France pittoresque : Puy de Dôme Auteur(s) : Monin, Charles V. (17..-1880) Éditeur(s) : Gravé par Laguillermie et Rambox Extrait de : France pittoresque ou Description pittoresque, topographique et statistique des départements et colonies de la France... avec des notes sur les langues, idiomes et patois... et des renseignements statistiques... accompagnée de la statistique générale de la France T.3 (entre p. 2 et p. 3) Résumé : Carte du Puy de Dôme et gravure de la cathédrale de Clermont Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH131900011i1 SCH131900011i1 | Partager |
José M. Heredia Auteur(s) : Laplante, Eduardo (1818-186?) Année de publication : Éditeur(s) : La Habana : impr. de Spencer y cía Extrait de : Brisas de Cuba (p. 57 bis) Résumé : Portrait de José María Heredia y Campuzano (1802-1839), poète et avocat cubain. En 1823, ses activités intellectuelles et politiques contre la domination espagnole l'obligèrent à s'enfuir aux Etats-Unis. En 1836, après avoir publiquement rétracté ses idéaux indépendantistes, il fut autorisé à rentrer à Cuba. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/IHE140040271i1 IHE140040271i1 | Partager |
Les regards croisés, le discours et l'identité Auteur(s) : Charaudeau, Patrick Loading the player... Éditeur(s) : CRILLASH : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines CRILLASH : Centre de recherches interdisciplinaires en lettres, langues, arts et sciences humaines Résumé : Patrick Charaudeau analyse le discours par les systèmes de signes porteurs de signifiance, plus particulièrement la manifestation verbale : rituels sociaux-langagiers (prise de parole...), modes discursifs (raconter/expliquer), pratiques linguistiques (adverbalisation, usage de l'article), formes de dénomination. Il interroge ensuite les questions liées à l'identité : identité individuelle/identité collective, identité sociale/identité discursive. Les regards croisés questionnent le fonctionnement des groupes et des individus : la domination, le repli communautaire, la mixité, la construction des imaginaires collectifs et leurs interractions avec le langage. Martinique Guyane Française France 21 Europe Amériques Droits : Document protégé par le droit d'auteur fichiers:HASH01dcc40db9ba9d1e580d860a | Partager |
Pratiques éducatives dans un contexte multiculturel L'exemple plurilingue de la Guyane. Le primaire ; : Volume I Auteur(s) : Ailincai, Rodica Crouzier, Marie-Françoise Auteurs secondaires : Modèles, Dynamiques, Corpus (MoDyCo) ; Université Paris Nanterre (UPN) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Centre de Recherche Interdisciplinaire en Lettres, Langues, Arts et Sciences Humaines (CRILLASH) ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) Éditeur(s) : HAL CCSD CRDP de Guyane : ISBN : 978-2-35793-010-0 Résumé : Cet ouvrage collectif rédigé sous la direction de Rodica AILINCAI et Marie-Françoise CROUZIER arrive à un moment important de la vie du système éducatif, en particulier dans le domaine de la formation des enseignants. Les missions dévolues aux personnels enseignants de Guyane sont, comme sur le reste du territoire national, multiples et variées mais de plus, s'inscrivent dans un contexte territorial d'une certaine complexité. Le caractère exceptionnel de ce contexte d'enseignement mérite d'être souligné. La réalité sociologique, culturelle et linguistique dans laquelle bon nombre d'enseignants de cette académie sont amenés à exercer est à la fois source de défi et facteur d'enrichissement professionnel. Il est vrai que dans un tel contexte nos enseignants rencontrent des difficultés récurrentes dans la mise en œuvre de leurs apprentissages et dès lors peuvent se sentir en situation d'échec. Il apparaît donc important qu'une aide pertinente puisse leur être apportée à travers des éléments de réponse adaptés à la situation. Ainsi un tel ouvrage est de nature à aider bon nombre d'entre eux, aussi bien ceux en formation initiale que ceux déjà en poste. Quant aux étudiants en formation à l'université et qui aspirent à exercer ce noble métier, ils peuvent y trouver une source de réflexion et de données pertinente. Cet ouvrage apporte des éclairages intéressants sur beaucoup de questionnements qui ont ja- lonné et jalonnent encore la vie quotidienne de notre institution. Le questionnement sur un enseignement en contexte guyanais est important et il faut prendre la précaution de pas d'aborder cette question sous la simple forme d'une cartographie socio-culturelle et linguis- tique. Il s'agit bien de s'approprier toutes les données propres à cette société guyanaise pluri- lingue et multiculturelle, validée entre autre par une démarche scientifique, afin de pouvoir les intégrer dans des démarches d'apprentissages réfléchies au centre desquelles on place l'enfant-apprenant. Les formateurs ont apporté une contribution significative à la rédaction de cet ouvrage, c'est un moment important à travers lequel ils font partager à d'autres collègues leur expérience et leur réflexion sur une démarche de formation d'enseignants en Guyane. Une pluralité d'activités est décrite avec bien souvent une approche de la pluridisciplinarité qui semble tel- lement nécessaire mais qui a si souvent du mal à se mettre concrètement en place au sein des établissements. Je