciplinaire, du 27 février au 2 mars 2013. Université des Antilles et de la Guyane Description : Cette communication portera sur "le Pendule au Nègre" dans la compréhension plus générale de la fabrique visuelle de l'altérité au XVIIIe siècle. Ces pendules avec des personnages africains, américains ou asiatiques, dont la durée de production n'excède pas une trentaine d'années (1790-1820) participèrent de la visualisation et de la représentation de l'Autre durant la Révolution française, à l'époque où, précisément, disparaissait la production des portraits de femmes aristocratiques blanches avec leur pagne noir. Quels liens formels et intellectuels peut-on tisser entre ces deux régimes visuels, à la fois si différents et si imbriqués ? Siècle(s) traité(s) : 18 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V13060 V13060 | Partager |
Femme malinké Auteur(s) : Frédillo Éditeur(s) : Paris : Imp. Geny-gros Extrait de : La femme dans les colonies françaises : études sur les moeurs au point de vue myologique et social (Entre p. 60 & 61) Résumé : Femme malinké pilant du mil et portant son enfant sur le postérieur ; le bébé est attaché par un lambeau de tissu qui se trouve au-dessus des seins de la mère tandis qu'un autre lambeau de pagne lui cache le bas-ventre, retombant à mi-partie de la cuisse. En haut, à gauche : une soudanaisese fait coiffer. Sur la figure de droite : cette même femme quand la coiffure est terminée ; elle a des petites nattes au bout desquelles elle met du corail, des verroteries et des pièces de métal. On remarque également sur ce dessin une oreille dans le pavillon de laquelle se trouvent fixées plusieurs bagues ou fragments de bagues. Au bas de la gravure, se trouvent des instruments de musique parmi lesquels le plus usité est le tam-tam ou tronc d'arbre creusé et recouvert d'une peau de boeuf. A côté du tam-tam, est la machine à percer dont se servent les bijoutiers, puis à droite et à gauche deux sortes de guitare et de lyre, enfin le morceau de bois rond qui sert aux blanchisseuses pour le repassage de leur linge. Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH132790091i1 SCH132790091i1 | Partager |