les encourage à continuer ce type de productions car elles ne peuvent qu'être bénéfiques aux collègues qui sont souvent faces à leur quotidien et n'ont pas ou peu de temps pour appro- fondir la réflexion sur leur pratique. Le système éducatif en Guyane a besoin de données et d'approches complémentaires pour l'amélioration de la formation des enseignants et ceci au profit des élèves de l'académie. La rédaction de cet ouvrage me semble être par ailleurs un signe fort de la maturité acquise dans la professionnalité de l'équipe pédagogique de l'IUFM. Que tous les auteurs de cet ouvrage soient remerciés pour leurs contributions et plus particu- lièrement Rodica et Marie-Françoise pour leur implication dans la direction de ce premier ouvrage. Antoine PRIMEROSE, Directeur de l'IUFM de la Guyane Enseigner en Guyane : comment faire, quand on commence ? Et comment tirer profit de l'expérience d'un professeur des écoles à Cayenne ou à Saint-Laurent-du-Maroni si l'on tra-vaille ailleurs ? La situation guyanaise L'Académie de la Guyane présente depuis longtemps des résultats qui la placent au dernier rang, DOM compris (Durand et Guyard, 1999). Même si ceux-ci se sont nettement améliorés au cours des dernières années comme le montre l'évolution des taux de réussite aux examens, ils restent insatisfaisants. La proportion de bacheliers d'une génération selon le lieu de rési-dence, toutes séries confondues, est encore loin de la moyenne nationale. À la session 2004, elle était de 33 ,1 % (61,6 % en France métropolitaine + DOM). Conjointement, le nombre de sorties sans qualification du système scolaire s'avère préoccupant. En 2004, au niveau V , il était de 36 % (25 % en France métropolitaine + DOM) ; au niveau V bis et IV de 21 % (7% en France métropolitaine + DOM). Ces chiffres indiquent l'insuffisance de formation d'une partie de la population, à corréler avec le taux de chômage (22,7 % contre 9,6 en France mé-tropolitaine + DOM en 2005). Plus que jamais, l'urgence est de faire acquérir au minimum à chaque élève un " socle commun de connaissances et de compétences " pour que chacun puisse exercer son rôle de citoyen dans le monde du XXIe siècle et poursuivre sa formation tout au long de la vie. L'enjeu est politique, démocratique mais aussi économique : les retom-bées de l'amélioration générale des qualifications d'une population en matière de développe-ment d'un territoire ne sont plus à démontrer. Les réformes récentes du système éducatif fran-çais tracent une voie générale pour y parvenir. Cependant, les particularités locales du dépar-tement de la Guyane, qui peuvent constituer intrinsèquement des obstacles à la réussite de certains élèves , méritent d'être étudiées avec attention. Quelques aspects territoriaux sont à préciser. Le pourcentage de communes n'ayant pas d'écoles est très bas (4,5 %), comparati-vement à ce qui peut être observé ailleurs (France métropolitaine + DOM : 32,2 %). Dans un espace globalement peu peuplé (2 habitants au km2 en moyenne), les écoles sont donc disper-sées et, en raison de la difficulté fréquente des déplacements, souvent isolées les unes des au-tres . Elles ont aussi pour caractéristique de constituer des groupes scolaires plus importants en moyenne que dans d'autres départements. Selon les données ministérielles de 2004 , le pourcentage d'écoles de plus de huit classes est de 58, 4 % (13,1 % en France métropolitaine + DOM), d'écoles de 3 classes et moins : 14,4 % (44,9 % en France métropolitaine + DOM), d'écoles à classe unique : 6,4 % (13,1 % en France métropolitaine + DOM). Or, la taille d'un groupe scolaire n'est pas sans influence sur la vie qui s'y développe. Plus le nombre de clas-ses est élevé, moins la structure favorise les relations individualisées et personnalisantes. Au delà des aspects sociogéographiques, la situation plurilingue et pluriculturelle présente un caractère exceptionnel. Multiforme, elle s'inscrit entre deux pôles (Goury, 2002 ; Goury, Launey, Lescure et Puren, 2005) : un pôle où les élèves d'une classe partagent une même culture et langue maternelle, situation typique des sites isolés de l'intérieur du pays (Bushi-nenge et amérindiens sur les fleuves Maroni et Oyapock), et un pôle linguistiquement et cultu-rellement hétérogène, situation rencontrée plutôt sur le littoral, dans les sites urbains. De nombreuses publications portent déjà sur la situation sociolinguistique guyanaise , et un cer-tain nombre d'entre elles sur la relation que l'école entretient avec ce plurilinguisme . Elles mettent toutes en évidence la spécificité du contexte guyanais de ce point de vue : " On dénombre plus d'une trentaine de langues en Guyane. Les unes et les autres pesant un poids - numérique, économique, symbolique, etc. - plus ou moins important. Sur cette trentaine de langues, [...] une vingtaine est parlée par des groupes de locuteurs - 'natifs' ou non - représentant plus de 1 % de la population " Léglise (2007, p. 39). Ainsi, parmi les langues parlées par plus de 1 % de la population, distingue-t-on selon cet auteur : - six langues amérindiennes parlées par un peu moins de 5 % de la population ; - cinq langues créoles à base française ; le créole guyanais serait la langue première (L1) d'un tiers de la population, il est langue véhiculaire d'une partie du territoire ; le créole haïtien se-rait parlé par 10 % ou 20 % de la population , les créoles martiniquais et guadeloupéen se-raient parlés par environ 5 % de la population et le créole saint-lucien) ; - quatre créoles à base anglaise avec trois variétés de nenge(e) (aluku, ndyuka, pamaka, parlés par plus d'un tiers de la population) et le sranan tongo (utilisé essentiellement comme véhicu-laire) ; - un créole à base anglaise partiellement relexifié en portugais, le saramaka ; - cinq variétés de langues européennes : outre le français, le portugais du Brésil (5% à 10%), l'anglais du Guyana (2% environ), le néerlandais et l'espagnol ; - trois langues originaires d'Asie (le hmong et des langues de Chine du Sud, le hakka et le can-tonais). Une bonne partie de cette " non-francophonie ", parfois non scolarisée, se définit non seule-ment par son caractère étranger (28 % d'élèves sont issus de l'immigration) mais aussi large-ment par son caractère autochtone (de nombreux élèves sont nés français et alloglottes). Les caractéristiques professionnelles du personnel enseignant représentent également une donnée non négligeable à prendre en compte. Les enseignants du premier degré sont nettement plus jeunes que dans d'autres départements, et la tendance s'accentue au fil des ans. Par exemple, en 2003 les professeurs de plus de 50 ans représentaient 11,4 % de la cohorte. En 2005 ils ne sont plus que 10,6 %, alors qu'en métropole le taux est de 21,6 % du corps. Le nombre de non-titulaires, qui décroît nettement (en 2003 17,6 % ; en 2005 11,6 %) est cependant plus de quatre fois supérieur à celui de la France métropolitaine plus DOM (2,5 %). À cette inexpé-rience s'ajoute une formation institutionnelle très " nationale ", peu ou pas assez en prise avec les réalités locales. La très insuffisante préparation des professeurs, majoritairement métropo-litains, à enseigner dans un contexte marqué par une très forte proportion d'élèves alloglottes (Puren 2005, Alby et Launey, 2007) et souvent par d'importantes difficultés matérielles liées à la dispersion des écoles, pourrait être un facteur explicatif du taux d'échec scolaire en Guyane. Par conséquent, l'enseignement dans cette Académie constitue un terrain de recher-che d'une importance majeure. Nombre de recherches universitaires ont déjà été conduites. Celles concernant la réussite scolaire soulignent depuis longtemps l'importance des représen-tations que le sujet se construit autour de l'école. Ces représentations chez l'enfant "primo-arrivant" qui aborde l'apprentissage initial, viennent de la famille, mais aussi de l'école, des pairs, des médias. En référence à un modèle écologique et culturel du développement proposé par Ogbu (1981), il est possible de considérer qu'elles jouent un rôle sur la manière dont les familles et les enfants vont investir les activités scolaires. Ces conceptions préliminaires et implicites colorent aussi largement les attitudes spontanées des professionnels qui découvrent le département ou qui entrent dans le métier. Le domaine éducatif restant largement à explo-rer, de nouvelles voies ont fait l'objet de recherches fondamentales, recherches appliquées et activités pratiques ayant fait leur preuve. Notre ouvrage Enseigner en contexte guyanais ne va pas de soi. Ce sera notre première partie. Le dé-paysement, en termes géographique et culturel, peut être source d'inquiétudes ou de déstabili-sation. Être nommé dans une école des fleuves, par exemple, est une expérience qui, pour être bien vécue et pour éviter le choc de l'inconnu, nécessite informations et adaptation prospecti-ve. Que faut-il savoir et à quoi faut-il se préparer ? Rejoindre un poste caractérisé par l'enseignement bilingue français/créole peut tout autant désorienter. La connaissance des ca-ractéristiques socioculturelles et sociolinguistiques d'un lieu, la familiarisation avec des pro-jets et organisations spécifiques qui en découlent font partie de l'équipement professionnel des impétrants. Mais la centration sur une commune, une école ou une classe ne suffit pas. Le contexte culturel au sens large, riche et parfois très éloigné des références européennes, gagne à être appréhendé par différentes entrées. L'étude de l'" oraliture " et son utilisation réflé-chie en classe, souvent considérées comme une approche incontournable, méritent d'être questionnées. Quels en sont les bénéfices pour les élèves ? Faut-il privilégier l'utilisation du conte en dehors des constructions pédagogiques traditionnelles ou au contraire la rattacher aux pratiques d'écriture ? À quelles conditions la mise en valeur du patrimoine local, oral, peut-elle jeter des passerelles entres les modes de pensées des cultures d'origine et ceux de la culture scolaire en langue française ? Une voie d'exploitation de la culture environnante peut aussi passer par les visites de musées ou par diverses expositions. L'enjeu est de faire de l'élève un visiteur acteur, de le mettre en situation d'apprentissage hors de l'enceinte de la classe et de modifier la place de l'adulte, enseignant ou accompagnateur, à ses côtés. N'est-ce pas là actualiser une démarche préconisée depuis longtemps par de célèbres pédagogues tel Comenius ? Une autre exploration du contexte peut se centrer sur les espaces d'apprentissage informels, c'est-à-dire non encadrés par l'école. Les jeux en cour de récréation, la musique et la danse en pratiques locales sont autant d'objets et d'expériences métissées qui permettent de plonger dans la tradition orale et d'appréhender des modalités de transmissions déroutantes. Quelle est la place de l'individu face au groupe et vice-versa ? Quelles leçons en tirer pour le positionnement du maître et de l'élève, pour les nécessaires consensus à accepter en vue d'une plus grande efficacité de notre système éducatif ? Si les pratiques d'enseignement peuvent être améliorées par l'observation du contexte, l'introduction de supports particuliers - qui constitue notre deuxième partie - peut également favoriser la cohérence des pratiques éducatives tout en ouvrant à des valeurs universelles. Il s'agit de diversifier les activités d'apprentissage qui ont pour objectif le développement de compétences stratégiques susceptibles de neutraliser rapidement les lacunes engendrées par la spirale de l'échec. Plusieurs exemples nous en montrent le chemin. Les situations d'apprentissage collaboratif soutenu par ordinateur, et notamment les activités de débat argu-menté, sont-elles susceptibles de favoriser les interactions langagières entre élèves primo-arrivants ? Le scrabble, au-delà de la maîtrise du calcul mental et du vocabulaire en langue française, permet de conjuguer coopération et compétition. Peut-il devenir un outil privilégié de construction de la citoyenneté ? L'interrogation vaut aussi pour le jeu d'échecs. Celui-ci, plus complexe, s'il facilite la compréhension de base de concepts mathématiques et le raison-nement lors de situations problèmes, entraîne aussi l'acquisition de bien d'autres compétences transversales... L'apprentissage de la numération dès l'école maternelle, à partir de collec-tions de comptines numériques et d'activités de dénombrement, montre que la manipulation, la mise en action à la fois individuelle et négociée en groupe sont partie prenante de la cons-truction d'une identité singulière et multiple. Face à des élèves parfois difficiles ou apparemment différents, il convient de parfaire sa pra-tique enseignante. Ce point formera la troisième partie de notre ouvrage. L'indiscipline constitue la première hantise des débutants. Par delà les techniques voire les ficelles toujours très appréciées par leur pouvoir de réassurance, la question est de trouver les moyens d'installer profondément chez les élèves les valeurs de respect et de dignité humaine. Le pluri-linguisme n'est pas sans effrayer non plus. Or la langue inconnue de l'autre, loin d'être un obstacle, est un atout pour celui qui la maîtrise. Comment prendre en compte la compétence plurilingue existante ? Comment la développer chez les élèves ? Ce parti pris modifie le rap-port de l'enseignant à l'élève et au savoir, et vivifie par conséquent le désir d'apprendre et l'engagement dans les apprentissages. Le handicap et la méconnaissance dont il s'accompagne parfois suscite également des mouvements de recul. Quels en sont les méca-nismes ? Est-il possible d'accompagner efficacement les élèves handicapés ? Avec qui et de quelle façon ? Autant d'interrogations qui trouvent des réponses à travers les dispositifs exis-tants et le témoignage d'une expérience particulière. Favoriser l'interculturel, - dernière partie de notre ouvrage - met en lumière le principe vital à développer à brève échéance. Paradoxalement, dans de nombreuses enquêtes de terrain, la Guyane est présentée comme une société multiculturelle harmonieuse tout en étant composée de groupes socioculturels repliés sur eux-mêmes. Qu'en est-il réellement dans les écoles ? Quelle place les enseignants accordent-ils aux cultures et langues maternelles au sein de la classe ? Quelle pédagogie peut-on proposer pour lutter contre le racisme insidieux qui s'installe dans les classes ? La description des structures spécifiques pour élèves non franco-phones, CLIN et CRI, et l'analyse de la politique éducative contextualisée qui en découle il-lustrent autrement la nécessité d'une pédagogie spécifique. Enseigner dans un contexte pluri-culturel ne s'improvise pas. L'objectif n'est pas d'éradiquer préjugés et stéréotypes mais de construire une démarche permettant de prévenir les conflits. L'observation des interactions en situation d'hétérogénéité culturelle peut-elle mettre au jour des invariants ? Elle questionne l'éducation interculturelle qui, pour certains, semble être une perspective positive, voire la réponse à privilégier. https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00640248 halshs-00640248 https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00640248 | Partager |
A View of the Tampa Bay Hotel on the Hillsborough River with the hotel's Plant Park in the foreground. Auteur(s) : Burgert Brothers, 1917- ( Photographer ) Résumé : When Henry B. Plant brought the railroad to Tampa in 1884, he opened the door for many businesses to locate and flourish here. The railroad was at the center of the city's economy. From downtown it went to Port Tampa where one could board a Plant steamship to Jamaica, Cuba, New Orleans, Bermuda or other destinations. A spur of the rail line brought the train up to the west front of the hotel so guests could depart the train and walk directly into the lobby.
The Tampa Bay Hotel cost approximately 2.5 million dollars to build and $500,000 to furnish. Consisting of 511 rooms, some of which were suites of 3-7 rooms, it provided a degree of luxury never before seen in Tampa. Most of the rooms had their own baths and all had electricity and telephones. In addition, guests were surrounded by a varied collection of furniture, porcelains, Venetian-style mirrors, and sculptures gathered by Mr. and Mrs. Plant in their travels in Europe.
The Tampa Bay Hotel opened in 1891 amid wide fanfare and celebration. Henry Plant's dream was now a reality. The newspapers of the day described it as "brightly illuminated, filled with sumptuous decorations, thrilling music and graced with turrets, domes and minarets towering heavenward and
glistening in the sun." It was a Victorian palace.
The hotel was a lively place with balls, tea parties, and organized hunts during the winter social season. It was open seasonally from December to April in the 1890's. Once a guest arrived at the hotel, he needed to be entertained. Guests went wild game hunting as well as fresh and salt-water fishing. Water sports were also included like sailing, rowing, and canoeing. For the less adventuresome, there were bicycles, carriages, and rickshaws to ride you around the property. The hotel also offered golf, tennis, shuffleboard, billiards, and even a racetrack. (Funding) Funded in part by the Institute for Museum and Library Services (IMLS), Ephemeral Cities Project. Tampa |z 1271000 |2 ceeus Hillsborough County |z 12057 |2 ceeus United States of America -- Florida -- Hillsborough County -- Tampa Droits : All rights reserved. 2005. D20-007 | Partager Voir aussi Hotel ( Building, Structures ) ( nmc ) Tampa Bay Hotel (West Lafayette and Hyde Park Avenue) ( nmc ) Hotels ( lctgm ) Minarets ( lctgm ) Historic parks ( lctgm ) Plant Park (West Lafayette Street opp Hyde Park Avenue) ( lctgm ) Rivers ( lctgm ) Hillsborough River ( lctgm ) Piers and wharves ( lctgm ) |
Eléments du malaise antillais Auteur(s) : Michalon, Thierry Droits : Ce document est protégé par le droit d'auteur. Il ne peut en aucun cas être utilisé sans l'autorisation de l'auteur et des ayant droits recherch:HASHb8b92313a44890cb8acba6 | Partager |
Pseudophoenix vinifera Auteur(s) : Zona, Scott Résumé : 2009, Scott Zona -- CC: at-ncsa (Creative Commons license requiring attribution, prohibiting commercial uses, and requiring rights-share for use of this image) voucher specimen deposited at Fairchild Tropical Botanic Garden (FTG), Miami, FL, USA & Jardín Botánico National Rafael Moscoso (JBSD), Santo Domingo, Dom. Rep. specimen cited in: Zona, S. 2002. A revision of Pseudophoenix. PALMS 46: 19–38. Dominican Republic -- Barahona | Partager |
Thermal interaction of middle and upper crust during gneiss dome formation: Example from the Montagne Noire (French Massif Central) Auteur(s) : Fréville, Kévin Cenki-Tok, B. Trap, Pierre RABIN, M. Leyreloup, A. Régnier, J.-L. Whitney, D.L. Auteurs secondaires : Institut des Sciences de la Terre d'Orléans - UMR7327 (ISTO) ; Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) (BRGM) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Université d'Orléans (UO) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Géosciences Montpellier ; Université des Antilles et de la Guyane (UAG) - Institut national des sciences de l'Univers (INSU - CNRS) - Université de Montpellier (UM) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) Laboratoire Chrono-environnement (LCE) ; Université Bourgogne Franche-Comté (UBFC) - Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) - Université de Franche-Comté (UFC) Department of Geological Engineering ; Mugla University University of Minnesota [Minneapolis] INSU/SYSTER pro-gram granted to B. Cenki-Tok.US NSF grant EAR-1050020 Éditeur(s) : HAL CCSD Wiley-Blackwell Résumé : International audience This paper aims to decipher the thermal evolution of the Montagne Noire Axial Zone (MNAZ,southern French Massif Central) gneiss core and its metasedimentary cover through determination ofP–T paths and temperature gradients. Migmatitic gneiss from the core of the dome record a clock-wise evolution culminating at 725 25 °C and 0.8 0.1 GPa with partial melting, followed by adecompression path with only minor cooling to 690 25° C and 0.4 0.1 GPa. Field structuralanalyses as well as detailed petrological observations interpreted in a petrogenetic grid indicate thatthe cover sequence experienced LP-HT metamorphism at <0.4 GPa. Apparent thermal gradientswithin the cover were determined with garnet–biotite thermometry and Raman Spectroscopy on Car-bonaceous Matter. High-temperature apparent gradients (e.g. 530 °C km1 along one transect) areexplained by late brittle–ductile extensional shearing evidenced by phyllonites that post-date peakmetamorphism. In areas where normal faults are less abundant and closely spaced, gradients of 20to 50 °C km1 are calculated. These gradients can be accounted for by a combination of domeemplacement and ductile shearing (collapse of isotherms), without additional heat input. Finally, thethermal evolution of the MNAZ is typical for many gneiss domes worldwide as well as with otherLP-HT terranes in the Variscides. ISSN: 0263-4929 Droits : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/ insu-01290388 https://hal-insu.archives-ouvertes.fr/insu-01290388 https://hal-insu.archives-ouvertes.fr/insu-01290388/document https://hal-insu.archives-ouvertes.fr/insu-01290388/file/jmg12188.pdf DOI : 10.1111/jmg.12188 | Partager |
Roystonea borinquena (Puerto Rico royal palm) -05 Auteur(s) : Zona, Scott Résumé : 2009, Scott Zona -- CC: at-ncsa (Creative Commons license requiring attribution, prohibiting commercial uses, and requiring rights-share for use of this image) voucher specimen deposited at Rancho Sana Ana Botanic Garden (RSA), Claremont, CA & the Florida Museum of Natural History (FLAS), Gainesville, FL, USA & Jardín Botánico Rafael Moscoso (JBSD), Santo Domingo, Dom. Rep. specimen cited in: Zona, S. 1996. Roystonea (Arecaceae: Arecoideae). Flora Neotropica 71: 1–36. Dominican Republic -- Puerto Plata | Partager |
The 1920 Presidential Palace in Havana ; The Bryant Slides Collection ; The Bryant Slides Collection, Cuba Auteur(s) : Unknown ( Photographer ) Belau, Paul ( Architect ) Maruri, Carlos ( Architect ) Résumé : The slides were taken on collecting trips sponsored by the William L. Bryant Foundation, where books, music and art indigenous to the regions were gathered. The are organized by geographical location. Pictured is the dome of the President Palace with a Cuban flag. The former Presidential Palace, built between 1913 & 1920, now houses el Museo de la Revolución. The palace was the place of the failed assassination attempt on US-friendly dictator Batista in March 1957, by revolutionary student leader Jose Echeverria. The museum follows Cuba's history from pre-Columbian culture to present day socialism. The former Presidential Palace (presently Museo de la Revolución) was designed by the Cuban architect Carlos Maruri and the Belgian architect Paul Belau and was inaugurated in 1920 by President Mario García Menocal. It remained the Presidential Palace until 1959. The building has Neo-Classical elements. Cuba -- Caribbean region -- Havana Droits : All rights to images are held by the respective holding institution. This image is posted publicly for non-profit educational uses, excluding printed publication. For permission to reproduce images and/or for copyright information contact Special Collections & University Archives, University of Central Florida Libraries, Orlando, FL 32816 phone (407) 823-2576, email: speccoll@mail.ucf.edu CFM1972_01a Sheet 84: 13 http://ufdc.ufl.edu/CA01200459/00001 | Partager |
L'Europe et la conservation des oiseaux dans les DOM ; L'Europe et la conservation des oiseaux dans les DOM ; L'Europe et la conservation des oiseaux dans les DOM Auteur(s) : Gros-Désormeaux, Jean-Raphaël Béranger, Christelle Hunel, Philippe Gros-Désormeaux, Jean-Raphaël Béranger, Christelle Hunel, Philippe Gros-Désormeaux, Jean-Raphaël Béranger, Christelle Année de publication : Loading the player... Éditeur(s) : CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe CRPLC : Centre de Recherche sur les Pouvoirs Locaux dans la Caraïbe Extrait de : Les jeudis de l'Université. Université des Antilles et de la Guyane Résumé : "Deuxième rencontre des jeudis de l'université 2012-2013 basée sur la biodiversité. Une conférence centrée sur "L'Europe et la conservation des oiseaux dans les DOM". Plusieurs questions sont abordées dont le programme de LIFE + CAP DOM, comment préserver les espèces menacées ? et les résultats des recherches." "Deuxième rencontre des jeudis de l'université 2012-2013 basée sur la biodiversité. Une conférence centrée sur "L'Europe et la conservation des oiseaux dans les DOM". Plusieurs questions sont abordées dont le programme de LIFE + CAP DOM, comment préserver les espèces menacées ? et les résultats des recherches." Siècle(s) traité(s) : 20 Droits : CC-BY-NC-ND - Attribution - Pas d'utilisation commerciale - Pas de modification Permalien : http://www.manioc.org/fichiers/V12253 V12253 V12253 V12253 | Partager |
Sabal causiarum (Puerto Rico palmetto) Auteur(s) : Zona, Scott Résumé : 2009, Scott Zona -- CC: at-ncsa (Creative Commons license requiring attribution, prohibiting commercial uses, and requiring rights-share for use of this image) voucher specimen deposited at Rancho Sana Ana Botanic Garden (RSA), Claremont, CA & the Florida Museum of Natural History (FLAS), Gainesville, FL, USA & Jardín Botánico Rafael Moscoso (JBSD), Santo Domingo, Dom. Rep. specimen cited in: Zona, S. 1990. A monograph of Sabal (Arecaceae: Coryphoideae). Aliso 12: 583–666. Dominican Republic -- Barahona | Partager |
Royat Auteur(s) : Bullu Chanoin Extrait de : France pittoresque ou Description pittoresque, topographique et statistique des départements et colonies de la France... avec des notes sur les langues, idiomes et patois... et des renseignements statistiques... accompagnée de la statistique générale de la France T.3 (entre p. 2 et p. 3) Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH131900014i1 SCH131900014i1 | Partager |
Pièces rélatives à Saint-Domingue et à l'Amérique Auteur(s) : Brackenridge, H. M. ( Henry Marie ), 1786-1871 Éditeur(s) : Chez F. Béchet, libraire, Quai des Augustins, no. 57. Et à Bruxelles, chez Le Charlier, libraire. Démat, imprimeur-libraire. Chez F. Béchet, libraire, Quai des Augustins, no. 57. Et à Bruxelles, chez Le Charlier, libraire. Démat, imprimeur-libraire. ( Paris ) Résumé : (Citation/Reference) Sabin (Citation/Reference) Bissainthe, M. Dict. de bib. haïtienne, "Lettre de M. Brackenridge à James Monroe, président des États-Unis": p. 25-142. "Déclaration d'indepéndance du Congres des etats qui forment la République de la Plata" dated and signed on p. 175 "Fait en la salle du Conseil du Buenos Ayres, le 25 octobre 1817. Dom Pedro Ignacio de Castro y Barros": p. 143-175. "Acte d'installation du Conseil d'état de la Republique de Venezuela" dated "En la ville de St.-Thomas d'Angustura, le 10 novémbre 1817": p. 176-191. "Coup-d'oeil sur les six premiers mois a venir de l'Amérique": p. 192-206. Bookseller's advertisements: p. 2, 1st group, p. 1-3, 6th group. Signatures: pi² 1-13⁸ (13₈ verso blank) chi². (Statement of Responsibility) mises en ordre par M. de Pradt, ancien achevèque de Malines; pour faire suite à ses ouvrages sur l'Amérique.. Haiti Venezuela France -- Paris Netherlands -- Brussels Haiti Latin America Venezuela Provincias Unidos de Río de la Plata 145432640 | Partager |
Montlosier Auteur(s) : Duc Mauage Extrait de : France pittoresque ou Description pittoresque, topographique et statistique des départements et colonies de la France... avec des notes sur les langues, idiomes et patois... et des renseignements statistiques... accompagnée de la statistique générale de la France T.3 (entre p. 6 et p. 7) Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH131900019i2 SCH131900019i2 | Partager |
Boats fill the Hillsbourough River in front of the Plant Park and the Tampa Bay Hotel. Auteur(s) : Burgert Brothers, 1917- ( Photographer ) Résumé : When Henry B. Plant brought the railroad to Tampa in 1884, he opened the door for many businesses to locate and flourish here. The railroad was at the center of the city's economy. From downtown it went to Port Tampa where one could board a Plant steamship to Jamaica, Cuba, New Orleans, Bermuda or other destinations. A spur of the rail line brought the train up to the west front of the hotel so guests could depart the train and walk directly into the lobby.
The Tampa Bay Hotel cost approximately 2.5 million dollars to build and $500,000 to furnish. Consisting of 511 rooms, some of which were suites of 3-7 rooms, it provided a degree of luxury never before seen in Tampa. Most of the rooms had their own baths and all had electricity and telephones. In addition, guests were surrounded by a varied collection of furniture, porcelains, Venetian-style mirrors, and sculptures gathered by Mr. and Mrs. Plant in their travels in Europe.
The Tampa Bay Hotel opened in 1891 amid wide fanfare and celebration. Henry Plant's dream was now a reality. The newspapers of the day described it as "brightly illuminated, filled with sumptuous decorations, thrilling music and graced with turrets, domes and minarets towering heavenward and
glistening in the sun." It was a Victorian palace.
The hotel was a lively place with balls, tea parties, and organized hunts during the winter social season. It was open seasonally from December to April in the 1890's. Once a guest arrived at the hotel, he needed to be entertained. Guests went wild game hunting as well as fresh and salt-water fishing. Water sports were also included like sailing, rowing, and canoeing. For the less adventuresome, there were bicycles, carriages, and rickshaws to ride you around the property. The hotel also offered golf, tennis, shuffleboard, billiards, and even a racetrack. (Funding) Funded in part by the Institute for Museum and Library Services (IMLS), Ephemeral Cities Project. Tampa |z 1271000 |2 ceeus Hillsborough County |z 12057 |2 ceeus United States of America -- Florida -- Hillsborough County -- Tampa Droits : All rights reserved. 2005. D29-009 | Partager Voir aussi Hotel ( Building, Structures ) ( nmc ) Hotels ( lctgm ) Tampa Bay Hotel (West Lafayette and Hyde Park Avenue) ( lctgm ) Plant Park (West Lafayette Street opp Hyde Park Avenue) ( lctgm ) Rivers ( lctgm ) Hillsborough River ( lctgm ) Parks ( lctgm ) Piers and wharves ( lctgm ) Minarets ( lctgm ) Tampa Bay Hotel (Tampa, Fla.) -- Pictorial works -- 20th century ( lcsh ) |
On the influence of dissolved organic-matter on remote-sensing of chlorophyll in the straits of skagerrak and kattegat Auteur(s) : Karabashev, Gs Éditeur(s) : Gauthier-Villars Résumé : An experimental techniques to estimate the influence of dissolved organic matter (DOM) on remote sensing of chlorophyll in water has been developed, based on the relationship between fluorescence and absorption of light by a substance. The profiles of fluorescence, chlorophyll content in sea water and estimates of light attenuation in water samples were used in the paper. These data have permitted to calculate the regressions linking fluorescence and light absorption at 450 nm by chlorophyll (ABC450) and by DOM (ABD450). The remote sensing needs no correction for DOM if M450 = 100* (ABC450/ABD450) much greater than 100. This technique has been applied to data collected during the international Skagex field experiment in the straits of Skagerrak and Kattegat in spring and autumn of 1990. It was found that M450 <= 100 everywhere in the subsurface layer. Unfavorable conditions for remote sensing of chlorophyll prevailed in the straits because of the uptake of DOM-rich water from the continent and the accumulation of phytoplankton in deeper layers. These and another processes can increase relative content of colored DOM even in waters of open ocean. Oceanologica Acta (0399-1784) (Gauthier-Villars), 1992 , Vol. 15 , N. 3 , P. 255-259 Droits : info:eu-repo/semantics/openAccess http://archimer.ifremer.fr/doc/00100/21159/18778.pdf http://archimer.ifremer.fr/doc/00100/21159/ | Partager |
La France périphérique : crainte du marché et rejet de l’Etat Auteur(s) : Michalon, Thierry 20 Droits : Ce document est protégé par le droit d'auteur. Il ne peut en aucun cas être utilisé sans l'autorisation de l'auteur et des ayant droits recherch:HASH0169efc4624f9358324bdb42 | Partager |
Il fut fait prisonnier sans même avoir pu se défendre Extrait de : Histoire de la découverte et de la conquête de l'Amérique (p. 373) Résumé : Illustration représentant un épisode de la conquête du Pérou mettant en scène les rivalités- entre conquistadors espagnols pour s'assurer la domination du pays. Ici, Pedro de Alvarado (1485-1541) est fait prisonnier par des partisans de Diego de Almagro, lui-même allié de Pizarro. Siècle(s) traité(s) : 16 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/FRA110460393i1 FRA110460393i1 | Partager |
Delille Auteur(s) : Duc Mauage Extrait de : France pittoresque ou Description pittoresque, topographique et statistique des départements et colonies de la France... avec des notes sur les langues, idiomes et patois... et des renseignements statistiques... accompagnée de la statistique générale de la France T.3 (entre p. 6 et p. 7) Résumé : Portrait de Jacques Delille (Abbé Delille), poète et traducteur français. Siècle(s) traité(s) : 19 Droits : Domaine public Permalien : http://www.manioc.org/images/SCH131900019i3 SCH131900019i3 | Partager |